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(declan) † dors mon ange.

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Grace and Declan
L'amour peut rendre complètement dingue parfois, malheureusement c'était mon cas, et le moins qu'on puisse dire c'est que mes sentiments étaient vraiment merdique, à un point inimaginable. J'arrêtais pas de penser à Adam, à nous deux, à ce que pouvait être un nous deux avec lui. Je savais que c'était pas un mec, pour moi et pourtant je m'accrochais à la simple idée, qu'un jour on pourrait finir ensemble, être heureux, fonder une famille, et puis finir nos jours tous les deux ensemble. Au fond de moi, c'était ça mon désir caché ... et même si tout pourrait être bien plus simple, avec moi c'était toujours bien trop compliqué. Je finissais par voir toujours le mauvais côté des choses, et ça sauté aux yeux, je ne pouvais pas aimer Adam, tout simplement parce qu'il était trop nocif pour moi, car derrière cette carapace d’acier, ce trouvé une jeune femme torturée, plus que la moyenne surement. J'étais une femme torturée, dépressive, bipolaire, droguée, ce n'était vraiment pas jolie, jolie tout ça. J'avais atterris dans une petite ruelle de Cambridge, comment je ne m'en souvenais plus, pourquoi d'ailleurs essayé désespérément de s'en souvenir, ce n'était pas important, de même que depuis combien de temps j'étais ici, assise dans le noir. Je n'avais pas besoin d'avoir peur, pourquoi aurais-je peur, d'un endroit aussi mal fréquenté ? Je n'avais plus conscience de rien. Ce qui était important à savoir, c'était que je n'étais plus moi même, j'étais partie, loin très loin, j'avais besoin de ce voyage, qui pourtant ne durerait qu'un temps, qu'une heure, ou deux à peine, ils étaient de plus en plus courts au fil du temps, c'était bien trop beau pour durer. C'était tout le temps comme ça, éphémère, comme la vie. J'avais tourné légèrement la tête, j'avais vu cette seringue au sol. J'étais pitoyable ... mais c'était comme ça, et j'avais besoin de ça. J'avais fermé les yeux, un instant, il ne fallait pas que je perde connaissance ... mais c'était dur, tellement dur. J'avais envie de me reposer.
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Voilà quelques jours que j’étais revenu d’Hawaï un peu précipitamment pour aider ma cousine et son mari à se dépêtrer d’un taré à tendance psychopathe et ce soir, comme chaque soir, je me retrouvais à déambuler dans les rues de Cambridge après avoir une nouvelle fois atterri dans un combat illégal. On peut dire que j’étais un peu amoché mais cela ne changeait pas d’ordinaire. J’aimais bien trop la violence de tout de manière pour m’arrêter à ce genre de considération superficielle. Au pire, je prétexterai un entrainement de hockey un peu trop houleux et cela passera comme une lettre à la poste. Bien sûr qui dit combat illégal dit quartier mal fréquenté mais ici, chacun savait qu’il valait mieux connaitre son adversaire avant de l’attaquer. Ce n’était pas comme à New York où tout le monde jouait les suicidaires notoires pour un peu de fric. New York. Qu’est-ce que cette ville me manquait mais plus encore, c’était la famille, le clan qui me manquait entre tous. J’avais passé des années et des années à fuir la mafia pour un peu plus de normalité et voilà qu’après m’en être éloigné volontairement, je n’avais qu’une seule envie : y retourner. Je n’étais pas un homme normal. Je ne le saurais jamais car la violence, le meurtre, la torture étaient inscrits dans mes gênes. Cela ne m’empêchait pas de souhaiter un avenir meilleur et plus radieux car s’il y avait bien une chose qui n’avait pas changé, c’était que je ne voulais pas reprendre la relève de ma mère. Hors de question. Bosser en freelance me plaisait bien trop.

