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[Prue & Drew] What you do makes me crazy and you don't care !

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••• WHAT YOU DO MAKES ME CRAZY AND YOU DON’T CARE •••



Le Yard (Harvard U.), Cambridge (MA)
Prudence & Andrew






Les cours d’aujourd’hui n’était pas du tout intéressants ou plutôt c’était parce qu’il ne s’y intéressait pas du tout et il ne faisait même pas d’efforts pour faire ne serait-ce faire semblant de trouver un intérêt à ces cours barbants que les professeurs de l’Université de Harvard leur enseignaient. De toute façon, Drew était très colérique aujourd’hui et il avait failli se faire virer plusieurs fois de cours parce qu’il avait répondu à ses professeurs, en leur parlant comme des merdes… Il avait même failli refaire le portrait de son voisin qui lui cassait un peu trop les pieds, ce qui lui avait valu un aller chez le Doyen de l’Université qui l’avait rappelé à l’ordre sur le comportement qu’un jeune homme de son rang devait avoir en classe : en effet, son comportement était totalement indigne de son rang de Comte mais il n’y pouvait rien ! Il avait passé trop de temps à ruminer et il était maintenant en phase d’évacuation ! Comme je disais, le jeune Andrew Kenworth était une bombe à retardement et il se trouvait qu’il avait décidé d’exploser en ce jour… Gare à ceux qui croiseraient son chemin ! Peu importe les dommages collatéraux mais sa future explosion allait certainement faire des dégâts… Mais il se retenait totalement… Cependant avant d’aller plus loin, quelle était la raison de l’énervement de Drew ? Eh bien le jeune homme ne parvenait guère à se remettre de cette terrible soirée de vente de charités durant laquelle il avait subi tant d’émotions contradictoires (jalousie, haine, joie et j’en passe)… A cette même soirée, il avait eu le courage d’annoncer à Prudence qu’il était père d’une petite fille de quinze mois qui se prénommait Aliénor… Sa compagne avait semblé être très compréhensive, ce qui avait encore plus renforcé ce qu’il ressentait envers elle mais le lendemain son monde s’était écroulé lorsqu’il avait vu Prue sortir de la chambre de son bizuteur, celui-ci était vêtu d’un simple caleçon… Afin de ne pas craquer, il avait fait volteface puis il avait roulé sur des kilomètres… Il avait finalement laissé libre cours à ses larmes ! Mais il s’était vite ressaisi puis il s’était promis qu’il allait avoir une grosse conversation avec Prudence ! Cependant il ne l’avait pas trouvée de la journée du dimanche et c’était la raison pour laquelle il était si grincheux aujourd’hui… Prêt à mordre s’il le fallait ! Il attendit donc la fin des cours aujourd’hui et lorsque la jeune femme fut dans ses douze heures, il l’appela d’une voix posée : « Prue ! Viens ! » Il lui prit la main et l’emmena dans une salle vide qu’il referma lentement…
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Assise sur un des sièges de l’amphithéâtre, notre professeur en média n’a de cesse de nous rappeler l’importance de notre présence pour la conférence sur la transmission et l’évolution des médias à travers le monde. Un célèbre journaliste allait nous exposer sa thèse qu’il avait menée à son terme durant deux longues années. Ce n’était pas ce que je trouvais le plus intéressant, mais cela méritait mon attention. Il était important de se renseigner sur toute sorte de sujet –surtout en journalisme- pour pouvoir percer dans ce milieu. Depuis plusieurs années, j’éprouvais le désir de devenir une très grande journaliste de mode pour un très célèbre magazine : vogue. J’avais longtemps hésité entre la politique ou la mode et finalement, mon choix c’était porté sur la seconde option. Après un dernier conseil de la part de Monsieur Anderson, je quittais l’amphithéâtre avec l’idée d’aller travailler à la bibliothèque. C’est donc vêtue d’un pantalon noir et d’un léger pull bordeaux, que je m’engageais dans l’un des nombreux couloirs du bâtiment. Mes talons se répercutaient contre le sol en pierre, rebondissant contre les murs. J’allais prendre un virage, lorsqu’une silhouette retenait mon attention. Andrew venait d’apparaitre dans mon champs de vision, le visage froid et austère du parfait Comte.. « Prue ! Viens ! » Le ton de sa voix était calme comme le calme avant la tempête. Je ne serais dire pourquoi, mais mon intuition me soufflait de faire attention. Attrapant ma main, il m’attirait dans une salle de cours vide. Je n’eue pas le temps de regarder derrière moi, qu’il refermait déjà la porte. Prenant un air malicieux, je lâchais mon sac de cours sur le sol et allait m’assoir sur le bord du bureau. Il avait l’air tellement sérieux que pendant un instant, je crus voir le Kenworth, pdg de son entreprise et non celui que j’avais l’habitude de côtoyer. L’atmosphère se chargeait d’une forte tension qui avait le don de me mettre mal à l’aise. Passant outre, j’adoptais un ton décontracté emplis de malice. « Vous êtes si sérieux monsieur » disais-je d’un ton qui se voulait ironique. Je croisais les jambes, le visage éclairé par les rayons du soleil qui filtrait à travers les fenêtres de la salle déserte. Le brun de mes cheveux découvrait des reflets cuivrés, faisant ressortir le vert de mes pupilles. Je restais silencieuse, attendant une réponse de sa part. Observant le comportement de Drew, j’eu la vision d’un homme à la stature parfaite, ses yeux bleus éclatant contrastait avec la blondeur de ses cheveux.
