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(flashback) Kaya&Leonor✗ Cousines, non c'est pas possible ?

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J'étais arrivée il y a peu de temps avec Idylle en première année et chaque jour, je découvrirai le moindre recoin de ce campus gigantesque où je me perdais un peu. Harvard, mon rêve d'y étudier depuis le lycée ou plutôt un rêve qu'on avait avec Nathan et Idylle et qu'on venait de réaliser bien que je n'avais pas encore vu mon meilleur ami et cela m'inquiétait un peu et s'il n'avait pas été accepté ? Mais j'étais toute émerveillée face à cette verdure car j'étais dans la cour du campus entre deux cours et je décida de me poser sur un banc pour lire un peu sans me douter une seule seconde que j'allais y retrouver une cousine paternelle ici.


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Il y a deux ans, je me baladais sur le campus, je marchais paisiblement, et j’avais mes écouteurs dans mes oreilles. Un chant amérindien comme ami, je réalisais qu’il fallait que je trouve de quoi m’occuper en cette belle journée. Je prenais le temps de me dire que mes parents m’avaient vue pendant un long moment. Ils étaient repartis la veille pour la réserve, et je réalisais qu’il était bien pour moi de trouver un petit temps au calme. Je n’avais pas encore fini mes études, j’avançais bien et je négociais pour avoir une traductrice pour moi en attendant que le logiciel pour écrire vocalement soit-il. Les gens qui devaient le créaient tardé à le faire, et je me baladais sur le campus, et je marchais dans le parc.

J’appréciais alors ce petit moment pour moi, je trouvais un banc de libre en face d’un autre déjà occupé. Sortant mon livre sur le peuple amérindien que je désirais lire, je gardais mes écouteurs dans mes oreilles. Je ne disais rien de plus, je continuais de lire le tout. Puis, mon téléphone sonnait, une amie m’avait envoyé un message comme quoi elle venait me voir. Je la voyais venir vers moi, et lui parlant en signes, elle m’annonçait qu’elle avait autre chose à faire et qu’elle devait me laisser seule. Je souriais la laissant partir, je restais sous le soleil avec mon chapeau sur la tête. Je continuais ma lecture.
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Si on m'avait dit qu'à peine arrivée sur le campus en première année, j'allais retrouver une cousine que je ne connaissais pas trop bien du fait que mon père a coupé tout contact avec sa propre famille mais malgré tout ma mère envoyait régulièrement des photos de moi petite à sa belle famille et en particulier à la mère de Kaya. Alors j'avais décidée qu'en attendant un cours, j'allais lire un peu un livre en espagnol ma langue natale car cela me manquait un peu de la lire ou bien de la parler. Alors je décida d'aller au parc du campus afin de lire un peu donc et trouva un banc où une jeune femme s'y trouvait déjà, elle avait ses écouteurs aux oreilles alors je n'osa pas l'aborder. Néanmoins comme tous les bancs ou presque du parc étaient pris, je m'assis à ses cotés et commença ma lecture d'un livre en espagnol pour un peu de nostalgie. J'étais loin de me douter que j'avais à côté de moi une de mes cousines.

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Alors que je lisais doucement mon livre, je me prenais une balle en pleine poire. Sauf que je l’arrêtais avec les mains. Je ne disais rien de plus sauf en signes : « Mais tu ne peux pas faire attention ! » Je ne disais rien, je ne parlais pas, j’étais muette, et je voyais la gars venir prendre son ballon. Il s’agissait d’un type de la confrérie : « Scuse Kaya, je n’ai pas fait exprès. » Il me faisait un bisou sur le front, il allait partir à la fin de l’année, il finissait ses études, et il m’avait bien aidé à mon arrivée à la confrérie. Il partait en souriant, et je toisais du regard tout en le voyant sourire. Il me criait : « Je te vois à la confrérie ce soir ! » Soupirant doucement, je reprenais ma lecture doucement, sauf que je ne me rendais pas compte que la personne assise à côté de moi allait me parler. Je ne la connaissais pas bien qu’elle me faisait penser à une personne familière. Je ne comprenais pas trop ce qu’il se passait, et je continuais de lire mon livre. Puis le type de toute à l’heure revenait me voir après un petit moment, il me disait : « Allez Kayou, ne soit pas vexée, tu n’as pas une seule bosse. Tiens, voilà une bouteille d’eau, tu ne vas pas me faire la tête, hein ? » Je l’observais un court instant, et je lui disais en signes : « Tu me bouscules, et tu pars comme ça sans me dire où. Tu exagères, tu étais où la dernière fois ? » Il faisait une moue, et je voyais ses potes là-bas qui attendaient sa venue. Il m’embrassait tendrement, et il me disait : « J’avais un rendez-vous avec mon père, je devais rentrer à la réserver indienne. Je suis désolé, je vais te voir ce soir. T’aime. » Il partait en reculant, et je lui répondais en signes : « T’aime aussi. A ce soir. » Je reprenais ma lecture, et je savais qu’il me cachait quelque chose.
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Toujours sur ce banc dans ce parc assise à côté d'une jeune femme qui vint à recevoir une balle sur elle et elle se mit à parler en langue des signes, je me souvins alors que ma mère m'avait parlé d'une cousine muette du côté de mon père mais que je ne connaissais pas car un conflit opposait mon père à sa mère et surtout parce que mon père avait coupé tout contact avec sa famille. C'est alors que je vis que la jeune femme s'appelait Kaya et qu'elle semblait connaitre le jeune homme qui avait lancé la balle sur elle malencontreusement. Alors je les laissa parler entre eux mais cela ne faisait aucun doute, j'étais à côté d'une de mes cousines car ma mère m'avait parlé plusieurs fois d'une certaine Kaya, fille d'une soeur adoptive de mon père et qui vit sur une réserve indienne. Malgré tout, je lui souria.

