Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTHEOLIA ❥ Desire is something special ... can't be violent or sweet ! (HOT) - Page 2
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THEOLIA ❥ Desire is something special ... can't be violent or sweet ! (HOT)

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Et je marque quelques va-et-vient sur toute la longueur de son sexe : objet de mon désir, désir peu compris par certains. Je me délecte du plaisir que je lui incombe tant je sais la haine qui pouvait nous animer, une haine transformait alors en une frénésie sexuelle incompréhensible qui me fait un effet plus que fou rien que d'y repenser. Nos corps semblent prêt à se mettre vite en osmose pourtant je ne peux cesser de mon propre chef l'action que ma bouche fait sur son sexe durci par le désir provoquer par mon image. Et il semble partir dans un univers de luxure dont je ne pourrais le sortir qu'en m'éloignant mais là, n'est pas le but ; je veux qu’il comprenne l'effet que je lui fait, je veux qu'il ne puisse plus me regarder en face après quoique j'en serais surement mal de savoir que mon ennemi principal ne peut plus rien me faire. Je le vis de mes yeux finement levés qu'il avait basculer quelque peu sa tete contre le mur froid pour pouvoir tenir face à ce désir incroyable que j'animais en lui mais très vite,  il dut attraper ma tete pour bloquer mes actions et me faire me relever. Je le regardais avec un mélange de désir et d'incompréhension dans les yeux. j'eus quelques doutes me demandant si finalement ça ne lui plaisait pas, si il ne voulait plus de moi au final et allait me rejeter mais au final, il se contenta de me dire : « Va doucement chérie, sinon je ne pourrais jamais suivre. » J'eus un sourire pervers alors qu'au meme instant, nos corps changèrent de position et je me retrouvais à nouveau dos contre le mur profitant de la vision de son torse nu si attirant. Ses lèvres vinrent emprisonner un téton, juste un instant avant qu'il se mette à glisser dangereusement vers ma culotte pou r la faire tomber à mes pieds m'ordonnant du regard à lever mes pieds pour qu'elle ne soit plus. Excitant, enivrant, il osa ensuite reprendre la parole d'une voix des plus ... ouh ... je ne serais qualifié ; « Il est temps de passer aux choses sérieuses maintenant... » Un sourire narquois sur le visage, je lui lançais le défi de mes yeux, de me faire rêver mais en serait-il capable ? J'en étais certaine. je me laissais faire, me retrouvant très vite les jambes autour de lui, entourant sa taille comme pour plus me fondre avec lui. Nos corps serrés semblait en fusion complète mais il en décida autrement, ne laissant pas de suite son sexe entrait en moi. il enfila le préservatif et je sentis l'objet de mon désir frottait doucement le petit morceau de cher qui me provoquait tant d'excitation par l'activation de quelques mouvements doux dessus. Nous nous embrassions, dansant une valse dans nos bouches par nos langues tant à la recherche de l'autre puis d'un coup, son traitement fut plus dur et je le sentis me pénétrer sans gentillesse aucune, juste une violence intense qui me fit pousser un cris de surprise mais quelle bonne surprise ! Je le regardais avec tant de désir que mes joues pouvaient sans aucun doute rougir de honte. Je passais mes mains derrière son cou tandis qu'une se balader dans ses cheveux coupés court et que ma tete basculait contre le mur tant les va-et-vient qu'il faisait dans mon antre secrète ne faisait que me faire me délecter un peu plus de l'instant. Je ramenais avec difficulté ma tete vers lui, me penchant à son oreille pour lui dire dans un souffle si court : Plus vite ... Théo ... C'était surement l'une des premières fois que je le nommais par son prénom comme cela ou meme un diminutif puis je laissais à nouveau ma tete tomber violemment en arrière ayant une folle chance en ne me faisant de justesse aucunement mal et je bougeais au maximum mon bassin pour accentuer nos folies. Je me sentais littéralement en feu de l'intérieur comme de l'extérieur ... ma peau brulante de folie, brulante de la promiscuité avec la sienne. Mon sexe se sentait ravie de la parfaite intrusion de son pénis et je ne pouvais que trouver parfait les activations de celle-ci en moi alors qu'à chaque instant, à présent, il touchait le point de mon désir culminant. Je décidais de trouver l'effort de mes abdominaux pour me retrouver littéralement en fusion avec lui en secouant doucement mon bassin et activer ses va-et-vient mais surtout en attrapant de mes bras son cou et que nos corps fussions cette fois totalement collés. Je gémissais d'une force qu'on ne s'imaginait alors guère tentant alors de me retenir pour gémir presque en un silence.
