dwight & holly + i'm going to become your biggest fan.

Je venais enfin de finir mon service. Il était dix huit heures et je n’avais qu’une seule envie : rentrer chez moi pour m’affaler dans mon canapé et regarder un bon film. J’avais passé une journée folle : je m’étais levé tôt pour aller en cours, j’étais passée à la bibliothèque pour réviser un peu, parce que les examens approchaient à grand pas et j’étais venue directement travailler à size heures dans ce café où je passais près de vingt heures par semaines pour gagner un peu d’argent. Des études à Harvard, ça n’est pas donné ! Et avoir un appartement non plus. Histoire de ne pas tomber tout de suite de sommeil en rentrant chez moi, je me faisais un café que j’allais emporter chez moi. Me dépêchant de sortir, je ne fis pas attention devant moi et je bousculais un client, lui renversant tout mon café dessus. « Oh mon Dieu je suis désolée ! » , lançais-je au jeune homme en regardant la tache. « Vraiment… j’suis désolée.. » , répétais-je en me tournant pour prendre une serviette histoire de tapoter la tache. Renverser du café sur un client, c’pas vraiment la classe.

« Oui, mère ne vous inquiétez pas ! Je ne fais rien de grave et je n’ai guère de tournage de film actuellement donc vous ne verrez guère mon visage en première page d’un de ces fichus magazines de la presse à scandale. Mes études sont bien plus importantes que mes films ! Je le sais bien mère ! Pourriez-vous, je vous prie me lâcher un peu de lest ? Je n’ai guère pu profiter de cette deuxième chance que m’offrait la vie donc… » disais-je sans crier au téléphone alors que ma très chère mère, la superbe descendante de Thomas Jefferson, était en train de m’asticoter sur le fait que je sois un jeune acteur. Vous savez bien que la vie d’une star de cinéma n’était guère de tout repos et j’en avais payé les frais de la presse à scandale lorsque je suis revenu sur le devant de la scène. Personne n’avait réellement cru le fait que je me sois blessé durant l’attentat survenu à Harvard. D’ailleurs, personne ne savait encore à cette époque que je faisais partie des étudiants de la plus prestigieuse université de la planète ! Mais heureusement qu’aujourd’hui, les paparazzis ne venaient me faire chier jusqu’aux portes de l’Université… Heureusement d’ailleurs, sinon j’aurais pété un câble depuis très longtemps ! Enfin voilà, je disais maintenant à mon auguste mère que je devais y aller et quand bien même, elle était très en colère contre ma personne, elle finissait par abdiquer et elle m’avait laissé en raccrochant sans dire un seul au revoir… Légèrement remonté, je voulais entrer dans le Luna Caffee parce que j’avais besoin d’un petit remontant pour que je puisse bosser sur mes cours tout en buvant un bon café mais au moment, je posai mon pied sur le seuil que je me pris du café sur mes vêtements. « WTF ?! » m’exclamai-je alors que la jeune femme qui venait de me renverser du café dessus était en train de s’excuser. Elle vint essuyer la tâche mais je tendis la main pour lui intimer d’arrêter avant de répondre d’une voix courtoise : « Non, ne t’en fais pas. Ça arrive à tout le monde même aux jolies serveuses ! ». Je plaisantai bien entendu même si la jeune femme était bel et bien très jolie mais je n’étais pas du tout d’humeur à draguer, cette super conversation avec ma mère m’avait légèrement déprimé. « Je crois que nous ne sommes pas partis sur de bonnes bases… Le café ça fait bizarre comme moyen d’aborder les gens…. Mouahaha ! Qu’importe, je m’appelle Dwight Hoover et toi ? »

