Chrissy | Burn in hell bitch.

Chrissy & Jessie

J'en peux vraiment plus de ce boulot de bonne. Je ne suis pas faite pour ça, j'ai pris l'habitude de me faire servir, qu'on lave mon linge, qu'on fasse les tâches ingrates à ma place, mais depuis que mon ex-mari est mort sans me laisser un dollar, je me retrouve à faire la femme de ménage à Harvard et surtout, à vivre sous le même toit que ma sœur. Non pas que je ne l'aime pas, mais disons que par moments notre relation est tendue. D'ailleurs en sortant du travail, j'ai remarqué une robe vraiment sexy dans un petit magasin du coin. Le seul problème ? Je n'ai plus un rond, j'ai tout utilisé l'autre soir en boîte de nuit, mais qu'importe, j'allais demander à Danae de m'avancer. Je ne l'ai cependant trouvé nulle part, j'arrivais alors à la Quincy House en espérant la retrouver ici. Sauf que dans la salle principale, elle ne s'y trouvait pas. Je m'avançais vers un petit groupe de jeune, dont cette garce de Chrissy, la petite fille de mon ex.. Je l'ignorais pour m'adresser à la brunette à ses côtés. Tu n'as pas vu ma sœur par hasard ? Demandais-je à la jeune fille avant de tourner légèrement mon regard vers cette saleté de Chrissy, la foudroyant du regard.

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Chrissy & Jessie

J'étouffais un baillement tout en prenant la direction de la Quincy House. Certes, je n'y habitais pas ayant mon propre appartement mais c'était devenue comme une habitude. A chaque fin de journée, j'passais y faire un tour histoire de passer du temps avec les membres de ma confrérie. Et puis en y pensant bien, aujourd'hui j'en avais encore plus besoin que d'habitude. Fallait dire que mon moral n'était pas au beau fixe depuis l'anniversaire du Winthrop dont je me souvenais plus le nom. Je m'étais pris la tête avec Dorian sauf que cela avait été beaucoup plus violent que les fois précédentes et j'avais bel et bien l'impression qu'il ne me pardonnerait jamais d'avoir jouée à la bouteille avec Andrea et les autres. Ce que je pouvais comprendre mais j'étais carrément en train de me rendre malade pour ça ce qui n'était pas vraiment chouette au final. Bref. Fallait à tout prix que je pense à autre chose. J'me faufilais dans la maison allant directement dans la salle commune discuter avec les personnes qui soit là jusqu'à ce que la pire meuf au monde apparaisse. Jessie. Non mais sérieusement, pourquoi est-ce qu'elle était partout elle aussi ? Les gens voulaient que je pète un câble ou quoi ? Tu n'as pas vu ma sœur par hasard ? Elle s'adressait pas à toi mais ta mauvaise humeur ambiante faisait que tu ne pouvais pas t'empêcher de lui balancer un petit truc à la tronche. « Non elle est pas là. Et pour ton info, j'pense pas qu'elle aime les vieux. Tu devrais faire un tour à la maison de retraite toute seule. »

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Chrissy & Jessie

J'aurais dû m'en douter, j'aurais dû savoir que je ne trouverais pas Danae ici, mais que cette connasse de Chrissy y serait. Elle ne me laissera donc jamais en paix celle-là ? Elle et sa famille m'ont volé, c'est moi qui aurais dû hériter de cet argent, c'est moi qui étais aux côtés du vieux lorsqu'il avait besoin d'affection, c'est moi qui ai dû me taper le sale boulot. Oui il n'était pas méchant comme bonhomme, j'ai bien profité de son argent, mais je l'ai mérité. Même si je couchais à droite et à gauche, j'étais là pour lui, pour l'écouter me rabâcher toujours les mêmes choses durant plus de dix ans. Mais cette garce de Quincy refuse de l'admettre, elle préfère profiter de mon argent. Mais qu'elle en profite, la roue tourne et un jour j'aurais ma revanche. Je soupirais lorsqu'elle me fit un reproche, non mais cette fille ne devait réellement pas savoir à qui elle s'adressait ou alors elle était complètement stone. Elle a un problème la pouffiasse ? Demandais-je à la blondasse en la dévisageant. Elle cherchait les problèmes ? Et bien elle vient de les trouver, si elle croit que je vais me laisser marcher sur les pieds sans rien dire, c'est qu'elle me connaît mal. C'est ça la différence entre toi et moi .. Je peux autant faire bander un vieux débris, qu'un jeune sportif. Toi même un mec qui a fait dix ans de taule ne voudrait pas te toucher. Et tu passeras le bonjour à tes raphias de parents, ils doivent bien profiter de MON argent à cette heure-ci. Lançais-je avec un rictus de dégoût sur le visage.