Tout cela pour dire que j’étais en train de remonter une ruelle sinistre quand je tombais sur une vision qui m’arracha le cœur. Ma meilleure amie était là comme un déchet de plus, semblant inconsciente. Je me précipitais vers elle. « Putain, t’as recommencé tes conneries » jurais-je entre les dents avant de lui mettre quelques petites gifles pour la sortir de sa torpeur. « Grace !! Ouvre les yeux bordel !! » la tannais-je dans un mélange d’inquiétude et de colère tout en prenant son pouls. « Si tu t’en sors, je te promets de te botter le cul » grognais-je avant de la soulever dans mes bras, bien décidé à la ramener dans mon petit appartement pour veiller sur elle –et accessoirement lui passer la plus grande soufflante de tous les temps.


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J'étais dans les vapes, assomée par la drogue qui se mélangé à mon sang, incapable de réouvrir les yeux, tellement mes popières étaient lourdes, j'avais l'impression de m'échapper, de ne plus rien ressentir le malheur qui ne m'avait plus quitté depuis des années et des années, sembler s'évaporer petit à petit de mon corps, marqué à vie, détruit, déchiré comme une vulgaire feuille de papier. J'avais l'impression de renaitre dans un sens, et pourtant tout cela n'était qu'une vulgaire illusion, un mirage qui caché le malheur, et la douleur. Mais je m'accrochais tant bien que mal à se mirage ... je m'accrochais, tout simplement parce que j'en avais besoin, et que même si tout ceci me tué petit à petit, c'était ça aussi qui me maintenait en vie d'une certaine manière, car mon corps n'était plus qu'une vulgaire coquille vide, petit à petit même mon esprit s'échapper. J'étais comme une merde, un détritus, assise, prête à partir dans un sommeil profond, peut-être éternel qui sait. Jusqu'à ce que j'entende une voix, cette voix elle m'était familière comment ne pas la reconnaître, parmi tant d'autre, c'était celle de mon meilleur ami, Declan, à qui j'avais promis un jour de ne plus toucher à cette merde qu'était la drogue, je lui avais menti, je l'avais trahi, je n'étais pas digne de sa confiance qu'il m'avait donné, et pourtant il était celui qui était tout pour moi, j'avais besoin de lui. Il fallait que j'ouvre les yeux ... mais après qu'allé t-il se passer d'autre, tout allé redevenir comme avant, le monde redeviendrait aussi minable, et froid que tout à l'heure, si ce n'est pire, et moi je serais là, en train d'agoniser silencieusement. Il avait fini par me soulever, ce n'était pas bien dur, j'avais surement encore perdu quelques kilos ... je n'osais même plus me regarder dans une glace, tellement j'avais honte de mon corps. « Declan ?! C'est toi ? » avais-je dis tout bas, et un peu déboussolée. J'avais envie de rester ici, seule, dans le silence, et la noirceur de la nuit ... il fallait qu'il me laisse tranquille ... je ne voulais pas de lui, je voulais pas qu'il me voit comme ça, dans cet état pitoyable. « Lâche moi, lâche moi, lâche moi ! » avais dis en criant progressivement. « Barre toi de là ! Je veux pas te voir ! Casse-toi, putain. » J'avais crié, crié de toutes mes forces, essayant de le faire fuir, voulant lui épargner ce désastre.
