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colbiberon ▬ an apple a day keeps the colbitch away

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Colbie & William


An apple a day keeps the colbitch away


« What a beautiful day » Pourrait-on chanter en cette sublime journée de Mai. Depuis la fenêtre de la cafétéria, William pouvait voir le soleil filtrer par le feuillage vert tendre des vieux arbres de la cour. Il coinça sa pomme entre ses dents le temps de sortir un magazine de son sac & de quitter la cafétéria. Il déposa son sac à la va-vite dans sa chambre avant de se diriger vers la sortie. Un peu de vitamine D lui ferait le plus grand bien, aussi il avait décidé de s’assoir dehors, quelque part, tranquille. C’est ce qu’il fit, commençant la lecture de son magazine. Cette bonne journée aurait pu continuer jusqu’au crépuscule, mais non, il fallait que la météo devienne capricieuse. Le ciel se couvrit lentement, mais il faisait suffisamment bon pour rester dehors, pas de panique. C’est lorsqu’il constata deux petites auréoles noirâtres d’encre sur sa lecture qu’il leva les yeux vers le ciel. Il fallait avouer qu’il s’était sacrément noirci en l’espace de quelques minutes. Le voilà maintenant gris anthracite, semblable au macadam à certains endroits. Sentant le vent sur ses bras, il se dit qu’il devrait partir avant que ça ne se mette à pleuvoir sec. Enfin non, mouillé, mais je veux dire à pleuvoir beaucoup. Il aurait du penser à cela dès lors que le ciel commençât à se voiler, car un claquement sourd se fit entendre, et un éclair déchira le ciel avant qu’une pluie drue ne s’abatte sur le campus. Pestant, il se releva, la pomme presque terminée entre ses dents, le magazine en guise de parapluie au-dessus de sa tête. Comme il eu l’excellente idée de s’isoler pour être au calme, il ne rejoignit le cœur de l’université qu’une fois trempé jusqu’aux os. Dans sa course folle, il percuta de plein fouet une jeune femme. Désolé, il se retourna en bredouillant ; « Chuis désolé, la pluie… » Il plissa les yeux, détaillant la demoiselle ; il connaissait ce visage trempé. Subitement, ses yeux devinrent deux billes & il cracha sa pomme au visage de ladite jeune femme ; Colbie. Oh merde. Il ne parvint plus à bouger, comme statufié il avait les pieds ancrés dans le sol. Il était trempé, sa chemise était devenue transparente, le magazine tombait en lambeaux flasques au sol, s’écrasant dans un bruit étrange, presque comique. C’était peut-être la seule chose de drôle à cet instant. Bouge-toi Kane, Bouge-toi ! Cette fille lui faisait réellement peur, pourtant, il n’avait pas peur de grand-chose. Il ne savait même pas comment elle allait réagir. Allait-il se faire gifler pour avoir barbouillé son visage de morceaux de pomme, ou allait-elle lui demander des nouvelles parce qu’il ne répond jamais à ses textos ? Étrangement, il penchait plutôt pour la première option, bien qu’il ne la connaissait pas vraiment.
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La vie estudiantine plaisait à Colbie. Elle faisait des rencontres, sortait avec des gens à peu près normaux et elle s'était même surprise à ouvrir un bouquin l'autre jour. Peut-être était-elle guérie ? Peut-être n'avait-elle plus besoin d'être la starlette nunuche de la télévision ? Oh naaaaaaaaaaan, à d'autres. Elle voyait plus Harvard comme un passe-temps, comme une manière de faire plaisir à son père puisqu'il avait été le grand instigateur de cette inscription dans l'université la plus prestigieuse du monde. Ouais, elle devait être la seule meuf sur Terre, sur Mars et sur Pluton à aller à Harvard pour faire plaisir à quelqu'un. Parmi ces rencontres ; William. Un grand dadet, le regard aussi vivant que le chien de Télé Z, le nez aussi crochu que celui de Voldemort et les cheveux aussi soyeux qu'Eva Longoria dans la pub pour L'Oréal. Ce mec, il avait tout pour plaire, non ? Pas vraiment en fait. Donc Colbie estimait que quand une fille aussi cool qu'elle abordait un mec aussi asocial que William, ce dernier avait le devoir fondamental de lui répondre, non ? Passons.
