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All stories start with once upon a time (FLASHBACK) AIDAN (a)

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All stories start with once upon a time
jackie and Aidan


L’année venait de débuter, les étudiants revenaient et Cambridge reprenait du service. J’avais passé ma journée dans les livres d’archéologie. J’avais beau être une garce mon objectif premier était de quitter la faculté avec mon diplôme. La fin de soirée s’annonçait, le soleil se couchait. La fête allait pouvoir débuter. Ne croyez pas que seuls les livres m’intéressent, bien au contraire. Les fêtes avaient toujours été quelques choses que j’appréciais. Et après avoir étudié la plupart de la journée, il était temps pour moi d’évacuer un peu. Je partis dans ma salle de bain pour me préparer. Un slim, un haut et des talons et le tour était joué. La simplicité pouvait être parfois le meilleur des choix. Je pris la soirée. Une soirée découverte. Une fois dans l’appartement, j’embrassais la propriétaire qui se trouvait être également mon amie. « Saluuut Anna » dis-je en l’embrassant sur la joue. Elle m’invita à prendre un verre et me dirigea vers un homme. Brun, ma taille, plutôt pas mal. « Jackie, je voulais te présenter Aidan, un Lowell, le président pour être plus exacte. » j’affichais un sourire avant de tendre ma main. « Aidan, c’est ça ? Enchanté, je suis Jackie » dis-je en souriant avant que Anna ne parte accueillir ses autres invités. « J’aurai dû parier que tu étais un Lowell, le chapeau ne trompe personne. » dis-je en portant ma coupe de champagne à la bouche.

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Une soirée comme une autre dans laquelle Sam l'avait traîné chez leur amie commune : Anna. Le Lowell ne s'est pas fait prié pour honorer la soirée de sa présence. C'est que pour la fête, il n'est pas le dernier. Le Peintre se sent donc dans son élément virevoltant entre les personnes, mots percutants, humour au bras et verre solidement ancré en main. C'est alors que l'hôtesse de la soirée lui présente une petite Blondinette dénommée Jackie. Son sourire s'élargit tandis que son amie effectue les présentations. « Tous les Lowell portent un chapeau ? Je croyais qu'on avait simplement la réputation d'être homosexuels. » Son attitude est désinvolte et nonchalante, comme il en a l'habitude finalement. Etre lui même devant une inconnue ne lui pose aucun problème,même si elle ne possède pas encore tous les tenants et les aboutissants sur sa petite personne. Le Brun s'avance pour poser ses billes bleutées sur le visage angélique de la jeune étudiante.  « Laisse-moi deviner pour toi. » dit-il avec un sourire léger. « Cabot. » Va savoir pourquoi il était persuadé d'avoir raison.  « Je suis toujours attiré par les Cabot. » Ses dents se découvrent autant que sa provocation et le voilà simplement heureux de son affront.
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Mon regard vagabondait dans la pièce, les invités affluaient petit à petit. L’appartement comptait maintenant plus d’une quinzaine d’étudiant. « Tous les Lowell portent un chapeau ? Je croyais qu’on avait simplement la réputation d’être homosexuel. » je me mis à sourire et tournai doucement la tête apportant une nouvelle fois mon verre d’alcool à mes lèvres. Amusé et intrigué par le jeune peintre, je lui fis un brin provocatrice : « J’avais oublié ce petit détaille, les Lowell manquent de virilité » dis-je en levant les sourcils et les épaules. Il m’était arrivée de l’apercevoir mais c’était bien la première fois que je lui parlais. Mon regard parcourra une nouvelle fois la pièce faisant abstraction du jeune étudiant, l’indifférence pouvait parfois agacer. Petit test d’entrée pour ce bon vieux président. Il s’approcha et attira mon attention. « Laisse-moi deviner pour toi » j’affichais un sourire, il était joueur et j'aimais ça. « Cabot » j’affichais une grimace avant qu’il ne réplique : « Je suis toujours attiré par les cabots » mes sourcils se relevèrent doucement avant que je ne soutienne son regard avec un petit sourire au coin des lèvres : « Tu as bon goût Aidan » dis-je en souriant avant d’approcher mon visage un peu plus et de le lui dire : « mais n’y pense même pas Lowell ! » dis-je avec un petit clin d’œil. « J’aime pas les chapeaux »