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Comment pouvait-on accepter de descendre aussi bas ? Comment pouvait-on s’infliger ce paradis éphémère pour mieux sombrer dans l’enfer de la dépendance. Je ne comprenais pas, je ne l’acceptais pas non plus et cela me tuait d’autant plus qu’il s’agissait de ma meilleure amie. J’avais envie de la frapper jusqu’à ce qu’elle comprenne la douleur qu’elle infligeait à son corps. J’avais envie de la secouer jusqu’à ce qu’un pauvre neurone non grillé par cette connerie ne fasse son boulot et qu’elle reprenne pied dans la réalité. Je savais très bien également que je n’étais pas le mieux placé pour l’aider, pas avec ma haine de la drogue. La question qui se posait était pourquoi je ne supportais pas les drogués ?! Tout simplement parce que l’espace d’un temps, j’en étais devenu un à mon tour. C’était il y a des années, quatre pour être précis que j’avais connu la drogue mais pas de mon plein grès. A cette époque, j’étais un jeune chien fou qui se foutait du danger, courant de contrat en contrat pour assouvir sa soif de sang et je m’étais fait chopper. Capturé serait le mot le plus juste. Il s’agissait d’un clan ennemi à ma famille, une bête lutte de pouvoir : rançon contre ma vie. Je savais que mes parents ne paieraient jamais, ce serait montrer une faiblesse et ouvrir une porte à tous les autres connards qui auraient la même idée. Durant plus d’une semaine, on m’avait torturé à m’en faire péter les cordes vocales… mais aussi en m’injectant des drogues régulièrement. J’étais devenu accro à cette merde par leur faute si bien que lorsqu’on m’avait tiré de cet enfer, mon corps avait commencé à montrer des signes de manque. Je me souvenais que trop bien de ma réaction : le rejet. Je ne voulais pas être un putain de junkie alors je m’étais sevré, violement, mettant mon organisme à rude épreuve. Treize jours de galère, de souffrance, de combat acharné. J’en étais sorti vidé de mes forces. Et depuis, je vouais une haine sans merci à ce paradis superficiel.

« Calme toi… »lâchais-je tout en maintenant ma prise sur son corps amaigri. Bordel, elle ne pesait pas grand-chose, cela me tuait davantage. « ARRETE DE GUEULER BORDEL DE MERDE » m’écriais-je à mon tour en luttant contre mon envie de la frapper pour qu’elle se calme. Je ne voulais pas la heurter davantage même si ce n’était pas l’envie qui m’en manquait. « Pourquoi t’a replongé idiote ?! »lui demandais-je mais avait-elle ne serait-ce qu’arrêter ? « Je te lâcherai pas alors fais toi une raison…Je t’amène chez moi » marmonnais-je d’un ton froid tout en remontant les rues menant à mon appartement.


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Cela faisait déjà plus de sept ans, que j'avais plongé dans l'enfer de cette chose, aussi dangereuse que bénéfique qu'était la drogue. Aujourd'hui cela continué malgré les cris de douleur et de détresse que mon corps dévasté me communiqué désespérément. Sept ans, jour pour jour, ou je n'arrêtais pas de penser à cette chose, qui me torturé l'esprit, une seule question ici était importante. Pourquoi avais-je commencé ? Des copains peut-être, des fêtes, comme tous les autres ... non ce n'était pas ça, c'était bien plus douloureux et insupportable. Ce fut la mort d'un être cher qui m'a fait commencer. Bêtement, j'ai sombré dans la tristesse, après la mort de mon grand père, qui était comme un père à mes yeux, je n'ai jamais pu m'en relever, tout simplement parce que j'étais faible, bien trop pour résister, et aujourd'hui c'est encore la même chose, trop bête pour comprendre, que tout ceci n'est pas bon ... malheureusement pour moi, je suis têtue. La disparition de cet homme, m'a bouleversé, jusqu'au point de non retour, c'est à partir de ce moment la que j'ai commencé, tout doucement ma descente dans l'inconnu, dans le noir total. On m'a forcé à me faire soigné, à cette époque, j'avais fini par accepté, j'avais admis que j'avais besoin d'aide ... alors j'y suis allée avec espoir, dans cette prison remplis d'hommes et de femmes aussi malades que moi, tous fous alliés. Ils étaient tous malades, comme des chiens enragés ... j'ai crus mourir dans cet endroit, j'hurlais tous les soirs, j'ai finis par ne plus avoir de larme tellement mon corps était devenu sec, non ce n'était pas le manque la cause de tout ça ... mais par peur tout simplement de finir comme eux, comme ses fous, comme ses chiens dans leur cage. Je suis sortie au bout de neuf mois, neuf mois d'emprisonnement, je n'avais pas touché à cette merde depuis neuf mois, j'avais changé ... mais ce fut de courte durée, j'ai fini par replonger, encore et encore la même chose. J'ai atterris à Cambridge et me voila aujourd'hui comme une clocharde, à moitié inconsciente, à souffrir le martyre à chaque seconde qui passe. Pitoyable Grace !