Colbie avait passé l'après-midi en ville, à chiner dans les petites ruelles de Cambridge, après une petite entrevue avec son producteur. Ce dernier lui avait amèrement fait comprendre qu'elle n'avait pas assez tenues extravagantes et qu'elle risquait de devoir s'habiller avec la pudeur de Lady Gaga pour se faire remarquer. Génial. Elle n'avait finalement rien trouvé à la hauteur des exigences de Silas, si ce n'était qu'elle était bonne pour un concours de t-shirt mouillé au moment de traverser le campus. Génial x2. Comme un malheur n'arrive jamais seul, un poids lourd se servit d'elle comme d'une bande d'arrêt d'urgence, ce qui la fit reculer d'un mètre. En guise de vengeance, les bras croisés, elle lui fonça dedans mais son poids plume – malgré les airbags colbiberon ▬ an apple a day keeps the colbitch away 387742012– n'eut pas tout à fait l'effet escompté. Elle leva les yeux quand il s'excusa et broncha. Tiens, Voldemort Longoria en chair et en os. « Désolé ? » répéta-t-elle en haussant la voix. Pas besoin de préchauffage avec elle, Colbie n'était pas un vieux Diesel. « Ouais, et je suppose que tu étais désolé quand tu m'as foutu des sales vents par texto, désolé quand tu as profité de moi à la bibliothèque, désolé d'avoir été ingrat, désolé de m'avoir lâché après tout ce qu'on a vécu ensemble ! » Elle asséna le torse du jeune homme de deux violents coups de poings, les dents serrées, les nerfs en pelote. Elle dramatisait à peine. Elle s'en foutait à présent de la pluie, du beau temps, de sa tunique beige trempée jusqu'aux os. Elle voulait des explications maintenant, quitte à attraper la crève ou à se faire bouffer par un piranha des nuages.
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Colbie & William


An apple a day keeps the colbitch away


Évidemment qu’elle lui frappait dessus, pourquoi ne le ferait-elle pas ? Il fit quelques pas en arrière, plus surpris qu'autre chose, puis s'arrêta. C’est vrai que ne pas répondre à ses textos, ce n’était pas sympa. Il aurait peut-être pu répondre au premier texto gentil qu’elle lui avait envoyé, mais avant il voulait prendre sa douche, s'habiller. Donc quoi, le temps de quinze, vingt minutes puisqu’il traîne tous les matins ? Entre-temps, d’autres avaient suivit, il ne voulait pas répondre & en recevoir soixante autre. Non, s’il voulait de la colle, il allait à la supérette, il n’avait pas besoin que quelqu’un joue à la UHU avec lui. En fait, Colbie lui faisait peur. Pas seulement parce qu’elle lui avait envoyé pas mal de SMS, non non. C’était aussi la manière de les écrire, et sa manière d’agir lors de leur première rencontre, mais revenons-en à ces chers textos. Elle changeait d’humeur plus rapidement que Justin Bieber de statut Facebook & CA, c’était flippant. Je sais, vous vous dites que c’est la poêle qui se moque du chaudron, mais pas du tout. En fait, William est froid, pas vraiment lunatique, mais froid, il ne s’intéresse pas à tout le monde, en fait, il ne s’intéresse à presque personne, et ça, Sarah le lui avait clairement fait remarqué. Il avait cogité, s’était torturé l’esprit pendant des jours et, Ô miracle, si cela n’avait pas fait revenir son amie, il avait pris la décision de changer. Changer de tout, de vie, de pays, et pourquoi pas lui-même. Mais jamais il n’avait eu en face de lui une espèce de reflet puissance dix. D’où sortait-elle qu’il avait profité d’elle, qu’ils avaient vécu des choses ensemble ? Ok, les textos, il aurait pu lui faire comprendre gentiment qu’il ne voulait pas lui parler, ou trouver un prétexte bidon pour le lui faire-sous-entendre. Mais non, aucune réponse. Pourquoi ? Il n’était pas lâche, mais allez trouvez les bons mots pour ne pas vous attirez les foudres d’une starlette de téléréalité de vingt-et-un ans limite sociopathe. Bon, allons-y franco, carrément sociopathe. Il sentit qu’il était de son devoir de remettre les pendules à l’heure, mais encore une fois, il ne sut trop quoi dire. En fait, il