Je ne sais pas vraiment si ce que je fais est rationnel mais en tout cas, je le fais. Je tire Theophyl Cameron en dehors de cette soirée où je me suis démenée pour l'avoir, l'acquérir si je puis dire vu le fric mis là-dedans. Je ne sais pas pourquoi ou meme ce que je compte en faire mais on sort pour prendre l'air voilà une bonne chose de faites. je marche rapidement et une fois dehors, je remet bien ma jupe et mon top sous ma veste que j'enfilais en sortant. Je lâche sa main et nous commençons enfin à ralentir le pas. Je crois que c'est surement la première fois qu'on aura une discussion avec ce gars. Tu sais ... t'acheter, signifie pas que j'ai de l’intérêt pour toi ... dis-je le sourire aux lèvres. Je le casse mais le ton de ma voix me trahit un peu. Je marche à travers les rues sans vraiment de but car je ne sais pas quoi faire bien que ça me démange de me faire prendre de suite par ce bel étalon qui me fait face. Cependant, je sens que lui aussi à des choses à dires et à plus d'un tour dans son sac. Je ne peux alors m’empêcher de profiter de mon cadeau en voulant avoir le cœur net sur mon désir alors je fond sur ses lèvres comme si elle m'avait attiré par erreur. Je noue mes lèvres aux siennes le temps d'un essaie.
Je ne sais pas ce que veux la jeune femme de ma personne, mais dans tous les cas, elle semble bien partie pour me faire tourner la tête à un point inimaginable. Je ne peux pas lui en vouloir ni l'insulter mais, je sais déjà juste et bien que je la déteste comme pas possible. D'où mon incrédulité lorsque mon cerveau handicapé et amnésique avait réalisé que c'était elle qui allait finir par m'avoir et m'acheter. Et alors qu'elle m'avait entraîné en-dehors de la vente, je me retrouvais à la suivre comme un chien à travers les rues. Nous marchions sans but et j'en profitais parfois pour glisser des regards vers son postérieur. « Tu sais ... t'acheter, signifie pas que j'ai de l’intérêt pour toi ... » Elle m'en dira tant. Je me limitais à un sourire hypocrite alors qu'elle souriait. Qu'elle se foute ou pas de ma gueule, il y avait bien trop d’électricité dans l'air autour de nous ou de tension sexuelle, à voir. Subitement, sans que je n'y prenne garde, les lèvres de la jeune femme se retrouvèrent sur les miennes et une mimique étonnée passa sur mon visage. J'attrapais alors la nuque de la jeune femme et la tirais en arrière pour détacher tout contact. « Qu'est-ce que tu fais ? » J'étais hésitant mais assez brutal. Elle allait pas m'allumer et me rejeter ensuite, hein ? « Faut pas t'engager sur ce terrain là. Vraiment pas. » Rapprochant alors son corps du mien, en plaçant un bras autour de sa taille, je fis glisser ma main sur son postérieur, mon autre main gardant toujours sa nuque prisonnière. « Parce qu'il n'y aura pas de retour en arrière... » Une menace ? Non, une mise en garde.
Mes lèvres se collent aux siennes comme une envie folle tout à coup et je sens qu'il apprécie moyennement. Il me repousse brutalement et je rougis inconsciemment face à ce refus catégorique. Je n'aime pas du tout ça mais je ne dis rien étrangement alors que lui me demande des explications. Je me recule en lui disant : Rien, rien du tout, j'ai fais une erreur ... Comme déstabilisée pour une fois par mes faits et mes dires. Je ne comprends parce que il ne l'a presque pas entendu car ces mots je les ait chuchoté. Un instant, je le regarde, je plonge mes yeux dans les siens. Il ne veut pas que je m’engage sur ce terrain là et sa voix est tout aussi brutal que ça me fait peur, que j'ai honte qu'un mec me rejette ainsi; non qu'aucun ne le fasse, que je sois autant bouffeuse d'homme mais venant de ce mec, ça me rebute. Mais il me surprend en m'attrapant toujours dans une certaine violence, plaçant une main dans le bas de mon dos, au début de mes fessiers, l'autre dans mon cou et me colle contre lui me rappelant d'une voix suave : « Parce qu'il n'y aura pas de retour en arrière... » Mes yeux brillent étrangement de désir, mon coeur palpite à fond, je l'embrasse à nouveau, chaste baiser avant de lui dire dans l'oreille : Revenir en arrière n'était pas au programme ... J'ai de la chance qu'on se trouve dans une ruelle déserte. Je tente de le pousser un peu plus dans un recoin n'étant pas le genre de fille qui fait ça dans ce type de mauvais endroit mais bon. Je laisse ma langue rejoindre la sienne sans honte, me baladant ainsi en une valse dans sa bouche. nos langues comprennent le ballet infini qu'elles doivent présenter. Je me permet enfin de toucher son corps profitant pour caresser une de ces joues de ma main puis ses cheveux tout en continuant le baiser qui en devient de plus en plus passionné.
