Accueil
Invité
est en ligne
Invité
Avec Maël sur un coup de tête nous avons décidé de partir à l’aventure pendant quelques temps. Pourtant tout est venu d’une discussion et nous voilà à l’aéroport. J’ai du mal à réaliser que je vais partir avec lui, je fais sans doute une bêtise et Noa va le prendre assez mal mais pourtant cette connerie je m’apprête à la faire « Je suis toute excitée si tu savais bon je te préviens j’ai un peur de l’avion mais je m’enfou c’est pas grave puisqu’on se tire » On dirait une enfant, je suis intenable je parle trop vite et cours partout. J’espère que ne fais pas trop honte à Maël. Je m’arrête à hauteur du panneau d’affichage de tout le vol. J’en pointe un au hasard Maé les Seychelles mon dieu comme le hasard fait bien les choses « Les Seychelles sera notre destination à nous la plage, le sable blanc et les cocktails heureusement que j’ai pris un maillot dis donc » je me tourne vers Maël je le sers dans mes bras tellement je suis contente. je glisse à son oreille « Merci de ce que tu fais pour moi » il n’est pas obligé et pourtant il le fait quand même. (Invité)
Et en un instant je me retrouvais à l'aéroport, je n'avais rien, pas d'affaire, j'étais parti juste avec on portable et encore il n'avait presque plus de batterie, mais c'est pas grave j’achèterais là bas et je reviendrais avec une belle valise pleine. Une destination paradisiaque, les Seychelles ! Là-bas sable chaud et surtout il y avait du soleil et de la chaleur ainsi que de jolies filles en maillot de bain? En bref j'allais passer deux ou trois jours là-bas, car un jour ça ne serait pas rentable. « Mais j'ai envie que tu sois heureuse, en plus la destination est juste magnifique ! Et puis notre vol est dans quarante cinq minutes le temps d'acheter les tickets et ça sera bon et attention en première classe. » lui dis-je toujours aussi souriant. Oui j'allais à acheter les billets avec une compagnie où il restait encore de la place et également où l'on allait avoir tout les soins nécessaires pour passer un agréable vol. Ensuite on passait tout les trucs que je détestais faire, déposer nos bagages et ensuite il fallait attendre que l'avion débarque. Dans une vingtaine de minute on décollerait et on oubliera nos soucis. Au revoir Cambridge et à nous les Seychelles, les jolies filles, enfin bref tout ce qui a de bon et que parfois Harvard n'a pas.