ne savait pas comment elle réagirait, et ça, c’était effrayant. « Écoute Colbie… » Oui ? Écoute quoi ? Bonne question. Il avait du mal à réfléchir, son magazine était presque totalement dissout & il était frigorifié. Elle au contraire ne semblait pas avoir bien froid, peut-être bouillonnait-elle de colère. Hum, rassurant. Courage William. « Tu veux parler ? Très bien, je suis là, en chair & en os. Enfin, en chair en os, en papier mâché & je dirais environ quatre-vingt-dix pour cent d’eau. C’est mieux que par textos, non ? Allons-y ! » Il sourit, une banane qui étira ses lèvres. Oui, elle lui faisait peur. Non, il ne voulait pas lui parler, en sachant en prime qu’elle était une nana médiatisée, star-systemisée. Mais il la craignait. « Il pleut, il n’y a personne pour nous déranger, moi, j’ai tout mon temps. » Il plissa légèrement les yeux, il aurait du porter son regard ailleurs. Juste à la naissance de sa poitrine, un morceau de pomme Granny Smith s’était trouvé un coin pépère pour hiberner, fallait avouer qu’il allait être bien au chaud. Il fit une drôle de moue, détournant immédiatement le regard, il la fixa droit dans les yeux ; « Tu as.. Juste là. De la pomme. » Il lança un bref coup d’œil en direction de son décolleté, il ralentirait sa consommation de pommes.
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Voilà. Ecoute Colbie. Bien, il commençait bien le William, ce n'était pas comme si ça faisait des jours et des jours qu'elle attendait de l'écouter, de lui parler, d'entendre sa voix, de lire ses messages. Mais non. Tous ses cris ses SOS partent dans les aiiiiirs. À présent, elle avait l'occasion de mettre les points sur les i avec lui, les barres sur les T, les paires de fesses sur les B. L'air dur, elle posa ses mains sur ses hanches pour montre Ô combien elle était autoritaire. Elle devait tout de même avoir l'air un peu ridicule du haut de son mètre soixante, face à un William qui avait tout de la grande perche, du concombre géant, du géant vert quoi. Mais ce n'était pas ça qui allait l'intimider. Au pire, elle lui montrerait ses boobs et on verrait bien qui a le pouvoir sur qui. « Ouais. » Ouais, c'était mieux que par texto. Elle restait aussi froide qu'un oiseau dans un congélateur – comme la meuf dans les Z'amours – face à lui, totalement impénétrable. Sentimentalement parlant. Parce qu'il allait de soit que même autrement, elle ne l'était pas. Pas ici. Pas sous la pluie. Ni sous le vent. « C'est mieux ouais. Mais tu m'as ignoré ! T'es vraiment qu'un con ! T'es comme tous les hommes en fait. » Son visage se décomposait au fur et à mesure qu'elle parlait, comme si elle prenait conscience que pendant des années entières, elle avait été bercée par l'illusion d'un semblant de bonheur, monté de toute pièce. En réalité, il s'était passé que quelques nuits, hein, qu'on se mette d'accord sur la chronologie. D'un pas, elle fit marche arrière, baissant la tête, moue blessée par le comportement de William. « Je sais même pas ce je pourrais te dire de plus. » C'est vrai que dans ses 153 textos envoyés et 47 messages sur le répondeur, au final, elle avait tout dit. En revanche, si elle, elle n'avait pas les mots, lui, il trouva le juste ton. Ses seins. Quoi, attendez, le mec, il ne la rappelle pas malgré ses supplications et, aujourd'hui, il vient lui mater les boobs au calme ? Suis-je la seule à voir l'erreur ? En fait, il montrait le morceau de pomme échouée dans la houle de son décolleté, sûrement suite au jet de pomme que Colbie n'avait pas relevé, à croire qu'elle y était habituée. Tentant de rester gracieuse et digne, elle fit un mouvement de chevelure style L'Oréal et décréta, toujours les mains sur les hanches ; « Tu crois que je ne le sais pas, abruti ? Ça s'appelle la corbeille à fruits. Une pomme entre deux melons. Cela dit, je suppose que tu ne connais rien à la mode, ringard. » Elle le dévisagea de haut en bas, sans pour autant retirer ce fichu morceau de pomme.  