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Elle était en train de me tuer et pas qu'un peu. Sinon réellement beaucoup. Ses mains sur ma personne me procurait énormément de sentiments contradictoires à la fois et je devais reconnaître que c'était assez flippant dans son genre. Je me sentais perdre pied plus les minutes défilaient et ma respiration était tout aussi saccadée que si jamais j'avais réalisé un marathon athlétique. Savoir qu'une personne qu'on détestait plus que tout pouvait être capable d'aussi vous faire atteindre le septième ciel, était une pensée très étrange. De ce fait, la voir agenouillée face à moi avec mon entrejambe parcourant ses lèvres et découvrant sa bouche était une vision purement érotique qui me faisait reculer ma tête pour la plaquer contre le mur de derrière afin de mieux savourer chaque sensation qu'elle me prodiguait. Néanmoins, je savais que si jamais elle continuait ainsi par ce chemin là, je n'allais jamais tenir bien longtemps, et il me fallait encore des forces et le peu de raison qu'il me restait afin de terminer ce moment en beauté et comme il se devait. L'ayant remonté et ayant fait en sorte que le dernier vêtement du bas qu'elle portait encore ne disparaisse, j'avais eus la brillante idée d'enrouler ses jambes autour de ma taille et de bloquer mon bassin contre le sien avant de la pénétrer d'une façon presque brutale. Sur le moment j'avais envie d'elle avec une puissance monumentale. Je pouvais sentir à quel point elle était prête et réceptive pour moi, comme mon envie était totalement partagée et réciproque. Comme finalement, cette espèce de colère et de haine qui nous unissait, n'avaient plus rien à voir lors de ce tel moment. Ses mains se faufilèrent autour de mon cou puis dans mes cheveux tandis que mon bassin s'entrechoquait avec le sien et que mon torse rencontrait intimement sa poitrine généreuse. J'aimais savoir qu'elle était totalement soumise à l'effet et aux sensations que j'étais pleinement en train de lui donner. J'aimais savoir qu'elle appréciait à sa juste valeur ce que je lui offrait sans aucun sentiment ni aucune douceur. Soudain, ses lèvres se rapprochèrent de mon oreille alors que je laissais le bruit de ma respiration lui prouvait à quel point moi aussi je prenais mon pied. «  Plus vite ... Théo ... » L'entendre m'appeler ainsi me fit comme l'effet d'une bombe. Autant dire que je décidais carrément après avoir croisé son regard, de passer la cinquième si ce ne fut la six. Je commençais donc des coups de rein encore plus butoir que les précédents, alors je venais nicher ma tête dans son cou, afin d'en aspirer la peau et mordiller chaque millimètre de chair que mes lèvres étaient aptes à toucher alors qu'elle remuait son bassin contre le mien. Puis, je me stoppais, redressant mon visage pour qu'il ne soit qu'à quelques centimètres du sien. « Ça te va...Ou tu n'en as pas encore eu assez ? » J'avais dit cela d'une fois sensuelle mais très lente du au manque de respiration que je vivais. Décroisant alors ses jambes et les mains qu'elle avait autour de mon cou, je lui laissais le temps de reprendre ses esprits et de toucher la terre ferme, tout en la maintenant contre moi, au cas ou, pour ne pas qu'elle s'écroule. Je laissais une main glisser sur son corps avec un sourire narquois. « Alors...Cordélia ? » C’était moi aussi la première fois que j'employais son vrai prénom et je voulais connaître sur son visage l'effet que ça lui faisait de l'entendre. Si ses gémissements m'avait aidé à comprendre un certain nombre de choses, je n'attendis aucune réponse et je la retournais une nouvelle fois brutalement, avant laisser mon troisième bras jouer avec ses fesses, avant de la pénétrer une nouvelle fois par l'avant sans aucune délicatesse digne d'un gentleman.

