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la vérité qui heurte ( ft. dextine ❤ )

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La vérité qui heurte  

Elle semblait aussi surprise qu’heureuse d’apprendre que j’avais peine à subir ce qu’elle me faisait. Le mot pouvait sembler un peu fort, la torture n’était-elle pas supposé être désagréable à celui qui la recevait? Je ne savais simplement plus quoi penser, mais lui faire promettre de s’arrêter semblait la solution la plus évidente. Il me fallait négocier évidemment, il n’y avait jamais rien de gratuit dans la vie. Et puis je savais, oh combien je la connaissais... elle adorait me faire perdre patience. «Hum... Laisse moi réfléchir Dex...» Évidemment. Je roulai les yeux au ciel, ce qu’elle pouvait m’énerver parfois celle-là! Elle se joua encore de mes lèvres, les possédant de son regard brûlant pour ne laisser aucun reste à la subjectivité. Elle me frôla du bout de ses doigts, puis se fient plus imposante contre mon épaule. Je serrai la mâchoire pour ravaler mon envie de m’en dégager. «Peut-être que... Oh chéri, je ne pourrais jamais être sage, ni aujourd'hui, ni demain, tu sais que...» Je fronçai les sourcils, la laissant jouer la carte du mystère et patientant ces prochains mots sans laisser paraître mon agacement. Elle se mordit la lèvre pour ponctuer sa phrase, oh ça c’était de la pure provocation. «Mon envie pour toi, mon désir et tout mon amour,. ne peuvent pas s'éteindre, c'est un brasier, un immense feu éternel que tu as allumé en moi et l'immensité de la chose fait que rien ne peut stopper ça, peu importe ce que tu fera» Peu importe ce que je ferais hum? Était-ce une manière de me mettre au défi ça? Je le pris comme tel du moins. Elle ne pouvait même s’imaginer ce que j’avais en tête, ce que je désirais lui faire subir et ce qu’elle méritait par dessus tout. Ma main se porta à la sienne qui tenait toujours mon épaule et je l’en dégageai violemment. Son bras flotta dans l’air comme un pendule mal réglé. Attendant qu’il s’immobilise, je la poussai ensuite sur le divan. Son dos rencontra le dossier avec rapidité, juste le temps de la désarmer, juste le temps de lui sauter à la gorge en m’asseyant à califourchon sur elle. Mes genoux me tenaient brandis dans les airs, ma ceinture lui arrivant sous le menton. Comme je ne tenais pas exactement à lui épargner le moindre mal je m’assis sur ses cuisses, les possédant entières et sous la totalité de mon poids tout de même important. «Tu veux savoir ce que j’ai envie de te faire hum? De quoi je fantasme quand je te vois?» Je lui attrapai le menton d’une main, la forçant à garder ses yeux bien dans les miens. «J’ai envie de te mordre, j’ai envie de déchirer tes vêtements, mais pas dans le but de te voir nu, seulement parce que ça te ferait de la peine. J’ai envie de te gifler, de te faire crier, mais jamais de plaisir. Tu comprends ce que je te dis?» Je serrai les dents sous la violence de mon imaginaire. Ces choses je les avais voulu trop de fois, j’en avais même rêvé quelques nuits. Il ne restait plus que ce désir ardent pour elle, lui faire mal et lui faire regretter celui qu’elle m’avait fait. «Et maintenant? Toujours envie de me provoquer dis moi?» Je la regardai sévèrement, cherchant son âme à travers cette mascarade. Certainement elle avait aussi envie de se venger, d’épurer mon corps de l’odeur qu’y avait laisser l’autre. Allez, essaie de me faire peur petite.


