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la vérité qui heurte ( ft. dextine ❤ )

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La vérité qui heurte  

Il n'y avait plus grand chose à dire sur le chemin du retour vers la réalité. Elle finirait bien par comprendre que je ne l'emmenais pas au septième ciel, mais bien juste à peine à l'antre de mon coeur. C'était difficile, de la toucher, de la regarder, d'être en la présence de l'âme qui avait bouleverser la mienne à des milliers de kilomètres sans le moindre effort et d'aujourd'hui connaître un tout autre dessein que celui dont j'avais rêvé tant de fois. Nous marchâmes en silence, puisque c'était l'unique chose qu'il nous restait à partager. Ça me brisait le coeur en miettes. En arrivant dans la maison des Cabots, j'entrai sans attendre qu'elle m'ouvre la porte, puis lui lâchai la main aussitôt fait. Le contact de sa peau moite était insupportablement trop chargé de souvenirs. Ses mains qui glissent et puis s'éternisent, oh je dois sans doute en garder quelques marques encore. «Finalement, ici ça ira très bien.» Je croyais devoir nous isoler du reste afin de pouvoir discuter sans bruit environnent, mais la maison semblait déserter par toutes ses habitantes rosées, logique, puisqu'il y avait la vente toujours en cours. En voyant le salon désert je pris place sur un des nombreux divans, attendant qu'elle me rejoigne pour commencer notre discussion. J'en avais le coeur chargé de tristesse rien qu'à l'idée de devoir le dire, mais il le fallait, pour notre bien à tous les deux. «Je suppose que tu te doutes bien de ce dont je veux te parler?» J'attendis sa réponse avant de poursuivre, n'en trouvant pas le courage.  


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On s'était directement enfui après ma vente, silencieux dans la voiture, nous arrivâmes à la maison des Cabots, mais ce malaise qui s'était instaurer dans l'ambiance, me pesait légèrement et avait fait redescendre l'excitation d'arriver. Plus on se rapprochait du lieu, plus je prenais peur sur l'éventuel cours de la soirée. Ma main se logea dans la sienne jusqu'à qu'il la lâche froidement, je n'aimais pas du tout ça, me priver de lui était une torture dont je ne pouvais y survivre indéfiniment. Il prit place sur les canapés des roses et je restais droite, immobile, debout en le regardant s'installer. «Je suppose que tu te doutes bien de ce dont je veux te parler?»  Je tirais directement la grimace. Je n'en avais que trop d'idées mais je ne voulais qu'entendre une seule chose sortir de sa bouche... malheureusement pour moi, j'en avais perdu le droit, le mérite, l'exception de ces mots sans réellement savoir pourquoi, je n'avais pas eu d'explications si ce n'est son avis en général et sa décision. Maintenant nous y voilà, et je ne me sentais pas prête à l'écouter, ni à lui faire face, je n'avais plus qu'envie de m'enfuir en le voyant si distant avec moi, si loin de moi... oh mon amour. «Je suppose que je ne vais pas aimer.» Dis-je après lui en soupirant fortement. Je restais à la même place, les bras sous la poitrine, tentant de protéger mon coeur et mes jambes bien prête à fuir si cela tournait au drame. «Tu ne m'aimes plus Dexter?» Impatiente d'entendre le contraire, j'amenais la question sans y aller par quatre chemin. Il devait me dire, m'expliquer, pourquoi nous n'avions plus d'avenir ensemble alors qu'il y a peu, tout était si clair.  
