(+rhys) i've been drinking too much.

C'était le lendemain de la fête de Royce. Autant dire que j'étais dans un de ses états, pas possible. Je ne sais pas quel heure il est, je ne sais pas combien de temps j'ai dormi et je n'étais même pas sûr d'être dans mon nouvel appartement. Depuis que Clio et moi avons emménagé ici, j'avais un peu de peine avec tout. Déjà, ce n'était pas du tout mon genre de quartier, mais en plus j'avais un gars super lourd juste en face qui me prends la tête. Il avait beau être quand même pas mal à regardé, il me tapais sur les nerfs. La fête de la veille avait été bonne, mais on était parti loin, tellement loin. J'avais de la peine à ouvrir les yeux tellement j'avais tellement mal au crâne. J'avais besoin de médicament, vite. Je me levais difficilement du canapé, ne cherchant même pas à comprendre pourquoi je dormais sur le canapé et pas sur mon lit. J'allais dans la cuisine et prenais le jus d'orange, buvant directement à la bouteille comme une assoiffée. J'ai bu pendant longtemps, je en savais même pas que j'avais autant soif. Je me regardais dans le miroir et remarquait que je portais un sweat bordeaux. Je ne savais même pas qui il était. Bref, je me regarde dans le miroir quand soudainement, je fus prise de vertige, pendant une seconde. Je venais d'entendre un bruit, ce bruit continuait et continuait. Ca frappait sur mon crâne comme un marteau. Ca venait d'en face, bien sûr que ça vient d'en face comment aurais-je pu en douter ? Je sors de chez moi et frappe de tout ma force contre la porte du voisin. Je mettais mes lunettes de soleil sur mon nez, trop de lumière.

Me réveillant doucement dans mon lit, des souvenirs m'assénaient alors la tête à propos de la soirée de la veille. Dorian. Madd. Typhène. L'autre rouge. Oh non, je n'avais pas envie de ressasser ses images plus pathétique les unes que les autres. Aujourd'hui, j'étais seul dans l'appartement puisque que les autres désertaient souvent le matin pour partir faire leurs emplettes. De nature plus flemmard, je profitait de la douceur et de la chaleur de mes draps avec lesquelles, j'étais entrain de me lover. Mais en regardant l'heure plutôt tardive pour une matinée, je me levais et me promenait tranquillement dans la maison complètement nue. Je n'étais pas nudiste mais ne pas avoir le moindre tissus sur le dos était une vrai libération parfois, et surtout dans un lit où en général nous transpirions. Je passais ma main sur mon visage, dérivant peu à peu sur mes cheveux épais et noir qui méritait une bonne douche. M'arrêtant sur le panier de fruit dans la cuisine, je pris rapidement une pomme en mordant à grand coup de dent. Je ne savais pas quoi faire aujourd'hui, mais l'envie de me vider la tête était présent, l'une des raisons pour laquelle j'allumais la stéréo, tout en allumant une de mes clopes. J'ouvris la fenêtre et fumais tranquillement sur mon canapé. Me montrer nue en publique n'avait rien de jouissif pour moi, je préférais garder ça pour la bonne personne.. Enfin, mes colocataires m'avaient déjà vu à poil mais c'est pas comme s'il comptait. Tirant sur une latte, je prenais du bon temps en regardant de la fenêtre les gens vivre en bas de chez moi quand on toqua à la porte. Fronçant les sourcils, j'écrasais le reste de ma cigarette dans une petite coupelle ou beaucoup de cendre y était, puis m'avança vers la porte comme si de rien n'étais. Et ce n'est qu'en commençant à débarrer que je me rendais compte de ma tenue.. Merde. Rapidement je passais par ma chambre afin d'enfiler un boxer et un jogging. Ce devait être encore Damian ou Meryl qui avait encore oublié leurs clés, ce qu'ils faisaient fréquemment. Ouvrant la porte, c'est une teigne de Lowell que je découvris. Super. Comme si hier n'avait pas été assez horrible, il fallait qu'elle m'emmerde même chez moi. Je refermais donc la porte sans prendre la peine de lui demander ce qu'elle voulait jusqu'à ce que je me rappel ce qu'elle avait sur le dos. Mon pull putain ! J'ouvris alors en la regardant froidement. Je savais qu'elle avait passé une soirée avec Madd  à faire les connes et je détestais ça. Je n'aimais pas voir ma meilleure amie se rendre complètement débile à ce faire embrasser et toucher. « Retire ce que t'as sur le dos. Ça m'appartient. » Dis-je en tendant la main. Depuis le temps, ce devait être sec, non ?