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Je l'avais clairement mis au défi, je voulais voir certaines choses et surtout lire la passion sur son visage, saine ou malsaine peu importe tant que la flamme restait brûlante. Il me repoussa sur le canapé brusquement, mes fesses tombèrent sur le divan et mon dos s'immobilisa contre le dossier, à la seconde d'après il me rejoignait, grimpant sur moi, m'entourant de ses cuisses et me laissant avec la vision de sa taille au niveau de ma bouche... Oh Dex, ne me pousse pas trop. Je n'allais pas résister très longtemps s'il continuait ainsi, son animausité n'était qu'un autre facteur de son irrésistibilité, de mon attirance pour lui et il le savait, je n'en doutais pas, il était entrain de me provoquer.  «Tu veux savoir ce que j’ai envie de te faire hum? De quoi je fantasme quand je te vois?» Ses fesses s'étaient reposés sur moi, me bloquant sous son emprise et son poid. De ses doigts agiles et hum... son contact me faisait toujours ressentir cette même passion pour lui, remuaient ce désir en moi bien trop contrôler à mon gout. Il releva mon visage et je l'affrontai du regard sans peur, animée par cette lueur complètement salace. «J’ai envie de te mordre, j’ai envie de déchirer tes vêtements, mais pas dans le but de te voir nu, seulement parce que ça te ferait de la peine. J’ai envie de te gifler, de te faire crier, mais jamais de plaisir. Tu comprends ce que je te dis?» Hum. Mes yeux se froncèrent en l'entendant déballer sa haine, la violence de son désir pour moi, totalement malsaine et douloureuse. Je n'en restais pas le moins effrayée, si c'était son but... s'était loupé. «Et maintenant? Toujours envie de me provoquer dis moi?» J'arquais un sourcil à sa question, surprise qu'il y croit autant, qu'il puisse croire un instant qu'il me faisait peur, c'était bien le contraire, je pouvais tout à fait comprendre ce qu'il avait envie de me faire subir, autant que j'avais envie de lui faire la même chose quand je pensais à l'autre, à elle, qui passait désormais ses nuits en compagnie de mon homme. Il était mien, le serait toujours peu importe les conditions, je ne le laisserais jamais partir, jamais m'échapper. Mes mains remontèrent sur ses cuisses, longeant son corps et le tenant à la taille. «Envie de te croquer.» Mes lèvres se retrouvèrent sous l'emprise de mes dents, retenant mon ardeur pour lui.  «T'es tellement beau quand tu parles avec passion Dexter.» C'était ce que je retenais dans tout ça, ses mots n'avaient pas d'impact tant qu'ils restaient des mots avoués et non des gestes assumés. «Tu veux savoir ce que tu m'inspires?» Mon regard ne le lâcha pas, j'étais peut être sado en cet instant, mais j'aimais voir toute cette haine qu'il avait à mon égard, c'était juste la preuve que je comptais encore, au point de le rendre fou de rage. Quelques de mes doigts s'invitèrent sous son t-shirt, me laissant juste le temps de frôler sa peau avant que je ne les enlève et que je retire mes mains de lui. J'avais tellement envie de lui c'était incensé, complètement fou. «J'ai envie de toi, de t'attraper, de t'attacher, de te faire sentir et avouer à quel point tu es à moi. Je veux te remémorer ton appartenance, quoi que je suis sûre que tu ne l'as pas oublié... Tu dois même en porter quelques traces encore visibles...» Dis je en fixant son torse, je le déshabillais du regard, d'une manière tellement intense que ses vêtements auraient du tomber en poussière. «Même Elle, a du le remarquer, sentir mon parfum partout sur ton corps... Tu sens encore mes lèvres, ma langue et mes dents par ici dis?» J'étais sûre que oui, je l'avais marqué pour la vie et j'avais tellement envie de l'envahir de nouveau de mon être. Ca me brûlait partout et lui... Oh je nourrissais des fantasmes vraiment pas sain pour cet homme. Ma langue passa sur mes lèvres, tandis qu'un de mes doigt pointa son torse, s'enfonça dans celui ci avant de descendre jusqu'à sa ceinture, oh même par là bébé, tu t'en souviens aussi bien que moi. Puis de nouveau je m'appropriais son corps de mes mains sous son haut, le soulevant pour regarder de mes propres yeux sa peau nu qui devait encore portée mon passage éternel.

