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[Prue & Drew] What you do makes me crazy and you don't care !

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••• WHAT YOU DO MAKES ME CRAZY AND YOU DON’T CARE •••



Le Yard (Harvard U.), Cambridge (MA)
Prudence & Andrew






Ses parents l’avaient prévenu mais comme toujours il n’en avait fait qu’à sa tête. Un Kenworth était sujet à de pertes de sang-froid le transformant en une personne pouvant être très violente et que très souvent, l’amour en était la principale raison. Drew avait refusé de croire à ces paroles qu’il avait jugées comme étant de pures calomnies alors que son père, lorsqu’il lui avait conté l’histoire de sa grandiose famille, lui avait donné des exemples très concrets de Kenworths qui s’étaient presque donnés la mort parce qu’ils n’en pouvaient plus de leur craquage… Mais aujourd’hui, il constatait qu’il ne valait pas mieux que ces ancêtres ! Il était en train de craquer à cause d’une femme alors qu’il s’était toujours promis d’être invulnérable et s’immuniser contre tous les sentiments qui apparaissaient dès qu’il y avait ce qu’on appelait l’amour dans l’air… Mais d’abord l’aimait-il Prudence ? La réponse était de plus en plus évidente mais il refusait toujours d’y croire tout comme il se refusait de croire à ses dires actuellement ! Tout ce qui lui importait était le fait qu’elle s’était retrouvée dans la chambre de son bizuteur et que cela l’avait réduit à un état impossible à décrire en fin de compte. Pour ne pas croiser son regard, il avait décidé de s’auto-mutiler d’où le fait qu’il venait de casser la table avec son poing. La douleur le paralysait presque mais il parvenait encore à parler d’une voix glaciale… L’ayant remarquée faire un mouvement afin de s’approcher de lui, il s’était écrié en lui disant de ne pas s’approcher de lui. Oui elle le rendait fou ! Et elle ne s’en rendait même pas compte… Mais en réalité il ne pouvait que s’en prendre qu’à lui-même ! Il ne savait guère gérer ses émotions, tout simplement parce que c’était bien trop nouveau pour lui ! Elle murmura qu’il ne lui ferait pas de mal… Ce qu’il en doutait et alors qu’elle s’approchait trop de lui, il eut un mouvement de recul… Elle le supplia presque de ne pas la repousser… « Ne t’approche pas ! Vas… » Il voulut la chasser mais il ne parvenait pas à le dire tellement il était en colère mais il était aussi très apeuré par la situation dans laquelle il se trouvait… En la chassant, il avait peur de la perdre ! Que diable devait-il faire ? Il ne se comprenait plus ! Tant pis ! Peu importe ce qu’elle penserait de lui désormais… Il n’était qu’un connard après tout ! Fermant les yeux, il se flanqua une gifle afin de se réveiller de ce cauchemar… Mais cela empira son état… « Pourquoi essaies-tu de te rapprocher… ? Tu es une jolie femme, je le sais et que tu plaises aux autres hommes c’est normal… mais désormais, je sais que cela pourrait m’insupporter que… Ne t’approche pas… Je ne veux pas te faire de mal ! Je devrais rentrer en Angleterre… Je ne sais même plus si j’ai ma place ici ! »

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« Ne t’approche pas ! Vas… » Il croyait vraiment que j’allais le laissé seul ici ? De plus, si jamais quelqu’un le voyait, il allait s’attirer des ennuis. Ne bougeant pas d’un millimètre, j’attendais la prochaine vague. Celle où il frapperait plus fort. Le plus dur, fut de le voir se donner une gifle. Pourquoi se faisait-il souffrir ainsi ?! Jamais, je ne l’avais vu en proie à ce genre d’état. [i] « Pourquoi essaies-tu de te rapprocher… ? Tu es une jolie femme, je le sais et que tu plaises aux autres hommes c’est normal… mais désormais, je sais que cela pourrait m’insupporter que… Ne t’approche pas… Je ne veux pas te faire de mal ! Je devrais rentrer en Angleterre… Je ne sais même plus si j’ai ma place ici ! »[/color] Ses phrases devenaient incohérentes et s’embrouillaient légèrement. Je restais muette face à cela. Je le regardais souffrir, sans pouvoir l’aider. Il me disait de ne pas l’approcher et de m’en aller. Andrew parlait de l’Angleterre et cette idée m’était insupportable. Au fond de moi, la douleur se faisait de plus en plus intense et elle devenait hors de contrôle. N’y tenant plus, je faisais un pas de plus, prenant sa main indemne dans la mienne. Peu importe qu’il me repousse, je voulais juste le sentir près de moi. « Les autres hommes m’importent peu Andrew…parce que… Enfin je ne suis pas intéressé par eux. » Je marquais un temps d’arrêt, relevant les yeux vers lui. « Reste avec moi… » Ma voix n’était plus qu’un murmure. Une supplique lancinante et tandis que j’attendais une réaction de sa part, je retenais mon souffle comme paralysé par son impulsivité.