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Pour la première fois depuis notre rencontre, le silence avait un coût. Il pesait lourd sur la balance, ruinant l’ambiance par sa teneur élevée en malaises. Nous n’avons plus rien à nous dire, plus aucune conversation à débuter de manière légère et sans conséquence, je comptais bien changer ce fait, et tout de suite. J’aurais pu choisir une meilleure introduction, mes mots lui avait fait tirer la grimace. Voilà une expression que j’aurais préféré ne jamais lui inspirer. «Je suppose que je ne vais pas aimer.» Elle me lançait ces mots du haut de ses jambes qu’elle refusaient de venir asseoir à mes côtés. Sans doute la rebutais-je aujourd’hui, je n’en savais rien. Elle croisait les bras comme pour bouder à l’avance ce que j’avais peine, mais tout de même une certaine joie, à lui dire. «Tu ne m'aimes plus Dexter?» J’écarquillai les yeux en recevant sa question. Elle me faisait du mal sans pouvoir me l’expliquer. Il ne fallait pas répondre, chacune de mes réponses seraient la mauvaise. Je baissai les yeux au sol une seconde avant de reprendre mes esprits, aussi bien l’éviter complètement, elle ne se douterait de rien... si? «Valentine je n’ai pas envie de vivre sans toi, s’il te plaît, avant de dire non, j’aimerais vraiment que tu y réfléchisses et...» Je lui attrapai la main au vol, l’attirant vers moi, puis tirant vers le bas pour qu’elle prenne place avec moi sur le divan. Quand elle fut à hauteur de mes yeux, je réussi à y pêcher le courage qu’il me manquait. «J’aimerais que nous restions amis.» Plus que ça, se serait toujours plus que ça. Je ne pouvais simplement plus tolérer son absence, en la quittant je n’avais jamais voulu lui dire adieu, simplement protéger mon coeur un peu mieux de la violence de ma passion à son égard, la refouler pour me sentir revivre comme un homme à part entière et non plus une moitié d’un tout.

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Je n'avais que demander pour entendre ces fameux mots magiques, au fond je ne doutais pas de son amour, une histoire telle que la notre ne s'oubliait pas, ne s'effaçait pas non plus en quelques jours et même si la situation pouvait m'en faire douter, je ne voulais pas y croire, c'était impossible et je renoncerais pas à entendre un nouveau je t'aime du son de sa voix. «Valentine je n’ai pas envie de vivre sans toi, s’il te plaît, avant de dire non, j’aimerais vraiment que tu y réfléchisses et...» Je déglutis à la fin de sa phrase, mes yeux ne voulaient pas se relever tellement la chute était rude. Je ne voulais pas entendre la suite de ses mots, oh pitié tais - toi. Et j'avais toutes les raisons de souhaiter ça, la suite était bien ce que je redoutais le plus. Il me tira la main pour le rejoindre sur le canapé et je tombais à ses cotés sans luter, c'était bien le seul endroit au monde où je voulais être. «J’aimerais que nous restions amis.» Sa proposition me laissa de marbre un instant. Le temps de digérer ses mots, d'y réfléchir? Non j'avais déjà ma réponse toute faite et il la connaissait, je ne comprenais même pas comment il pouvait me le demander, nous ne serions jamais de simple amis, on était destiné à mieux. Et dès ce moment je dévouais ma vie à lui montrer. «Nous ne pouvons pas être amis. Nous ne pourrons jamais être seulement ça et tu le sais Dexter. On... nous...» Mon regard s'était posé dans le sien légèrement, naviguant dans ses yeux océan paisiblement comme à chaque fois que je le regardais. Me disant et remarquant toujours la même chose, dans ces beaux yeux, j'étais comblée de l'aimer autant, de notre passé et futur, de ses souvenirs et projets. Je ne voulais rien laisser tomber et je n'en aurais jamais le désespoir, non, il me le fallait pour le restant de mes jours. En le regardant, je savais, je ne pourrais vivre sans lui, ni en aimer un autre, c'était lui ou rien. «Je nous laisserais pas tomber. Jamais, tu m'entends Dexter? Je renoncerais jamais à toi, à nous. Je préfère mourir que d'imaginer une vie sans que tu en sois le centre.» Ma main attrapa la sienne pour la porter à ma joue, m'enveloppant au creux de celle ci, logeant confortablement mon visage dans la pomme de sa main. «Je t'aime tellement... tu le sais? Je ne veux que ton bonheur, mais... n'abandonnes pas mon coeur, tu sais que l'on peut être tout ce que l'on s'est promis... » Soufflais - je le regard emplis de passion et de tendresse. Mes doigts contre les siens les fixèrent à ma peau, je pouvais entendre mon coeur battre dans tout mon corps... oh mon dieu, je l'aime à en mourir. «Heaven is betting on us.» Lui rappelais-je en déposant un baiser sur le sommet de sa main en l'attrapant délicatement entre mes doigts.