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Vraiment, je n’aurais pas dû m’attendre à un miracle, Valentine restait la même malgré tout. Joueuse et orgueilleuse, elle ne laissait jamais transparaître la moindre faiblesse quand l’ambiance était à la compétition. Tout sur son visage trahissait son indifférence, non, je ne lui avais pas fait peur, pas même une tressaillement bien placé. Décevant. Elle aurait au moins pu feindre pour ne pas ainsi froisser mon honneur. Son visage se marbre me fis grincer des dents, arf, ce que j’aimerais qu’elle arrête de me regarder de ces yeux là, aussi beaux que cruels. «Envie de te croquer.» Je soupirai, me laissant prendre, d’abord, par ses mains qui me parcourait les cuisses pour s’arrêter à ma taille.  «T'es tellement beau quand tu parles avec passion Dexter.» Je roulai les yeux vers les cieux, stupidement convaincu que ça arriverait à l’atteindre. Putain, mais réveille toi Valentine! Si aveuglé par le goût du risque, elle en oubliait de préserver ce qu’il nous restait, notre amitié pure et franche, spontanée et miraculeuse. Souviens-toi mon amour... «Tu m’énerves.» Répétais-je dans ma barbe, il n’y avait plus que ces mots pour exprimer toute la rage que je ressentais pour elle. Tout ce que je lui avais dit était entré dans une oreille et immédiatement ressortis dans l’autre. Le néant. Rien. Pas même l’ombre d’un frein ne semblait prévu. «Tu veux savoir ce que tu m'inspires?» J’hochai la tête de droite à gauche, quel intérêt de toutes manières? Illégalement, elle immisça quelques-uns de ses doigts sous mon vêtement, me frôlant le ventre comme si... Grrrrrr! Elle les retira à temps pour éviter que je n’aie à intervenir. Sage décision. Je lui lançais le regard le plus noir que je possédais en banque. Non mais ça suffit! «J'ai envie de toi, de t'attraper, de t'attacher, de te faire sentir et avouer à quel point tu es à moi. Je veux te remémorer ton appartenance, quoi que je suis sûre que tu ne l'as pas oublié... Tu dois même en porter quelques traces encore visibles...» J’avoue, pendant une fraction de seconde je cru m’y perdre, m’y résoudre, m’en vouloir. J’en eus presque envie, j’en retrouvai presque le goût, mais ce qui primait sur le reste était toujours cette envie de lui cracher ma colère au visage... non, pas ce soir Valentine, tu n’obtiendras rien de moi. je n’aimais pas le regard qu’elle me jetait, comme si je n’étais plus qu’une chose comestible et délicieuse. T’as pas le droit! «Même Elle, a du le remarquer, sentir mon parfum partout sur ton corps... Tu sens encore mes lèvres, ma langue et mes dents par ici dis?» Comment osait-elle parler d’Elle? J’en serrai la mâchoire, prêt à lui faire regretter son affront! Elle jouait vraiment avec le feu, encore plus quand elle osa se faufiler sous mon t-shirt de nouveau, le tirant vers le haut pour dévoiler mes blessures de guerre. Immédiatement je posai mes mains sur les siennes et remis le tissus bien en place, glissant le bord du vêtement à l’intérieur de mon pantalon, juste au cas. «N’y pense même pas.» Je me relevai au même moment, les yeux river sur le sol, mes mains posés partout sur mon corps... corps duquel j’avais presque honte maintenant. «Si tu veux tout savoir, Orlane et moi avons décidé d’attendre pour...» Ça me faisait du bien de prendre ma revanche aussi tôt, tiens. Je glissai une de mes mains dans mes cheveux, soudainement fort timide de parler de ses choses avec elle... rien de plus absurde, vraiment. «Je m'en souviens d'accord? De tout. J'ai pas besoin de toi pour me le rappeler au cinq secondes d'accord? Arrêtes s'teuplaît. Alors je vais te le demander une dernière fois, pouvons-nous être amis ou non? » Ces mots avaient du mal à passer à travers ma gorge nouée. Je me trouvais ridicule d’en arriver jusque là. Je relevai les yeux pour la voir, ceux-ci grandit par la honte, par le désir, par le souvenir. Oh oui, elle y verrait tout ce qu’elle recherchait, seulement... aucun de mes gestes ne prouveraient ces émotions, pas aujourd’hui, j’étais trop en colère!