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J'arborais un sourire ironique me retenant de ne pas lui sauter dessus. Parce que ouais, chaque fois que je la voyais, j'avais envie de lui éclater le crâne. Allez savoir pourquoi mais elle déclenchait chez moi des pulsions meurtrières. J'pouvais rien supporter chez elle. Absolument rien. Et même si quand elle était entrée dans ma vie j'étais assez jeune j'avais tout de suite compris. Elle n'était là que pour le profit, pour l'argent, et j'avais appris à la haïr dès les premières secondes. Elle avait profité de mon grand père pendant dix longues années mais au final, celui-ci avait bien du comprendre ce qu'elle était puisque il ne lui avait pas laissé un sous lors de sa mort. Et bordel, ça me faisait jubiler. C'était tout ce qu'elle méritait cette garce. « La poufiasse t'informe juste qu'on est pas dans une maison close ici. Demi tour et tire toi. » Si elle croyait pouvoir m'atteindre, elle avait faux. Rien de ce qu'elle dirait ne pourrait me blesser parce que je savais qu'elle ne valait absolument rien. Elle n'était qu'une croqueuse de diamant sans aucune conscience et elle pouvait bien aller pourrir en enfer que ça ne changerait rien à mon quotidien. « Ton argent ? » Je riais légèrement. « Depuis quand les traînées reçoivent un héritage ? Tu mérites rien et figure toi que oui, on profite plutôt bien. Puis en le cumulant à ce qu'on avait déjà faut dire qu'on est plutôt riche là. » Ouais j'avais tout à fait le droit de la narguer. J'faisais ce que je voulais. « Et toi alors ? Comment vont les trottoirs ? C'pas trop dur de se retrouver d'un coup au seul endroit qui correspond ? Parce que te fais pas d'illusions, t'as rien d'une grande dame. Tes juste la petite pute des quartiers. »

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Chrissy & Jessie

Quoi qu'elle puisse dire, cet argent je l'ai mérité. J'aurais dû l'avoir pour toutes les années passées aux côtés de son grand-père. Et sa réplique à ce propos avait le don de me mettre en rogne. Je serrais mon poing, mais je me retenais tout de même de lui balancer en pleine figure, même si c'est tout ce que mérite cette saleté de blondasse. Oui mon argent. Qui était là pour lui ? Moi. Où est-ce que tes parents étaient pendant que ses derniers jours hein ? En plus de dix ans avec ton grand-père, j'ai dû voir tes parents deux ou trois fois grand maximum. Mais j'avoue que ta sale gueule je l'ai un peu trop vue. Lui avouais-je avec un rictus de dégoût. Je n'ai jamais accroché avec cette fille, bien trop chiante à mon goût. Qu'est-ce que ça peut lui faire que j'aime m'envoyer en l'air ? Sous ses airs de petite fille modèle, je suis prête à parier qu'elle est loin d'être aussi innocente qu'elle aimerait le faire croire. Je soupirais suite à son énième insulte, je commence à en avoir l'habitude, à croire qu'elle n'a que le mot 'pute' pour me décrire. Et très franchement ça commençait à me faire rire. Pauvre petite chose, si tu crois que t'es insulte on un quelconque impact sur moi, tu te trompes. Insulte-moi de salope si tu veux, ça veut dire que contrairement à toi, je suis désirable. Lui fis-je savoir avec un sourire moqueur sur les lèvres. L'une de ses amies buvait tranquillement une canette de coca en écoutant de notre querelle, j'attrapais cette même canette avant de la vider sur la tête de la blonde, fière de mon coup. Oops excuse-moi, ça m'a glissé des mains. Elle veut jouer avec moi ? Très bien, mais elle va s'en mordre les doigts.