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Nos lèvres liées dans un baiser plein d'un feu ardent, je ne savais comment faire pour vivre plus de sensations tant il savait y faire et m'en donner trop. je me sentais si ... si perturbée par la vigueur des émotions qu'il savait me provoquer à l'instant. Ma demande avait fait son effet, rien que son nom prononçait semblé l'exciter au plus haut point et j'aimais énormément l'effet que je pouvais lui faire. Je relevais la tete en arrière ne pouvant faire quoi que ce soit à présent car la sensation de rapidité, de coup de butoir trop vive mais alléchant m’empêcher de pouvoir faire quoi que ce soit sans causer ma perte totale. Il se déchainait sur moi sans une once de honte, poussant en moi son sexe si dur, si imposant. Je me sentais femme, je me sentais belle, je me sentais désirée et si bien. J'appréciais alors la froideur du froid entre nos corps qui décuplaient nos sensations et je fus surprise par l'effort qu'il me demanda, replaçant mon visage face au sien ;   Ça te va...Ou tu n'en as pas encore eu assez ? » je voulais crier que oui mais ma fierté devait rester intacte alors je ne répondais rien faisant mine d'etre trop occupé à poser les pieds au sol alors qu'il sortait de moi, me laissant récupérer je crois tout en me tenant comme si j'allais tomber à l'instant suivant. Je ne fis pas attention à son regard sur moi et me contentais de me replacer quand il me fit me remettre bien face à lui, contre le mur encore, me touchant le corps sans honte, avec une certaine fougue dans le regard prononçant mon prénom pour m'exciter un peu plus encore, retrouver la fièvre d'il y a quelques minutes et je me mordais la lèvres en le regardant là, si beau, si désiré, si excitant, si désireux d'une nouvelle expérience. Je répondais alors : Je n'en ai jamais assez ... tu devrais le savoir ! Dis-je d'une voix à la fois suave et perverse comme jamais. Là, il m'avait retourné brutalement alors que je poussais un hoquet de surprise ouvrant les yeux telles une grande dame de haut société outrée de tant de violence mais en fait, j'étais juste surprise et j'adorais cette violence. C'était volcanique et j'adorais .. je n'allais pas le nier ; au pieu, je suis une vraie perverse et alors ? J'eus d'ailleurs un gémissement de contentement quand je sentis son sexe toujours pleins de vigueur se collait contre mes fesses et bouger doucement près de l'entrée sans pénétration aucune pourtant me faisant de nouveau mouiller à une vitesse limite irrespectueuse pour ma réputation mais il avait un effet que je n'aurais jamais cru possible ; je ne suis pas une fille facile. Là encore, il me surpris en me pénétrant avec une grande violence, limite de la sauvagerie sans me demander quelques avis ou quoi et je sentis cette chose tant appréciée en moi, me persécuter de l'intérieur, persécuter ce point que je voulais toujours sentir atteint par le compagnon d'un soir ou l'homme aimé parfois mais ça, c'était rare , on ne me conquit malheureusement pas facilement. Là, j'activais mon bassin tout en m'accrochant de mes deux mains sur le mur sachant que ça ne glisserait guère et me cambrant avec autant de violence qu'il m'avait pénétré. Je gémissais ne pouvant me retenir mais néanmoins, on sentait que je savais rester élégante par la petite retenue de volume. Je bougeais mes hanches avec force avant d'essayer de trouver un rythme en concordance avec le sien et quand il fut trouvé, je ne me sentis encore plus au paradis. Je lâchais une main pour qu'elle aille se loger derrière ses fesses et qu'on avance plus vers le mur, là, je pouvais prendre une de mes mains sur le mur bien et me tenir et ainsi, trouver la possibilité de caresser par l'arrière ses cheveux, son cou, ses épaules et demander mon du en embrassades et baisers violents, excitants. Je me sentais monter bien vite parce que là, c'était de trop. J'étais à fond et soudain, je le sentais se déverser dans la protection qui entourait son doux engin. Là, je me retirais et avec une force inconnue, je le poussais sur le mur en face pour montrer que je pouvais sans aucun doute commander qu'il n'aime ça ou pas. D'abord, je rattrapais ma culotte que j'enfilais alors qu'elle se trouvait sur mon sac comme mes affaires. Je me sentais déjà mieux. Ma jupe tout en gardant habilement une main sur son torse pour qu'il ne bouge pas et quand il tentait un mouvement, je lui disais : tatatatataaaa... tu ne bouges pas Théophyl Cameron ! Je ramassais son pantalon et lui donnait montrant alors qui choisissait quand et comment il remettait son pantalon, quand il remettait les boutons de sa chemise ouverte.