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« Tu m’as ignorée. » oui, c’est vrai, il l’avait ignorée. Parce qu’elle envoyait des sms plus vite que son ombre, parce qu’elle laissait une tripotée de message qui avaient saturés sa messagerie, parce qu’elle était une star de TV show, parce qu’elle lui faisait peut, parce que c’était Colbie. Il aurait pu lui balancer le fond de sa pensée, comme il le ferait avec n’importe qui, mais il la craignait, il ne voulait pas savoir jusqu’où elle était capable d’aller. Alors il l’écouta, elle semblait vouloir faire passer un message précis ; t’es naze, William Kane. Merci, une jeune femme le lui avait déjà dit il y a quelques temps, c’est sympa de dépoussiérer quand même. Puis vint la phrase qui lui hérissa le poil, et ce n’était pas seulement parce qu’il était gelé ; « T’es comme tous les hommes en fait. » NON. Ca, ça avait du mal à passer. Il n’était pas un gamin déluré de vingt balais qui s’amuse à boire jusqu’à ce qu’il voit des couleurs jamais vu avant, qui se drogue jusqu’à ce qu’il voit la Reine Mère danser un twerk avec le père Noël. Non, désolé Colbie, mais là tu t’es trompée de personne. Il se permit de le souligner ; « Ok, t’es en colère, je comprends. Mais si tu pouvais éviter de dire que je suis comme tous les autres hommes, ce serait sympa. » Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne s’agit pas d’un acte d’égoïsme façon « je suis mieux qu’eux ». Enfin en un sens, si. Il savait d’où il venait, ce qu’il valait, les valeurs qu’on lui avait inculqués. Puis subitement, sa légère irritation –et je parle là bien sûr de son humeur hein, je te vois venir avec tes grands chevaux- s’envola. Pourquoi ? Parce que c’était la première fois qu’il voyait Colbie avec une moue aussi attristée. Il savait qu’elle était la reine des téléréalités, qu’elle était sans doute une actrice hors pair. Alors il ne devait pas se laisser ramollir par la face de chiot orphelin de la brune, sinon, il était cuit. Puis tout se mélangea dans sa tête, lui revint en mémoire la vulnérabilité de Sarah lors de l’orage, leur engueulade, et tout ça créa un chantier monstre dans sa tête. Et si elle ne jouait pas la comédie ? Il poussa un soupir, largué. Il lâcha son magazine, s’écrasant dans un sploch magistral. Il n’en avait plus besoin, toutes les pages étaient réduites en bouillie au sol & il ne lui était plus d’aucune utilité, il avait perdu son pouvoir imperméabilisant. Il passa ses mains sur son visage, inspirant profondément par la suite. Bien, il allait faire un effort, c’est ce qu’il était sensé faire, il verrait bien si Colbie jouait ou non la comédie. « Tout ce que tu m’as dit par sms, ou par message. Ca ferait un bon début. » & il insista sur le mot début. Il allait donner une chance à Colbie, une seule, parce qu’il est venu ici pour ça, pour donner leur chance aux autres. Et puis, si on réfléchi un peu, étant donné qu’il n’a jamais lu plus de deux sms de sa part & qu’il a supprimé ses messages sans les écouter, on peut dire qu’il ne sait rien d’elle. Et puis bim, rebelote, voilà que la dame changeait d’humeur. Excédé, William serra les dents, se faire mettre dans le même panier que les autres hommes, puis voir une Colbie vulnérable avant que cette même Colbie ne le traite de ringard, ça faisait beaucoup. Elle avait surement des problèmes dans sa tête cette pauvre petite. De toute façon, puisque ce morceau de pomme ne semblait pas lui poser de problème, William déclara, pour mettre fin à ce chapitre fruité ; « Bien ! Si tu as fini de parler salade de fruits, on pourrait peut-être aller prendre un café ? » Ca faisait un moment qu’lis discutaient sous la flotte, il commençait un tantinet à avoir froid. Comment diable pouvait-elle rester quasi immobile ? Elle ne cillait pas, sans doute avait-elle un de ces régulateurs thermiques dans son corps comme dans les tee-shirts derniers cri.