J’étais maladroite, ça n’était pas nouveau. Sauf qu’être maladroite et être serveuse dans un café, ça n’est pas trop compatible. Encore, là j’avais simplement été trop vite, ayant envie d’être rapidement chez moi. Et bien entendu, il fallait que je fasse des dégâts sur mon passage. Le boulet quoi. Et je ne pouvais pas m’empêcher de m’excuser encore et encore sans faire même attention au visage du jeune homme sur qui je venais de renverser mon café. « Non, ne t’en fais pas. Ça arrive à tout le monde même aux jolies serveuses ! » Je souris, rassurée d’entendre qu’il n’était pas trop fâchée et je relevais le regard vers lui. Son visage me semblait familier, comme si je l’avais déjà vu quelque part mais je n’arrivais pas à me souvenir où. Pourtant, je ne le connaissais pas mais il avait ce petit truc qui faisait que j’avais l’impression de le connaître et c’était pas mal frustrant. Tellement frustrant que je restais silencieuse en le regardant alors qu’il annonça, « Je crois que nous ne sommes pas partis sur de bonnes bases… Le café ça fait bizarre comme moyen d’aborder les gens…. Mouahaha ! Qu’importe, je m’appelle Dwight Hoover et toi ? » Je secouais un peu la tête pour sortir de mes pensées et je lui souris, « J’m’appelle Holly Connor. Enfin, non. Holly Silver. Enfin bref on s’en fou, j’m’appelle Holly » Je regardais sa tâche et je secouais la tête, « Vraiment j’m’excuse, j’étais juste pressée de rentrer chez moi.. je peux te payer un café pour me faire pardonner ? », demandais-je en sortant mon porte feuilles de mon sac à main. Alors que je le refermais je demandais, « Hoover comme Herbert Hoover ? » Je demandais ça pour l’orthographe, ne pensant pas que ça avait réellement un lien. Je ris un peu, « C’est la classe d’avoir le même nom que le 31ème président des Etats-Unis ! »

Alors que je venais d’avoir une petite conversation légèrement animée avec ma très chère mère, je voulais entrer dans le Luna Caffee afin de me prendre un de leurs cafés dont ils avaient le secret, je n’avais à peine posé mon pied sur le seuil du café que je me suis pris de ce liquide aux couleurs noires en plein sur mes vêtements. J’étais choqué mais je me suis vite ressaisis lorsque j’avais vu que la personne qui venait de me heurter était très jolie et semblait très pressée. Je lui avais donc dit que ce n’était pas grave du tout ce qu’elle avait fait et que c’était normal, puisque cela arrivait à tout le monde. Quelques secondes plus tard, j’enchaînais sur le fait que nous étions partis du mauvais pied donc, je me suis présenté. Elle me fit un joli sourire qui me charma immédiatement mais je fis de mon mieux pour ne pas penser à ça. Elle se présenta aussi et en entendant le nom de Silver, j’haussai un sourcil étonné parce que le nom de Silver, je le connaissais bien vu qu’Avery Silver était mon Capitaine dans l’Equipe de Basket d’Harvard et c’était aussi un vieil ami que j’avais retrouvé à Harvard ! Je me demandais donc si la jeune femme avait un quelconque lien avec Avery. Pendant que j’étais perdu dans mes pensées, elle me disait qu’elle était bel et bien pressée puisqu’elle rentrait chez elle et pour se faire pardonner, elle pouvait me payer un café. Elle venait de sortir son porte feuilles de son sac et alors qu’elle le refermait, elle me demanda si mon nom de famille était comme celui d’Herbert Hoover… Je souris d’un air amusé en entendant son petit rire alors qu’elle me disait que ça devait être classe d’avoir le même nom que le 31 ème président des USA… Je la regardai dans les yeux, l’air amusé avant de lui répondre d’une voix toute aussi amusée : « Oui mon nom est exactement le même qu’Herbert Hoover et il se trouve que… C’est mon arrière-arrière-grand-père ! Je suis le descendant du 31ème Président de notre très chère Contrée. Et d’ailleurs, si tu veux te faire pardonner, je veux bien que tu partages un café avec moi mais par contre, c’est moi qui offre. Qu’en dis-tu ? »

