Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJOAN & EMRYS ♣ A BRUNCH TOGETHER JUST TO TALKING BOUT OURSELVES
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JOAN & EMRYS ♣ A BRUNCH TOGETHER JUST TO TALKING BOUT OURSELVES

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On devrait tous avoir ce genre de personnes autour de nous, tous une personne a qui on peut tout dire sans avoir un engagement énorme, juste parler et avoir de l’aide précieuse. Prévoyant donc un brunch sympathique avec ma confidente depuis déjà plusieurs années, je me préparais déjà en vitesse pour la rejoindre. Un t-shirt sympa, une veste en cuir, un jean, des vans et hop, je m’occupais de prendre les clés de ma moto et mon casque : direction le luna caffe. Ni une ni deux, j’étais en route. Quand j’arrivais au café, je garais bien la moto et prenais le casque sous le bras entrant alors dans l’endroit  bondé. Là, je vis mon amie Joan, assise, seule de dos et j’arrivais derrière en lui sautant au cou, dans son dos, profitant pour lui déposer un baiser sur la joue.  Je m’asseyais sur la chaise en face alors que déjà, on nous sautait dessus et qu’on demandait nos « spécial brunch typical ». Sinon on attendait la saint glinglin pour se  voir ou quoi ? Dis-je en rigolant.
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Voilà, la jeune femme était de retour à Harvard après trois semaines de stage. Vu le bordel qu'était sa petite vie, étudier lui semblait l'activité la plus délicieuse que la Nature puisse lui offrir. Mais il fallait se rendre à l'évidence : ses cours ne lui répondraient jamais quand elle leur posait des questions existentielles. Et en plus de ça, Joan n'avait jamais aspiré à devenir ermite, elle trouvait ça déprimant de vivre seule, les hommes sont faits pour vivre en groupes, en tributs, en communautés, en tout cas c'est ce qu'elle avait entendu à la télévision. La Quincy ne voyait qu'une seule personne avec qui parler : Emrys. Elle le connaissait depuis longtemps et il était clair que c'était la personne à qui elle avait le plus de facilité à parler. Il n'y avait pas de raison particulière, c'était comme ça, elle avait pris le temps de le connaître et ils se soutenaient mutuellement. Ils se donnèrent rendez pour le brunch. La jeune femme ne traîna pas dix ans pour se rendre sur leur lieu de rendez-vous – le Luna Caffe – de toute façon elle voyait mal quoi faire d'autre que d'être à l'heure. Elle était d'autant plus pressée de le voir qu'ils ne s'étaient pas vu depuis un bon moment. D'ailleurs, une fois le jeune homme arrivé, il lui fit la remarque. « C'est ridicule qu'on ait attendu aussi longtemps, je me rappelle d'une époque où on se voyait plus. » Leurs brunchs ne tardèrent pas à arriver et, toute souriante et détendue, Joan questionna Emrys. « Alors qu'elles sont les aventures palpitantes du plus beau des Winthrops depuis la dernière fois qu'on s'est vus ? »
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Assis au café, tranquillement, je me sentais heureux de pouvoir voir cette chère Joan et pour une fois, en ayant aucunement besoin de courir. Je venais tout juste d'arriver et de me joindre à elle que déjà je la taquinais en lui demandant des comptes car effectivement, nous ne nous étions pas vu depuis un temps considérables. Là, la jolie jeune femme me regarda avec un certain sérieux comme toujours mais ce petit sourire aux lèvres qui m'avaient poussé un jour à la confidence. Elle me fit remarquer à son tour qu'il était idiot de ne pas se voir et qu'à une époque, c'était plus fréquent. Je grimaçais alors de penser à cette époque, nostalgique. Alors que le serveur déposait maintes et maintes choses splendides pour le déjeuner matin et repas, nous nous regardions alors que la belle demandait : « Alors qu'elles sont les aventures palpitantes du plus beau des Winthrops depuis la dernière fois qu'on s'est vus ? » Je souriais face au petit nom qu'elle me donnait, cette dénomination non étonnante venant de la jolie jeune fille et très flatteuse pour moi. Je me grattais l'arrière de la tete et prenait de la solution pour me laver les mains en la posant dans le cas où elle en voudrait. Tout en préparant un petit truc à manger dans les choses proposées, je répondais : J'ai rompu avec Eliah ... on n'allait se marier, enfin je l'avais fiancé puis j'ai compris que je faisais ça sans raison valable et je voulais pas me foutre d'elle quoi ... je suis pas comme ça ! alors j'ai dit que c'était fini et j'ai recommencé avec Charlie Freeman ce qui d'ailleurs a fini de me faire piger que je vous préfère les femmes ... Je rigolais doucement.