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T'es comme tous les hommes. Une phrase typique chez les femmes, un dérivé du très célèbre 'vous les mecs, vous êtes tous pareils'. Rien de plus. Rien de moins. Pourtant, à scruter le mine effarée de William, Colbie eut l'impression de l'avoir insulté. Pourquoi ? Vue sa gueule, il devait recevoir bien pire comme remarque, non ? Oui bon, Clayton était vilaine car blessée. Mimant le dégoût, elle se rattrapa ; « Nan c'est vrai, tu n'es pas comme tous les hommes ; tous les hommes auraient payé pour avoir mon numéro. » Après Benedict le concombre, voici Colbie la pastèque. On parle de salade de fruits, on rigole on rigole mais on ne voit pas le fond du bol. Grande citation que mon papa utilise souvent, je voulais donc lui rendre honneur à travers ce RP. Amen bigouden j'ai c*** dans mon ben mon ben à craquer j'ai c*** à côté. Ça c'est mon frère qui le chantait, comme ça, il y a toute la famille mise à l'honneur. On pourra participer à 'une famille en or'. Enfin bon je ne sais pas pourquoi je disais ça. Un bruit de fracas parvint à ses oreilles, à peu près semblable au bruit d'une serviette humide que l'on frappe contre un banc. Un truc blanc, informe tomba par terre, la Mather ne put déclarer clairement de quoi il s'agissait. De la purée ? Peut-être un plat typique chez Harry Potter, ce qui expliquait que Voldetélé Z. le tenait fermement contre lui précédemment. Colbie semblait avoir épuisé sa réserve de mots. C'est vrai, elle avait voulu cette confrontation avec William, savoir ce qu'il lui reprochait, où elle avait bien pu merder pour qu'il lui foute des ouragans pareils à travers la tronche. Mais, face à lui, face à ce monstre aussi trempé que la culotte d'une femme face à Ryan Gosling, elle ressentait une forme de faiblesse. Blessée dans son égo, elle grimaça en l'écoutant avant de demander ; « Tu parles de quels messages ? Ceux où je te demande si tu vas bien ou ceux où je traite de connard fini et de sale rat à crête de banane en sauce ? » Elle n'avait jamais été douée pour les insultes mais, pour elle, ça faisait une punchline dite d'être récitée dans une de ses télé-réalités. Il fallait qu'elle s'en souvienne, comme ça elle en parlerait à Silas, son producteur, pour qu'il l'intègre dans un scénario. Arrachant enfin ce fichu morceau de pomme de sa poitrine, elle le balança à la figure de William (ça devient chaud bouilland dis donc) et passa devant lui, levant le nez, expressément hautaine ; « Ouais, mais tu le payes. » Voilà. Elle mettait les choses au point tout de suite. Elle se mit à marcher sans l'attendre, essayant de restant digne malgré sa tenue d'une élégance singulière.