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Il avait attendu la fin des cours avant d’aller retrouver Prudence et ce dans l’intention pure et dure de s’expliquer avec elle ! Dans l’état de colère totale où il se trouvait à l’heure qu’il était, il savait qu’il ne parviendrait guère à se contrôler et que tôt ou tard dans ladite discussion, il allait exploser une durite… Il ne se mettait très rarement en colère à cause de ses réactions mais lorsqu’il perdait son sang-froid, on pouvait dire que cela n’était pas du tout beau à voir ! Oui Andrew était vraiment ce qu’on appelait une bombe à retardement et il se trouvait que depuis qu’il avait explosé ce fameux verre samedi soir, le minuteur de la bombe avait été déclenché... Etait-ce aujourd’hui qu’il allait véritablement exploser ? Non il ne le souhaitait pas parce qu’il ne voulait pas que tout le Campus apprenne les faits. Non pas qu’il en avait honte mais plutôt parce que sa réputation était en jeu mais pas uniquement dans le Campus… Le récit de son pétage de câble serait très certainement bien perçu dans le monde du business et il perdrait véritablement toute crédibilité en tant que Président-Directeur-Général de l’une des entreprises aéronautiques les plus florissantes et désormais l’une des plus influentes du Monde. D’ailleurs, si on l’avait vu la veille, ça pourrait faire un véritable scandale et en particulier dans sa Contrée… Il était l’un des jeunes les plus appréciés de la Société mais aussi de la Famille Royale parce qu’il faisait toujours en sorte de faire honneur à sa noble famille ainsi qu’à son rang de Comte ; de ce fait le moindre écart de conduite qu’il ferait serait très mal perçu par toutes ces personnes qui lui faisaient confiance… Néanmoins, comme je disais, hier il aurait pu créer un gros scandale : Le fils Kenworth retrouvé ivre mort à proximité du Charles River ! Heureusement que Birdy était là… Mais Drew était trop fier pour prendre conscience du mal qu’il avait commis, il était bien trop énervé par la scène qu’il avait vu avant… Bref, Prudence avait fini ses cours et dès qu’il l’avait reconnue, il était partie la rejoindre et sur de simples mots calmes mais masquant sa détermination, il l’avait emmenée dans la salle vide. Il arbora le visage froid et dur qu’il utilisait lors de ses réunions en tant que PDG. Il allait faire à cette situation mais le ton ironique de la jeune femme qui lui disait qu’il était bien trop sérieux, le mit encore plus en colère qu’il ne l’était déjà. Il ferma les yeux quelques instants tâchant de garder son sang-froid avant de la regarder droit dans les yeux et dire d’une voix froide : « Je n’ai guère l’humeur d’être jovial aujourd’hui et je pense que tu connais la raison… »
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Andrew n’avait pas l’air d’être aussi engageant que nos dernières entretenues. Alors que je venais de m’assoir sur le bord du bureau, je l’observais de toute sa magnificence. Ses yeux bleus, me jugeaient d’un regard glacial. Ce qui était complètement désarçonnant. Avais-je fait quelque chose de mal pour mériter un tel regard ? Je tentais tout de même, de lui arracher un sourire pour détendre l’atmosphère, mais cela n’eut pas l’effet que j’avais escompté. Au contraire, cela semblait l’agacer. « Je n’ai guère l’humeur d’être jovial aujourd’hui et je pense que tu connais la raison… » Sa voix était froide et dénuée de toute courtoisie envers ma personne. En effet, il n’était pas d’humeur à me sourire. Me sentant agresser, je me refermais complètement sur moi-même. Abandonnant mon sourire, j’arborais le masque que je portais en en société. Mes yeux n’étaient plus qu’une fente, analysant chaque mouvement, la couleur de mes joues avaient disparus, dévoilant une bourgeoise dans toute sa splendeur. D’une voix clair et presque désintéressée, je lui répondais : « J’ai bien peur de ne pas saisir le but de cet entrevu » Je faisais exprès d’utiliser le terme ‘’entrevu’’ pour le provoquer