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Il n’y avait aucun échappatoire possible. Il me fallait la récupérer par les moyens que je possédais et pour le moment je n’avais qu’une platonique amitié à lui offrir. C’était à prendre ou à laisser, tout était noir ou blanc, il lui faudrait s’y faire et s’y résoudre. Elle ne bougea pas un long moment alors qu’elle recevait ma demande, ça ne devrait pourtant pas la surprendre.  «Nous ne pouvons pas être amis. Nous ne pourrons jamais être seulement ça et tu le sais Dexter. On... nous...» J’hochai la tête frénétiquement, je ne voulais pas lui laisser croire que nous étions toujours complice de quelque chose de magique. La preuve était sous ces yeux, je tenais debout, j’arrivais à être heureux sans elle... et je m’en sentais que d’autant plus léger. «Je nous laisserais pas tomber. Jamais, tu m'entends Dexter? Je renoncerais jamais à toi, à nous. Je préfère mourir que d'imaginer une vie sans que tu en sois le centre.» Comme si ces mots n’étaient pas déjà assez torturants, elle m’attrapa la main d’un geste rapide que je n’aurais ni pu prévoir ni pu éviter. Elle colla ma paume brûlante de colère et de peine sur son visage. J’inspirai profondément alors qu’elle me jetait encore au visage son amour et mes promesses brisées... elle avait brisée les siennes en premier. Je tentai de me libérer, mais elle me tenais si fermement qu’elle m’en aurait arracher la peau si ça avait suffit à me posséder ne serais-ce qu’ainsi. «Heaven is betting on us.» Ses lèvres, ce souffle, tout s’écrasa contre le dos de ma main. Arg! S’en était trop, comment osait-elle? Je repris ma main avec surplus de violence. La calant entre mes cuisses pour éviter d’y vérifier si elle y avait laissé la marque de ses lèvres. «T'es sérieuse Valentine? Si ceci était l’oeuvre du destin tu sais que tu aurais fait pour moi?» Je lui laissai une fraction de seconde pour réfléchir, pour répondre, mais j’étais trop impatient que je le fis à sa place; «Tu l’aurais quitté alors que nous étions toujours qu’à quelques milliers de kilomètres l’un de l’autre! Merde, tu crois que j’ai confiance maintenant, tu crois que j’ai envie de me jeter dans tes bras quand tu m’as traité comme ton second choix aussi longtemps?» Je baissai les yeux au sol, ma voix était un mélange de nostalgie et de tristesse tellement profonde que c’était la première fois que j’osais verbaliser ces mots. Elle m’avait fait mal, trop longtemps, il lui faudrait m’attendre une éternité pour se rattraper de ce mal profondément ancré en moi.

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J’y étais peut être aller un peu vite et un peu fort. Il ne voulait définitivement pas la même chose que moi, du moins pour le moment car je ne perdais toujours pas espoir malgré les événements. Il reprit sa main brusquement et la cacha loin de moi, ce geste me brisa le coeur mais je l’avais bien chercher en me l’appropriant ainsi. Je faisais de même en rangeant mes bras sous ma poitrine en les croisants. «T'es sérieuse Valentine? Si ceci était l’oeuvre du destin tu sais que tu aurais fait pour moi?» Je baissais la tête, bien au courant des faits et de mon erreur, dès le départ je n’avais pas agis comme il aurait fallu, j’avais mes raisons, mes excuses, et jusque là je n’avais pas imaginer à quel point cela l’avait blesser, mais sa réaction d’aujourd’hui me le faisait bien comprendre. «Tu l’aurais quitté alors que nous étions toujours qu’à quelques milliers de kilomètres l’un de l’autre! Merde, tu crois que j’ai confiance maintenant, tu crois que j’ai envie de me jeter dans tes bras quand tu m’as traité comme ton second choix aussi longtemps?» Je relevais le regard sur lui alors que c’était à son tour de cacher le sien après ses aveux. J’avais tellement honte de lui avoir fait subir ça, de lui avoir fait mal sans penser aux conséquences que ça aurait sur le long terme et d'être encore capable de lui en faire aujourd'hui. J’avais été si égoïste dans tout ça et je l’étais encore maintenant en le forçant presque à me toucher ou agir contre son gré. Je m’en voulais terriblement et ça ne tarda pas à se lire sur mon visage. Mes yeux s’humidifièrent à en déborder mais je ravalais tout ça pour ne pas lui en faire supporter d’avantage. «Je suis tellement désolée Dexter.» Réussissais-je à dire entre deux respirations. Je me relevais pour m’éloigner de lui, pour trouver le courage qu’il me manquait,  je ne devais plus m’imposer comme ça, il était libre de faire de sa vie ce qu’il en voulait, de choisir avec qui il voulait être heureux et je n’avais pas le droit de faire ce choix à sa place. Je lui tournais le dos en essayant de trouver la force de lui répondre sans m’effondrer, puis après quelques instants de silence, je me retournais face à lui, cachant dans mon dos mes mains tremblantes. «J’aurais du le quitter et aujourd’hui je réalise que je n’avais aucune raison valable de rester avec lui, à cette époque, j’avais juste tellement peur…» Je n’essayais pas d’excuser mon comportement, il ne l’était pas, absolument pas. «Je veux pas te forcer à être avec moi, si tu es heureux comme ça et que tu m'offres la possibilité d'être encore dans ta vie... ça me suffit, même si je croirais toujours en nous et te voudrais toujours Dexter. T'es l'homme de ma vie et je ne pourrais jamais vivre sans toi.» Terminais-je en sentant les larmes couler en imaginant bien trop fort une vie sans lui, je ne pouvais pas, c'était pire que tout et ce qu'il m'offrait en cet instant valait bien mieux que ça.