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L’homme a inventé le manuel de montage, le manuel de math, le manuel d’entretien, le manuel de survie, le manuel de recherches, le manuel de psychiatrie & même le Manuel Valls. Alors pourquoi diable a-t-il oublié le manuel de Colbie ? Elle aurait du être livrée avec un de ces petits guides mal traduits qui pourtant, vous permettent à maintes reprises d’éviter de faire des erreurs. Chapitre I. Comment réagit face à une Colbie sarcastique ? William voulait savoir comment fonctionnent les gens, et il tombait sur Colbie, le level 3 658 986 du niveau humain. Autant dire qu’il dérouillait mentalement, passer du texto tout doux aux insultes, il y avait une sacrée marge. Pourtant, elle n’était pas bipolaire, du moins pas à sa connaissance. Bon, le fait qu’il ne réponde pas au gentil texto devait surement y faire pour quelque chose, mais tout de même, il y a des limites. Tout ça pour dire qu’elle sortait, & cela naturellement, que les hommes auraient payés pour son numéro. William réprima un sourire, s’il ne l’avait pas fait, il se serait fait fusiller sur place. Peut-être ce genre de choses était-il normal, dans le show-business. Tout de même, cette histoire éveilla sa curiosité, aussi il demanda ; « Sérieusement ? On t’a déjà payée pour avoir ton numéro ? » Ouais, ça choquait William. Il ne pensait pas que Colbie était sérieuse lorsqu’elle avait sortit ça, mais apparemment, elle l’était. Dans leur cas, c’était le Kane qui avait donné son numéro à la Clayton pour qu’elle lui lâche les baskets. Et ça avait marché… Environ 12 minutes. Puis avaient fait leur apparition les textos sympathiques & tout le tralala. Il n’avait pas eu envie de répondre, ni même de revoir Colbie. Soudainement, & ça ne dura pas plus de quelques secondes, le visage de la brune changea en une expression attristée, ou déçue. Lui avait-il fait si mal ? Elle avait l’air d’avoir pris un seau d’eau froide sur la tronche –en même temps c’était un peu le cas puisqu’il pleuvait- il se sentit soudainement… Bizarre, une curieuse sensation dans son estomac, des picotements dans la gorge. Non, ce n’est pas pareil que lorsque vous avez envie de pleurer, cela vous fait un nœud dans la gorge & les yeux vous brûlent. Là, c’était moins franc, mais pas plaisant pour autant. Il était mal à l’aise, à vrai dire. Il ne pensait pas que le fait qu’un étudiant ayant dépassé la date limite d’inscription à Harvard ne lui réponde pas lui fasse de la peine. Elle avait surement un répertoire blindé, il était sûr qu’il ne recevrait jamais de ses nouvelles. Il voyait les personnes de la téléréalité comme des machines dépourvues de cœur, mais visiblement, une nouvelle fois, il avait du se tromper, en tout cas au moins sur la jeune femme. Cette fois, il ne sentit pas la colère monter lorsqu’elle l’insulta –si l’on peut appeler ça une insulte-, non, il resta calme. Il répondit d’un air détaché ; « Tous. Tous les messages. » Vous sentez ce parfum ? C’est très subtil, concentrez-vous, c’est celui du changement, d’un Kane qui s’intéresse à quelqu’un. Quelques secondes plus tard, un morceau de pomme vint se coller sur son visage, il l’envoya par terre d’un revers de la main, faisant deux pas en arrière pour amorcer leur marche. Mine de rien, il n’était pas mécontent de prendre un café avec Colbie. A défaut que cela soit enrichissant, il serait au chaud. C’est en marchant à reculons qu’il lui répondit ; « Je payes si tu marches vite. » Eh oh, faut pas pousser mémé dans les champs de blé non plus hein !
