What is the best to get over a break up? New York! PV Sio

Sio, ma meilleure amie venait tout juste de rompre il y a quelques jours avec Klaus. Klaus avait dû retourner en Allemagne pour s’occuper de son père.  Sio était vraiment triste et elle avait besoin de moi. Pour l’occuper, je lui avais dit de réserver sa fin de semaine et de se préparer une petite valise et que j’allais passer la chercher chez elle vendredi matin. J’avais acheté deux billets, première classe pour New-York. J’allais passé le week-end avec elle. Hayden comprenait et m’avait donner l’accord que j’y aille. Nous étions vendredi matin et je me dirigeais, avec ma Audi, vers son nouveau logement qu’elle avait pris avec Klaus. Quand j’étais devant chez elle, je klaxonnai pour qu’elle vienne. Je savais que Sio allait apporter son passeport, car nous étions des immigrants, donc quand nous sortions de la ville, c’était notre seule pièce d’identité. Sio ne savait pas qu’on allait à New York et j’espérais que la surprise serait appréciée.

Mon meilleur ami avait eu une surprise pour moi, et je ne savais pas où est-ce qu’on irait. Je savais juste que je devais faire un petit sac pour deux jours, et que je devais prendre mon passeport. Je ne comprenais pas vraiment où est-ce qu’il allait m’emmener. Je l’avais donc suivi, et je ne savais pas où est-ce qu’il m’emmenait. Je le questionnais assidument : « Allez, dis-moi, on va où… ? » Curieuse, je trouvais la bonne idée de l’embêter un petit peu. Je me disais que pour une fois, il fallait juste que je trouve une autre façon de le faire parler. Je prenais une voix telle une femme de la mafia, et je lui demandais : « Si tu ne me dis pas où est-ce qu’on va, j’ai de quoi te faire parler….» Je souriais, et je lui disais en riant : « Sinon, à part ça, tu vas bien ? » Je m’attachais et j’espérais bien avoir une bonne réponse. Pouffant de rire en le voyant me regarder avec son air malicieux. Je me disais bien si allait me répondre ou pas. Je continuais donc de réfléchir à ce que je pourrais donc lui dire.  

Une fois Sio dans la voiture, elle n’hésitait pas à me demander où nous pouvions bien aller. Je ne voulais pas lui dire immédiatement, je voulais que cela reste un surprise jusqu’à l’embarquement dans l’avion. Ma meilleure amie me disait même que si je ne parlais pas, elle allait me faire parler. Je pouvais être sûr qu’elle ne réussirait pas. Je rigola à l’entendre parler avec une accent italien mafieux. Ensuite elle, me demanda comment j’allais pendant que je prenais l’autoroute vers l’aéroport. «Je vais bien et tu peux être sûr que je vais rien te dire !» L’aéroport de Boston n’était pas très loin et nous allions bientôt arriver. J’avais acheté un emplacement de stationnement sécurisé pour ma Audi question qu’elle soit surveillée. Je regardai Sio une fois sur le terrain de l’aéroport. «Maintenant au moins tu sais qu’on va prendre l’avion ensemble, mais je ne te dis pas où, et je ne te donne pas le billet jusqu’à l’embarquement.» Je rigola en prenant la sorti pour les départs et les stationnement.

« Si tu ne me dis pas, je me roule par terre, cri, et hurle…. » Voilà que je faisais un caprice ! Je souriais d’un air malicieux. Tout en l’observant, je tentais de trouver ce qu’il me cachait, je trouvais qu’il était bien aussi que je sache ce qu’il manigançait…Je le regardais attentivement, et je lui disais : « On va prendre l’avion ? » Intriguée un peu plus, je me demandais bien ce qu’il fallait que je lui dise, je réalisais qu’il serait bien aussi que je me calme, mais bon, je trouvais que parfois, il était bien que j’attende. Sauf que….Là j’en avais pas envie ! J’avais sans doute l’air d’une gamine, mais bon, je voulais juste savoir où est-ce que j’allais. Je réalisais aussi en y réfléchissant que Lukas avait préparé une surprise et donc qu’il était bien que je patiente même si cela ne me plaisait guère…Je souriais, et je lâchais peu fière de moi : « D’accord…..» Regardant devant moi, je voyais la route qui se dirigeait vers les embarquements, je me demandais bien où est-ce qu’on allait aller… 

Sio me disait qu’elle allait me faire une crise si je ne lui disais pas où nous allions. J’éclata de rire et j’haussai les épaules en guise ‘’ cela ne me dérange pas du tout’’. D’après tout c’est elle qui aurait honte, pas moi. Elle me regardait pendant que je sortis de l’auto et donna les clefs au valet et elle me demanda si on prenait l’avion. Je lui fit un signe de la tête en guise de oui et pris sa petite valise et la mienne du coffre. Nous entrions dans l’aéroport et suivions les signes qui disait ‘’Departures ‘’ C’était amusant de voir Sio dans l’inquiétude et dans la surprise. Je marchais un peu plus vite, car nous devions passé la sécurité au plus vite, car l’embarquement allait commencé bientôt. «Tiens, on peut passé dans la sécurité rapide, car j’ai des billets de première» Je passa devant Sio, car je devait dire à la sécurité que j’avais son billet et que c’était une surprise où qu’on allait. Je ne voulais pas tout de même qu’ils gâchent ma surprises.

