Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDielia ❥ No way to stop it, now you wish that you could - Page 2
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Dielia ❥ No way to stop it, now you wish that you could

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Ce que nous faisions était mal, mais au vu de mon état, je n’en avais aucune idée. Puis, franchement, qu’elle importance ? Si elle ne voulait pas de moi, elle n’avait qu’à me repousser. D’ordinaire, je ne me serais pas permis de faire, mais l’alcool nous faisait faire des choses sur lequel on avait aucun contrôle. Est-ce que je l’avais toujours désiré ? Cordélia était une très belle jeune femme et n’importe quel mec pouvait facilement tomber dans ses filets, mais est-ce que cela voulait-il dire, que j’avais toujours ressentie ça pour elle ? Aucune idée. Je l’aimais comme un frère aimait sa sœur, mais pour une raison que j’ignorais, sa présence ce soir, me rappelait une partie de moi, que j’avais laissé en Espagne. Alors que je caressais ses seins avec sa bouche, elle me faisait remonter lentement pour capturer mes lèvres, mêlant sa langue à la mienne. Mon bras toujours sous son dos, je la faisais remonter vers moi. Ses mains touchaient mes fesses, tandis que j’intensifiais notre étreinte. Ma tête continuait à tourner, me donnant la sensation de tanguer dans tous les sens. Il était préférable pour moi de garder les yeux fermés pour ne pas flancher. Une de mes mains, remontaient le long de sa cuisse, alors que je continuais de l’embrasser.
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Je sentais ses mains sur moi, je sentais ses gestes simples, doux, désireux et je ne savais plus distinguer quoi que ce soit tant j'étais entre le sommeil, l'alcool, la peur, l'envie de sexe surement. Je me demandais donc si je devais faire ça ou si je devais le repousser au risque que ça se passe mal entre nous ensuite. Je ne savais vraiment pas quoi faire , je ne savais pas comment faire, quoi penser, ce que je voulais non plus alors que faire justement ? Sa bouche sur mes seins, sa main qui remonte sur ma jambe alors qu'il remonte pour embrasser mes lèvres, ce désir intense d'une chaleur et d'une frénésie sexuelle sans précèdent. Je ne savais plus où je me trouvais mais le partage d'émotion était trop grand et je me rendais compte qu'en fait, j'allais trop mal. Mon ventre était tiraillé, j'avais mal parce que la peur me nouait et là, je ne sais pas. Je le poussais passant par dessus lui pour sortir du lit et le tirer pour qu'il se lève ; Diego ... lève toi s'il te plait ! Dis-je en panique totale ressentant tout en mille fois plus. Je n'avais rien contre nos baisers, nos élans de tendresse mais là, je sentais que ça serait alle trop loin, bien trop loin. Quand j'arrivais à le tirer en dehors du lit, je l'emmenais dans la salle de bain et lui passer de l'eau sur le visage, l'aspergeant presque avant d'éteindre et lui dire : Tu vas mieux là ? Est-ce que ça va Diego ?
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« Diego ... lève toi s'il te plait ! » Je ne faisais plus attention à ce que je faisais. J’agissais comme l’être primale que j’étais. Avec une force insoupçonnée, je fus projeté sur le côté, alors que ma cousine me tirait vers la salle de bain, m’aspergeant le visage d’eau froide. Bordel ! La lumière était trop forte et le contact de l’eau glacé picotait ma peau. « Tu vas mieux là ? Est-ce que ça va Diego ? » Heureusement, elle venait d’éteindre la lumière. Son intervention avait réussis à me réveiller de ma transe. Putain, qu’est-ce que j’avais fait ? Mon visage se peignait d’horreur, alors que j’évitais son regard. « Oué » C’est tout ce que je trouvais à dire. Je me sentais tellement con ! J’avais faillis inciter ma cousine à coucher avec moi, mais qu’est-ce qui ne tournait pas rond chez moi ?! « J’devrais descendre » bafouillais-je d’une voix pâteuse. Oué, c’était sans doute le mieux à faire. Je n’osais même pas la regarder dans les yeux, de peur d’y lire du dégoût. D’ailleurs, c’est ce que je méritais. Elle n’avait rien demandé et moi, je l’avais à moitié agressé dans son lit, alors qu’elle dormait. C’est ça ? J’sais plus.
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Je l'avais éclaboussé comme un vulgaire clébard, totalement choqué de ce qui se passait, enfin de ce qui venait de se passer ; c'était fou. Je ne savais quoi penser de cela et le pire c'est que dans le sommeil encore présent, j'avais imaginé le désirer aussi alors que ça ne se faisait pas du tout. A ma question, il ne put répondre, je le sentais honteux et fébrile si bien que j'eus que le droit à un pitoyable ouais alors que je le regardais avec de gros yeux accusateurs qui devinrent plus doux en voyant sa détresse. Là, voyant qu'il reprenait bien ses esprits, je tentais un petit sourire mais ça restait compliqué. Il m'annonça qu'il ferait mieux de descendre et folle, surement, j'osais lui dire : vu les émotions de ce soir, je crois que tu peux sans doute dormir avec moi... tu n'es plus sous l'emprise de l'alcool et je ne te haie pas pour ça ... j'ai participé au début ... au cas où l'alcool ne t'aurai pas fait remarquer ça ! avais-je dit en rougissant tant j'étais honteuse de mes actes. Je le laissais là, voir ce qu'il faisait tandis que je me couchais sous la couette toute chaud des ébats débutés précédemment si bien que j'en laissais une jambe par dessus.