comme s’il fallait prendre rendez-vous pour me voir. Naturellement, il y avait du vrai, quand je disais, que je ne comprenais pas son comportement, ni même cette visite dans une salle de cours vide. On aurait très bien pu parler dehors. Alors, pourquoi ici ? L’affrontant du regard avec une pointe d’incompréhension, j’attendais une réponse de sa part. Que lui avais-je fait pour qu’il réagisse ainsi ? C’est alors, que la lumière fit jour dans mon esprit. Hier matin, j’étais passé à la Winthrop House pour voir Nork, suite à une discussion non-terminée. En le quittant, j’avais crus voir quelqu’un sur le coin de l’œil. Se pourrait-il que ce soit lui ? Nork m’avait accueillis chez lui en boxer et en était ressortie vêtue d’un simple jogging, dévoilant la peau nue de son torse. En me tournant pour voir qui nous observait, je n’avais vu personne. Etait-ce Andrew ? Cela se pourrait bien, mais peut-être que je me trompais. « Où tu veux en venir exactement ? Il va falloir être plus clair, parce que je ne te comprends pas. » Il allait devoir me dire clairement ce qu’il me reprochait pour que je puisse le comprendre. Ne bougeant pas d’un millimètre, je l’observais avec de grands yeux. En me parlant ainsi, je m’étais sentie agresser comme si j’avais fait quelque chose qui lui avait fortement déplus. Or, j’estimais n’avoir rien à me reprocher.
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Le fait que la jeune femme eut tenté de faire de l’ironie en lui disant qu’il était bien trop sérieux, cela avait déclenché le processus de la bombe à retardement qu’il portait en son sein mais au lieu d’exploser très vite, il s’était contenté de garder ce même visage froid et distant qu’il arborait dans la société britannique et en particulier dans la Noblesse puisque noblesse et froideur allaient de pair. Il avait envie de fracasser quelque chose mais il allait devoir faire face à la jeune femme qu’il… Aimait-il réellement Prudence ? Et ce au point de ne pas du tout apprécier qu’elle soit en compagnie d’un autre garçon ? La réponse était évidente mais le jeune homme ne parvenait toujours pas à l’accepter vraiment parce qu’il se rappelait également ses paroles lorsqu’ils étaient tous les deux dans la voiture l’autre nuit et où il lui avait dit qu’il ne pourrait pas exiger d’elle ce qu’il ne pourrait pas lui-même faire… Or c’était un peu ce qu’il allait lui reprocher en fin de compte ! Mais ignorant sa raison qui lui dictait d’y aller doucement, il avait répondu froidement qu’il n’était pas d’humeur à plaisanter et elle en connaissait la raison ! Cela eut le don de lui faire perdre son joli sourire qu’il aimait tant et il se retrouva face à une Prudence nouvelle… Quoiqu’il l’avait déjà vue arborant ce visage mais jamais il n’aurait cru qu’elle l’aurait face à lui et surtout à cause de lui… Elle lui répondit d’une voix qui voulait tout dire qu’elle n’avait pas bien compris le but de cette entrevue qu’ils avaient actuellement. Drew déglutissait calmement afin de ne pas exploser, il ne voulait que cela s’envenime ! Il lui fallait être sincère et concis parce que malgré la colère qu’il ressentait actuellement, il avait également peur de perdre la jolie Brune… Néanmoins, il allait dire ce qu’il avait sur le cœur… Elle lui demandait tout en le regardant avec de grands yeux, où il voulait en venir exactement… Elle ne comprenait pas ! Cela avait pour effet d’accentuer sa colère mais il la contenait toujours autant, il ne fallait pas qu’il craque ! Il inspira fortement afin de s’induire au calme avant de la regarder fixement, ses yeux azurs lançant des éclairs de colère puis il dit d’une voix toujours aussi froide : « Je n’irais guère par quatre chemins dans cas… Donc ! Par la Sainte Bible ! Que diable faisais-tu dans la chambrée de mon auguste bizuteur ? ». Le jeune homme n’avait pas élevé la voix mais sa colère se ressentait dans ses paroles et en plus, il employait un vocabulaire différent… Oui il était très en colère !