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Je me fichais totalement que les gens présents à la QH nous regardent. Après tout, j'étais loin d'être en tord. Cette garce était une profiteuse et elle ne méritait absolument rien. Elle pouvait bien clamer haut et fort que cette argent lui revenait, cela ne changeait rien et elle s'enfonçait seulement un peu plus. La meuf elle était bien bas et elle creuser encore. D'ailleurs, ça me posait aucun problème de lui fournir une pelle histoire de l'aider un peu. Un sourire sarcastique empreint sur le visage, je me retenais vraiment de ne pas sortir tout un tas de grossièretés. Et pourtant, c'était pas ce qui me manquait. J'étais peut être la gentille petite blondinette de la Quincy mais je savais sortir les griffes quand il le fallait et j'allais pas me laisser marcher dessus par une pauvre conne de son genre. Au diable le respect, elle ne méritait absolument rien. « Tu crois vraiment que tes actes sont louables ? T'étais là que pour le fric, tu mérites rien et j'suis bien contente que t'es touchée que dalle. Femme de ménage, ça t'vas plutôt bien au final. Du coup ça fait quoi de devenir un souillon ? » Je riais une nouvelle fois histoire de bien la provoquer. Si elle voulait la guerre, ça me posait pas de problème. Elle avait beau avoir huit ans de plus que moi, ça n'empêchait pas le fait que j'allais la réduire en miette. « Désirable ? Ahaha. Quel blague. T'es juste le genre de meuf où les gens vont se vider quand ils n'ont rien d'autre à se foutre sous la main. » Charmant non ? Fallait pas mélanger les serviettes et les torchons. Et putain elle, c'était un sacré torchon sale. Et là, d'un coup, je me prenais une canette de coca sur la tête et le tout dégoulinait le long de mes cheveux. Sérieusement ? Elle voulait jouer à ça. Après m'être essuyée rapidement, je lui collais une gifle magistrale qui avait bien claquée dans l'air. « Oups, excuse moi c'est partit tout seul. »

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Chrissy & Jessie

J'avoue que lorsque c'est ma sœur qui me critique sur certains points, ça peut me blesser. Mais lorsque c'est Chrissy, je m'en fiche royalement. Elle devrait même me remercier d'avoir été aux côtés de son grand-père durant plus de dix ans, mais non, elle se contenta de se foutre de moi et de mon nouveau job, soulignant sans cesse que je ne méritais pas un seul dollar. Tu me reproches quoi au juste ? D'avoir profité du luxe que mon mari pouvait m'ouvrir ? Oui j'ai profité de la piscine, des majordomes, est-ce un crime ? Non. Car j'étais quand même là lorsqu'il avait besoin d'une femme, d'être écouté, de parler. Certes par moments ça me faisait chier qu'il me rabâche ses histoires de jeunesses, mais j'étais quand même là. Lui disais-je le plus agacée du monde. Elle ne comprenait pas à quel point ce n'était pas facile tous les jours d'être mariée à son grand-père. Et je suis une femme, j'avais moi aussi besoin d'être comblé et soyons francs, à son âge ce n'était clairement pas ça. Sauf qu'elle m'agaça de plus en plus, toujours la même insulte, toujours à me comparer à une simple pute. Ça me faisait tellement rire et pour preuve, je lui riais au nez. Oh arrête ou je vais pleurer. Tu crois vraiment que les insultes d'une petite connasse blonde dans ton genre vont me blesser ? T'es juste une petite conne frustrée et jalouse. Par la suite, j'ai vidé le coca de son amie sur sa tête et la contre-attaque ne se fit pas attendre puisqu'elle ne se priva pas pour me gifler. Je ne m'y attendais clairement pas, je tenais la joue suite à cette claque qui allait certainement me laisser une trace. Si tu crois que je vais me laisser faire sans réagir, c'est que tu me connais très mal. Oh oui, je ne suis pas du genre à me laisser faire. Sans plus attendre je lui rendais à mon tour sa gifle avant d'attraper ses cheveux, prête à me battre avec cette fausse blonde, rien à faire si ça me coûte mon job, de toute façon je n'étais pas en train de bosser.

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Mes idéaux de paix semblait s'être envolé bien loin. Mais face à cette femme, je ne pouvais définitivement pas rester calme. Elle m'insupportait. Rien que le son de sa voix suffisait à me mettre de mauvaise humeur pour le reste de la journée. J'étais incapable de la supporter et ce, même en peinture. « Ce que je te reproche c'est de n'avoir fait ça que pour l'argent. Tu te foutais de lui et de tout le reste. Tu ne voyais que l'héritage derrière. » Ouais. Et de nombreuse dispute avaient éclatés à cause de cette croqueuse de diamant. Jusqu'à ce que mon grand père ouvre les yeux et la raye finalement du testament. Bordel ce que ce jour avait été cool. La tête qu'avait fait cette pouf était juste mémorable et je regrettais de ne pas avoir une vidéo histoire de repasser en boucle son changement d'humeur. Parce que la seule chose qu'elle avait pleurée, c'était l;e fric. Elle se fichait éperdument qu'il soit mort. Elle n'avait attendu que ça pendant tout le temps où elle avait été mariée à lui. « Jalouse de quoi ? De ne pas passer le balai à longueur de journée ? Laisse moi rire. Faut vraiment être stupide pour croire qu'on puisse être jaloux de toi. » Et j'enchaînais un rire à ma réplique histoire de la descendre un peu plus. Et puis aussi pour lui montrer qu'elle pouvait bien dire ce qu'elle voulait mais qu'au fond, c'était elle qui était jalouse. De ce que je pouvais avoir, de l'argent que je pouvais dépenser tandis qu'elle n'avait rien. Puis fallait quand même être sacrément con pour s'en prendre à une fille de mon âge. A croire que la maturité ne lui parviendrait jamais. Et ce qui devait arriver arriva. J'prenais à mon tour une gifle avant qu'elle n'empoigne mes cheveux avec force. Elle voulait vraiment que les choses tournent de cette manière ? Très bien. Je ne pouvais pas faire grand chose à part la mordre et je n'hésitais pas une seule seconde à lui planter mes dents de manière assez sauvage pour qu'elle me lâche enfin. Et une fois fait, je la poussais violemment contre le mur éprise d'une rage que je ne connaissais pas. « Me touche plus jamais ! »