Il essayait de me calmer tant bien que mal, mais je n'en avais pas envie, je ne voulais pas me calmer. Et je me débattais comme je pouvais. Quand il avait crié, j'avais fermé les yeux, comme pour me protéger de ce ton qu'il avait prit. « Tu veux savoir pourquoi j'ai replongé Declan, pourquoi je me drogue ? Mais c'est simple ... parce que je suis FAIBLE !  Voila pourquoi je me drogue, voila pourquoi j'ai pas pu arrêter, VOILA ! C'EST CA QUE TU VOULAIS ENTENDRE ?! » une larme s'était mise à coulé sur ma joue. Je ne voulais pas qu'il me parle comme ça ... « Et tu vas faire quoi après ? Tu vas m'attacher, comme une bête ? C'est ça ?! DIT MOI ! Tu comptes faire quoi après ? Me forcé à arrêter ? Pour m'aider ?!  J'ai pas besoin D'AIDE ! » Je voulais me convaincre que c'était vrai, que je pouvais m'en sortir toute seule, mais c'était faux, stupide orgueil ! « Si tu veux vraiment m'aider Declan, lâche moi, et laisse moi partir ! » Je continuais à essayer de me dégager de son étreinte, peine perdu surement, mais j'essaye.
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« Tu n’es pas faible tu m’entends ?! Tout ça, c’est dans ta tête, tu te cherches des excuses parce que tu as replongé alors arrête tes conneries » rétorquais-je froidement, indifférent à la larme qui se mit à glisser sur sa joue. Je ne voulais pas me laisser apitoyer car Grace avait bien plus besoin que je la bouscule que je la plaigne. De tout de manière, j’en étais incapable. Je n’étais pas doux à l’origine mais avec les drogués, c’était pire. Comment pouvait-on apprécier de sentir le contrôle de notre corps nous échapper ? Comment pouvait-on ne serait-ce qu’accepter d’être aussi dépendant ? D’être réduit en esclavage pour quelques grammes d’une saloperie ? Cela me dépassait mais peut-être étais-je tout simplement trop fier. La fierté avait toujours été le plus grand défaut de ma famille. « QU’EST-CE QUE TU VEUX QUE JE FASSE D’AUTRE ? Que je te laisse crever dans ton coin ? Cela sera quoi la prochaine étape ? Tu te feras sauter par tous les dealers du coin pour une dose ? Va te faire foutre Grace ! Tu arrêteras que tu le veuilles ou non et même si pour cela, je dois t’attacher dans mon appartement et te traiter comme un animal de compagnie pendant des mois » m’emportais-je car j’étais en colère contre elle mais pire que tout, j’étais mort d’inquiétude. « Tu comprends pas bordel, si je te laisse partir, je viendrais plus te chercher, je te tournerai le dos alors maintenant, on va passer un deal : ou tu la fermes et tu me laisses t’aider, ou tu vas te faire foutre loin de moi mais il est hors de question que je reste amie avec une putain de junkie… Hors de question que je laisse la drogue s’approcher de Mallory ou de mon futur gosse alors choisis : notre amitié ou ta saloperie »

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Je lui avais dit que c'était parce que j'étais faible, que c'était pour ça, que je prenais cette saloperie, qui me rongé de l'intérieure, je lui avais avoué que j'étais pas plus forte que toutes ces filles de merde ... c'est pour ça, que je pouvais pas arrêter, c'est pour ça que je continuais, elle me prenait à la gorge, comme si à chaque minutes qui s'écoulées j'étais menacée de mort, et plus les jours avancés, plus c'était pire. Je voulais pas admettre qu'une fois de plus dans ma vie, j'avais besoin d'aide, que cette fois encore je ne pouvais pas me débrouiller toute seule. Je voulais pas l'admettre, j'étais bien trop fière pour ça, bien trop têtue. Declan était la, pour m'aider comme il l'avait toujours fait, comme il savait bien faire ... et moi dans ses bras, j'arrêtais pas de me débattre, je voulais pas de toute cette attention et pourtant j'en avais besoin, j'avais besoin de mon meilleur ami. « Tu crois que c'est simple ? Tu crois, que je peux vraiment arrêter comme ça, d'un claquement de doigt ? Ca fait sept ans Declan, que je touche à ça ! Tu crois vraiment que mon corps va supporter ça ? Je suis malade, je le sais, je l'ai toujours su, mais j'ai besoin de ça pour vivre, t'as entendu ? J'ai besoin de ça.  » J'étais affaiblie, amaigrie, j'avais perdu beaucoup de poids, trop vite ses derniers moi, j'étais très malade, et j'avais laissé la malade s'installer trop longtemps, je n'étais pas sur de pouvoir vivre sans aujourd'hui. J'avais essuyé sèchement la seule larme qui avait pu couler sur mon visage. « Oui, j'en serais capable et alors ! Traite moi, de pute, vas-y, tu l'as presque dit ! C'est toi qui va te FOUTRE DECLAN, ok ! Je suis pas ton chien Declan, je le serais jamais, je suis encore libre, putain, et si je veux pas te suivre, je te suivrais pas ! » J'étais comme une gamine, une gamine, qui ne voulait pas écouter ... comme une idiote. Et c'est la, qu'il avait dit que c'était ma dernière chance ... la dernière, et que maintenant fallait que je fasse un choix ... mais pourquoi il me faisait ça ? Pourquoi ? Je savais pas quoi faire, bien sur qu'il était plus important, bien sur que je devais le choisir, parce qu'il ne voulait que mon bien ... mais une part de moi même était pas d'accord. « Je ... je ... te ... déteste ! » J'avais envie de l'insulter de tous les noms possible et inimaginable ... putain, mais pourquoi, il me faisait ça, pourquoi ? J'avais plus bougé, je m'étais plus débattu.  Je voulais pas le perdre ... mais ... mais quoi ? La vie c'était pas aussi simple ... et je voulais plus souffrir autant que j'avais souffert, pendant cette cure. « Je t'aime Declan ... au plus profond de moi, mais ... tu seras surement mieux sans moi et ta famille aussi ! Je suis désolée ... tellement désolée ... » Il fallait qu'il me laisse ... il avait raison au fond, j'étais qu'une putain de junkie ... « Lâche moi maintenant. » J'avais plus rien à dire ... J'étais juste triste, la drogue une fois de plus avait gagné. J'étais plus rien, je l'avais perdu.


HJ : je suis triste :TT:
PS : ça m'a fait un choc de voir Chris (declan) † dors mon ange. 1881463262:sifle:(il est beau (declan) † dors mon ange. 4205929361)
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« Tu t’entends bordel de merde ? Tu n’as pas besoin de cette saloperie pour vivre ! Elle est en train de te démonter de l’intérieur… Ton corps peut le supporter, c’est ta tête qui dit non… Tu crois que c’est mieux de continuer ? Que voguer au pays des bisounours rend service à ton corps ? Mais réveille toi, tu es en train de te tuer… Tu as pas besoin de cette merde » m’écriais-je complétement impuissant et surtout complétement ahuri qu’elle puisse croire qu’elle avait besoin de la dope pour vivre. C’était même tout le contraire. La drogue ne faisait que la garder engluée dans ses emmerdes, dans ses pensées les plus sinistres. C’était la mort déguisée point barre. « Libre ? Putain mais laisse-moi me gausser ma vieille. T’es esclave de cette merde, tu as rien de libre… Tu n’es pas mon chien mais tu es une foutue chienne avec cette drogue et je t’ai pas demandé ton avis, tu vas te soigner que tu le veuilles ou non »repris-je froidement avec un ricanement sinistre. Elle se disait libre mais bien sûr. Elle était tellement libre qu’elle serait prête à se prostituer pour une dose. Elle me faisait pitié et je haïssais la Grace que je tenais dans mes bras à cet instant précis que je terminais par lui imposer un choix à faire. La drogue ou notre amitié. Il était hors de question que l’on continue notre histoire en sachant qu’elle s’envoyait chimiquement en l’air. Hors de question que je la laisse rester dans ma vie en sachant qu’elle serait un danger pour Mallory ou pour notre gosse. Alors lorsqu’elle m’annonça qu’elle choisissait la drogue, je ne pus m’empêcher de la reposer au sol et de la gifler. « Tu ne m’aimes pas non. Si tu tenais vraiment à notre amitié, tu te battrais mais en fait, tu abandonnes, t’es pire qu’une lâche. En fait, je ne sais même pas s’il reste ne serait-ce qu’un