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Si je ne le connaissais pas, j’aurais eu peur de lui, mais même en le connaissant, il réussissait à me terrifié. Pourtant, je n’en laissais rien paraitre. Il ne me ferait aucun mal, du moins, j’en étais presque sûr. « Je n’irais guère par quatre chemins dans cas… Donc ! Par la Sainte Bible ! Que diable faisais-tu dans la chambrée de mon auguste bizuteur ? » Andrew avait pris un ton très princier, utilisant des mots de vocabulaires, faisant partie de l’ancienne noblesse. Cela aurait pu me faire sourire, si ce n’était pas moi qu’il disputait. J’avais l’impression d’être une gamine qui se faisait disputer parce qu’elle avait fauté. « C’était donc toi qui te cachais dans le couloir… » Je laissais ma phrase en suspens, le provocant ouvertement en l’humiliant de la sorte. La colère du jeune comte était-elle que je pouvais la sentir m’envelopper de ses bras rugueux. Etait-il jaloux ? Pourquoi cela m’étonnait autant ? Le voir se comporter de cette façon, me faisait prendre conscience de l’évolution de notre relation. Nous étions allés plus loin que je ne voulais le croire. « Je ne savais pas que j’avais un chaperon. » Cassante dans mes mots, je soutenais son regard, jouant à celui qui baisserait le regard en premier. J’agissais en ayant conscience de ce que je faisais. Peut-être que j’allais trop loin, mais je n’avais pas pour habitude de me faire sermonner sur mes fréquentations et encore moins par Andrew. J’observais son visage avec attention, la colère que je lisais dans son regard aurait pu faire fuir n’importe qui, mais ce ne fut pas mon cas. Je lui tiendrais toujours tête et il le savait parfaitement. « Tu m’en veux ? » Je disais ses mots non sans un sourire narquois comme pour jouer avec ses nerfs. C’était là, ma façon de le punir pour ce qu’il me faisait subir.  
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Il avait l’impression que son crâne allait exploser tellement il était en colère mais il se devait de garder son sang-froid parce que lorsqu’il était sujet à des pertes de sang-froid, cela se finissait toujours très mal et il ne voulait surtout pas que Prue en subisse les conséquences… Il lui avait dit qu’il ne lui ferait jamais de mal et il tiendrait sa promesse ! Il était un homme d’une seule parole mais il allait tout de même exploser aujourd’hui parce qu’il n’avait pas pu avant et le fait que Prudence fasse comme si elle ne comprenait pas ce qu’il voulait dire, accélérait totalement le processus… Maintenant il y avait un compte à rebours en lui ! Il avait employé des mots de vocabulaire très peu usés venant de la Vieille Noblesse afin de ne pas craquer. C’était sa grande technique anti-colère et craquage… La première phrase qu’elle sortit, il la reçut comme une véritable provocation… Lui se cachait ? Non il n’était pas aussi lâche ! Il s’était contenté de regarder pendant une demi-seconde avant de s’en aller le plus rapidement possible ! Sa respiration devenait saccadée, ses yeux devenaient trop brillants de colère ! Il se sentait venir ! Oui il allait craquer dans la seconde ! Et alors qu’il luttait contre l’explosion qui se préparait en lui, elle poursuivait ses provocations… Elle lui disait cette fois qu’elle ne savait pas qu’elle avait un chaperon… Il déglutit tout en tremblant littéralement de colère, il vint même à reculer de quelques pas… Et ses ultimes mots furent la cerise sur le gâteau ! Il ferma les yeux et il frappa sèchement le mur avec sa main blessée de samedi soir… Il réprima un cri malgré la cuisante douleur qu’il venait de se faire mais cela lui permit de lui parler sans crier mais d’une voix très douloureuse : « Non… Mais comment croyais-tu que je me sentirais à la vue de cette scène qui s’offrait malheureusement à mes yeux ? J’avais l’impression de vivre un cauchemar… De te perdre… La peur m’animait ! Elle m’anime encore aujourd’hui, ce qui accentue ma colère envers tout ! Et est-ce que je t’en veux ? Je ne sais pas… Peut-être ou pas ! » Sa main était très douloureuse mais il s’en fichait, il voulait en finir avec cette dispute. Il n’aimait pas ça, surtout qu’il s’agissait de Prue… Il savait qu’elle n’abandonnerait jamais !