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Il ne restait plus grand chose avant que mon être ne subisse une explosion entière et que la jeune femme ne s'abandonne totalement entre mes bras. Si je l'avais d'abord pénétré de face en enroulant ses jambes autour des miennes, j'avais subitement changé la donne, après lui avoir fait récupérer les pieds sur la terre ferme. Lui demandant si elle en avait eut assez, un sourire narquois se dessina sur mes lèvres lorsque après une envie non dissimulée de ne pas répondre, la tentation de me demander plus reprit le dessus : «  Je n'en ai jamais assez ... tu devrais le savoir ! » Je l'avais alors retourné avec quelques paroles bien placé contre le mur, me délectant de la vue de son magnifique postérieur, en profitant pour y laisser jouer mon entrejambe contre celui-ci, laissant mes sens guider mes sentiments de prédateur. Elle était ma proie et j'étais totalement en train de tirer profit de la situation, ne la laissant certainement pas en reste pour autant.  J'avais d'ailleurs la possibilité alors que je le pénétrais une nouvelle fois assez brutalement, d'embrasser son cou et de goûter toujours plus à sa chair tentatrice. Elle aimait ça, je pouvais le sentir à chaque coups de bassin que j'effectuais, à chaque caresse que je lui donnais, à chaque baiser que je laissais sur sa peau. Je savais néanmoins, que chaque fois qu'elle me touchait, c'était comme si un fer chaud laissait sa trace, ancré dans ma peau. Elle activait son bassin contre le mien, m'arrachant quelques grognements au passage. J'avais comme le sentiment qu'avec mes coups de bassin bien placés j'étais en train de lui faire payer ces moments à se taper dessus, métaphoriquement j'entends. Je ne pouvais que l'entendre gémir et apprécier cela alors que je sentais comme le ciel était déjà en train de m'ouvrir ses portes. Lorsqu'elle logea une de ses mains sur mon postérieur, je me rapprochais encore plus d'elle, si cela fut-il possible alors que d'un autre côté elle avait entrepris de caresser mon cou, mes cheveux et j'en passe. Je ne sentais désormais plus rien, car je l'accompagnais dans la luxure en de brèves minutes. Haletant quelques secondes, je me retirais en même temps que la jeune femme me poussait et j’arquais un sourcil un peu choqué par ce retournement de situation. Retirant la protection usagé, je l'enroulais d'un geste expert avant de la jeter dans un poubelle ronde et ouverte, qui se trouvait à une  bonne distance. Ne ratant pas mon coup, un sourire victorieux apparut sur mon visage, alors que la jeune femme avait entreprit de remettre triangle de dentelle. Ayant tenté un mouvement pour me rhabiller à mon tour, une main sur mon torse me stoppa derechef. «  Tatatatataaaa... tu ne bouges pas Théophyl Cameron ! » Je comprenais pas ce qu'elle cherchait mais tant pis. Je remettais mon jean beige tranquillement alors que je baissais la tête pour reboutonner les boutons de ma chemise en jean bleu d'un geste lent et sensuel. «  Ça ne te pas plu ? » Ayant terminé, je me reculais avec un regard d'acier, sachant qu'elle pouvait me dire le contraire rien que pour me faire chier. « Parce que sinon...On pourrait remettre ça, qu'en dis-tu, Cordélia Jimenez ? » Cette manie d'associer mon prénom complet à mon nom ne me donnait qu'envie de l'imiter. « À moins que tu ne sois trop lâche pour supporter encore plus ma présence ? » Je tentais un sourire en coin, alors qu'une idée germait dans mon esprit. Ou du moins, un défi...