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Sur le moment, je me sentais tellement con. Qu’est-ce qui m’avait pris d’agir de cette façon avec ma cousine ? Le pire, c’est que j’agissais comme avec toutes les filles qui croisaient mon lit. Je voulais redescendre en bas, tellement j’avais honte. vu les émotions de ce soir, je crois que tu peux sans doute dormir avec moi... tu n'es plus sous l'emprise de l'alcool et je ne te haie pas pour ça ... j'ai participé au début ... au cas où l'alcool ne t'aurai pas fait remarquer ça ! » Avais-je bien entendu ? Elle aussi, avait ressentie ce besoin pressant ? Je cachais ma perplexité en lui tournant le dos. « Juste dormir » Pourquoi est-ce que je restais ? Certainement, parce que je me sentais coupable de ce que je venais de lui faire subir et aussi, car je ne me voyais pas descendre l’escalier dans mon état. Alors, qu’elle se rallongeait dans le lit, je ne tardais pas à la rejoindre. Fixant le plafond de mes grands yeux noirs, je restais immobile pendant plusieurs minutes. « Désolé » Seul Cordélia avait le droit à mes excuses.
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Il ne me répond pas mais je n'attend rien. Je fonce vers le lit sans aucun soucis. Je me pose, allongée comme une masse encore choquée de l'instant vécu avec une bizarrerie peu connue. Il me tournait le dos, parfaitement ... me répondant simplement que ce serait juste pour dormir. Il croit quoi lui ? Je suis choquée de ces mots et n'écoute qu'à moitié alors qu'il me rejoins. Là, un silence s'installe, ça flotte simplement dans l'air pourri je crois par une ambiance maussade mais là, un désolé sort de sa bouche et pour seule réponse, je me tourne et me colle doucement contre lui, affectueusement. Ce n'est rien ... Ne t'en fais plus ! Dis-je en déposant un baiser sur sa joue doucement avant de me rallonger au mieux.
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Je ne comprenais pas ce qu’il m’avait pris d’agir de la sorte avec elle. Je ne voulais pas qu’elle me voit différemment à cause de cet incident. J’étais son cousin et ça s’arrêtait là. Néanmoins, je continuais de me sentir coupable et cela même en m’excusant. J’étais toujours alcoolisé et même si elle m’avait réveillé, je n’en restais pas moins, maussade. Doucement, elle venait se coller à moi, glissant quelques mots à mon oreille. « Ce n'est rien ... Ne t'en fais plus ! » J’étais soulagé, mais ça n’enlevait rien à ma culpabilité. Cordélia déposait un baiser sur ma joue, me laissant un léger frisson au passage. Bordel, elle se risquait à avoir un contact avec moi. « Tu m’as vraiment manqué durant toutes ses années.. » disais-je en fermant les yeux.  
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Collée contre lui, j'étais aux anges de penser aux retrouvailles avec mon cousin et j'occultais complètement le moment où il avait tenté quelques choses avec moi. Je le sentais géné : ce que je comprenais totalement a vrai dire mais le truc c'est que je voulais pas de distance entre nous pour des petites conneries, ce n'est rien et la tendresse n'est rien alors un baiser sur sa joue ne tuerait personne, ni au coin de ses lèvres et il avait le droit de faire des erreurs pas la peine de me fuir ensuite. Il m'annonça que je lui avais manqué et c'était tellement rare avec lui que je ne pouvais que répondre : je suis bien heureuse de le savoir ... Amor ! Je le prenais plus encore dans mes bras collant sa tete contre ma poitrine comme pour le consoler de ses maux puis je lui dis : plus personne ne nous séparera à présent c'est promis ! Avais-je dit un sourire sur les lèvres me trouvant incapable de me rendormir.
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« je suis bien heureuse de le savoir ... Amor ! » Elle m’attirait contre sa poitrine dans un geste doux. Après ce qu’il venait de se passer, c’était une chance qu’elle soit aussi tendre avec moi. « plus personne ne nous séparera à présent c'est promis ! » Elle oubliait que c’était de ma faute s’il y avait eu autant de distance. « J’essayerais de ne plus partir » Chose difficile. Je me connaissais par cœur et je savais qu’il m’était difficile de tenir mes promesses. Si j’avais quitté l’Espagne, c’était pour un pensionnat de redressement. Encore aujourd’hui, je n’avais jamais parlé de ce qui c’était passé là-bas et surement, que je n’en parlerais jamais.
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Je restais tendre avec lui ne voulant l'abandonner. Je ne me choquais plus de ses agissements fous car au final, j'étais consciente de ce trop plein d'alcool, de ses soucis avec ça. Je me retrouvais bien avec lui contre lui me souvenant de notre enfance et je sentais un vide quand je parlais de ne plus se séparer. Il était conscient qu'il était en partie responsable mais j'étais pas totalement d’accord : c'était pour beaucoup les parents aussi. Je ne sais plus en fait. Je caressais ses cheveux si soyeux en disant : Je sais que tu es comme ça ... ne me promet rien... ne promet pas ce que tu n'es pas sur de faire ! Je sais que je ne suis pas toute ta vie Diego ... dis-je émue.
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