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Chrissy & Jessie

Je ne répondais plus rien à ses propos me concernant, elle me saoulait plus qu'autre chose. Mais quand elle me fit savoir que j'étais heureuse que son grand-père soit mort, un petit rire étouffé s'empara de moi. Finalement je me suis jeté sur elle suite à sa claque et cette folle me répondit en me mordant tellement fort que j'avais l'impression de saigner. Une petite larme de douleur fit son apparition sur mon visage avant qu'elle me colle contre le mur en me hurlant dessus. Va te faire foutre salope ! Lui disais-je en rageant réellement. Je crois que je n'ai jamais été aussi énervée contre une personne, à tel point que mon poing se dirigea en plein dans son visage. Heureusement pour elle j'ai surtout visée son front, au pire des cas elle aura une bosse pendant quelques jours. Je la regardais tomber à genoux alors que ses amies couraient autour d'elle pour prendre de ses nouvelles. Va te plaindre auprès du Doyen je m'en tape complètement. Mais surtout va chialer dans les jupons de ta connasse de mère. Et si elle a un problème, qu'elle vient me voir en face, je me ferais un plaisir de lui en coller une à elle aussi. Hurlais-je tout aussi énervée qu'elle. On devait certainement passer pour deux folles furieuses et je m'en fichais bien. Elle m'avait réellement cherchée, c'est elle qui a lancée les hostilités, à la base je voulais simplement chercher ma petite sœur. Puis ses paroles de toute à l'heure me revenaient en pleine gueule. Qu'elle m'insulte de salope, de croqueuse de diamants ou tout ce qu'elle souhaite, je m'en fiche. Mais je n'étais pas sans cœur non plus. Et pour ta gouverne, je n'ai pas jubilé de son décès. Oui ça me fout la rage qu'une petite conne comme toi hérite du fric que j'ai mérité. Mais même si je n'ai pas pleurée, je n'ai pas non plus fait péter la bouteille de champagne quand il a fait sa crise cardiaque. Tu ne me connais pas, tu me juges sans me connaître. Oui j'étais avec son grand-père pour le luxe qu'il pouvait m'offrir, je n'étais pas amoureuse de lui, mais en aucun cas j'ai fait la fête en apprenant sa mort.

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HJ:

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« C'est toi la putain de salope !! » Bordel mais comment faisait elle pour me mettre autant hors de moi ? C'était hallucinant. J'étais pourtant le genre de personne calme qui prenait tout à la dérision et qui ne s'énervait jamais mais avec elle c'était mission impossible. J'étais pas du tout capable de me calmer et au contraire, j'avais plus envie de lui détruire la face qu'autre chose. C'était presque si je n'aurais pas eu des pulsions meurtrières mais bordel, j'pouvais vraiment pas me voir sa tête à celle là. Et genre, elle se prenait pour une dingue en me foutant un coup de poing. J'crois qu'en temps normal je serai tombée à la renverse sous l'impact mais là, j'me prenais pour une guerrière et j'restais debout prête à lui sauter à la gorge. Ouais je plaisantais pas du tout. J'avais pourtant avertit, je ne voulais pas qu'elle me touche. Maintenant ? Fallait se préparer au massacre parce qu'il était clair que j'allais tenter de l'enterrer. J'repoussais les filles qui étaient venu s'assurer que j'allais bien réagissant au quart de tour quand elle osa insulter ma mère. « Pardon ? T'as dis quoi là ? » Ok, je devenais un ninja. Pour le coup, je lui sautais dessus attrapant ses cheveux et plantant mes dents sur toute les surfaces libres de sa peau. C'était la guerre qu'elle voulait ? Elle allait l'avoir. Pas de pitié. « Tu t'en prends à nous sans aucune raison. L'testament, c'pas moi qui l'ai fait. C'pas ma mère non plus ok ? Alors au lieu d'emmerder le monde pour ce putain de fric que de toute évidence tu n'auras jamais tu ferais mieux de te demander pourquoi est ce que LUI t'a dégagée comme une pauvre merde. »

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