Olyvie N. Belinski ► Kate Harrison

Je suis née dans une famille richissime sous le doux nom d'Olyvie Nathalia à Kiev de nationalité Brésilienne de part ma mère, et celle Ukrainien de part mon père. Pendant les un an qui suivie, un autre petit être sous le doux nom d'Alaskya arriva, le créant alors une petite sœur. Mon enfance avec ma sœur fut douce bien que stricte par le caractère de mon père. Un père qui n'acceptai jamais un travers de notre part, que ce soit au niveau de notre comportement ou bien au niveau de notre personnalité. Selon lui, si il avait réussis à acquérir une fortune aussi immense c'était bien parce qu'il l'avait mérité et qu'il avait tout sacrifié pour son travail, chose que nous devions faire à présent en nous comportant convenablement. J'ai peu à peu pris ce comportement hautain et intransigeant de mon père, tout en restant aimante envers ma sœur, après tout, je passais toutes mes journées avec elle, même à la petite école. Nous jouons tranquillement ensemble, mais tout commença à se dégrader à partir de notre adolescence. La High School, c'était parfaitement bien déroulé, nous montrant sœur bien que différente. J'étais moins naïve et plus rentre dedans dans la vie de tout les jours. Je ne me laissais pas marcher sur les pieds et j'arrivais à me faire respecter, ce qui faisait d'une certaine manière a fierté de mon père.

Le jour de mon seizième anniversaire, après avoir mangé un gâteau préparé par un traiteur, et reçu un nombre de cadeau tout aussi magnifique les uns que les autres, nous avions finis devant la télé tout les quatre en mangeant une glace. Chose que notre père avait toléré juste parce que la journée était spéciale et qu'on le faisait à chaque anniversaire que ce soit de ma sœur ou du mien. Bien que nous ayons grandit, j'adorai garder cette habitude puisque c'était la seul que notre père nous autorisait. Mais ce soir là, ça ne c'était pas passé comme tout les autres. Alaskya venait d'avouer qu'elle était bisexuelle et qu'elle avait besoin de le dire pour se décharger d'un poids. Je me souviens de la colère de papa, qui l'avait mis en deux trois mouvement dehors parce qu'il ne supportait pas ce qu'elle était, ce qui m'avait brisé le cœur. J'en avais rien à faire qu'elle soit de cet orientation sexuelle, tout ce qui m'importait, c'était que c'était ma sœur et que j'en avais besoin. Ma mère quant à elle, n'avait rien fait, soumise comme elle était, elle s'était rassit sur le canapé tandis que je m'étais enfermée dans ma chambre. A partir de ce moment là, tout changea aussi bien dans mon comportement que sur mon apparence. En ce qui concernait l'école, j'étais devenue hargneuse, acre et bitch sur les bornes. La haine que j'éprouvais envers mon père se changeait en une haine générale et tout le monde s'en prenait plein la tête.  Je n'avais plus aucune conversation avec mes parents à cause de ce qu'il avait fait et je ne cessais de penser à la vie de ma sœur. S'en sortait-elle ? Bien que je sois infecte, au fond de moi j'étais inquiète et j'avais peur. J'étais donc dans ma période rebelle, chose pour laquelle j'avais aussi perdu ma virginité parce que je devais m'en débarrasser et non parce que j'avais trouvé mon premier amour, d'ailleurs même l'amour, ce mot en lui même, je ne connaissais pas tout comme celui de petit ami. Je n'avais d'autant plus pas besoin de m'encombrer de l'amour, je donnais ma vie pour ce que je savais faire de mieux ; dessiner. Etant une fan de mode, j'avais finis par assemblé les deux et à en vouloir faire mon métier, chose que mon père n'avait pas pu me refuser étant donné que je ne leur adressais plus la parole à part pour leur demander ce que j'avais besoin.

Arrivé à l'université, j'avais commencé à chercher ma soeur puisque j'étais à présent plus libre de mes mouvements et que je n'habitais plus avec mes parents. J'étudiais toujours et m'inspirai des meilleurs artistes, m'aidant à réussir et à me perfectionner. Du moins, tout se passait bien jusqu'à ce que j'apprenne que mes parents étaient décédés dans un soit disant accident de voiture. Bien que mon affection pour eux s'était envolé au fur et à mesure, les savoir mort ne m'aidais pas à être mieux dans ma peau, non je me sentais encore plus seul et d'autant plus en danger si mes parents n'était pas mort de manière accidentel. A mes dix huit ans, je me retrouvais avec une fortune colossale sur les épaules, chose dont je me saurai bien passé. Je gardais tout de même les pieds sur terre, vendait la maison familiale quelques années plus tard et je mis les voiles aux Etats-Unis en vue d'une piste sur ma sœur. Un changement de vie radicale, qui n'était pas mauvaise à mes yeux. J'allais rencontré de nouvelles personnes et aussi, j'allais certainement me construire une réputation en Amérique. Arrivé en Septembre 2013, je retrouvais donc ma sœur dans une galère monumentale. Coincé dans un réseau de prostitution, j'étais complètement abasourdie par cette nouvelle qui me semblait terrorisante. Elle devait être souillé par d'ingrat personnage et je ne supportais plus de m'imaginer ce genre d'image. En seulement quelques  mois, je tira ma sœur de cette saloperie de trafic en démantelant le système grâce au réseau de mon père. Mine de rien, ça marchait bien d'avoir un père avec des relations. Dès le début de cette année, je nous inscrivais à Harvard et me promettait de ne plus jamais la perdre, et de la protéger pour le restant de ma vie. J'avais un but, une famille à présent et je ne voulais plus jamais me sentir seul, chose que j'avais ressentis depuis cinq ans en me battant seul contre la vie, même si j'étais blindée. Rapidement, je me trouvais un boulot en tant que vendeuse dans un magasin en espérant que cela m'aide d'autant plus à suivre les tendances. Etant à présent aveugle par une raison que je ne savais pas, je devais prendre soin de ma sœur, et mit de l'argent pour qu'elle retrouve enfin ses yeux. Après tout, rien n'est plus important que la famille.