(+ kenaël) you guys are driving me crazy

you guys are driving me crazy (+ kenaël)

OH MON DIEU! Ce qu'il pouvait m'énerver?! J'avais tellement envie de le frapper. Lui marcher sur les pieds et foutre mon talon dedans ne m'avait pas suffi. Ma main me démangeait tellement. Je ne sais pas pourquoi je ne l'avais pas giflé. Sans doute parce que nous étions sur la piste de danse, à la vue de tous? Ouais et bien justement, j'aurais dû l'humilier en public. Aaaaarg, il m'énerve, il m'énerve, IL M'ÉNERVE! J'aurais jamais dû venir, comme je l'avais prévu. Comme ça, j'aurais juste passé une bonne petite soirée dans mon appartement, devant un bon film, et non là en train de me crisper de rage. Vraiment, il y avait quelque chose chez Oscar qui me faisait totalement sortir de mes gongs. Mais genre, vraiment. J'avais fini par me libérer de son étreinte. Et là, j'étais sortie prendre l'air. Il fallait que je me calme. Allez, allez allez... Inspire, expire... Arg, pas moyen. J'devais juste gueuler un bon coup en fait. Urg...

Tu ne savais pas qui étais ce connard, tu ne connaissais même pas son prénom mais il avait réussi à te mettre dans un magnifique état théâtrale. Ouais, monsieur je me la pète avec mon nouveau costume était venue s’incruster dans la danse que tu menais avec TA cavalière et pas la sienne alors il fallait que ce gamin calme un peu ses hormones, il n’avait qu’à pas l’arracher d’entre tes bras, tu serais très aimable en son égard. Tu étais resté tel un gros con au milieu de la piste, le regardant avec de gros yeux, te demandant s’il était vraiment sérieux, tu avais même lancé un rire avant de dégager de la piste, non mais franchement, c’était juste trop déplacé ce qu’il avait fait. Tu avais vraiment envie de lui mettre une droite et une petite gauche en prime d’avoir agi si spontanément, mais pas devant tout le monde, après c’est toi qui va passer pour le petit sauvageon de service alors bon… il fallait en quelque sortes éviter de tomber dans une telle situation, tu étais un Mather certes, tu t’en bat des avis des autres, quand tu veux faire quelque chose, tu le fais sans penser aux conséquences mais… Il y avait Isaline d’un côté qui allait péter un plomb, tu n’étais peut-être pas la seule personne qui la connaissait le mieux mais tu la connaissais tout de même. Enfin bref, tu étais parti fumer une clope dehors avant de rentrer, en rentrant, tu vis ta chère cavalière sortir de la salle, furibonde. Tu fronçais les sourcils, la regardant s’éloigner, tu soupirais, regardant devant toi, cherchant l’autre petit con du regard, c’était surement lui qui l’avait mise dans un tel état, tu décidais de ressortir dehors, ouais, tout de même, tu n’allais pas la laisser dehors toute seule en pleine nuit. Tu la vis assez énervée dehors, tu ne comprenais pas sur le coup et décidais de t’en rapprocher, te raclant la voix avant de poser délicatement une main sur sa taille. « Ça ne va pas mon amour ? Il t’a marché sur les pieds l’autre enfoiré ? » Lui demandais-tu en lui offrant un magnifique sourire.

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you guys are driving me crazy (+ kenaël)