En sortant de l’automobile, j’avais assez de patience enfin, je pouvais attendre, sauf que j’en avais décidé autrement…Je l’observais me dire qu’on allait prendre l’avion, et gardant bien nos deux billets dans sa main, je devais attendre qu’il veuille me donner la réponse. Le suivant, intriguée, je voyais alors le coin pour les départs, je me sentais encore un peu frustrée, et je suivais gentiment sachant que j’aurais sans doute la réponse un peu plus tard. Soupirant doucement, je lui demandais lasse : « J’aurais le droit de regarder un film ? On peut prendre l’occupation que l’on veut, ou tu as prévu ça aussi… ? » Autant demander quand même au cas où il aurait bel et bien prévu un truc pareil. Je réalisais qu’il était bien que je fasse un effort, je préférais me calmer bien que les surprises ne soit pas trop mon truc. Je me contentais bien entendu d’attendre derrière lui. Je trouvais qu’il avait eu une bonne idée de m’emmener sauf que mon côté impatient prenait un peu le dessus. Tenant ma valise d’une main, je souriais et je patientais sachant que je pourrais lire dans l’avion ou alors le taquiner un peu plus afin d’entendre son accent allemand.

Nous passions la sécurité sans pépin et même ils gardèrent ma surprise pour Sio. Ils avaient été bien coopératifs. Nous étions maintenant dans l’aérogare je pris Sio par le bras et nous dirigions vers le salon de première classe. Sio me demanda si on pourrait écouter un film à bord. Je ne pensais pas qu’on aurait assez de temps pour cela, car le vol n’était pas très long. «Ouais, bah tu pourra mettre un film si tu veux, mais je ne sais pas si tu pourra voir la fin.  Ouais les places sont choisies, tu es sur la fenêtre. Si tu n’aimes pas, tu peux changé avec moi. On vole en première. » Nous étions maintenant assis dans le lounge et un serveur venus nous porté un coupe de champagne. Ça commençait bien notre petit voyage. Je portai un toast avec Sio «À notre aventure !»  Je pensais un petit peu et lui donna un indice sur notre destination. L’indice était super facile et elle allait le deviner à coup sûr. «Alors nous allons dans une ville avec des taxis jaunes».  

Suivant alors mon meilleur ami, je l’écoutais patiemment dans le but de savoir ce qu’il me disait. Je devais savoir où est-ce qu’on allait, et je répondais en souriant : « Un film est trop court ? Oki, alors je ferais mes textes pour mes chansons. » Je n’aimais pas trop m’ennuyer dans l’avion, et j’espérais bien aussi ne pas me tromper. J’espérais bien réussir à trouver la destination. Je le suivais en souriant, et là, je l’entendais qu’on allait dans la ville des taxis jaunes….Je lui demandais : « On va à NY ? Sérieux ? TROP BON ! » Contente, je tentais de voir ce que je pourrais lui dire d’autres. Et tout en profiter pour boire un petit peu, je prenais la coupe de champagne tout en me disant que je passerais à l’eau par la suite. Je devais faire attention à ma voix. Je souriais doucement, et je disais en faisant un bisou sur la joue de Lukas : « Merci, j’ai le meilleur ami du Monde. » Je tenais vraiment à essayer de suivre le tout comme il le fallait. L’avion était bien confortable, on avait de la place pour s’asseoir et étaler un peu plus ses jambes. Je me rendais compte qu’il était bien aussi que je fasse tout comme il le fallait, je demandais au passage : « Il serait possible d’avoir un peu de petites choses à grignoter ? C’est pour l’alcool, j’aimerais manger un peu s’il vous plait. »

Sio avait sûrement deviné quand je lui parlai des taxis jaunes. C’était une caractéristique bien connue de New York City. Elle ne pourrait pas écouter un film, mais pourrait travailler sur ses chansons. Je croyais qu’elle devait se reposer un peu et laisser le boulot de côté. «Dit chérie, tu laisse le boulot de côté pour la fin de semaine, car tu es avec moi et tu n’aura pas le temps. Même pas dans l’avion. Tiens parlant de l’avion, il font embarqué la première classe, on doit y aller.»  Nous étions encore dans le lounge de première classe  que notre vol fut appelé à l’embarquement. Bien sûr nous montions à bord de l’avion en premier, car nous étions première classe. Nous finissions notre champagne et marchions vers notre porte d’embarquement. Les gens qui attendaient en ligne nous regardèrent de façon envieuse.  Quand nous entrions dans l’avion, l’hôtesse nous accueilli très chaleureusement et nous montra nos places. La première classe n’était que composé de six places très spacieuses. Je laissa passer Sio pour qu’elle aille sur le bord de la fenêtre et plaça son bagage à main à l’endroit indiqué. Je m’asseyait et boucla ma ceinture immédiatement.  «Tu aimes volé ?» Sio demanda à l’hôtesse quelque chose à grignoter. L’hôtesse lui proposa une vaste gamme de snacks allant des chips au Caviar.  

« Pas bosser ? Ce n’est pas dans mes cordes, mais je peux faire un effort, adieu calepin, on se revoit que lundi. » Rangeant alors mes affaires aussi rapidement qu’elles étaient dehors, je suivais alors Lukas et on allait prendre nos places. J’avais le hublot à côté de moi, et je posais mon sac à main dans le porte bagage. Je répondais tout de même à des chips à l’hôtesse et m’asseyant sur mon siège, je bouclais aussi ma ceinture. Je répondais à mon ami : « Pour aller en Irlande il le faut bien, parce que je ne me vois pas faire le trajet en bateau. Et l’avion s’est beaucoup plus pratique. On peut même voir les avions, alors oui, j’aime bien voler à l’aide d’un avion. » Je patientais le temps d’avoir mes chips, et je me demandais bien pourquoi est-ce qu’il fallait que je sois comme ça. Mais bon, je commençais déjà à chanter tout en bougeant mes jambes et les bras. Je réfléchissais à tout ça, et je demandais à mon meilleur ami : « Au fait, on descend où ? On va faire quoi ? »