peu de ma meilleure amie dans la loque que tu es devenue. T’es pas désolée non. En fait, c’est la solution de facilité parce que tu veux pas te battre alors vas-y abandonne mais je vais t’aider une dernière fois »lui annonçais-je en sortant un canif, attrapant son poignet pour déposer la lame dessus. « Vas-y, prends cette lame et tranche toi les veines. Y a plus d’espoir pour toi comme tu dis alors autant te tuer maintenant ! Je pourrais pleurer plus rapidement sur ton cadavre, tu m’épargnerais au moins l’angoisse de te retrouver avec une seringue dans le bras » lui dis-je franco en la regardant froidement. Si elle voulait se flinguer à l’héro autant abréger ses souffrances. « Sache juste une chose… tu vas crever en sachant que tu es la personne que je vais haïr le plus dans toute ma vie… »

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« Oui je suis en train de me tuer ! Je le sais, je m'en suis rendu compte quand j'ai attéris à l'hopital, pour la première fois. Un jour, à cause de cette merde, comme tu dis, j'étais seule, mon père n'est même pas venu me voir ... j'ai passé plus de deux semaines dans cet hosto de merde. Il m'avait attaché, tu vois, comme toi tu voudrais bien le faire, comme une bête enragée ... J'ai cru mourir pendant ses deux semaines effectivement, tout simplement parce que j'avais pas ma dose et que personne était la pour moi ! Je m'en suis rendu compte quand j'ai perdu vingt kilos en un mois, oui je le sais, je vais pas bien, je suis loin d'aller bien Declan, mais c'est comme ça, mon corps à évoluer comme ça, ma tête aussi ! » J'étais à bout de souffle, tout simplement, parce que je n'avais pas envie de me battre avec lui, j'avais pas envie de me battre avec mon meilleur ami, celui qui devait être la pour moi. « Arrête, arrête ! Ok, t'es pas mon père, putain de merde ! Pourquoi tu t'entêtes autant ?!  Mais merde à la fin, pourquoi tu me casses couilles comme ça, POURQUOI ?! C'est moi la Grace que tu connais, que t'as toujours connu, que tu le veuille ou non, c'est moi, je suis comme ça ! » Il m'avait menacé, de faire un choix, un choix décissif  pour nous deux, il fallait que je choisisse, lui ou la drogue, pourquoi il me forcait à choisir ? Il voulait encore plus me détruire ? Il voulait m'écrasser. C'est lui qui allé me tuer, s'il continuer comme ça. Je savais que c'était dur pour lui, je le voyais, mais qu'il le voulait ou non, je n'avais pas l'intention de changer, parce que j'étais bloquée sur le fait que je ne pouvais pas changer, tout simplement, je ne pouvais pas changer. « Tu ne te rends pas compte à quel point tu me fais du mal ! » C'est la qu'il m'avait reposé, comme je lui avais demandé, et qu'il m'avait giflé. Et là, j'avais pleuré, non pas par douleur, mais à cause de l'importance de son geste. Je lui en voulais, pour ce qu'il venait de faire. J'avais une de mes mains, posé sur ma joue. « ARRÊTE DE PARLER, TAIS-TOI, je t'en pris ... » Il m'avait tendu un canif de sa poche, et il la lame sur mon poignet, il voulait me faire réagir. Puis il avait dit, ce qu'il ne fallait pas dire ... « Sache juste une chose… tu vas crever en sachant que tu es la personne que je vais haïr le plus dans toute ma vie… » J'avais mes yeux grands ouvert, encore pleins de larme. Je le détestais ... il me faisait encore plus souffrir, je ne méritais pas ça. « Tu veux vraiment avoir ma mort sur la conscience, tu veux vraiment me voir mourir lentement ici, dans cette rue ... tu veux me voir morte. TU CROIS QUE JE SUIS PAS CAPABLE DE FAIRE CA, BORDEL ? Tu crois que j'ai jamais essayé de me tailler les veines ? JE SUIS ENCORE LA DECLAN, BIEN VIVANTE ! » J'avais maladroitement et avec hésitation, déplacé la lame du canif, sur ma gorge. « Si tu veux vraiment me voir morte, il vaut mieux que je me tranche la gorge ! Je partirais beaucoup plus vite ... » J'étais prête à le faire, je le regardais dans les yeux, et à côté de lui je voyais presque la mort.