Tu avais bien remarqué que Kenaël n'était pas hyper content quand Oscar est intervenu dans la danse. Pas étonnant. Genre, j'avais même pas pu profiter un peu de mon cavalier et cet imbécile de mather vient me prendre la tête. À nouveau, j'avais essayé de lui soutirer les informations quant à cette nuit où j'étais complètement bourrée et où je m'étais réveillée dans son lit. Urg, rien que d'y penser, ça me donnait envie de frissonner de dégoût. Oh, je sais très bien qu'il ne s'est rien passé, mais je voulais savoir ce que je lui avais dit. Parce que depuis, il me laissait entendre que j'avais pu lui dévoiler quelques-uns de mes secrets et ça me tuait. Ce soir encore, j'avais essayé, tout en réduisant ses pieds en bouillies grâce à mes talons aiguilles. J'avais plutôt fini par détruire ses chaussures italiennes plutôt que ses pieds. Bref. Soudain, une raclement me fit sursauter. Je me tournais au même moment où Kenaël passait un bras autour de ma taille. « Ça ne va pas mon amour ? Il t’a marché sur les pieds l’autre enfoiré ? » À ses mots, je lui lançais un regard noir. Non mais déjà, de quel droit il me donnait ce petit surnom hein? J'veux dire, c'est pas parce que j'avais accepté d'être sa cavalière que ça voulait dire qu'il pouvait se permettre de telles familiarités! Et puis, ça ne se voyait pas à ma tête que je ne voulais plus parlé de l'autre enfoiré, comme il le décrivait si bien? « M'appelle pas comme ça! » Je mordais presque... Non, je n'étais certainement pas le genre de filles à prendre à la légère. « Et pour répondre à ta question, non. C'est plutôt moi qui ai détruit ses chaussures italiennes. Ça l'apprendra à me faire chier. » Et dangereuse qui plus est. Ouais, j'avais un sale caractère par moment mais rien à foutre.

Bon… Ca s’annonçait très bien, tu haussais les sourcils, surprise de l’entendre parler sur un tel ton, tu réfléchissais un peu de quel surnom parlait-elle… Ah oui ! Le « mon amour », bon d’accord, appeler les filles ainsi n’était pas une première alors il ne fallait pas réagir de la sorte, tu fis quelques pas en arrière, levant tes mains en l’air, il ne lui manquait plus que te fusiller tiens ! « J’ai rien dit c’est bon ! Calme-toi ! » Disais-tu, encore sous le choc, cependant, elle t’annonçait avec une profonde haine qu’elle avait bousillé les chaussures italiennes de l’autre mec… Tu grimaces en t’approchant cette fois-ci d’elle, donc en gros, c’était lui qui l’avait mis dans un tel état, il fallait que tu changes de sujet, tu grimaçais cependant baissant ton regard sur tes chaussures encore toutes neuves mais ça n’empêchait pas le fait que tu t’es fait tabassé. « Je ne pourrais te citer les fois quand on m’a marché dessus… On croirait que tout le monde a deux pieds gauches dans cette salle. » Disais-tu en soupirant avant de la regarder, un petit sourire en coin, comment la calmer ? Comment ? « Il est toujours comme ça l’autre chose ? Je n’aurais jamais imaginé que quelqu’un puisse te mettre dans un tel état. » Disais-tu simplement, tu ne savais vraiment pas quoi lui dire…

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« J’ai rien dit c’est bon ! Calme-toi ! » Okay d'accord, je n'aurais peut-être pas dû réagir aussi violemment. Mais voilà, j'étais salement énervée et puis, je détestais les surnoms dans ce genre. Ça me rappelait trop cet homme qui m'avait détruit jusqu'à la moelle. Je pouvais m'excuser mais j'en avais pas envie. Et puis, de toute façon, je ne vois pas pourquoi je le ferais, il n'avait qu'à pas me donner ce petit surnom, comme si on se connaissait depuis des années. « Je ne pourrais te citer les fois quand on m’a marché dessus… On croirait que tout le monde a deux pieds gauches dans cette salle. » Non mais... Attends deux secondes. Il croyait que je ne savais pas danser? Non mais il est sérieux là?! Qui suis-je?! Je suis une eliot, l'élite du monde! J'ai été élevée dans les bonnes étiquettes! Les soirées mondaines, j'y participais depuis mon plus jeune âge! Et surtout, je suis une danseuse! Je lui lançais alors un regard irrité. « Au cas où tu ne l'aurais pas compris, j'ai fait exprès de lui bousiller les chaussures. » Urg, j'avais l'impression de parler à un crétin sans cervelle. Désolé de paraître méchante mais je suis de très mauvaise humeur là. Et puis, tout a commencé à cause de son putain de retard! Ça ne se fait pas de laisser une demoiselle attendre, surtout à un bal! Et les bonnes manières, il les connait? « Il est toujours comme ça l’autre chose ? Je n’aurais jamais imaginé que quelqu’un puisse te mettre dans un tel état. » Là, je reniflais de dédain. Il est pire que ça. Je le détestais, c'était plus fort que moi. C'est physique. On n'a absolument rien en commun et puis, ses sourires moqueurs, son regard toujours condescendant. Et cette bouche... Mon dieu, en plus d'être incroyablement énervant, il était incroyablement sexy. Bordel. « Ya pas pire que lui. Il m'énerve, mais tellement! Juste par sa présence... Il... Urg, je le hais! »