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William semblait siiii choqué qu'un homme puisse payer Colbie pour qu'elle donne son numéro de téléphone. Et pourtant si, sous-estimait-il le sex-appeal de Colbie ? Et oui, je parle de sex-appeal, pas de sexe à pile. Non parce que le sexe à pile, c'était une autre histoire avec un vieux compagnon, un vieux loup de mer comme on dit dans le jargon des pêcheurs. Même que des fois, il chantait 'à la pêche au mouleuh mouleuh mouleuuuh je ne veux plus y aller'. Dure la vie de vibromasseur, on ne s'en rend pas compte mais on devrait faire des associations de protection pour ces objets, au même titre que la SPA. Enfin bon, Colbie verrait ça plus tard, quand elle serait tellement désespérée qu'elle n'aurait rien d'autre à faire de sa vie que servir des causes humanitaires. Du coup, elle se défendit face aux allégations de William. « Ben ouais, on appelle ça un producteur. Sors de ta grotte William Pierrafeu. » fit-elle en se donnant une tape sur le front, tellement ça sonnait évident dans sa tête. Mais pas dans celle de William. En même temps, il était tellement tordu qu'on se demandait bien ce qui se passait dans sa tête hein. Ouais, c'est Colbie qui disait ça, ça sonnait un peu comme Aladdin qui se faisait des bottes en peau d'ouistiti. Elle était clairement atteinte, ouais, sauf qu'elle ne s'en rendait pas compte, elle ne se rendait pas compte de ses réactions en chaîne exagérées. « OK, heureusement que y en a pas eu tant que ça. » fit-elle quand il avoua vouloir qu'elle parle de tous ses messages. Non ça va finalement, ses ex avaient eu pire que ce que William avait connu. Hein, heureusement qu'ils n'avaient pas la terre de feu dans leur culotte, sinon William aurait vécu pire que ça, pire qu'un vibreur qui ne s'arrête jamais, qui vibre vibre vibre à tout jamais. Bras dessus bras dessous – ou pas du tout en fait – ils se rendirent au café le plus proche. Comme tous les hommes, il ne put s'empêcher de faire son intéressant en marchant à reculons, face à une Colbie pas impressionnée pour si peu. Elle grimaça et lui balança froidement ; « Je vais aussi vite que mon 95E me permet d'aller. Un peu de respect. » Avoir des gros seins c'est bien, mais il ne fallait pas espérer qu'elle court le 500m en dix secondes. Elle perdait en aérodynamisme, vous savez. « Fais gaffe, y a un poteau derrière toi. » fit-elle au dernier moment, décidément imperturbable.
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Colbie & William


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Eh, une minute de pause là, temps mort. Colbie avait bien dit que les autres mecs payaient pour avoir son numéro ? Et maintenant, elle disait que ce genre d’hommes étaient appelés producteurs ? Mais bon sang, combien de dizaines de producteurs avait-elle eu ? Ca n’empêcherait pas William de dormir s’il ne le savait pas, mais cette info lui permettait de confirmer ses craintes quant au tempérament de la brune. Il préférait n’emmètre aucune supposition quant au nombre de producteur qu’elle avait eu, mais son petit doigt lui intimait qu’il s’agissait probablement de beaucoup. Ne voulant pas s’aventurer en terrain trop glissant, il répondit à contrecœur ; « Ouais, je ferai ça. » Un jour, peut-être. Ou pas. Puis peu de temps après ça, elle se réjouit qu’elle ne lui ai pas envoyé beaucoup de messages. Un second temps mort, s’il vous plait ! A partir de combien de textos journaliers sans réponse cela devenait-il beaucoup pour la Clayton ? Surement pas autant que pour William vu ce qu’elle venait de sortir. Et puis, si elle ne voulait pas venir prendre ce café pour blablater, William ne l’obligeait en rien, nom d’un chameau dromadaire ! « Colbie, Colbie, Colbie… soupira-t-il. Il chercha ses mots un instant, il préférait préparer ses phrases avant de lui balancer quelque chose que son cerveau médiatisé –enfin, ce n’est pas vraiment le cerveau qui est médiatisé, si vous voyez ce que je veux dire, mais passons- pourrait mal interpréter. Finalement, et quitte à la frustrer, il ne répondit pas. Non, il n’avait pas