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Sa main prenait très chère aujourd’hui parce qu’il l’utilisait afin de s’auto mutiler à cause de sa colère intérieure et le fait que la bombe à retardement qui se trouvait en lui venait d’exploser finalement le rendant complètement incontrôlable… Il avait peur de ses propres réactions mais malheureusement, il ne pourrait plus rien faire désormais, il était dans un état des plus pitoyables ! Et encore pire dans tout ça, c’était que la jeune femme qui hantait son cœur, ses pensées et j’en passe était la témoin de son pétage de câble… Mais il ne pouvait plus revenir en arrière, il était bien trop loin dans cet état ! Alors qu’il s’était écrié en lui disant de s’en aller et surtout de ne pas s’approcher, il s’était mis une violente gifle afin de se réveiller… La douleur était tellement forte qu’il avait le visage crispé mais il était toujours autant animé par cette colère ! Il lui avait dit par la suite des paroles qu’il ne pensait pas du tout mais ils étaient tout de même sortis de sa bouche colérique… Et ses derniers mots avaient été qu’il ne se sentait plus à sa place en ces lieux et qu’il préférait rentrer en Angleterre… Mais lorsqu’il avait dit cela, il s’était dit que cela pourrait réellement se faire.. Il était dans un état bien trop pitoyable pour rester ici ! Elle combla rapidement les derniers centimètres qui les séparaient l’un de l’autre afin de lui prendre sa main valide et lui dire que les autres hommes lui importaient peu… Elle n’était pas intéressée par eux… La joie qu’il aurait du ressentir à cette annonce ne vint pas, au contraire, cela accentuait sa colère… Il n’arrivait pas à la croire et cela lui faisait mal ! Etait-il si paranoïaque ? Il détestait faire confiance aux gens… Il luttait contre lui-même désormais… « Pourquoi… ? Resterais-je… ? Je ne suis qu’un type parmi tant d’autres et en plus un type qui te fait du mal, en te disant toutes ces méchancetés ! » répondit-il les yeux brillants de colère, il libéra sa main et sentit qu’il n’était pas bien du tout.
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Il était trop têtu pour écouter ce que j’avais à lui dire. Il refusait de me croire, alors que je pensais ce que je venais de lui dire. Je n’avais jamais été aussi honnête de toute ma vie. Sauf lors de nos récents rendez-vous. En réalité, il n’y avait qu’avec lui que j’avais été pleinement honnête. « Pourquoi… ? Resterais-je… ? Je ne suis qu’un type parmi tant d’autres et en plus un type qui te fait du mal, en te disant toutes ces méchancetés ! » Il se dégageait de mon emprise, repoussant ma main d’un mouvement sec. Peiné face à cela, je ne savais quoi lui dire de plus pour qu’il m’écoute. Ne reculant pas pour autant, je restais silencieuse durant quelques secondes, avant de lui répondre. Ce que je m’apprêtais à lui dire, allait peut-être tout changer, mais comment pourrait-il en être autrement ? « C’est là où tu te trompes. Ne te rends tu pas compte de la personne que tu es ? » Je marquais une pause, espérant qu’il réfléchisse à ses paroles. « Si tu pars…Je ne sais pas si je le supporterais…Pas maintenant… » Je détournais mon regard de son imposante stature, fixant les débris sur le sol. « C’est trop tard maintenant…Tu es trop important pour que je te laisse partir sans rien tenter… » Mes mots étaient sortis de mes lèvres sans que je puisse les arrêter. Devenus incontrôlable, je ne m’étais pas rendu tout de suite compte de leur importance. J’avouais ouvertement ne plus me passer de lui. Pour une fois, je n’allais pas fuir. Non, j’allais rester près de lui, attendant qu’il me pardonne. Une larme perlait sur mon visage, mais me rendant compte de ma faiblesse, je l’essuyais d’un revers de main avec l’espoir qu’il n’est rien vu. Je détestais être faible. Depuis toujours, je me comportais comme si aucun mot n’avait d’impact sur moi et jusque-là, cela avait marché. Pourtant, Andrew avait tout remis en question.