Il avait du me prendre pour une folle de ne pas connaître mon nom de famille. En fait, maintenant quand je me présentais à quelqu’un, je ne savais pas trop quoi dire. Officiellement, je m’appelais Silver mais être mariée était quelque chose de tellement… ridicule à notre âge que j’avais encore l’habitude de donner mon nom de jeune fille. Rien qu’en disant ça j’avais l’impression d’avoir trente ans ! En tout cas, je voulais me faire pardonner pour cet accident, lui proposant de payer un café au jeune homme. Comme je travaillais ici, je pouvais l’avoir pour moins cher alors c’était une façon comme une autre de me faire pardonner. Et puis, son nom de famille était assez curieux. Ma meilleure amie s’appelait Kennedy et maintenant je rencontrais un Hoover. Enfin, c’est pas parce qu’on a le même nom de famille qu’on est de la même famille, c’est bien connu. « Oui mon nom est exactement le même qu’Herbert Hoover et il se trouve que… C’est mon arrière-arrière-grand-père ! Je suis le descendant du 31ème Président de notre très chère Contrée. Et d’ailleurs, si tu veux te faire pardonner, je veux bien que tu partages un café avec moi mais par contre, c’est moi qui offre. Qu’en dis-tu ? » Je le regardais avec des gros yeux, laissant tomber mon portefeuilles à terre sous la surprise. Il était.. de la même famille qu’un des présidents des Etats-Unis ? Oh mon Dieu. Je crois que j’étais tiraillée entre l’idée de crier et tomber dans les pommes. « Tu.. tu… t’es… », bafouillais-je. J’étais passionnée d’histoire, je vivais pour ça. Je lisais histoire, je regardais histoire. Je saoulais mes proches avec ça. Je secouais légèrement la tête pour me remettre de tout ça et je lui souris, « Je… oui bien sur… » J’avais oublié sa question, mais je disais oui, oui OUI. J’allais partager un café avec l’arrière arrière petit fils d’Herbert Hoover. C’était le plus beau jour de ma vie.

Une rencontre bien étrange me disais-je alors que je dévisageais la jeune femme qui se prénommait Holly. Et dire qu’elle venait malencontreusement de me verser du café sur ma tenue qui valait une petite fortune tout de même vu qu’elle venait directement d’un grand couturier ! Peu importe, je n’en voulais pas à la jeune femme, au contraire je m’étais présenté. J’avais bien aimé la tête qu’elle avait fait lorsque je lui avais dit que j’avais le même patronyme que le 31ème président des Etats-Unis… Elle me demandait clairement si c’était réellement comme Herbert Hoover, alors je lui avais répondu que oui et que d’ailleurs, il se trouvait que j’étais son arrière-arrière petit fils. La réaction de la jeune femme ne s’était faite attendre, en effet elle me regardait avec un air si étonné qu’elle en venait même à faire tomber son porte feuilles par terre. Je me suis baissé afin de ramasser le porte feuilles tandis qu’elle s’était mise à balbutier… On aurait dit qu’elle venait de voir le Président en personne, or je n’étais qu’un des trois arrière-arrière-petits-enfants d’Herbert Hoover… Je souris en la voyant secouer la tête. Elle me sourit également tout en répondant par l’affirmative à ma précédente demande… « Eh bien, allons-y dans ce cas ! Et tiens, je crois que ceci t’appartient ! » répondis-je tout en souriant alors que j’étais en train de lui donner son porte feuilles. Une fois cela fait, nous rentrâmes dans la Luna Caffee et nous installâmes à une table qui se trouvait juste à proximité de nous. « Que veux-tu boire, Holly ? » demandai-je avec toujours un grand sourire aux lèvres… J’étais fasciné par le fait qu’elle était autant subjuguée parce que j’étais le descendant d’un des Présidents des Etats-Unis… Et encore, je venais seulement de lui dire que j’étais l’arrière-arrière-petit-fils d’Herbert Hoover ; attendez que je lui annonce au fil de la conversation que je suis également l’un des derniers descendants de Thomas Jefferson, l’un des pères fondateurs et troisième président des Etats-Unis !

