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C’était avec un brin d’amertume que la Lowell lui faisait ses réponses. Elle lui en voulait et cela ne passerait sans doute jamais vraiment. Il devait s’y faire. « Je le dis ! » rétorqua-t-il avec un sourire aux lèvres, même si la Française semblait désabusée par le temps qui passait. Elle lui confia ensuite qu’il n’allait pas du tout avec Jackie. L’inverse l’aurait étonné. « Deux connards ensemble,c’est pourtant parfait non ? » Il hausse les épaules, un brin provocant, après tout, il n’a pas de comptes à lui rendre et inversement. D’ailleurs, elle avoua que cela ne la regardait pas, et effectivement, c’était le cas. Il eut un sourire en coin. « Mais oui, c’est toi la femme mariée non ? D’ailleurs tu es venue avec ton mari ce soir ? » Parce qu’il n’y avait pas vraiment prêté attention, il savait de toute façon que cette histoire de mariage c’était du vent. Mais ça ne laisserait pas beaucoup de place à une nouvelle histoire pour la Française. Malheureusement. (Invité)
Je ne croyais plus en l’amour, j’y croyais vraiment de moins en moins, j’avais l’impression qu’une belle histoire ne m’arriverait plus jamais, même si c’était douloureux de penser cela. Je soupirais quand il me dit que deux connards ensembles c’était parfait, mais je n’avais jamais considérait Aidan comme un connard, je lui en voulais après notre histoire mais ce n’était pas une mauvaise personne : « Je ne crois pas t’avoir traité de connard… ». C’est vrai que ça n’était jamais arrivé. Bref. Il me remit mon mariage sur le dos alors qu’il savait très bien que c’était un mariage blanc : « Non, pas du tout, on a choisit un cavalier ou une cavalière différent mais on est…quand même à la même table ! ». C’est pas pour cela qu’on se surveillant, pas du tout, Mattia pouvait faire ce qu’il voulait.