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Je n’aurais jamais cru en venir jusque là. Mes émotions avaient rapidement pris le dessus sur ma rationalité, toutes ses choses je les lui avais rapidement pardonné, dès l’instant où nous avions échangé ce premier baiser. je ne doutais de rien, certainement pas de ses sentiments sincères envers moi. C’était ce que j’avais trouvé de plus plausible pour me servir de bouclier émotionnel. Tout ce qui la touchait me marquait si profondément que j’avais peur de m’y perdre de nouveau... oh tellement peur de me faire avoir et d’en souffrir.  «Je suis tellement désolée Dexter.» Je la regardais se recroqueviller dans sa peine, ses yeux se noyant de larmes... arf, quelle affreux spectacle. Ne pleure pas mon coeur. Malgré tout elle restait chère à ma vie, je ne pourrais jamais le nier. Elle se releva, avant même que je n’ai le temps de  la retenir. Je ne voulait pas qu’elle me quitte, encore moins qu’elle me lâche... son contact me manquait tellement, je voulais simplement que nous trouvions un terrain d’entente, que nous soyons heureux tous les deux. «J’aurais du le quitter et aujourd’hui je réalise que je n’avais aucune raison valable de rester avec lui, à cette époque, j’avais juste tellement peur…Je veux pas te forcer à être avec moi, si tu es heureux comme ça et que tu m'offres la possibilité d'être encore dans ta vie... ça me suffit, même si je croirais toujours en nous et te voudrais toujours Dexter. T'es l'homme de ma vie et je ne pourrais jamais vivre sans toi.» C’était la première fois que j’entendais son explication au sujet de Kennedy, je n’avais jamais voulu presser les choses et je n’avais certainement jamais eu le courage d’exiger d’elle la moindre justification après m’être fait recaler au statut d’ami exclusif. Elle me regardait de haut et je pouvais les voir... ses sournoise larmes lui couler sur son visage. Il n’y avait réellement rien de pire que ça. Je me relevai rapidement pour la rejoindre, portant mes mains à son visage, la tenant prisonnière entre mes paumes alors que mes pouces s’attelaient à effacer sa peine. «T’es la femme de ma vie aussi Valentine, je ne douterai jamais de ça. Comment on s’est rencontré et tout le chemin qu’on a parcouru, c’est la plus belle chose qui me soit arriver. Personne ne me connait comme toi et franchement... ce serait un véritable honneur pour moi de te garder auprès de moi, t’es ma meilleure amie.» Sans pouvoir me retenir, je me logeai dans ses bras, glissant mes mains dans son dos pour qu’elle se rapproche de moi et embrasse chaque courbe de mon corps. Ah comme son parfum m’avait manqué, j’en avais souffert jusqu’alors sans m’en rendre compte. «Juste... je peux te demander de quoi tu avais peur exactement?» J’étais curieux et je ne pourrais jamais freiner ces ardeurs interrogatives. J’étais si bien ainsi, l’étouffant jusqu’à la sentir perdre le souffle, c’est elle qui devrait me dire de la lâcher cette fois.