Tu levais les yeux au ciel, oh mon dieu, doux jésus, il n’y avait pas pire qu’une fille énervée, bon d’accord, tu n’étais pas le meilleur mec à savoir gérer les femmes énervées mais espérons que tu allais y arriver en tout cas. « Je ne parlais pas de toi petite tête, j’ai même pas eu le privilège de profiter de celle qui dansait le mieux. » Tu lui lançais un magnifique sourire en la regardant, oui, tu essayais de lui rendre le sourire, tu faisais de ton mieux. Avant de te mordre la lèvre quand elle commençait à parler de lui, oui, il avait l’air de l’avoir mis à bout mais genre vraiment à bout. Tu l’écoutais, la laissant se plaindre et faire sortir sa colère. Tu regardais l’horizon en l’écoutant, c’est vrai qu’il avait l’air d’être un enfoiré… Enfin ça ne t’étonne pas plus que ça après ce qu’il a fait durant le bal. « Donc je suppose que ce n’est pas que ses chaussures que tu as bousillé. » Disais-tu en la regardant, un petit sourire en coin, oui, tu parlais bien de la tête du gars, elle lui a surement foutu les poings que tu avais voulu lui mettre en plein milieu de sa belle gueule.

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you guys are driving me crazy (+ kenaël)

« Je ne parlais pas de toi petite tête, j’ai même pas eu le privilège de profiter de celle qui dansait le mieux. » À ses paroles, mes traits s'adoucirent et un petit sourire s'afficha sur mes lèvres. C'est vrai qu'on n'a pas pu vraiment en profiter, mais j'allais y remédier à !a. « Promis, la prochaine danse, personne ne nous dérangera. » Rhys et Oscar m'avaient déjà tous les deux dérangés, et ils étaient les plus chiants - ou presque - du coup, je ne voyais pas qui d'autres pourrait encore venir me "voler" à Kenaël. Mais bref, je ne m'étais pas assez plainte quant au mather du coup, je continuais sur ma lancée. « Donc je suppose que ce n’est pas que ses chaussures que tu as bousillé. » Là, je pris une mine vexée. Mais c'est quoi tous ces gens qui me prenaient pour une fille violente? D'abord Camille et maintenant lui? « Hé, je ne suis pas si violente que ça! »

Victoire ! Elle avait esquissé un léger sourire te promettant que vous danseriez la prochaine fois, en même temps, elle n'avait pas le choix puisque tu comptais danser avec elle ce soir, c'était TA cavalière donc techniquement tu devais y avoir droit plus que les autres, tu souriais à ton tour avant de lui faire ce magnifique regard si irrésistible et si mignon du célèbre chat botté, un regard qui, rare sont ceux qui arrivent à y résister donc tu ne te gênais pas vraiment pour utiliser cette tactique parfois. Promis juré craché ? Demandais-tu innocemment d'une voix d'enfant, tu étais tellement mignon et adorable que même Hulk t'aurait déjà sauté au cou, mais... Quel dommage ! On parlais d'Isaline là, c'est presque quasi impossible qu'elle te saute au cou sauf si elle est totalement bourrée et qu'elle a l'alcool mauvais, ce qui t'étonne fait quand même. Tu paris même qu'elle ne te lancerait qu'un simple sourire, venant d'elle, c'est déjà très bien. Tu la regardais avant de laisser échapper un rire amusé par sa remarque, elle ? Violente ? Tu n'aurais jamais osé dire ça et de toute manière, ce mot là ne t'avait jamais traversé l'esprit quand tu étais en sa présence alors... Elle était loin mais vraiment très loin d'être quelqu'un de violent. Tu aurais bien voulu la prendre dans tes bras, là, maintenant, mais tu avais quand même peur qu'elle pète un câble et te repousse, ça t'aurait quand même resté en travers de la gorge. Je n'ai jamais dit ça et je ne l'aurais jamais cru capable de dire ça. Disais-tu en souriant, c'était vrai en même temps. Même que je n'aurais jamais imaginé que toi, petit être doux et tendre, aurait pu bousillé les chaussures de quelqu'un. Elle avait l'air assez calmée ainsi, bon allez, fallait bien essayer un jour ou l'autre. Tu la pris dans tes bras, tu esquissais un sourire et la serrait assez tendrement contre toi. Maintenant, tu vas me faire le plaisir de me faire le plus beau de tes sourires. Disais-tu assez bas, content qu'elle soit dans tes bras.