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Il était vraiment trop bête, il s’enlisait dans sa propre bêtise mais il n’arrivait pas à s’en sortir en réalité. Il ne parvenait à croire les dires de la jeune femme or il sentait parfaitement qu’elle était des plus sincères mais il était bien trop vulnérable en ce moment pour croire les gens. Plus il croirait des gens, plus il deviendrait vulnérable ! Il se devait de rester le même qu’avant mais malheureusement, son esprit refusait purement et simplement de redevenir comme avant… Il allait devoir se contenter du jeune homme perturbé qu’il était actuellement ! Il n’était plus Andrew Kenworth, Comte du Bredfordshire et PDG de KW Industries… Il n’était plus ce fameux surhomme que ses parents avaient toujours souhaité qu’il soit, il ne connaitrait jamais les sentiments d’échec et cetera ! Il était un gagnant ! Cependant aujourd’hui, il était tout sauf un gagnant… Il venait de se briser la main en donnant un violent coup de poing dans le mur, puis il avait brisé la table à ses côtés et il en était arrivé à son comble en se giflant de toutes ses forces… Il n’en pouvait plus désormais, il était vraiment mal en point ! Il avait envie de tout régurgiter tellement cela lui retournait l’estomac.. Son comportement était abject et complètement indigne de son rang ! Il était un Comte par tous les Saints ! Il s’était reculé après s’être libéré de son emprise. Les mots de la jeune femme peinèrent Drew à un point qu’il ne pourrait décrire… Etait-il réellement si important pour elle ? Tout autant qu’elle l’était pour lui ? Il grimaça de douleur à cause de sa stupide blessure mais il parvint à garder une contenance. Il réfléchissait aux mots qu’elle venait de prononcer. Qu’allait-il faire désormais ? Il n’avait plus le droit de partir… La larme qui perla sur le visage de la jeune femme eut raison de sa colère ; en effet, celle-ci s’était presque envolée tandis qu’il se décida à se rapprocher d’elle sans grimacer malgré l’intense douleur qu’il ressentait au niveau de sa main… « Je te crois… Mais j’ai peur de te perdre, Prue… Tu es devenue trop importante à mes yeux. Je… Suis… Désolé pour ce qu’il vient de se passer… »

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Ses traits d’ange étaient déformés par une rage et une réflexion bouillonnante. Le voir ainsi était une première pour moi. Andrew Kenworth venait de littéralement craquer devant moi et cela, il ne l’avait jamais fait auparavant. Pourtant, nous nous connaissions depuis l’enfance. C’était donc très déstabilisant. Alors que je pensais, que mes mots seraient peu suffisants pour le rattraper, il marquait un temps d’arrêt. D’un pas lent, il revenait doucement vers moi. Sa main continuait de saigner et cela m’alertait. Il fallait qu’il aille à l’infirmerie pour avoir des soins dans l’immédiat. Il risquait énormément en laissant la plaie s’envenimer. En la regardant, cela me rappelait la colère noire dont il avait fait preuve et mon implication dans cet acte. La culpabilité s’emparait de mon être, s’amplifiant à chaque seconde. « Je te crois… Mais j’ai peur de te perdre, Prue… Tu es devenue trop importante à mes yeux. Je… Suis… Désolé pour ce qu’il vient de se passer… » Sa voix brisait le mutisme dans lequel il c’était abandonné. Il s’excusait pour ce qui venait de se passer, mais je n’étais pas toute blanche dans l’histoire. Moi aussi, j’avais eu ma part de responsabilités. Me rapprochant de lui avec précaution, je n’osais le toucher de peur de le perdre une seconde fois. « Je suis désolé aussi… » Dans le fond, ça avait été toujours lui. Notre lien, n’avait fait que se forger aux fils des années. Il était indissociable et quoi que je fasse, je serais toujours attiré vers lui. Si aujourd’hui, j’avais été marié avec James, est-ce que j’aurais pu me retenir de ne pas fauter avec Andrew ? Plus nous avancions dans le temps et plus je me disais que j’aurais pu fauter. Il était le seul à me faire sentir si vivante. « Laisse-moi t’emmener à l’infirmerie » disais-je avec douceur. Je tendais vers lui ma main qui semblait être si petite par rapport à la sienne. Andrew était un homme puissant autant mentalement que physiquement et le voir dans cet état, continuait de me faire ressentir une douleur. Je voulais l’aider à aller mieux et prendre soin de lui. Jamais encore, je n’avais ressentie ce sentiment qui est de se préoccuper d’une autre personne. Du moins, pas avec les hommes.