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Je m'étais laissée aller dans la confidence, voulant une bonne fois pour toute régler nos différents, c'était le moment où jamais pour repartir sur de bonnes bases, je ne voulais pas gâcher notre histoire, en rien la bousiller d'une quelconque manière. Il se leva et me rejoint sans dire un mot, ses mains emprisonnèrent mon visage comme j'aimais tant qu'il le fasse, je me sentais si bien sous son contact. De ses pouces il sécha mes larmes et celles ci se seraient bien encore montrer pour abuser de ses caresses mais il estompa ma peine en quelques mots. «T’es la femme de ma vie aussi Valentine, je ne douterai jamais de ça. Comment on s’est rencontré et tout le chemin qu’on a parcouru, c’est la plus belle chose qui me soit arriver. Personne ne me connait comme toi et franchement... ce serait un véritable honneur pour moi de te garder auprès de moi, t’es ma meilleure amie.» Ses mots me touchèrent en plein coeur, comme un baume me rassurant sur notre avenir et me permettant de continuer à croire à une éternité avec lui. Ses bras me rapprochèrent contre lui et je pouvais enfin gouter à sa chaleur, à son corps... Oh mon dieu, qu'est-ce que ça m'avait manqué. Je n'hésitais pas une seconde avant de lui rendre son étreinte et me loger confortablement auprès de lui. Je respirais de nouveau son parfum, m'en sentant faiblir des genoux, à en faire trembloter mon coeur dans sa cage. Ah, c'était si bon de l'avoir ainsi, j'en oublierais jamais le bonheur que cela m'apportait, la tendresse dans laquelle il me transportait, c'était la meilleure place au monde là où je ne voulais jamais disparaitre. «Juste... je peux te demander de quoi tu avais peur exactement?» Je relavais les yeux sur lui, dans les siens avant de m'attarder sur ses lèvres, hum... J'étais si près et il ne me fallait qu'une petite impulsion pour les atteindre, délicieux fantasme qui me hantait à présent, je m'en mordais les lèvres d'envie et resserrait mon étreinte autour de lui comme il le faisait si bien, au bord de l'étouffement, mais la mort dans ses bras avait meilleur gout et sonnait comme de la poésie. «J'avais peur de ne pas être assez bien pour toi, de gâcher tout ce que l'on avait... Je tiens tellement à nous Dexter, j'avais peur de te perdre en quelque sorte.» C'était ainsi que je le ressentais, que je l'avais vécu, ça pouvait paraitre stupide et ça l'était en quelque sorte, j'avais complètement était nulle sur ce coup, mais aujourd'hui je reconnaissais mes tords en espérant qu'il puisse les comprendre et me les pardonner. «J'aurais du croire plus en nous que ça, mais en contre partie je n'arrêterais jamais d'y croire.» Pas un seul jour de ma vie je n'abandonnerais l'idée de la faire avec lui, de lui donner tout ce qu'il voudrait et de le faire mien comme jamais. Mes yeux se logèrent dans les siens et je déposai mon visage dans son cou avant de céder à la tentation, mais... arg! C'était pire, son parfum m'envahissait et j'en frissonnais de tout mon être. Mon museau vint glisser contre sa peau d'un geste naturel et je ne pouvais m'empêcher de glisser mes mains dans son dos, me rappelant à quel point j'aimais faire ça et les formes de son corps.
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Ce plaisir était tout à fait singulier, il n’y aurait jamais rien de comparable à l’harmonie de nos corps unis l’un à l’autre. Elle me rendait avec enthousiasme mon embrassade, soulageant les courbes de mon dos qui en avaient subit un manque énorme. J’inspirai lourdement son parfum et me retins d’en prendre tout de suite une deuxième dose, ces choses pouvaient rapidement déraper. Suite à ma question, elle hésita un moment à répondre, me fixant de ses yeux azurs et brûlant que je lui connaissais bien, oh non elle n’avait pas le droit de me regarder ainsi. Elle me caressa les lèvres de cette trajectoire prohibée, me faisant rougir dans sa quête. Ses dents emprisonnèrent un instant sa bouche et j’en grinçai des dents, d’envie et de désaccord. «J'avais peur de ne pas être assez bien pour toi, de gâcher tout ce que l'on avait... Je tiens tellement à nous Dexter, j'avais peur de te perdre en quelque sorte.» Je n’écoutais déjà plus, trop absorber dans ces mimiques habituelles qui m’auraient combler jadis, mais qui aujourd’hui me torturait sévèrement. Arg! Je ne rompis pas le câlin, ça me faisait trop de bien de prétendre que nous étions de nouveau quelque chose de tangible. «J'aurais du croire plus en nous que ça, mais en contre partie je n'arrêterais jamais d'y croire.» Hum. C’était beau ce qu’elle disait, mais ce n’était toujours pas ce que je voulais entendre, ou ressentir. Comme si elle avait entendu le cours de mes pensées, elle posa la tête sur mon épaule et s’amusa à titiller la peau de mon cou du bout de son museau. Elle me caressa le dos de ses paumes... et s’en était simplement trop. J’en frisonnai de manière visible, faufilant une de mes mains sous son aisselle pour remonter doucement le court de son bras et lui saisirent la main, ou plutôt pour l’arracher à la surface de ma peau. D’un mouvement, sa main se retrouvait maintenant dans ma bouche, j’en croquai fermement sa chair pour la réduire au silence. «Tu m’énerves!» Grognais-je en libérant sa main de mon emprise. Ça me rappelait notre première rencontre tiens, oh nostalgie. «Alors c’est ça hum? Tu vas juste continuer de me torturer jusqu’à quoi...?» Que fallait-il faire pour qu’elle s’arrête au juste? Mon regard était noir et colérique, j’étais surtout déçu de ma performance, ça ne devrait rien me faire pourtant. «Allez dis moi, tu veux quoi en échange de ta sagesse?» Je plissai les yeux en la provoquant, il y aurait bien un entente possible entre nous. Elle se tenait comme une amie le devait et j’arrêterai de la mordre... enfin, j’essaierai.