Je me présentais devant la porte de mes voisins, bien décidé à faire cesser ce bruit incessant. En plus, Madisson dormait sur la canapé je n'avais pas envie qu'elle soit réveillé par des bruits pareil, surtout après la nuit qu'on avait eu. Ah, et quel nuit d'abord ! Je n'aurais jamais cru que je la terminerais ainsi tiens. Je ne saurais pas par quoi commencer lorsque je la raconterais, le jeu de la bouteille ? le topless ? la piscine ? la danse des canards ? C'était une soirée à ancrée dans les anales, c'était une soirée du tonnerre. Bien sûr, au réveil on regrette toujours et je regrettais plus que jamais. Je n'arrivais pas à me souvenir de chaque détails, mais comme la moitié des événements ça devait être sous l'influence de Jorden, le winthrop un peu déluré parti pour le Kenya. Je ne lui en voulais pas, on avait passé une sacré soirée grâce à lui, mais j'étais quand même un peu mal. Ca devait être pour ça que le voisin est parti hier, parce que ça partait beaucoup trop loin. Personnellement, je ne lui aurais pas couru après, mais j'ai bien vu que ça n'avait pas fait plaisir à ma Madisson. C'était comme si il l'avait un peu abandonné, elle l'a ressenti direct et j'ai dû en faire des trucs pour qu'elle ne le remarque pas. Comme embrassé Jorden, Chrissy et Alicia. Lorsque le jeune homme ouvrit enfin la porte, j'étais prête à lui faire une remarque et partir, la routine quoi, mais il me referme la porte au nez, le goujat. J'étais sous le choc, on m'avait rarement manqué de respect comme ça. « Retire ce que t'as sur le dos. Ça m'appartient. » Je ne dirais pas qu'il est méchant, parce qu'il m'avait prêté son sweat alors que j'étais trempée avec un haut devenue transparent, mais je ne dirais pas non plus qu'il est gentil, ni agréable, ni poli. De ce que j'ai vu, il est surtout grincheux, pénible et une boule de frustration. « C'est pas en me parlant comme ça que tu l'auras plus vite, ni en me claquant la porte au nez. » Je venais d'enlever mes lunettes, et je regardais sa main avec dédain. Il est toujours comme ça ? Je me demandais bien, et surtout comment il avait put devenir ami avec Madisson qui était une femme délicieuse, adorable et gentille. Je gardais son sweat sur le dos, je savais que je portais toujours mon short et mon haut en dessous, donc que je ne finirais pas nu si je me décidais à le lui rendre, mais par fierté je n'en ferais rien. Enfin, pas encore. « Je ne suis pas venue pour te le rendre, juste pour te demander de baisser le volume de ta musique, voir de ne pas en mettre. » Je l'observais, il devais être bien tranquille dans son jogging à faire je ne sais pas quoi. Il était attirant, mais bon j'évitais de trop le remarquer il était aussi pénible qu'il pouvait être sexy.

Je l'a regardais avec mépris parce que j'étais tout bonnement frustré de la voir se comporter comme une gamine. A se faire embrasser par un connard et se faire tripoter aussi comme une femme facile, non comme une gamine facile. Je n'arrivais pas encore à déceler là femme en elle, et m'avouer qu'elle m'attirait était tellement énervant. Je me battais intérieurement pour la garder dans une case de pauvre fille et de passer mon chemin sans me retourner sur elle, sauf que tout l'inverse se produisait. Même Madisson était amie avec elle, à croire que mon destin était lié au sien. Je me tenais donc devant elle avec pour simple vêtement un jogging et je l'a regardais en priant pour que notre discussion ne dur pas des heures. J'avais autre chose à faire, comme me détendre, penser à prendre une douche et me préparer pour ce soir étant donné que j'étais barman dans le bar du coin. « C'est pas en me parlant comme ça que tu l'auras plus vite, ni en me claquant la porte au nez. » Je soupirai en dérivant le regard jusqu'à sa porte de chambre, avant de le reposer dans ses yeux d'un magnifique vert. Troublant, non ? « J'ai eu la bonté de te le prêter. D'ailleurs j'espère que t'as pas fait de cochonnerie avec. » Dis-je en pensant à des galipettes ou ce genre de chose. Ce crétin de Winthrop avait on pouvait le dire, envie de sauter sur tout ce qui bougeait devant lui, je ne serai donc pas surpris d'entendre qu'ils ont finit dans le même lit. Quand elle enleva ses lunettes, je découvris alors l'état globale de son visage : une tripoté de cerne en dessous des yeux et les yeux rougit par la fatigue. « Je ne suis pas venue pour te le rendre, juste pour te demander de baisser le volume de ta musique, voir de ne pas en mettre. » Baisser le volume ? Juste ça ? Et mon vêtement putain ? C'était de la matière noble cette connerie, si je retrouvais une trace, j'allais certainement lui faire payer. « Tu es venue pour rien alors, je ne baisserai pas le son. » Voulant à tout pris récupérer ce qu'elle portait, je baissais ma main en tirant sur le vêtement, ce qui fit avancer d'un peu plus près la jeune Lowell. Ce n'était pas mon intention, mais soit. Je tirai alors sur le vêtement un peu plus en insistant afin de lui faire comprendre que je comptais vraiment le récupérer. « Si tu ne l'enlève pas, tu ne me laisse pas d'autre chose que de te l'enlever moi même. » Dis-je en accentuant mon regard dans le sien. Je ne comptais pas démordre sur le sujet. J'étais prêt à lui enlever de force s'il le fallait, bien que ce soit un simple morceau de tissu, mais je ne voulais pas qu'elle le garde pour m'énerver d'autant plus.