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Avais-je été trop loin dans mes paroles ? L’avais-je blessé ? En réaction à mes mots, son visage se crispait de colère, ses yeux s’embuèrent d’un voile brumeux. Ce qui se passait ensuite fut beaucoup trop rapide pour que j’en saisisse le sens. D’un brusque mouvement de colère, il mettait un point dans le mur derrière lui, réussissant à y faire un trou. A l’intérieur de moi, ce fut le cataclysme. La surprise, la perplexité, s’emparait de mon être tout entier. Je réprimais un sursaut, me contentant de regarder les phalanges de sa main, luisantes de sang frais. N’y prêtant aucune attention, il continuait de me fixer avec sévérité. « Non… Mais comment croyais-tu que je me sentirais à la vue de cette scène qui s’offrait malheureusement à mes yeux ? J’avais l’impression de vivre un cauchemar… De te perdre… La peur m’animait ! Elle m’anime encore aujourd’hui, ce qui accentue ma colère envers tout ! Et est-ce que je t’en veux ? Je ne sais pas… Peut-être ou pas ! » Mon cœur tambourinait contre ma poitrine, ma respiration s’accélérait, alors qu’il me fusillais du regard. Je ne prenais pas la fuite pour autant. Devais-je lâcher le morceau et lui dire la vérité ? Devais-je lui raconter comment est-ce que j’avais fait pour faire comprendre à Nork que je ne partageais pas les mêmes envies que lui ? Est-ce qu’il voulait vraiment entendre, que j’avais couché avec son bizuteur lors d’un voyage à Las Vegas et que depuis, tout avait été compliqué entre lui et moi ? Je ne pouvais me résoudre à lui dire cela, mais il devait surement s’en douter. Baissant le visage, je reprenais mon souffle, avant de lui répondre le plus naturellement possible. « Tu n’as pas à m’en vouloir. Je n’ai rien fait de mal ! » La voix tressaillant, je relevais mon visage vers lui. « Nous avons simplement parler et rien de plus ! Je ne touche pas aux hommes en couple, mais merci de me prendre pour ce genre de femme. » Descendant de mon pied d’estale, je me dirigeais vers la fenêtre, observant l’agitation du campus. Reprenant mon calme, je tâchais de répondre avec tact et sans entrer dans les détails. « Il ne va pas bien en ce moment. J’ai pensé que lui parler l’aiderait. »
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Le jeune homme n’en revenait pas de ce qui était en train de lui arriver, il craquait alors qu’il s’était toujours promis de ne jamais craquer devant les personnes qui lui étaient chères… Parce que la colère était une faiblesse, pleurer était la pire des faiblesses et malheureusement c’était ce qu’il était en train de faire intérieurement et afin d’extérioriser ces actions difficiles à concevoir, le jeune homme s’était résolu à détruire sa main qui avait déjà prise chère ce fameux samedi soir parce qu’il avait cassé un verre avec… Et pourtant il avait très peu mis de la force dans sa poigne, cependant le pauvre verre n’avait guère pu résister à la puissance de Drew tout comme le mur d’ailleurs… En effet, il venait de donner un très violent coup de poing dans le mur qui se trouvait à proximité de lui afin d’extérioriser cette explosion intérieure qu’il était en train de subir… Mais pourquoi fallait-il que cela tombe sur lui ? Il ne parvenait même plus à être le jeune homme plein de ressources dont tous les dirigeants des sociétés aéronautiques se méfiaient parce que malgré sa bouille de beau gosse tout gentil, il renfermait un vrai dur à cuire en affaires… Cependant cet aspect de sa personnalité était en train de se dissoudre comme de la poussière pour ne laisser la place qu’à un jeune homme perturbé… Sa main était douloureuse mais il réprimait sa douleur en gardant un visage très fermé. Néanmoins seuls ses yeux témoignaient