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Et je marque quelques va-et-vient sur toute la longueur de son sexe : objet de mon désir, désir peu compris par certains. Je me délecte du plaisir que je lui incombe tant je sais la haine qui pouvait nous animer, une haine transformait alors en une frénésie sexuelle incompréhensible qui me fait un effet plus que fou rien que d'y repenser. Nos corps semblent prêt à se mettre vite en osmose pourtant je ne peux cesser de mon propre chef l'action que ma bouche fait sur son sexe durci par le désir provoquer par mon image. Et il semble partir dans un univers de luxure dont je ne pourrais le sortir qu'en m'éloignant mais là, n'est pas le but ; je veux qu’il comprenne l'effet que je lui fait, je veux qu'il ne puisse plus me regarder en face après quoique j'en serais surement mal de savoir que mon ennemi principal ne peut plus rien me faire. Je le vis de mes yeux finement levés qu'il avait basculer quelque peu sa tete contre le mur froid pour pouvoir tenir face à ce désir incroyable que j'animais en lui mais très vite, il dut attraper ma tete pour bloquer mes actions et me faire me relever. Je le regardais avec un mélange de désir et d'incompréhension dans les yeux. j'eus quelques doutes me demandant si finalement ça ne lui plaisait pas, si il ne voulait plus de moi au final et allait me rejeter mais au final, il se contenta de me dire : « Va doucement chérie, sinon je ne pourrais jamais suivre. » J'eus un sourire pervers alors qu'au meme instant, nos corps changèrent de position et je me retrouvais à nouveau dos contre le mur profitant de la vision de son torse nu si attirant. Ses lèvres vinrent emprisonner un téton, juste un instant avant qu'il se mette à glisser dangereusement vers ma culotte pou r la faire tomber à mes pieds m'ordonnant du regard à lever mes pieds pour qu'elle ne soit plus. Excitant, enivrant, il osa ensuite reprendre la parole d'une voix des plus ... ouh ... je ne serais qualifié ; « Il est temps de passer aux choses sérieuses maintenant... » Un sourire narquois sur le visage, je lui lançais le défi de mes yeux, de me faire rêver mais en serait-il capable ? J'en étais certaine. je me laissais faire, me retrouvant très vite les jambes autour de lui, entourant sa taille comme pour plus me fondre avec lui. Nos corps serrés semblait en fusion complète mais il en décida autrement, ne laissant pas de suite son sexe entrait en moi. il enfila le préservatif et je sentis l'objet de mon désir frottait doucement le petit morceau de cher qui me provoquait tant d'excitation par l'activation de quelques mouvements doux dessus. Nous nous embrassions, dansant une valse dans nos bouches par nos langues tant à la recherche de l'autre puis d'un coup, son traitement fut plus dur et je le sentis me pénétrer sans gentillesse aucune, juste une violence intense qui me fit pousser un cris de surprise mais quelle bonne surprise ! Je le regardais avec tant de désir que mes joues pouvaient sans aucun doute rougir de honte. Je passais mes mains derrière son cou tandis qu'une se balader dans ses cheveux coupés court et que ma tete basculait contre le mur tant les va-et-vient qu'il faisait dans mon antre secrète ne faisait que me faire me délecter un peu plus de l'instant. Je ramenais avec difficulté ma tete vers lui, me penchant à son oreille pour lui dire dans un souffle si court : Plus vite ... Théo ... C'était surement l'une des premières fois que je le nommais par son prénom comme cela ou meme un diminutif puis je laissais à nouveau ma tete tomber violemment en arrière ayant une folle chance en ne me faisant de justesse aucunement mal et je bougeais au maximum mon bassin pour accentuer nos folies. Je me sentais littéralement en feu de l'intérieur comme de l'extérieur ... ma peau brulante de folie, brulante de la promiscuité avec la sienne. Mon sexe se sentait ravie de la parfaite intrusion de son pénis et je ne pouvais que trouver parfait les activations de celle-ci en moi alors qu'à chaque instant, à présent, il touchait le point de mon désir culminant. Je décidais de trouver l'effort de mes abdominaux pour me retrouver littéralement en fusion avec lui en secouant doucement mon bassin et activer ses va-et-vient mais surtout en attrapant de mes bras son cou et que nos corps fussions cette fois totalement collés. Je gémissais d'une force qu'on ne s'imaginait alors guère tentant alors de me retenir pour gémir presque en un silence.
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