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Le désir pouvait à présent redescendre. Fin de la scène coquine entre nous, je devais récupérer un peu de dignité maintenant. Je devais clairement en récupérer parce que vu la personne avec qui j'avais couché, avec une fougue tout à fait avouée à ce type et dans ce type d'endroit : c'était ma fin à force. Je me rhabillais avec agilité et vitesse le bloquant pendant toutes la chose, ne voulant pas qu'il fasse ce qu'il voulait mais voyant que cette soudaine domination le perturbait. J'attendais d'avoir remis bien mes habits pour le laisser avoir son pantalon et enfin, reboutonner sa chemise, se faire beau.  «  Ça ne te pas plu ? » Avait-il dit à mon adresse en se reculant lègèrement. Se voix restait provocante, sensuelle et je ne comprenais guère ce qu'il me provoquait en moi. C'était tellement étrange. Je souriais un peu mais tentais de cacher tout ça alors que déjà, il poursuivait dans son discours si troublant en me proposant de recommencer et je ne savais quoi répondre encore sous le choc de la chose. Je le regardais puis baissais le regard faisant mine d'arranger ma jupe.  Je ne savais plus quoi faire de mes mains et me laisser me mettre doucement et naturellement sur le coté, m'appuyant sur le mur en le regardant avec un air provocatrice comme pour garder toute excitation que je pouvais lui provoquer en lui. Là, je me décidais à répondre : Écoute ... je ne dis pas que ça ne m'a pas plus mais surement qu'il faudrait retenter la chose pour être certain de ... Je levais un doigt d'une manière légère en touchant son torse habillé d'une simple chemise : tes capacités ! Une voix sensuelle arborait, je ne cessais de le regarder avec cet air de braise alors que déjà, le jeune homme semblait vouloir participer à la battle de celui qui exciterait plus l'autre. Son petit sourire était totalement troublante et je risquais de lui sauter dessus si il poursuivait tant de provocations à force. « À moins que tu ne sois trop lâche pour supporter encore plus ma présence ? » Je le regardais avec de gros yeux, fronçant les sourcils du genre "are you fucking serious ?" puis je me reculais toujours contre le mur comme si il me dégoutait, jouant carrément. Franchement, qu'est-ce que je devais répondre à ça ? Il croyait quoi ce mec ? Que j'allais lui baiser les pieds, lui dire que je l'aimais ? Pff .. il croit rêver. Alors je me contentais de le regarder avec dédain puis je fis mine de marcher pour montrer une certaine réflexion... d'ailleurs, totalement fausse. Je marchais encore et encore face à un Théo qui semblait vraiment attendre une réponse et je balançais avec vigueur mes cheveux pour jouer sur les effets de sexyness attitude. Je tournais les talons, lui faisant face en mode cow-boy ou cow-girl tout dépend les minutes, la seconde où il me regarde parce que je change sans cesse d'état vu l'effet qu'il a sur moi et puis je balance ma réponse : Je crois que te supporter ne doit pas ... ou plus ... j'appuyais bien sur mes paroles, jouant les provocatrices à fond, les chaudasses, ouais, on peut le dire ; etre un énorme problème surtout pour ce genre de petites attentions vois-tu ! Avais-je en terminant par ponctuer ma phrase d'un clin d'oeil fraichement prévu.