de sa très grande fureur… Il ne devait pas lui en vouloir parce qu’elle n’avait rien fait de mal ? Il ferma les yeux en entendant ces dires de sa compagne. Il refusait de la croire et de l’écouter… Ce qu’il avait vu l’avait suffi pour le détruire… Et pourtant, il s’était préparé à ce genre de choses mais connaître cela en vrai, ça le brisait d’autant plus… « Tu dois certainement avoir raison… Mais j’ai peur de ne pas te croire… A mes yeux, je ne crois pas qu’il cherche que tu le réconfortes… Et c’est ça qui me… Pourquoi ai-je tant l’impression que cela ressemble à un jeu ? Et non je ne te prends pas pour ce tu n’es pas… » Ajouta-t-il avant de briser la table à ses côtés d’un coup de poing qui raviva encore plus sa douleur... Non il n’aura jamais mal ! C’est dur mais un Kenworth est encore plus dur ! « Pourquoi était-il si peu vêtu ? Que Dieu m’en garde… Pourquoi parler dans sa chambre ?! Pourquoi me rends-tu aussi fou ?! Je refuse de faire du mal mais cette situation… Cela m’oblige à dire des choses… A ton égard ! Non ne t’approches surtout pas de MOI ! »

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« Tu dois certainement avoir raison… Mais j’ai peur de ne pas te croire… A mes yeux, je ne crois pas qu’il cherche que tu le réconfortes… Et c’est ça qui me… Pourquoi ai-je tant l’impression que cela ressemble à un jeu ? Et non je ne te prends pas pour ce tu n’es pas… » Il refusait de croire en mes paroles. Pourtant, je ne lui avais pas menti. Il ne c’était rien passé avec Nork et ne se passerait plus jamais rien. Dans un claquement sonore, la table se brisait en deux, avant de toucher le sol. Cette fois-ci, il me fit sursauter. Me tournant dans sa direction, je fis face à un spectacle irrationnel. Les morceaux de la table en bois gisaient sur le sol. Du sang perlait de ses phalanges, atterrissant sur les bouts de bois. Reportant mon regard sur Andrew, je fus choqué et attristé de ce que je voyais. Il n’était plus le même. Les traits de son beau visage étaient déformés par la fureur, ses lèvres tremblaient légèrement, tandis que ses yeux brillaient d’une lueur effrayante. D’ici, je pouvais voir son corps se crispé, alors que je tentais de m’approcher de lui. « Pourquoi était-il si peu vêtu ? Que Dieu m’en garde… Pourquoi parler dans sa chambre ?! Pourquoi me rends-tu aussi fou ?! Je refuse de faire du mal mais cette situation… Cela m’oblige à dire des choses… A ton égard ! Non ne t’approches surtout pas de MOI ! » vociférait-il. Etait-ce ma faute ? Comment pouvais-je le rendre aussi fou, alors que je n’avais rien fait de mal ? Pour la première fois de ma vie, je me rendais réellement compte de la jalousie qu’il ressentait à l’égard des hommes qui m’entouraient. Etait-ce cela aussi qu’il avait ressentie par rapport à Emrys ? Le ton de sa voix me brisait le cœur, créant une boule à l’intérieur de ma gorge. Effrayé, je reculais légèrement, mais, je me ressaisissais très vite. A présent mes yeux affichaient une franche détermination. Ne tenant pas compte de ce qu’il pouvait dire ou faire, je me rapprochais de lui. Il avait beau me lancer des regards assassins, cela ne me fit pas reculer pour autant. M’arrêtant à quelques centimètres, je murmurais quelques mots pour que lui seul les entendent. « Tu ne me feras pas de mal.. » Avançant d’un pas, je me rapprochais un peu plus de sa personne, tout en soutenant son regard. « Ne me repousse pas… » Mes mots se transformaient presque en une supplique. La boule au fond de ma gorge, me faisait tellement de mal, que je sentis les larmes monter aux yeux. J’étais forte et je refusais de pleurer à cause d’un homme, mais Drew n’était pas n’importe quel homme.
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