« J'ai eu la bonté de te le prêter. D'ailleurs j'espère que t'as pas fait de cochonnerie avec. » Je me repassais encore une fois la soirée dans la tête, me disant que quoi que j'ai pu faire qui aurait pu l'énerver, je l'ai fais sans son pull. A vrai dire, après son départ, j'avais passé pratiquement le reste de la soirée sans ce pull. Je ne l'ai remis qu'une fois avoir décidé que je m'en allais. Il étais clair pour moi, que je n'avais pas été sage, mais ça ne voulait pas dire que j'avais été une traînée non plus. Je m'étais amusé, sans penser à quoi que se soit et surtout aux conséquences. Je ne pense pas que ça me porteras préjudice. Enfin, pas plus que ça. « Tu ne le sauras probablement jamais. »Dis-je, un faux sourire aux lèvres. « Tu es venue pour rien alors, je ne baisserai pas le son. »  J'avais bien l'intention de l'embêter le temps qu'il faudrait, en fait, j'avais toute la journée. Aujourd'hui je n'avais pas grand chose de prévu, je peux donc très bien jouer à se petit jeu jusqu'à la tombée de la nuit. Je n'allais pas me laisser faire par ce type, un donneur de leçon on idée bien arrêté. Je me demande comment Madisson peut faire pour le supporter, il est tout sauf agréable et pourtant, à ce qu'elle raconte, c'est son meilleur ami. « Tu n'est pas près de retrouver ton sweat alors. » Je le regardais durement, le défiant presque du regard de continuer à me taper sur les nerfs. J'étais frustrée par un comportement aussi froid, mais aussi par un physique aussi avantageux. Il était sexy c'est sûr, mais je m'efforçais de ne pas le remarquer, de ne pas baisser les yeux vers son torse musclé et me contentais de regarder sans sourciller ses beaux yeux bleus. J'étais légèrement projetée en avant, puis une seconde fois. Il était en train de tirer sur son vêtement, quitte à l'endommager j'avais l'impression. Il voulait terriblement que je l'enlève, c'est fou. « Si tu ne l'enlève pas, tu ne me laisse pas d'autre chose que de te l'enlever moi même. » Il n'oserais jamais, mais son assurance me ferait presque sourire, je dis bien presque. J'étais encore trop dans les vapes, je n'avais pas encore toutes mes forces, mais je prenais quand même le risque de pousser le Quincy plus loin d'une main. « Lâche moi, ne joue pas à ça ! » J'utilisais ensuite mes deux mains pour repousser mon voisin, mais ne faisait qu'avancer avec lui puisqu'il était toujours accroché à son sweat.