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Joan était légèrement honteuse d'avoir raté tant de choses dans la vie du jeune homme. Elle avait presque failli à son rôle de super-confidente toujours prête pour une séance de thérapie à base de confidences. Et pas sur l'oreiller, si c'est pas merveilleux. On néglige trop souvent les amitiés filles-garçons, tout de suite il s'installe une espèce d'ambiguïté et Lindley était bien contente qu'il n'y ait rien de tout ça avec Emrys. Petite, elle avait toujours trouvé les garçons plus cools et moins compliqués, puis au lycée, toujours autant sauf qu'elle avait compris un peu tard qu'à cet âge-là, les jeunes sont censés avoir certains désirs. Et donc voilà, à vingt-quatre ans, son meilleur ami était son ex et elle sortait à moitié avec un ami. Elle fut presque soulagée d'apprendre que la vie amoureuse du Winthrop était aussi compliquée voir nettement plus. Finalement, elle avait su un peu tout ça grâce aux qu'en-dira-t-on sur le campus. Comme leur commande était arrivée, la brune commença à picorer en souriant. « Hum je commençais à croire que je n'avais vraiment plus aucune chance, me voilà rassurée ! » En réalité, ce n'était qu'un introduction à sa question suivante. « A moins … à moins qu'il y aie déjà une autre fille en lice ! Dis-moi tout, je suis sure il y a quelqu'un. Et j'ai toute la journée devant moi pour tout savoir sur tout. » Une Joan Lindley ne lâche jamais l'affaire.
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Je me sentais totalement heureux de retrouver ma chère confidente, chère à mon coeur ouais. Je voyais en elle une personne saine qui pouvait me trouver les meilleurs conseils et me les donner dans la meilleure des situations comme dans la pire. Nous nous voyons peu ces derniers temps mais les téléphones étaient là pour aider, ce n'était pas formidable mais déjà bien. Un simple sourire sur mes lèvres, elle tenta de me faire rire en utilisant ces charmes picorant avec élégance dans son assiette de Burnch tout en me disant que surement une chance s'offrait donc à elle et je ne savais pas si elle blaguait ou quoi mais ça me fit plus sourire encore que précédemment. Elle était toute mignonne en disant ça, c'était touchant ! Je ne pensais pas plus à mal en entendant cela, c'était ça ce coté sain entre nous que j'aimais et simple surtout. Elle poursuivait malicieuse me piégeant sans difficulté en réalité : « A moins … à moins qu'il y aie déjà une autre fille en lice ! Dis-moi tout, je suis sure il y a quelqu'un. Et j'ai toute la journée devant moi pour tout savoir sur tout. » Elle voulait donc jouer. Je souriais en secouant la tete de gauche à droit montrant ma lassitude et que je comprenais bien son petit jeu mais je voyais dans son regard que lâcher l'affaire était réellement chose impossible. Je soupirais et attrapant sa main au passage, je répondais : si tu veux tout savoir il y en a bien une qui se nomme aussi Charlie, si tu rie, je te tue mais sache que tes chances sont toujours possible ... dis-je aguicheur montrant mon petit jeu en caressant doucement sa main, avec une grande douceur que peu me connaissait et trop de tendresse.
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Fallait le faire quand même. Charlie et Charlie. La jeune femme avait vraiment envie de rire mais elle se contenta d'un grand sourire. « Peut-être qu'il te fallait bien un ou une Charlie dans ta vie mais tu t'es trompé. Genre ta vie c'est un immense Où est Charlie ? » Non mais sérieusement, qui n'avait pas envie de rire ? Mais au fond, la Quincy trouvait ça trop mignon et romantique. Et flippant. Non ça faisait quand même un peu peur. Imaginons cinq minutes que le Winthrop soit condamné à sortir qu'avec des Charlie, c'est quand même légèrement terrifiant. Elle était même en train de faire une liste des Charlie de la Terre dans sa tête. Hey Charlie de The Voice était canon, Charlie Sheen par contre, beurk, Charlie de la chocolaterie c'était cool s'il pouvait fournir Joan en chocolat et Charlie Chaplin était drôle – mort mais drôle. On s'éloigne du sujet là quand même. « Je veux connaître au maximum la concurrence pour savoir comment je dois m'y prendre pour la battre. Elle est sur le campus ? Dans quelle maison ? Quelles études ? » Elle avait plein de questions à poser, et pas temps pour se lancer dans une pseudo compétition que pour voir si le jeune homme était vraiment attaché à la mystérieuse Charlie et si oui, à quel point.
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Joan voulait clairement rire mais ne voulant pas me blesser, elle se retenait mais c'était bien trop visible : quelle coquinette franchement ! Je souriais tout de même parce qu'en fait, je relativisais en voyant son petit sourire et ses envies de rire de la situation. C'est vrai qu'au final, cette histoire de "Charlie", c'était franchement drôle et je ne pus me retenir de rire doucement en entendant la blague sur le "où est charlie ?" ; c'est clairement ça ! Bien sur, je ne me formalisais pas du fait que là, dans ses pensées inconnues à mon esprit, elle allait surement exploser au bout d'un moment vu la retenue que je lisais sur son visage mais pour le moment, elle se ressaisissait et me demandait sérieuse, presque dans l'entrain de noter les informations pour enquêter : « Je veux connaître au maximum la concurrence pour savoir comment je dois m'y prendre pour la battre. Elle est sur le campus ? Dans quelle maison ? Quelles études ? » Je rigolais en regardant Joan à la fois navré et en pleine envie d'éclater de rire face à tant d’intérêt. Je ne savais pas la réaction que pourrait avoir ma belle rousse si elle avait vu l'interrogatoire de la brunette en face de moi. Gène, je mangeais quelques morceaux de mon brunch n'osant pas la regarder de trop. Décidé, je levais les yeux sans croiser son regard fort et répondais : Quelle fouine toi alors ... je rigolais avant de poursuivre : Alors elle est bien à Harvard, chez les artistes tu sais ... je suis fan de son talent ... Je m'étonnais à dire cela et mis presque mes mains devant ma bouche parce que ça la faisait gaga quoi. Elle fait theatre et musique ! Je souriais franchement.