envie de repartir sur une nouvelle embrouille alors qu’il pouvait déjà sentir l’odeur du café fraîchement moulu. Oui, ils étaient en route pour un café, d’ailleurs le brun pressa le pas pour rejoindre au plus vite l’établissement, sans finir transformé en amphibien. Cette vision lui valu un frisson, à moins que ce ne fut à cause de l’eau qui ruisselait le long de sa colonne vertébrale, envoyant une armée de frissons lui parcourir l’échine. Oui, monsieur était frileux, mais chacun a ses défauts. Il marchait à bonne distance de Colbie, à défauts d’avoir de gros airbags, il avait de grandes cannes. Il ne l’entendit pas lorsqu’elle lui adressa la parole, il ne vit que ses lèvres bouger, et un semblant de paroles, un bol alimentaire de mots, un joyeux mélange de jactance. Bref, le poteau il ne put éviter, et la tête il s’est cogné. Il n’avait pourtant pas marché sur des kilomètres à reculons, seulement sur dix, vingt mètres à tout casser. Pourtant, cela avait suffit à ce qu’il se paie un poteau. Le choc lui fit vibrer le crâne, il sentit un nouveau frisson lui parcourir le corps. Un bourdonnement vint chanter à ses oreilles, aussi agréable qu’une perceuse à 8h du matin un dimanche. Par réflexe, il porta une main à sa tête, mine de rien, c’était douloureux. Il n’était pas du genre pleurnichard, mais il massa quelques secondes l’arrière de son crâne pour faire passer la douleur. Il s’était évidemment arrêté de marcher, fixant Colbie du regard –non, il la mitraillait, c’est plus juste. Il était certain qu’elle avait fait exprès de ne pas le prévenir –même si, techniquement, elle avait du le faire, puisqu’il l’avait vu parler-, du moins, pas comme elle aurait pu le faire. Il laissa retomber sa main le long de son corps, attendant que Colbie soit à son niveau pour siffler ; « Tu l’as fait exprès ? C’est pour les sms, c’est ça ? » Bien sûr il savait qu’elle n’avait pas placé le poteau ici exprès pour qu’il se le prenne en pleine poire, ou plutôt arrière-poire. Mais il était maintenant persuadé qu’elle avait fait exprès de ne pas le prévenir bien avant que l'objet de métal ne lui fasse un câlin.
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William était un vrai phénomène de curiosité pour Colbie qui se demandait s'il était aussi vif qu'une asperge avec toutes les femmes ou s'il gardait ce précieux rôle pour elle, genre comme un lap dance sauf qu'il ne se déshabillait pas. Heureusement, par ailleurs, elle n'osait pas imaginer à quoi ressemblait un William Kane en tenue de ver de terre. Certains parlent de tenue d'Adam, sauf que Colbie avait toujours imaginé Adam comme un BG bien musclé, bien gaulé, comme un top-model pour les slips DIM (puisqu'il était le plus vieil ancêtre de Colbie et de tous les humains sur terre by the way) et William tenait plus de la larve gluante que du beau gosse. Vous voyez Chenipan, dans Pokemon ? Et bien William était un Chenipan niveau 100 qui n'était jamais passé par l'état évolution. Ou limite si, mais en Chrysacier, aka le Pokemon le plus inutile du monde. M'enfin, ça plaisait certainement à des désespérées, les dresseurs Scout qu'on croise dans la Forêt de Jade. ET NON. Colbie n'entrait pas dans la catégorie des désespérées, oh. « Oh je te l'ai dit, mais tu t'es pris pour un Girafarig, j'y peux rien ! » Girafarig, un autre Pokemon, celui qui a deux têtes, une à l'avant et une à l'arrière. Puis, se prenant dans son rôle, elle agita les bras en l'air – d'ailleurs il n'y avait pas que les bras qui s'agitaient au final, mais seuls les coquinous pouvaient le relever – et s'écria ; « J'aurais peut-être dû crier 'oooooooh sauvez Willy sauvez-leeeee ! La baleine à bosse fonce droit vers un Iceberg, souquez les artémuses !' » Les bras retombèrent lourdement contre son corps. Désabusée, elle termina ; « Et bien non, je ne l'ai pas fait et je ne l'aurais jamais fait. Mais j'espère sincèrement que ce choc t'aura remis les idées en place. » Parce que c'est bien connu, d'eux deux, il était celui qui avait besoin qu'on lui remette les idées en place.
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