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Je cherchais du regard mon petit ami et je croisais celui de la jeune femme qui était assise à côté de moi. Je ne la connaissais pas, et elle était calme pour le moment. Je ne voyais pas trop quoi lui dire étant donné que j’étais muette. J’avais juste l’impression qu’elle m’était familière. Depuis ma tendre enfance, mes parents tous les deux chamans m’apprenaient notre magie. Enfin rituels si vous préférez, les plantes, les douces médecines qui soignaient notre tribut étaient importantes pour moi. Je les apprenais et j’avais vu ma grand-mère mourir dans un mes rêves. Ce fut ce rêve qui me rendait muette mais qui était l’annonciateur de mes dons pour le chamanisme. Parfois, dans mes rêves, je voyais des choses qui allaient plus ou moins se révélés exactes. Seulement, je n’en parlais à personne pour la simple et bonne raison que cela pouvait aussi faire penser que j’étais dingue…La jeune femme à côté de moi je l’avais vu en rêve et maintenant, je la voyais là à côté de moi. Je n’en croyais pas mes yeux, je fermais mon livre et je tentais de reprendre mes esprits. Je comprenais qu’il était important aussi que je sache comment continuer, je reprenais ma lecture tout en essayant de trouver une solution adéquate à mon problème.
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Visiblement, la jeune femme qui s'appelait Kaya apparemment devait être muette car elle parlait en langue des signes avec son ami et je me demanda comment allais je faire pour arriver à lui parler alors je décida de la saluer naturellement.

Bonjour, je m'appelle Leonor et toi ? Tu es ici depuis longtemps ?

Je lui souria en espérant qu'elle ne m'envoie pas promener car elle était ma seule famille ici s'il s'avérait qu'elle est ma cousine paternelle.


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Je lisais mon livre et j’entendais la jeune femme à côté de moi qui me parlait. Fronçant les sourcils, je ne la connaissais pas du tout. Je ne savais pas de qui il s’agissait. Je tentais de voir ce qu’elle voulait. Mon cours d’anthropologie allait sans doute me servir, je voyais une femme d’origine mexicaine, et j’avais comme l’impression qu’il y avait un petit air de famille. Je sortais mon calepin, et j’écrivais dessus : « Kaya, enchantée, Cela fait cinq ans que je suis déjà ici. Et toi ? Tu viens d’arriver ? » J’avais tout marquée sur mon calepin, et je lui montrais alors patiemment pour qu’elle puisse lire. Je ne voyais pas trop quoi dire en plus, mais bon, je comprenais qu’il était bien aussi que je fasse un effort. En tous les cas, je prenais le temps de ranger mon livre dans mon sac. Ainsi, j’avais alors comme l’impression que j’aurais des fortes révélations en cette douce après-midi.
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Lorsque je me présenta à la jeune femme se trouvant assise à côté de moi sur ce banc, je la vis froncer un sourcil avant de sortir un calepin et de noter dessus son prénom et qu'elle était là depuis 5 ans avant de me demander si j'étais nouvelle ici. Visiblement, elle était muette pour écrire sur son calepin afin de communiquer mais peu m'importe, elle me semble sympathique et famiière. Alors je lui répondit.

Enchantée Kaya, je viens d'arriver en effet, je viens d'Albuquerque au Nouveau Mexique, je suis étudiante en première année d'Anthropologie et sport et toi ?

Je lui souria, ne sachant que dire de plus et attendant qu'elle ne puisse me répondre via son calepin.

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Ecoutant attentivement l’inconnue qui se présentait, je l’entendais me dire qu’elle était d’Albuquerque du Nouveau Mexique. Me disant que son accent devant sans doute être de ce coin-là, je ne voyais pas trop quoi lui dire de plus. Mais bon, je réalisais que cette jeune femme aurait pu être dans la même ville que moi. Sauf que vivant dans la réserve indienne, j’aurais pu la voir en ville. Je lui répondais en écrivant sur mon calepin : « Je suis née dans la réserve indienne des Navajos en Arizona. Et je suis en septième année d’anthropologie en majeur et archéologie en mineur. » J’avais remarqué qu’elle avait pris la même matière que moi, je ne comprenais pas vraiment si c’était un signe ou pas. Mais mes rêves ne se trompaient jamais, j’avais eu tort de ne pas l’accepter. Cette jeune femme était apparue dans mon rêve et je comprenais que je devais aussi essayer de savoir qui elle était vraiment. Je ne voyais pas trop quoi rajouter de plus. Je ne tenais pas non plus à me faire passer pour une folle dingue….Déjà qu’on disait que les indiens étaient des monstres sanguinaires depuis des siècles…Je n’allais pas en rajouter une couche !
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