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L'Artiste sourit davantage à la provocation de la jeune femme et décide d'y répondre de la même façon.  « Je serai ravi de te prouver l'inverse. » Il était vrai que la Lowell House comptait toutes sortes de gens, mais même si Aidan en riait, c'était ce qui faisait la force de sa confrérie à ses yeux, le petit détail qui lui avait permis de toujours se sentir à l'aise. Elle joue ensuite avec lui, à la manière d'une souris avec un gros chat et le Peintre ne demande pas son reste. Cette fille lui plaît et il sent qu'il va bien rigoler. « C'est bien ce que je disais, je suis toujours attiré par les pestes. » Il se mordille la lèvre, fier de sa provocation et enlève le chapeau présent sur sa tête avant de le poser sur les ondulations dorées de l'Effrontée. « C'est dommage, ça te va bien pourtant. » Sur ces paroles, il reprend le chapeau et mime une révérence avant de le porter de nouveau sur sa tête en faisant un clin d’œil à la Belle.
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« Je serai ravi de te prouver l’inverse » un sourcil se leva, intrigué et à la fois amusé. La soirée n’allait pas être si désagréable que cela. J’affichais un petit sourire « je serais ravie de voir ça et je te souhaite bien du courage » dis-je en le défiant un peu. Paraître inaccessible avait le don d’attirer, je le savais et je l’utilisais. Jouer faisait partie de moi, j’aimais ça et j’étais contente de voir que lui aussi. « C’est bien ce que je disais, je suis toujours attiré par les pestes. » Bizarres, en soi les pestes étaient réputés pour ne pas être apprécié. J’aimais ne pas être apprécié, l’attention se portait sur mon image et non pas sur ma personne. « Tu es servi » dis-je en ouvrant les bras. Je me mis à rire avant du regard plus en détaille. Il se mordilla la lèvre et enleva son chapeau pour le mettre sur ma tête. « C’est dommage, ça te va bien pourtant ». Il retira le chapeau et le porta une nouvelle fois sur sa tête avant de faire une révérence. Amusant en plus de cela. Mes yeux se plissèrent avant que je ne prenne son chapeau et que je le mette sur ma tête : « Ça te donnera l’occasion de venir me reparler. » dis-je avec un petit sourire malicieux avant d’ajouter : « mais attention tu pourrais te bruler, Lowell ! » enfantine jusqu’au bout, je ne le connaissais que depuis quelques minutes mais je l’aimais bien. Décalé et charmant, il me plaisait. « ça fait longtemps que tu es à Harvard ? »

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Ses yeux s'attardent sur la silhouette juvénile. En bonne peste qui se respecte, elle sait également se faire désirer et c'est là tout ce qu'aime ce bon masochiste qu'est Aidan. « J'aime l'inaccessible. » lui répond-t-il avec provocation avant d'ajouter un brin nonchalant. « Je finis toujours par avoir ce que je désire. » Et c'était vrai, le Lowell n'était pas une gravure de mode, ou le dernier vampire tendance mais il savait y faire et surtout faire preuve de beaucoup de patience à l'occasion. L'Intrépide finit par lui voler son chapeau et un sourire complice étira les lèvres du jeune homme. « Tu demandes déjà mon retour, tu vois ? » Il se met à rire. Bien entendu qu'il n'est pas sérieux mais ces deux là semblent à l'aise avec le jeu des provocations. Jackie finit par lui poser une question à savoir depuis quand il était là. « Je viens d'entrer en cinquième année d'Arts plastiques, et toi ? » Distraitement, le Lowell termine le verre qu'il a à la main, et s'enquiert de sa partenaire improvisée. « Je suis à sec, tu veux quelque chose ? » demande-t-il avant de prendre la direction du bar.
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« J’aime l’inaccessible. » le contraire m’aurait étonné, mes yeux se plissèrent doucement. J’affichais un sourire au coin avant qu’il n’ajoute à nouveau : « Je finis toujours par avoir ce que je désire » et bien, il fallait l’avouer. Le jeune peintre était quelqu’un de déterminer. Je me mis à rire et lui fis en haussant les sourcils : « Tu te trompes Lowell… j’en suis là preuve du contraire » dis-je en lui faisant un clin d’œil déterminé à repousser chaque avance qu’il me faisait. Ça me plaisait de le remettre à sa place et en tant que masochiste il semblait aimer ça. Après cela, je pris le chapeau du jeune peintre. « Tu demandes déjà mon retour, tu vois ? » mon regard roula sur le cotée avant que je ne lui dise : « J'aime donner de faux espoir ! » dis-je un brin diabolique. J’apportais une dernière fois mon verre à mes lèvres avant qu’il ne réponde à ma question : « Je viens d’entrer en cinquième année des’Arts plastique et toi ? » Art plastique ? Hein. Il fallait avouer que j’étais curieuse de voir ce qu’il était capable de faire. Autant, j’étais nul en dessin et peinture autant j’aimais regarder les travails des autres. Je lui fis : « Je suis en cinquième année d’Archéologie monsieur » dis-je en affichant un sourire. L’archéologie, une voie que je ne regrettais pas. « Je suis à sec, tu veux quelque chose ? » je lui fis oui de la tête et lui fis : « Un jus d’orange s’il te plaît » dis-je en souriant avant de lui dire : « allez plus vite monsieur le peintre, je suis impatiente comme fille » dis-je en levant les yeux histoires de l’embêter un peu. Il partit chercher nos boissons. Pendant ce temps-là, je regardais les nouveaux invités en saluant quelques connaissances.