J’étais une fille dévouée, et passionnée. Je ne me rappelais même pas comment ma passion avait commencée et pourquoi. D’aussi loin que je me souvenais, j’avais toujours été passionnée par ça : comment notre pays était devenu ce qu’il était devenu. Le pourquoi du comment. Tout avait une histoire, chaque recoin de rue regorgeait d’histoires à raconter. Tout avait une raison et cette raison, c’était l’histoire qui nous l’apprenait. Forcément, j’avais relié le nom de famille du jeune homme au 31ème président des Etats-Unis sans vraiment penser qu’il était réellement de la même famille. Et ma surprise fut tellement forte que j’en avais laissé tomber mon porte feuilles qu’il s’empressa de ramasser d’ailleurs. Il devait me prendre pour une folle et il allait finir par avoir peur de moi. Enfin, pas tant que ça puisqu’il m’avait proposé de me payer un café et de discuter un peu avec lui. « Eh bien, allons-y dans ce cas ! Et tiens, je crois que ceci t’appartient ! » Je regardais le porte feuilles et je ris un peu, « Oui.. excuses moi.. enfin, merci.. » Je me sentais tellement ridicule nom de Dieu. Allez Holly, fait pas la conne et ne lui fait pas peur ! « Que veux-tu boire, Holly ? » Je regardais la carte (et je ne savais même pas pourquoi parce que je la connaissais par cœur, je travaillais ici !) et je répondais, « Je vais prendre un café au lait. Merci beaucoup.. », répondais-je en lui souriant. Je le laissais passer sa propre commande et je m’accoudais au comptoir en regardant Dwight, « Je suis désolée, tu dois me prendre pour une folle certainement c’est.. juste que je fais des études d’histoire et.. c’est vraiment une passion alors tomber sur.. un descendant d’Herbert Hoover c’est… woow.. »

J’étais véritablement en train de faire une formidable rencontre, bien qu’étrange, en effet jamais auparavant une personne n’était montrée aussi enthousiasme en apprenant mon patronyme. Bien entendu j’étais totalement habitué du fait que les gens me regardaient avec une certaine admiration à cause du fait que j’étais l’arrière-arrière petit-fils du 3ème président des Etats-Unis et que j’étais l’un des derniers descendants de Thomas Jefferson. D’ailleurs, les gens me connaissaient mieux ainsi que par rapport à mon boulot d’acteur, bien que je sois déjà un jeune acteur reconnu. Qu’importe après m’être présenté à Holly – qui venait tout de même de m’asperger de café sur mes vêtements flambant neuf – je lui avais proposée de prendre un café en ma compagnie et entre temps, je lui avais ramassée son porte-feuille qu’elle avait malencontreusement fait tomber par terre. Bref après qu’on se soit assis au niveau du comptoir, je lui avais demandée ce qu’elle souhaitait boire. « De rien, Holly. C’est un plaisir ! » répondit-je en souriant d’un air radieux avant de me tourner vers le barman et lui commander d’une voix cordiale : « Un café au lait et un café bien noir s’il vous plaît ! ». Pendant que l’homme s’affairait, je me tournai de nouveau vers mon interlocutrice qui parlait de nouveau. Une passionnée d’histoire ? C’était très intéressant, me disais-je ! Je lui rendais son sourire avant de répondre d’une voix amusée : « J’ai l’impression d’être Herbert lui-même ! Et non ne t’inquiètes pas, je ne te prends pas du tout comme une folle. Ça se voit que tu es une grande passionnée et en tant que descendant d’une lignée présidentielle, je pense être en mesure de t’aider. Donc si tu as des questions sur telle ou telle chose concernant mon aïeul, n’hésites surtout pas. Et d’ailleurs, je voulais ajouter que je peux également t’en apprendre un peu plus sur Thomas Jefferson… »