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Il n’en pouvait plus… Il avait vraiment trop mal désormais mais il se refusait à montrer sa douleur sur son visage qui était déjà si déformé par la colère extrême à laquelle il venait d’avoir droit. Et voilà qu’il faisait désormais partie de ces Kenworths qui craquaient littéralement à cause d’une femme, ce qui lui donnait encore une preuve du fait qu’il était très certainement amoureux de Prudence. Enfin là, il s’était finalement calmé et c’était maintenant qu’il ressentait la douleur, le sang qui luisait sur sa main tombait abondamment sur le sol désormais mais il n’y faisait guère attention. Il fallait qu’il sorte d’ici mais tout d’abord il fallait qu’il s’excuse auprès de sa belle Dunster qui venait réellement de s’ouvrir à lui. Ses mots l’avaient énormément touché et déstabilisé parce qu’il ne s’y attendait pas du tout. Jamais il n’aurait cru qu’elle allait lui dire que si jamais il partait, elle ne le supporterait pas… Elle était à ce point attachée à lui ? Drew la croyait désormais donc il lui avait dit qu’il avait peur de la perdre malgré le fait qu’il la croyait et c’était parce qu’elle était vraiment devenue trop importante pour lui. Il avait terminé par s’excuser de ce qu’il venait de faire. Elle s’était rapprochée de lui avec un peu de circonspection tout en murmurant qu’elle était désolée aussi. Puis elle lui dit de la laisser l’emmener à l’infirmerie. « J’irai où tu voudras… » répondit-il en grimaçant de douleur tandis qu’il prenait la main douce de Prue dans sa main encore valide. Puis ensemble, ils allèrent jusqu’à l’infirmerie du campus. Dès qu’on le prit en charge, il murmura à Prue : « Reste avec moi… » puis avant que l’infirmière ne commence à le soigner, il lui dit d’un ton qui ne souffrait aucune réplique, ce même ton qu’il employait lorsqu’il conversait dans le monde du business : « Miss, pourriez-vous je vous prie contacter le doyen de l’université afin qu’il puisse venir de toute urgence ici parce que j’aurais une confession à lui faire ? Merci d’avance ». L’infirmière lui sourit d’un air rassurant et d’un signe de tête, elle dit à sa collègue d’appeler le Doyen. Gardant la main de Prue dans la sienne qui était encore valide, il se mit à grimacer de douleur lorsque l’infirmière se mit à désinfecter sa main…
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« J’irai où tu voudras… » Prenant soin de prendre sa main indemne, je l’emmène avec moi hors du bâtiment principal pour aller à l’infirmerie. Le sang continuait à perlé sur le sol et il fallait faire vite pour éviter que sa blessure ne s’aggrave ? Rapidement, nous atteignons le bâtiment où il fut pris en charge presque automatiquement. « Reste avec moi… » me murmurait-il. Je pressais ma main contre la sienne, avant de souffler quelques mots. « Toujours » L’infirmière, nous amena dans une petite salle, demandant à Drew de s’assoir sur le lit. Le voir aussi vulnérable m’étais insupportable. Sans compter que cela était en partie ma faute. Quoi qu’il dise, j’étais en partie responsable du relâchement de ses nerfs. Je restais près de lui, alors qu’une des infirmières allait prévenir le doyen. Le voir donner ses instructions dans de pareilles circonstances, me rappelle la fermeté dont il peut faire preuve en toute circonstance. Néanmoins, il agit avec douceur, attirant le respect de ses dames. Il avait même réussis à faire rougir les infirmières et cela me fit sourire. Tandis que l’infirmière se lève pour prendre un bandage, je me tourne vers Drew. « T’es sûr que c’est une bonne idée qu’il vienne ici ? Tu aurais pu simplement prendre un rendez-vous » Je chuchotais ses mots pour qu’aucune personne présente dans la salle –à part lui- nous entende. On m’avait appris à ne jamais contredire une personne -qui venait de donner des instructions- devant un public. Aussi, il était peu recommandé de voir un possible adversaire dans une position de faiblesse et là, c’était le cas d’Andrew.