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La situation devenait précaire et je ne savais pas quoi faire. Je n’étais pas le plus doué pour gérer ce genre de crise. On ne m’avait jamais appris la douceur alors comment faire pour aider Grace alors que je me sentais à l’heure actuelle complètement impuissant. Elle me demandait d’arrêter de lui faire mal mais dans le fond, c’était elle qui se faisait le plus mal ; qui nous faisait le plus mal. Qu’attendait-elle de moi ? Que je l’applaudisse ? Que je sois à me vautrer à ses pieds en pleurant toutes les larmes de mon corps pour la supplier d’arrêter ? Que je lui dise que ce n’était pas grave si elle ressemblait de plus en plus à un cadavre ambulant ? Que je comprenais pourquoi elle continuait de se droguer ? C’était vraiment ça qu’elle attendait de moi ? « Parce que tu crois que cela ne me fait rien de te voir ainsi ? Tu crois que cela ne me fait pas mal de savoir que ma meilleure amie est en train de crever à petits feux et qu’elle me demande de fermer les yeux parce qu’elle peut rien y faire voire qu’elle ne VEUT rien y faire ? » Lui demandais-je complétement hors de moi. Je partais du principe que lorsqu’on se droguait, on pouvait toujours s’en sortir si on le désirait. Certes, il y avait des méthodes plus ou moins douces mais la douceur n’avait véritablement jamais fait partie de mon vocabulaire. Aussi, j’essayais de produire un électrochoc en elle, de lui faire comprendre qu’elle déconnait à plein tube mais c’était comme si Grace était sourde à mes paroles. « OH SI TU ES CAPABLE !! TU TE PLANTES UNE AIGUILLE DANS LE BRAS POUR TE TUER A PETIT FEU CONNASSE » hurlais-je après elle avant de la plaquer plus ou moins brutalement contre le mur d’un immeuble, la bloquant en posant mes bras de chaque côté de sa tête. « Qu’est-ce que tu veux que je te dise Grace ? Que je suis là pour t’aider ? Mais tu crois quoi, que je vais te prendre par la main et te regarder te flinguer à tout va avec ta saloperie de dope ? Tu crois que je n’ai pas mal en voyant ma meilleure amie sombrer ? Tu aimerais que je te dise quoi ? Tranche toi la gorge ? Vas-y continuons dans la lâcheté ? Je ne regretterai jamais la camé que tu aies mais l’amie oui. Si tu ne veux pas te battre pour toi, fais le pour moi. Au nom de notre amitié. Je peux t’aider à te soigner mais je te tendrai la main qu’une seule fois. Je connais un ancien drogué qui s’en ait sorti, il pourrait devenir ton parrain une fois ta désintox faite » lui dis-je avec colère. « Il y a toujours une solution à un problème pourvu qu’on veuille le résoudre…La question est : est-ce que tu veux te soigner ou continuer à être le parfait cadavre humain ? »

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