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Du bout de mes doigts je pouvais sentir sa peau nu, la chaleur de son corps parcourir le mien, hérissant le duvet sur ma peau en toute part. C'était une délicieuse torture mais sacrement cruel même pour moi, j'avais envie de plus, mais il rabaissa son t-shirt rapidement et le coinça dans son pantalon, pff comme ci ça pouvait m'arrêter... mais oui, sur le moment, je fis la moue et croisa les bras sous ma poitrine en soupirant légèrement. «N’y pense même pas.» Trop tard, je ne faisais que ça, en long en large, son image envahissait mon esprit et je ne voulais pas m'en débarrassé. Il se releva et me laissa le supplice de le regarder de déjà trop loin, je fixais ses mains qui se déplaçaient sur son corps... oh comme j'aimerais être celles ci. «Si tu veux tout savoir, Orlane et moi avons décidé d’attendre pour...» Je sentais mon cœur s'arrêter sur le coup, frôlant la paralysie en entendant ses dires, pourquoi il me disait cela? Je devais surement le remercier de m'épargner le reste de sa phrase? Je sentis ma gorge s'envahir de rage, il avait imposé cette image à moi alors que je mettais la journée à l'oublier, à repousser toutes ses idées d'eux qui cruellement revenaient toujours me hanter. Grrr! Je serrais l'étreinte de mes bras autour de ma taille et tournai le regard, le laissant se poser dans le vide alors que j'essayais d'oublier ses paroles. Je me demandais bien la raison de son attente même si d'un coté j'étais vraiment soulagée d'une certaine manière de l'apprendre, aucun corps à corps aussi intime, je pensais en mourir sur le coup si j'apprenais un fait comme celui là, le partager m'était impossible et je le faisais déjà trop, mais pourquoi attendre alors? Avait-il honte de ce que nous avions fait? De moi? De nous? C'était repartie pour un tour, je n'arrêterais pas d'y penser pour la nuit. «Je m'en souviens d'accord? De tout. J'ai pas besoin de toi pour me le rappeler au cinq secondes d'accord? Arrêtes s'teuplaît. Alors je vais te le demander une dernière fois, pouvons-nous être amis ou non? » Sa voix vint me sauver de mes dangereuses pensées, je ne savais pas encore ce que la jalousie pouvait me pousser à faire, mais je le sentais sur le bout de ma langue, ça pouvait être très moche et cruel. Mon regard chercha le sien sans attendre pour lui répondre et j'en fus calmée sur le coup en croyant lire ce que je voulais enfin y voir au fond de ses prunelles. «Oui on peut. On sera amis et tu es en couple avec Orlane, tu vois tu peux avoir tout ce que tu veux, heureux?» Je levais les yeux au ciel avant de les rabaisser pour fuir son regard. Je croisais une jambe sur l'autre et ne voulait plus le regarder dans les yeux. Non je n'avais qu'une image dans la tête et ce désir qui me brûlait de toute part... mais apparemment je devais vivre avec, mettre dans un coin mes sentiments et tout faire pour son bonheur vu que tout était de ma faute si on en était arrivé là. Oui, biensur, c'est moi qui l'avait poussé dans les bras d'une autre fille. D'ailleurs ce point m'interpellé à présent. Oh, je n'étais pas prête de me calmer. «Au faite, pendant qu'on se voyait, tu la voyais à elle aussi alors? On s'était fait une promesse, tu t'en rappel de ça aussi?» J'avais tenue la mienne et garder mes lèvres que pour lui, ainsi que tout le reste de mon corps, pour lui donner et ensuite me faire jeter. C'était tout à fait logique dans sa tête, mais dans la mienne j'avais du mal à l'accepter, à le partager, à lui laisser sa liberté, non, non, non, je le voulais que pour moi. Je me levais sur mes jambes pour être à sa taille ou presque, l'affrontais du regard et encore une fois j'étais trop près de ses lèvres pour les ignorer, mes lèvres voulaient se jeter dessus et je devais faire preuve d'une force surhumaine pour y résister. Si je continuais dans ma lancée, j'allais lui balancer les pires horreurs, j'en étais tout à fait capable, c'était juste là, sur le bout de ma langue... arg! Je secouais la tête en me mordant les lèvres. La ferme Val! «Je peux pas te promettre qu'on peut être ami éternellement Dex, je ferais de mon mieux, pour toi et seulement toi, car c'est ce que tu me demandes mais...» Je rabaissais le regard en soupirant ma douleur. C'était déjà trop dur, d'une difficulté qui me donna l'impression de ne pas pouvoir y survivre. Mais c'était son choix et tout reposer entre ses mains à présent. «J'espère que tu sais ce que tu fais.» Lâchais-je doucement. Je sentais déjà mon coeur se briser en mille morceau à cette nouvelle situation, la notre qui définitivement ne m'irait jamais, mais qui faisait son bonheur. C'était ça l'amour? Je me le demandais et cherchai dans son regard, sur son visage, une réponse.