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Le désir n'était plus là. Il avait fait son office de quelques minutes puis il était reparti pour laisser sa place à la vraie joueuse de notre relation : la haine. Plus aucune courtoisie déjà bien absente, ne régnait entre nous, sinon un défi bien palpable qui aimait savourer la distance entre nos deux corps. Je me demandais même si je ne commençais pas à regretter d'avoir oser me laisser aller à mes pulsions animalières. D'ailleurs ma question flotta dans l'air durant quelques minutes avant que la jeune femme ne daigne me répondre. L'observant pour ne pas dire que je la matais, arranger sa jupe, je pris conscience que non : au final le désir pour ma part n'avait pas fait sa malle. Il était encore là, malgré le moment que nous venions de passer ensemble. Merde alors. « Écoute ... je ne dis pas que ça ne m'a pas plus mais surement qu'il faudrait retenter la chose pour être certain de ...  tes capacités ! » Son doigt d'appuyé contre ma personne m'arracha un froncement de sourcil. Elle était sérieuse là ? Ou c'était moi et j'avais carrément mal compris et c'était supposément une invitation à recommencer ce que nous venions de faire. « Mes capacités, vraiment ? » Ou les siennes, à voir. Son regard enflammé ne cessait de défier le mien et un sourire narquois flottait sur mes lèvres. Mais la phrase que je prononçais ensuite ne lui fit certainement pas plaisir. « Je crois que te supporter ne doit pas ... ou plus ...  etre un énorme problème surtout pour ce genre de petites attentions vois-tu ! » Si mon froncement de sourcils avait encore plus été prononcé suite à sa manière de se détourner faisant style qu'elle s'en allait, le clin d’œil qu'elle me gratifia me donna plus envie de rire qu'autre chose. Et c'est d'ailleurs ce que je fis. Me pinçant l'arrête du nez avec les bras à moitié croisés sur ma poitrine, seul mes épaules qui se soulevaient et se rabaissaient prouvait que je riais silencieusement. Elle essayait de jouer les divas, sauf que ça ne prenait pas. « Parfait. Alors prouve-le. » Décroisant mes bras, j'avais repris une expression prédatrice. Me rapprochant alors d'elle doucement, je repris. « Prouves -moi que tu es capable de me supporter vu que tu ne sais que montrer de la haine à mon égard. Hum... » Je me stoppais faisant mine de réfléchir tout en me passant la langue sur les lèvres. « Que penses-tu -si tu n'en as pas déjà un- de moi comme..ton cavalier pour le bal ? » Et voilà, l'idée avait germé rapidement dans mon esprit. Elle allait m'envoyer chier, me dire que non mais si tel serait le cas, cela voudrait dire qu'elle me mentait et cherchait juste à faire la maligne.

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Je me sentais si ... bien. Étrangement, ça m'avait mis le feu de l'intérieur carrément et je ne voulais pas l'avouer mais je voyais Théo d'une tout autre manière à présent. Il m'avait mis carrément le feu alors je ne cracherais pas sur une autre petite soirée du genre, je devais bien le dire. Mon doigt sur son torse semblait l'exciter encore quelque peu tout comme mes provocations et j'appréciais cet effet, parce que évidemment, je n'attendais que ça. Je ne pouvais pas faire croire que je disais ça sincèrement, ça m'avait tellement plu mais je pouvais pas dire que c'était formidable sous peine de me montrer trop gentille, trop vraie, trop vulnérable. Un sourire sur mes joues, il semble choqué de mes propos quand moi, je me met à pouffer doucement en voyant sa réaction. Un sourire narquois totalement craquant flottait sur ses lèvres me faisant chavirer intérieurement et me donnant de nouveau des envies salaces mais là, j'étais rhabillais : too late. Néanmoins, je sentais mauvaise ses demandes parce que me demander si je pouvais le supporter, c'était étrange et je sentais le coup foireux. Je devais bien dire la vérité alors j'avais clairement dit que je croyais qu'à présent, c'était plus facile et je sentais qui se délectait de l’aveu. Pour ma part, je le regardais en fronçant des sourcils inquiet vu la joie que ça lui faisait de m'entendre dire ça. D'ailleurs, il m'étonna meme pas en disant: « Parfait. Alors prouve-le. » Je le regarde, outrée. Prouver quoi ? Que je peux le supporter, je ne l'ai pas assez prouvé en laissant sa queue me pénétrer, non ? La je sens la panique