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Son regard pétille suite aux réponses de la Cabot, c'est que la jolie Blonde ne manque pas de répartie, et c'est tout au bonheur du Lowell. Il lui adresse un regard en coin, un brin moqueur. « Oh, mais je n'ai pas dit que j'avais tout ce que je désirais d'un claquement de doigt. Parfois, cela prend du temps mais je finis toujours pas arriver à mes fins. » Ses yeux se posent de nouveau sur les siens tandis qu'il lui adresse un sourire en coin à mi-chemin entre l'enfantin et le diabolique comme il en a tant le secret. « C'est bien ce qui me semblait, j'ai bien perçu une once de cruauté derrière ce visage angelot. » lui lance-t-il amusé. On est une peste ou on ne l'est pas. « Hum... Archéologie, voilà qui est intéressant. » Le Lowell hésite à sortir une connerie grosse comme lui puis se ravise, c'est qu'ils ne se connaissent même pas tout de même ! « Ce que tu es sage ! » Un jus d'orange ! Et pourquoi pas de l'eau pétillante aussi ? Ceci étant, il se dirige vers le bar et prend les deux boissons, puis il retourne auprès de sa compagne improvisée. « Un jus d'orange pour la Demoiselle. » Il lui pose délicatement le verre dans les mains, il amorce ensuite le geste pour trinquer. « Aux pestes ! » lance-t-il avec un clin d'oeil avant de laisser les contenants s'entrechoquer.
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« Oh mais je n’ai pas dit que j’avais tout ce que je désirais d’un claquement de doigt. Parfois, cela prend du temps mais je finis toujours par arriver à mes fins. » Le Lowell montrait des qualités que j’appréciais chez un homme, intelligent, marrant et mystérieux. Je plissais les yeux et affichai un petit sourire amusé : « déterminé, c’est une belle qualité pour un homme. » dis-je en croisant mes bras contre ma poitrine. « C’est bien ce qui me semblait, j’ai perçu une once de cruauté derrière ce visage angelot ». Aidan n’avait pas tort, mon image cachait bien des choses. Flâtre par ce compliment. Je lui fis : « Il y a bien des choses que vous ne savez pas cher monsieur. » dis-je en lui faisant un clin d’œil. La cruauté et la franchise faisaient partie de moi. Une barrière contre l’humanité. La réaction du jeune homme était étonnante. De nombreuses personnes auraient déjà répondu à mes pics parfois sanglants. Lui non. « Hum… Archéologie, voilà qui est intéressant » mon sourire s’agrandit comprenant que le Lowell se retenait de dire quelque chose. Par la suite, le jeune peintre se porta volontaire pour aller chercher une nouvelle boisson. « Ce que tu es sage ! » je me mis à rire et lui fis rapidement : « la sobriété aide à ne pas faire de bêtise. Je n’aimerais pas rentrer dans ton petit jeu » dis-je amusé avant de le laisser partir. Il ne tarda pas, il était plutôt rapide. Il me tendit le verre de jus d’orange « aux pestes ! » un nouveau sourire s’afficha : « aux boiteux ! » dis-je en lui faisant un clin d’œil et en faisant surtout référence à sa technique de drague. Pure provocation. J’apportais mon verre à mes lèvres et lui fit ensuite : « qu’elle est ton nom de famille ? » question qui pouvait être étrange.

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Son sourire s'étire, Aidan se sent à l'aise avec cette fille alors qu'il vient tout juste de la rencontrer. Elle lui résiste mais rentre tout de même dans son jeu et cela lui convient parfaitement puisqu'il est un grand gamin qui n'aime pas la facilité. « Au moins tu me reconnais une qualité. » Il hausse les épaules un peu détaché, mais effectivement il est une personne déterminée même si ce n'est pas forcément la qualité qui se révèle en premier lorsqu'on connaît le spécimen. Jackie lui avoue ensuite qu'il y a des choses d'elle qu'elle n'aime pas révéler et le Lowell se délecte, s'approchant d'elle juste avant de la quitter pour aller chercher leurs boissons.  « ça tombe très bien, je déteste tout savoir de quelqu'un, y'a rien de plus chiant. » La vérité c'est que Aidan aime bien jouer au même petit jeu, les deux jeunes gens ne favorisent juste pas les mêmes masques. La Peste et le Débonnaire, voilà un duo un brin surprenant mais bien détonnant. Il sourit amusé lorsqu'elle lance un toast, et il corrige. « Aux boiteux et aux pestes ! » Il appuie ses dires d'un petit clin d'oeil. Ses yeux se posent sur elle tandis qu'elle lui demande son nom. Il ne peut s'empêcher de la charrier encore plus. « Tu te demandes comment sonnera ton nom lorsque tu seras mienne. » Il boit une gorgée de sa boisson et réplique. « Norrington. » Un nouveau sourire s'offre à elle, mais une information donnée est une information reprise en quelque sorte. « Et toi belle-enfant ? » Il adore lui donner des surnoms désuets et même parfois ridicules, va savoir pourquoi, il se permet des choses avec elle que d'autres n'osaient sans doute pas, mais Norrington avait pour habitude de se foutre de tout, c'était comme ça.
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