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Ça me prenait réellement tout ce qu’il me restait d’énergie pour la repousser, pour lutter contre mes instincts primaires. Comme une faim ou une soif, le désir était un besoin à assouvir comme on le pouvait... à plus tard ma libération à moi. J’attendais la sentence, hésitant entre la réponse qui me conviendrait le mien. Je devais avoué que ça me faisait du bien d’avoir quelqu’un qui me voulait à ce point, qui me le montrait par tous les moyens et aussi égoïstement aujourd’hui. Pour un homme aussi malade que moi, c’était la démonstration idéale pour soigner mes maux. Tout cela venait un peu trop en retard malheureusement. «Oui on peut. On sera amis et tu es en couple avec Orlane, tu vois tu peux avoir tout ce que tu veux, heureux?» Je ne pouvais pas exactement dire que j’en étais heureux. J’aimerais qu’elle ne rebute pas à ce point mon amitié, sinon à quoi bon essayer de la maintenir si ça la laissait ainsi indifférente? Un peu n’était-il pas mieux que rien du tout? «Merci.» J’ignorai sa question avec aise, je n’avais pas réellement envie de lui dire ce qui tourmentait mon esprit actuellement. Elle jouait la victime avec assez de justesse je devais dire, croisant les jambes et roulant les yeux comme si le monde entier s’était retourné contre elle. «Au faite, pendant qu'on se voyait, tu la voyais à elle aussi alors? On s'était fait une promesse, tu t'en rappel de ça aussi?» Oula, alerte, terrain glissant! Je l’avais rencontré pendant oui, mais n’avait osé me l’approprié quand revenant de... que c’était-il passé au juste? Tout était si flou maintenant que je l’avais sous les yeux, que je ressentais ces choses envers elle, contre et pour elle. «Je m’en rappel.» Soufflais-je pour unique réponse, je n’allais pas me justifier non plus, alors qu’elle avait fait l’exact même chose. Si elle avait préservé ses lèvres, elle n’avait certes pas épargner mon meilleur ami tout ce temps, elle n’avait rien d’un ange dans cette affaire. Elle se releva, semblait toute prête à user de ses poings pour me les envoyer au visage, arf ce qu’elle pouvait être sexy quand elle était en colère! «Je peux pas te promettre qu'on peut être ami éternellement Dex, je ferais de mon mieux, pour toi et seulement toi, car c'est ce que tu me demandes mais... J'espère que tu sais ce que tu fais.» De la colère à la tristesse, son visage semblait avoir du mal à choisir son émotion. C’était douloureux de la voir baisser les armes ainsi, douloureux de ne pas pouvoir intervenir pour la soulager. Pas ainsi. Je ne pouvais plus rester une seconde de plus dans cette maison. Maintenant que nous pouvions nous laisser sur une note plus légère, cela ne voulait pas dire que j’y étais préparé. Comme précédemment, je plaçai une main sous son menton pour le tenir bien droit face à moi, d’un baiser rapide je lui caressai la joue. Oh, je n’aurais pas dû faire ça. «Je ne sais pas du tout, non.» Elle avait beau espérer, ça n’en changerait rien. Je n’étais certain de rien, absolument rien. «Prend soin de mon trésor.» Soufflais-je en dernier aurevoir avant de tourner les talons et de prendre la sortie. Elle me manquait déjà.

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THE END
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