Je devais vraiment me pousser à imaginer ce qu'elle avait du faire endurer à mon pauvre vêtement ? C'était un tissus noble, chose que j'avais payé et très chère même. Je remerciais comme même le saint esprit qu'elle le porte toujours et en un seul morceau, chose qui ne semblait pas évidente en voyant la tournure de la soirée. « Tu ne le sauras probablement jamais. » Une moue de mécontentement se forma sur mon visage en écoutant ses mots. Si jamais je retrouvais une seul trace de sperme, je promettais de lui faire payer jusqu'à la fin de ses jours. Et encore plus si la tâche restait en place. « Si tu veux pas finir étouffer, je te conseille de le faire. » Dis-je en la menaçant faussement. Je n'irai jamais jusque là, mais les petits cou foireux, ça je connaissais plutôt bien. « Tu n'est pas près de retrouver ton sweat alors. » Moi qui m'étais réveillé de bonne humeur, la tournure de la journée risquait de me rendre grincheux et insupportable. Je voulais mon putain de vêtement et maintenant ! Pour pouvoir de nouveau fumer tranquillement devant la télé ou dans mon bain. « Typhène, ne me cherche pas. » Dis-je en étant plutôt sûr de mon cou. J'étais plus forte qu'elle, un bon point en ma faveur qui me serai très utile. « Lâche moi, ne joue pas à ça ! » Dit-elle en me repoussant, mais ce qui ne changeait pas la donne étant donné que mes doigts étaient toujours posés sur mon sweet. N'étant pas vraiment patient, je me rapprochais une fois de plus vers elle en essayant de faire pression, chose qui ne marchais pas du tout. Soupirant, je détachais alors mes doigts sur ce qu'elle portait avant de lui rentrer dedans en évitant de la blesser et de la faire passer sur mon épaule, tel un sac à patate. Je rentrais alors dans mon appartement en fermant ma porte pour la poser sur le canapé dans le grand salon que nous avions, Damian, Meryl, Siam, Lexie et moi même. Bien qu'elle se débatte, j'essaie tout de même de lui enlever de force jusqu'à ce qu'elle me donne un violent coup de pied dans mes parties génitales, choses qui me plia en deux instantanément, et me coucha alors par terre. Putain de dieu ce que cela pouvais faire mal. Je me demandais même si j'arriverai un jour à me servir de nouveau de ce que j'avais entre les jambes.

A lire. (a):

« Si tu veux pas finir étouffer, je te conseille de le faire. » Oh, des menaces ? C'est qu'il s'améliore. Je n'avais pas peur, ce n'était pas parce qu'il était plutôt canon et qu'il avait plus de forces que moi qu'il pouvait tout se permettre. Je pouvais être tout aussi intimidante que lui, et je savais me défendre. « Typhène, ne me cherche pas. » Je regarde son pull. Je me trouvais bien dedans, honnêtement, j'étais mignonne dans se sweat un peu trop grand pour moi. Il m'allait peut-être mieux qu'à lui tiens. « Je me trouve sexy en plus avec ça sur le dos, je vais peut-être le garder plus longtemps. A moins que tu ne baisse le son. » Je restais sur mes positions, je ne lui rendrais rien du tout avant qu'il n'est pas fais se que je demande. Étais-ce demander tant que ça, réellement ? Si il fallait le pousser un peu, je le pousserais comme il le fallait. Avant même que j'ai pu dire un mot de plus, il me portais comme si j'étais un sac à patate. J'eus un petit cri de surprise, il était sérieux là ? Je me débattais, je voulais qu'il me lâche, je le criais même. Il me pose finalement sur son canapé et essaie de me déshabiller. Il n'avait pas menti, il comptait réellement me l'enlever de force. Et moi, je ne voulais pas me laisser faire, donc j'ai fais ce que n'importe qu'elle femme aurait fait dans ma situation : J'ai frappé là où ça faisait mal. Et qu'est-ce que ça marché ! J'étais frustré, en colère. Je n'arrivais pas à croire qu'il avait osé. Je ne le regardais même pas, je ne prêtais aucune attention à sa peine et je me dirigeais vers son ampli. Je coupais le son, j'étais venue pour ça à la base. Je me retourne ensuite vers Rhys, il était sur le sol et il souffrait. Je me décidais à enlever son putain de sweat, et m'approchait de lui à grand pas. « T'as un putain de culot » Je roule son sweat en boule et commence à frapper le haut de son corps avec.

Spoiler:

« Je me trouve sexy en plus avec ça sur le dos, je vais peut-être le garder plus longtemps. A moins que tu ne baisse le son. » Je la scrutais alors un instant, comme si je voulais vérifier ses paroles. C'est vrai que dans un certain sens, deviner ce qu'elle portait en dessous pouvait sembler incroyablement excitant, bien que j'espère qu'elle ne soit tout de même pas totalement nue. Ou bien que si finalement, je l'espérai. Mes idées étaient confuses et contraires à cette pensée. Je ne pris pas le temps de répondre, puisque je l'emmenais rapidement à l'intérieur de mon appartement qui devait ressembler au sien, et la poser sur le canapé. Mais quelques secondes plus tard un choc se produisit et bien évidemment, ce fut mon membre qui fut touché par un violant coup de pied. Je ne savais pas si je geste était voulu ou non, mais l'envie de l'étriper ce faisait plus présente. Sexy, teigne et en plus elle sait viser la petite. Mais alors que je souffrais le martyre dans mon coin, elle en profita pour baisser la musique et revenir à la charge. Me retournant sur le dos en m’efforçant de ne pas reconnaître cette vive douleur qui me tenait en halène, j'attrapais soudainement son bras qui me frappait. De petit coup, avec sa petite force. Perdant l'équilibre étant donné que je l'avais tiré d'un cou rapide et vif vers moi, elle se retrouva rapidement sur mon torse complètement surprise à en voir son regard. Je souriais alors, l'air triomphant et surtout heureux de ne pas la laisser s'en aller ainsi. Posant un instant son regard sur ce qu'elle portait à présent, étant donné que mon sweat se trouvait sur son bras. Je tombais alors nez à nez avec son décolleté que j'avais essayé de protéger la veille du nez d'un pervers. Levant immédiatement les yeux pour ne pas qu'elle me fasse une crise de plus, j’attrapais alors sa taille et la bloqua à l'aide de mes bras, et dans un élan bref, je nous faisais basculer sur le côté. J'étais à présent au dessus d'elle, et je me sentais en pleine puissance. Cette fois, il était hors de question que je me prenne un coup, chose pour laquelle je m'étais placé entre ses deux jambes, les mains posés toutes deux à côté de son visage. « Tu croyais vraiment pouvoir me faire mal avec tes coups Typhène ? Tu manques pas de culot toi aussi. »

Hey, c'est à lire. (a):

outre le fais qu'il m'ai porté et presque déshabillé de force, j'étais contente de l'avoir vu. Tout simplement parce que j'ai eu l'occasion de lui montrer un peu qu'on ne jouais pas avec moi. Il me tapait sur les nerfs, et en plus il était brutale et têtue comme une mule. Sur bien des points, on se ressemblait, mais on en s'entendait juste pas du tout. Je venais de baisser le son de sa musique et j'en étais juste heureuse, soulagé.Lui était toujours sur le sol se tordant de douleur après un coup que je venais de lui faire. Les parties intimes, c'étaient pas sympa de ma part tiens. Je ne visais même pas ça à la base, je visais son abdomen, mais bon ça à marché. Je venais de me rejeter sur lui, son sweat autour du bras et je le frappais aussi fort que je pouvais, avec mes petits bras tout maigrichon, mais le voilà qui reprenais le dessus. J'étais surprise, je ne m'attendais pas à ce qu'il réagisse aussi vite, je pensais avoir le dessus un certain temps, mais en même pas deux seconde j'étais en dessous de lui et dans l'incapacité de faire plus de mouvement que ça. « Tu croyais vraiment pouvoir me faire mal avec tes coups Typhène ? Tu manques pas de culot toi aussi. » J'avais envie de le tuer, à moins que se ne soit la frustration qui parle. J'étais constamment frustrée en sa présence, c'est horrible de se sentir comme ça. « Lâche-moi, ou je te jure que je m'occuperais de toi personnellement ! » J'essayais vainement de me détacher de son emprise et repose finalement ma tête contre le sol lorsque me vint la fatigue. « J'en ai marre de toi, tu sais pas comment. »

Je me sentais plus fort, plus puissant, j'avais des idées sadiques qui traversaient l'esprit et le pire c'est que j'adorai ça. J'aimerai parfois que mes pulsions à ce niveau là ne se mette pas en route, surtout devant la femme qui m'exaspérais le plus. Si jamais elle savait ce que je pouvais faire et ce que je faisais au niveau du sexe, elle s'empresserai certainement de tout raconter, hors je comptais garder ça secret encore bien longtemps. J'en avais un tantinet honte. « Lâche-moi, ou je te jure que je m'occuperais de toi personnellement ! » Son air menaçant et son petit nez renfrogner pouvait paraître mignon dans un certain sens, malheureusement pour elle, ses menaces n'avaient aucun effet sur moi, surtout dans cette position alors qu'elle se retrouvait en faiblesse. « M'occuper de moi personnellement ? Mhm.. Que compte tu me faire ? » Dis-je en laissant soudainement ma colère s'évanouir pour arriver à prendre un air taquin, presque coquin. Arg. J'étais incorrigible. « J'en ai marre de toi, tu sais pas comment. » Dit-elle sur un ton exaspéré quand elle reposa sa tête sur le sol en carrelage. « J'essaie de t'aider, c'est toi qui réagit successivement Ty. Faut te détendre.. » Dis-je d'une manière lente tandis que mes yeux louchaient sur son cou, comme un vampire en manque de sang. Une seconde plus tard, je posais mes lèvres sur celui-ci en le passementant de plusieurs baisers avant de relever la tête et de plonger mes yeux azures dans les siens. « Comme ça tu vois.. » Dis-je en ayant un sourire en coin.