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Lindley fixait Emrys en picorant dans son assiette, l'écoutant décrire sa belle Charlie. En fait, elle était presque surexcitée, il était trop mignoooooon. La jeune femme avait presque envie de lui pincer les joues et de lui ébouriffer les cheveux comme un enfant. Mais, la brune savait aussi que pour arracher des infos au jeune homme il fallait être patiente. C'était un coup à le braquer et à faire ressurgir l'ancien Zacharias, celui qu'elle avait connu au tout début, pas franchement tendre avec elle. Certes, maintenant ils n'en étaient pas au même point, ils se connaissaient depuis trop longtemps et Joan tenait bien trop à lui pour que la situation ne redevienne comme avant, mais elle préférait prendre ses précautions. « Seulement fan de son art ou il y a autre chose ? » demanda-t-elle avant de mordre dans un croissant. « Les artistes sont d'excellents amants. N'est-ce pas ? » Joan eut un large sourire machiavélique. Bon, elle espérait quand même qu'il y avait un peu plus qu'une relation physique entre le bouclé et sa Lowell. En vrai, Frances n'attendait que le jour où il allait lui annoncer le mariage, le bébé et tout ce qui va avec. Elle en était certaine : il ferait un excellent chef de famille.
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Joan semblait toute folle de m'entendre parler de ma jolie rouquine et je levais les yeux, navré de voir autant de folie à l'idée que je parle d'une fille qu'elle connaissait pas. Néanmoins, j'aimais énormément la façon dont elle me posait les questions ; sans me brusquer. Ça montrait bien qu'elle avait su me prendre dans le bon sens et apprendre à me connaitre. Je souriais à l'entente simple de sa demande plus profonde sur ce qu'elle aimait et je rigolais à sa question surtout parce que l'on voyait qu'elle était trop dans la folie là. Joan ... elle aime d'autres choses comme tous le monde mais l'Art est sa vie oui ... Dis-je en me marrant tout seul de son comportement dément qui me troublait particulièrement car elle était plus causante que concernant mes anciens amours, surement le sentait-elle mieux, je ne sais pas. Elle était tout sourire et ça faisait plaisir. Pendant qu'elle ne parlait plus et mangeait son croissant, je profitais pour boire une gorgée de mon cappucino ayant peur de ne pouvoir en profiter vu comment je devais parler en fait. Je passais une main dans mes cheveux, me poussant plus dans ma chaise assez doucement et discrètement, le dos collé contre le dossier en soupirant tandis qu'elle me demandait qu'il était bon de vivre une idylle avec un artiste. Par son allusion, je compris qu'elle parlait de mon talent caché d'écrivain et de ma profession puisqu'elle faisait avec Charlie, des premières personnes à avoir su pour mon pseudonyme utilisé pour publier mon bouquin : Ouais, on n'est bon... c'est pour ça que tu me kiffes ? Dis-je en lui donnant une petite tape de mon doigts sur le nez avant de tripoter ses petites joues en rigolant comme un enfant.
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Aaaaah, il devait être trop meugnon. Joan serait curieuse de le voir en action avec sa Charlie. Rien de coquinou, juste voir comment il agissait avec la jeune femme. Sous ses airs de gros dur, la brune avait toujours été persuadée qu'il était un super petit ami. En riant, Lindley ajouta sur le ton de la plaisanterie. « J'ai toujours imaginé que les artistes ne vivaient que pour leurs dessins. Enfin maintenant elle a une muse. » En réalité, elle savait parfaitement que les Lowells étaient des gens comme les autres – ou pas. Puis, elle but dans son verre ce qui semblait être un jus d'orange amélioré. De toute façon, elle n'avait jamais su faire la différence entre les différents jus de fruits ou surtout les jus d'agrumes. Il est clair qu'on reconnaît facilement un jus de pomme. J'pense que vous avez compris là où je voulais en venir. « Ben oui, tu croyais quoi. J'trouve ça trop sexy les artistes. Vous avez un aura incroyable. J'te jure. » Lindley pouffa en continuant de picorer un peu partout dans les assiettes devant elle. Mon Dieu elle n'avait jamais eu un petit-déjeuner aussi consistant. Ah oui, c'était un brunch c'est pour ça.
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