m'envahir parce que je flippe de ce qu'il va me dire clairement ou me demander pour prouver mes dires. Mais je me dis qu'il doit pas avoir tant de ressources pour m'étonner et que ce sera très banal comme choses, non ? « Prouves -moi que tu es capable de me supporter vu que tu ne sais que montrer de la haine à mon égard. Hum... » Et là, mon cœur se met à battre à cent à l'heure parce que je sens qu'il fait simplement style de réfléchir avec son petit sourire de con qui a toujours des idées dans le coin de la tete. Je le sens, je le sais mais je ne veux pas, je ne veux pas me laisser impressionner. La langue passait doucement sur ses lèvres, m'excitait, me criant presque de lui sauter dessus. Pourtant, là, il m’impressionne clairement en lâchant la bombe : « Que penses-tu -si tu n'en as pas déjà un- de moi comme..ton cavalier pour le bal ? » Je restais choquée, mes yeux s'ouvrant si grand qu'on pouvait l'analyser. Je ne comprenais pas du tout sa demande là et je ne savais pas non plus quoi dire. Je ne voulais pas perdre la face devant lui alors je me reprenais passant une main dans mes cheveux nerveusement pour dégager mon visage et un sourire narquois, provocateur apparaissait sur mes fines lèvres doucement glossée. Je ne savais pas quoi lui répondre du tout et je savais pas si je serais capable de dire oui en montrant aucune envie particulière ou dire non sans regretter. Déjà, je n'avais personne alors bon... Je le regardais et me mordais la lèvre en réfléchissant, le faisant poireauter un petit moment, tournant virant en montrant aucune préoccupation plus de la réflexion dans le sens "est-ce qu'il le mérite" parce que j'avais toujours ma petite expression fière et provocante sur le visage. Je suis pour dans ce cas ! Avais-je dit simplement en me replantant devant lui avec un sourire non dissimulé et une joie quant à elle bien dissimulée pour qu'il ne se croit guère comme étant le mec de la journée. Là, je me rapprochais dangereusement de lui, soucieuse de le provoquer encore un peu pour profiter de mon prix et de jouer moi aussi puis je m'approchais faisant mine de l'embrasser et avant que nos lèvres se touchent, je virais vers une oreille en murmurant : Fais pas l’innocent, je sens que ça te fais plaisir ... avais-je en riant doucement avant de poursuivre de plus belles tout en passant un doigt sur ses lèvres jusqu'à son torse ensuite ; j'ai aussi une petit idée de défi ... que dirais-tu ... de ... finir la nuit chez moi ? Je lui fis un clin d'oeil : certainement pas à parler, c'est pas intéressant, ça ... Avais-je dit comme pour rester fier et ne pas dire que j'avais bien envie de dormir contre son corps parce que avoir un doudou, c'est cool!
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J'avais vraiment fait ça ? Je lui avais vraiment demandé ou du moins, proposé d'être son cavalier pour le bal de fin d'année rien que pour être sur qu'elle était apte à me supporter ? Soit je pouvais passer pour quelqu'un d'hyper sincère soit pour un beau salaud. Dans tous les cas, j'avais quelque chose à lui prouver, quelque chose que nous devions nous prouver mutuellement. Sur le coup, je pensais amplement qu'elle allait me rejeté, sûrement à sa façon de se retourner vers moi et de se mordiller la lèvre. «  Je suis pour dans ce cas ! » Sans mentir, je restais sur le cul sans exception d'autant plus qu'elle affichait un grand sourire. Puis, elle se rapprocha alors doucement mais néanmoins dangereusement de moi et si elle fit semblant de se rapprocher de moi pour m'embrasser, elle retira ses lèvres jusqu'à mon oreille. « Fais pas l’innocent, je sens que ça te fais plaisir ... j'ai aussi une petit idée de défi ... que dirais-tu ... de ... finir la nuit chez moi ? » Son doigt qui glissait de mes lèvres jusqu'à mon torse m'arracha un frisson. « Vraiment ? » Elle me fit un clin d'oeil et je résistais à l'envie de l'embrasser. « Certainement pas à parler, c'est pas intéressant, ça ... » Je me mis à rire un peu pendant que mon point de vu sur elle changeait. « J'accepte. Je serais ton homme. » Réalisant à mon tour un clin d’œil, je me reculais, ne supportant plus vraiment sa proximité. « Puis-je te reconduire chez toi ? » N'attendant pas vraiment sa réponse, je l'attrapais par le bras pour l’entraîner avec moi.



Fin.
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