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and who are you again? (+ kenaël)

« Promis juré craché ? » Aaooooon, il était vraiment trop adorable avec sa petite bouille. Un franc sourire s'afficha sur mes lèvres tandis que j'acquiesçais vigoureusement. Il n'y a rien à dire, dès que ça n'allait pas, je pouvais toujours compter sur Kenaël pour me redonner le sourire. Et j'étais bien contente de le connaître, même s'il est un mather. Oh et puis, il n'est pas un mather comme les autres, ça expliquait pourquoi. Je veux dire, il n'a absolument rien de détestable et surtout, j'ai bien l'impression qu'il est différent des autres. J'imagine qu'il est dans cette confrérie simplement pour son goût des soirées. Néanmoins, quand il me parla des chaussures que j'avais sûrement détruites, je pris une mine vexée. Déjà que Camille m'avait limite traitée de violence - même si c'était pour rire - là, lui aussi il s'y mettait! Pas étonnant que je le prenne mal. Heureusement qu'il se rattrapa. « Je n'ai jamais dit ça et je ne l'aurais jamais cru capable de dire ça. » Je lui lançais un regard suspicieux. Il était sincère là? « Même que je n'aurais jamais imaginé que toi, petit être doux et tendre, aurait pu bousillé les chaussures de quelqu'un. » Là, je lâchais un petit soupire tandis qu'il vint me serrer dans ses bras. Je me figeais l'espace d'une seconde. Il n'y avait que Caleb qui pouvait me toucher sans que je ne réagisse violemment. Mais là, bizarrement, ça ne me faisait rien. Je veux dire, je m'y sentais presque bien. « Maintenant, tu vas me faire le plaisir de me faire le plus beau de tes sourires. » Finalement, je relevais mon visage et lui fit un sourire, comme il le voulait. « Content? »

Tu l’avais alors prise dans tes bras et elle y restait un bon moment sans vraiment te repousser ou avoir un comportement assez méchant à ton égard, tu souriais intérieurement avant de lui demander assez bas de te faire son plus beau sourire, chose qu’elle fit avant que tu ne la relâches, souriant à ton tour. « C’est parfait comme ça. » Finissais-tu par dire en regard son joli sourire, il faut avouer que la brunette était vraiment belle et la couleur de ses yeux bleus ressortait si bien avec cette robe noire si élégante qu’elle portait divinement. Tu finissais par faire ton gentleman et lui tendre le bras, d’un adorable sourire aux lèvres tu finissais par dire. « On rentre ? Je ne voudrais pas qu’on regarde trop ma cavalière. » Disais-tu en lui faisant un gentil petit clin d’œil. Tu attendais alors que la belle Eliott se décide pour passer son bras sous le tien, en parlant de bleu, tu t’étonnes toi-même d’être si gentil avec elle, sachant que ce n’était autre qu’une bleue et que tu étais tellement froid et méprisant envers ces petits êtres vivants. Tu es même quelqu’un de très chieur, râleur et fouteur de merde, alors pourquoi étais-tu si différent avec elle ? Bizarre… Enfin bref, tu n’allais quand même pas te mettre à penser à ça maintenant.

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