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Alors que Prudence l’emmenait jusqu’à l’infirmerie afin de soigner sa main qu’il avait complètement défoncée en donnant tous ces coups – que ce soit dans le mur, sur la table qui s’était brisée par la suite ou encore alors que sa main était déjà souffrante depuis la soirée de samedi où il avait explosé un verre – Drew se disait qu’il était un pauvre malade mental et que sa belle ne le verrait plus jamais de la même manière désormais. Il s’en voulait énormément de s’être à ce point fait emporter par la colère noire qui l’animait depuis ce weekend. Seule la peur de perdre la jeune femme le poussait à agir de cette façon mais tout de même, jamais il ne lui ferait du mal ! Il préférait se mutiler personnellement comme il venait de le faire durant leur dispute. Il avait rapidement été pris en charge par les infirmières de l’université qui l’avaient emmené dans une petite salle où il s’était mis en position assise. Lorsqu’il avait demandé à Prue de rester avec lui, elle lui avait soufflé qu’elle resterait toujours tout en serrant sa main valide dans la sienne. Avant qu’on ne le soigne réellement, il avait demandé aux infirmières de contacter le Doyen de l’Université afin que celui-ci constate à la source des dégâts qu’il avait commis aujourd’hui. Ne voulant pas que cette histoire s’ébruite, il préférait en finir rapidement avant que cela ne se sache. Une des infirmières était donc partie appeler le Doyen. Il regardait longuement la jeune femme qui lui tenait la main et comme toujours, il était subjugué par sa beauté… Pendant que l’infirmière qui s’occupait de le soigner se levait pour aller chercher un bandage, elle lui demanda en chuchotant si c’était une bonne idée que le Doyen vienne ici-même. Oui, il aurait pu demander un rendez-vous avec lui mais il n’avait guère envie de passer dans le bureau du Doyen en ce moment. Il retira sa main indemne pour venir lui caresser tendrement la joue en essayant de sourire malgré la douleur qui le paralysait énormément mais il était fort et il lutterait contre ladite douleur jusqu’à ce qu’elle ne s’envole d’elle-même. « J’aurais pu prendre un rendez-vous mais je préfère en finir rapidement. Je sais que je vais devoir payer réparation… Et je vais le faire le plus tôt possible. J’ai besoin de toi auprès de moi pour l’affronter… » Il avait dit ces mots sur le même ton qu’elle, puis il reprit la main de la jeune femme tandis que l’infirmière revenait pour commencer à lui mettre son bandage.

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« J’aurais pu prendre un rendez-vous mais je préfère en finir rapidement. Je sais que je vais devoir payer réparation… Et je vais le faire le plus tôt possible. J’ai besoin de toi auprès de moi pour l’affronter… » Je comprenais qu’il veuille en finir rapidement, mais pourquoi le faire maintenant ? Ainsi, nous patientions dans l’infirmerie de l’université. Les infirmières s’affairaient à leur tâche en nous jetant quelques regards curieux. Toutes se demandaient surement, comment il avait fait pour ce blessé de la sorte. Une fois la plaie nettoyé, on lui mit un bandage blanc. Le doyen mit plusieurs minutes à arriver. Comme je m’y attendais, Andrew se sorti de ce mauvais pas avec intelligence et élégance. Lui seul pouvait se sortir de ce pas et j’avais été bien sot de vouloir qu’il attende un peu plus tard. Ils avaient convenu que de l’argent serait transféré sur le compte de l’université avec une prime de dédommagement. A ce moment, je me demandais si les parents de Drew allaient être au courant. Si oui, qu’allaient-ils en penser ? Allaient-ils l’appeler pour avoir des explications ou le laisserait il face à ses propres erreurs ? Mon père ne se mêlait jamais de ma vie privé, mais il m’était de précieux conseils. Selon lui, il était préférable que j’apprenne à gérer mes propres erreurs, car c’était ainsi que l’école de la vie s’instruisait. Le monde était un océan de requins et nous devrions tous, nous fier qu’à nous-même. Peu après cette visite informelle, nous rentrions aux résidences.
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