i'm sorry really

Impossible de ne pas éclater de rire à son imitation, Alice dut se couvrir le visage pour ne pas montrer son fou rire de gamine. Peut-être était-ce la soirée bien entamée qui le rendait si hilarant, mais la jeune femme se permettait tout de même de le trouver charmant. Il lui tandis sa plaquette, alors qu'elle cessait son fou rire, son cœur déjà bien emballé qui en demandait encore. Elle n'hésita pas un instant à refaire des lignes, tout comme Mace, elle ne voulait pas paraître pour une enfant de chœur. Elle releva la tête, les pupilles bien dilatées, et se leva du banc pour se dégourdir les pieds un peu, histoire de garder la tête dans les nuages encore un instant.

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Je lui avais passé la drogue, qu'elle prit rapidement avant de se lever. J'étais assis et je la regardais, rigolant alors. Je m'allumais un joint après l'avoir roulé, j'avais besoin de ne penser à rien, de m'évader. Me droguer était le meilleur échappatoire que j'aurais pu trouver, en fait. Je pris la main d'Alice, la faisant venir vers moi et qu'elle soit assise sur mes genoux. « Tiens ! », lui disais-je en lui tendant le joint que je fumais.

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Elle tanguait un peu en marchant, mais la poudre lui permettait de maintenir le cap, allégeant les méfaits de l'alcool bu au courant de toute sa soirée. Elle le regardait rouler son joint, peinard, tandis qu'elle faisait des petits pas de danse au son d'une mélodie qu'elle seule entendait. Lorsqu'il lui tendit, elle se pencha pour l'attraper mais c'est lui qui la pris au piège sur ses genoux. Alice éclata de rire et prit maladroitement le joint entre ses doigts, prenant plusieurs bouffées et le redonna à Mace. Elle tenta de s'échapper mais il ne semblait pas vouloir la laisser filer.

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Elle était sur mes genoux, et pris des taffes du joint que je lui avais passé. « Allez, repasse ! », disais-je en prenant le joint de ses mains et fumant des taffes dessus. Ca me piquait la gorge, mais j'adorais réellement cette sensation. Alice voulait partir, mais je l'en empêchais. Je la regardais alors dans les yeux, et je l'embrassais assez fougueusement.

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Il lui prit la cigarette magique des mains et elle n'apprécia guère, elle n'avait pas fini, mais de toute façon que pouvait-elle faire. Il lui offrait tout ce qu'elle voulait pour s'évader et ne lui donnait rien en retour, alors elle n'en fit pas un drame. Mais tandis qu'elle se tortillait pour se dégager, il se mit à l'embrasser, et elle resta surprise un premier temps, lui rendant son baiser tant bien que mal, mais bientôt son étreinte devint étouffante, elle manquait d'air et voulue partir. Elle posa les mains sur son torse et tenta de le repousser mais rien à faire, il ne voulait plus quitter ses lèvres.

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Je l'avais embrassé fougueusement, et je me demandais encore pourquoi avais-je fait cela. Elle était pas trop mon style, mais je la trouvais belle. Et avec la drogue que je venais d'ingurgiter, je la trouvais encore plus magnifique. Elle tenta de sortir de mon étreinte, et je la lâcha. « T'as des belles lèvres, tu sais... », disais-je, alors que je me remis à fumer le joint qui était en stand-by pendant que je l'embrassais.

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Il finit par la lâcher, et comme Alice se dégagea un peu rapidement disons, Mace la complimenta sur ses lèvres, qu'elle sentait à peine en ce moment à cause de la drogue. Elle les effleura du bout des doigts, comme pour se convaincre qu'elles étaient encore là, et lui fit un petit sourire, impossible de dire si elle appréciait le compliment après cette étreinte fougueuse. Mais au lieu de lui mentionner son inconfort face à la situation, elle resta là, près de lui, attendant qu'il lui passe son joint. Celui-ci était déjà bien entamé mais Alice en voulait encore, les deux sensations se mélangeant harmonieusement dans son organisme. Elle tombait dans une sorte de bulle, et passa délicatement ses doigts sur les tattoos de Mace sur son bras, toujours subjuguée par cette forme d'art, sans toutefois lui demander ce qu'ils représentaient, c'était une question futile lorsqu'on en portait autant.

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Je la regardais après l'avoir embrassé, elle était là et n'avait pas répondu à ce que je lui avais dit. J'étais un peu trop loin dans mon cerveau, la drogue faisant effet. Mais, je savais qu'il fallait pas trop que j'abuse de cette poudre blanche et j'allais me contenter des petites drogues. Elle commençait à toucher mon bras, là où il y avait le plus de tatouages sur mon corps. Je lui tendis alors le joint afin qu'elle le finisse, j'allais en refaire un plus tard. « T'es loin là non ? », disais-je, en rigolant après. Ah les joies de la drogue !

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