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La texture de sa main descendant le long de mon bras, je ne pouvais cacher le plaisir que cela me procura, ni les papillons qui s'envolaient dans mon ventre. Il attrapa ma main et la porta à sa bouche et avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, il l'avait déjà dans sa bouche et... il me la mordait, arg! «Tu m’énerves!» Quoi? C'était plutôt l'inverse grr! Il me rendit ma main et je ne pu que me rappeler de cette première fois où nous avions déjà vécu ce moment. Hum, j'en rougissais des joues et baissais le regard à son torse, me rappelant maintenant des autres morsures que j'avais pu lui laisser sur le corps... délicieux souvenir. «Alors c’est ça hum? Tu vas juste continuer de me torturer jusqu’à quoi...?» C'était moi la tortureuse alors? Hum, je n'allais définitivement pas arrêter après cet aveux. «Allez dis moi, tu veux quoi en échange de ta sagesse?» Son regard me pénétra brusquement jusqu'à mon âme, noir et colérique, tout à fait à mon gout et complètement addictif, je voulais qu'il ne cesse de me regarder comme ça, cette lueur était mieux que rien et je décidais de l'entretenir du mieux que je pouvais. Qu'il me déteste ou qu'il m'aime, le principal était que je ne le laissais en aucun cas indifférent et j'allais évidemment, en abuser jusqu'à qu'il craque, réalise à quel point nous sommes fait l'un pour l'autre. C'était évident, l'attraction était trop forte entre nous, une magie qui se lisait sur nos lèvres, voyageait entre nos regards, d'âmes à âmes, elle nous marquait, me tatouait la peau en indiquant au monde que j'étais sienne. Ne voyait - il pas à quel point s'en était de même pour lui? Pire que deux aimants, nous étions là l'un contre l'autre, presque impossible à séparer. «Hum... Laisse moi réfléchir Dex...» Je pris une moue hésitante, retrouvant ses lèvres du regard, puis son cou, je descendais sur son torse des yeux avant de finir sur le milieu de son corps... hum, quelle torture, je me surprenais à avoir des idées complètements salaces. Je remontais vers son visage en même temps que ma main sur son bras, elle s'arrêta à son épaule que je tenais délicatement. «Peut-être que...» Je fis semblant d'avoir trouvé pour éveiller sa curiosité puis avouai enfin la terrible vérité. Je secouais doucement la tête de gauche à droite, négativement. «Oh chéri, je ne pourrais jamais être sage, ni aujourd'hui, ni demain, tu sais que...» Je m'en mordais la lèvre inférieure, tirant sur la pulpe de ma lèvres pour calmer ma grande impatience. «Mon envie pour toi, mon désir et tout mon amour, ne peuvent pas s'éteindre, c'est un brasier, un immense feu éternel que tu as allumé en moi et l'immensité de la chose fait que rien ne peut stopper ça, peu importe ce que tu fera.» Il pourrait rester dans le coin de la pièce à m'éviter que je ressentirais la même envie pour lui, l'avoir, le posséder, l'aimer, le rendre heureux, lui donner du plaisir, oh ça m'obsédait à chaque seconde de ma vie, ne le vois tu pas mon amour, à quel point je t'aime?

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