J’avais un peu du mal à garder mon calme et pourtant, croyez-moi, je faisais tout ce qu’il y avait en mon pouvoir pour rester la plus zen possible. C’était comme si je rencontrais une star, bien que le jeune homme en face de moi ne me disait pas grand chose ou du moins, son visage n’avait jamais été relié dans mon esprit à la famille Hoover. Si elle m’était légèrement familière c’était pour une autre raison et je n’arrivais pas à me souvenir laquelle. Ce n’était pas vraiment ce qui me préoccupait le plus à ce moment précis : il venait de m’offrir un café et j’en étais plus que ravie. « De rien, Holly. C’est un plaisir ! » Je lui souris et je le regardais passer commande. Je restais silencieuse, sachant que si je commencerai à parler, rien ne pourrait m’arrêter et j’allais certainement passer pour une folle furieuse. Je n’ai cependant pas pu m’empêcher de lui expliquer que j’étais étudiante en histoire, essayant désespérément de me justifier pour parraître la moins cinglée possible. « J’ai l’impression d’être Herbert lui-même ! Et non ne t’inquiètes pas, je ne te prends pas du tout comme une folle. Ça se voit que tu es une grande passionnée et en tant que descendant d’une lignée présidentielle, je pense être en mesure de t’aider. Donc si tu as des questions sur telle ou telle chose concernant mon aïeul, n’hésites surtout pas. Et d’ailleurs, je voulais ajouter que je peux également t’en apprendre un peu plus sur Thomas Jefferson… » Je le regardais, légèrement intriguée alors que je m’accoudais au comptoir derrière lequel le serveur continuait la préparation de nos boissons. « Thomas Jefferson ? Comment ça ? », finissais-je par demander, définitivement intriguée par sa révélation. « Tu as des photos chez toi ? Des.. objets, des choses qui pourraient témoigner de ce qu’il a fait quand il était président ? En fait c’est surtout ça qui m’intéresse parce qu’il y a déjà eu tellement de reportages, d’émissions à son propos.. »

Je devais avouer que je n’avais jamais fait de rencontres de la sorte mais cela me faisait plaisir de constater que même si Herbert avait perdu la vie depuis de longues années, les personnes se souvenaient encore de lui et que son histoire intéressait encore de jeunes personnes comme Holly. Bref oui voulant en apprendre un peu plus sur elle, je l’avais donc invité à boire un café en ma compagnie – cela rattraperait le mauvais début où elle lui avait renversé du café dans la figure, rien qu’en y pensant, il s’était mis à sourire légèrement – et après que j’ai passé ma propre commande, je lui avais dit que je ne la prenais pas du tout comme une folle ni rien et par la suite, je lui avais assurée que j’allais l’aider. Et que si jamais elle souhaitait des informations sur mon ancêtre, il ne fallait surtout pas qu’elle hésite à m’en parler et finalement, je lui disais que je pourrais par la même occasion lui parler de Thomas Jefferson. Cette fois elle était encore plus intriguée que jamais ! Elle me demandait si j’avais des choses ayant une relation avec ce qu’Herbert Hoover avait accompli lorsqu’il était à la Présidence des Etats-Unis d’Amérique. « Oui bien sûr, il existe toute une pièce où ma famille expose ce qui ait un lien avec la Présidence des Etats-Unis donc si tu veux, je pourrais t’en apporter la prochaine fois que je retournerais à Washington voir mes parents ». Les cafés étaient finalement prêts et le serveur nous les tendait désormais tandis que je sortais un billet de vingt dollars que je donnais au serveur. Je lui intimais d’un simple hochement de tête que le reste était un pourboire. Bref en me tournant de nouveau vers Holly, je répondis finalement à ce qu’elle m’avait demandé sur Thomas Jefferson : « Je ne suis pas non seulement un descendant d’Herbert Hoover, je suis également un descendant de Thomas Jefferson… Oui l’un des Pères fondateurs et le troisième Président des Etats-Unis. C’est une descendance directe donc je possède également de tas de choses à propos de lui, des écrits et j’en passe qui témoignent de sa vie, de son combat et tout pour la naissance de notre grande contrée ! »