Elle venait de le faire. Elle venait de franchir la ligne qui séparait normalement notre haine mutuelle. Elle venait de m'embrasser. L'attrapant par la nuque afin de la repousser un tant soit peu, je ne réalisais pas que ce geste brutal semblait la troubler alors que je lui demandais ce qu'elle faisait. « Rien, rien du tout, j'ai fais une erreur ... » Trop tard pour elle, j'avais déjà emprisonner son corps contre le mien, descendant ma main vers son postérieur. Putain, heureusement que je n'avais plus de plâtre, je me sentais un homme nouveau sans ma mémoire, un putain de phœnix qui renaissait de ses cendres et qui réapprenait ce que signifie la chaleur d'une femme, tout en menaçant celle-ci qu'il n'y aurait plus de retour en arrière. « Revenir en arrière n'était pas au programme ... » Si j'eus crus durant un bref instant qu'elle allait s'enfuir, me repousser et me dire que j'étais un malappris, sa réaction me désarma. Elle m'embrassa de nouveau avant de murmurer au coin de mon oreille : « Revenir en arrière n'était pas au programme ... » Ay. Ça me faisait de l'effet ça. Prit encore plus de court, elle posa sa main contre ma joue puis dans mes cheveux alors que nos lèvres remuèrent ensembles. J'en profitais donc pour faire glisser ma main de sa nuque jusqu'au bas de son dos et attrapant finalement ses hanches, j'inversais nos positions, la faisant buter contre un mur froid avant de couper court en baiser. « Si c'était un gigolo que tu voulais, fallait le dire plus tôt. » Car ni elle ni moi ne nous supportions à la base et je devais reconnaître que les choses prenaient une tournure plutôt intéressante. Je la faisais chier jusqu'au bout, et je lui répondis avec un sourire ravageur avant de plonger mon visage dans son cou pour l'embrasser sauvagement avant de glisser une main sur l'une de ses cuisses, que je remontais progressivement. Je ne pensais plus rationnellement ni même au fait que j'allais me faire ma meilleure ennemie.
Et la séduction semble continuer, mon cerveau semble en vouloir encore, de la prise de risque à fond mais je sais que je ne devrais pas car je le hais, enfin je crois ... Je sens qu'il apprécie mes séductions, mes gestes si rapides, tantôt doux, tantôt violent. Je cherche comment le faire succomber sans aucune provocations et questions mais je sais qu'entre nous tout cela reste impossible. Ses mains se baladent aussi sur mon corps. Ses mains dans mon dos, ses mains glissant doucement me faisant frisonner de plaisir, ses mains sur mes hanches et le final, je le sens là ... une bousculade intense, sensuelle,... le mur, ce mur froid contre lequel il me colle violemment. Je sens des palpitations débuter en moi. Nos lèvres se séparent et je retrouve un souffle tout nouveau malgré son coté qui me déplait remontant vite à la surface coupant notre intense moment : « Si c'était un gigolo que tu voulais, fallait le dire plus tôt. » Et je secoue la tete négativement montrant alors une grande lassitude vis à vis de son comportement car je ne veux plus penser à ça, à notre relation haineuse tant le désir est fort en cet instant. Je me fous de tout mais ça me rassure : Sa main glisse sur ma cuisse alors qu'il me regarde un sourire ravageur sur les lèvres et je fond intérieurement, me contentant de garder assez de haine pour rester de marbre à cette attirance étrange qu'il m'inspire pourtant trop. Je sens le frisson que sa caresse m'incombe avant de déposer quelques baisers dans son cou, croquant cette peau que je veux baiser mille et une fois tant que le plaisir lui ait donné. Une envie particulièrement étrange lorsqu'on sait mon avis sur ce gars. Je caresse ses larges épaules avec une certain plaisir dans mes yeux évoqués par la brillance de mes pupilles, brillantes de larmes en quelques sortes. Je dépose un baiser sur ses lèvres et commence à découvrir son corps : Je ne dis pas que tu es mon gigolo ... Je poursuis mon exploration profitant pour commencer à défaire sa chemise, quelques boutons en regardant l'endroit avec envie puisque je n'ai qu'une hâte voir ce qu'il cache derrière bien que cela fut déjà vu, juste le redécouvrir et me rendre compte que là, je peux y toucher, moi rien que moi. Je laisse mes mains glisser du haut de son torse à son cou, m'y accrochant avant de me remettre bien debout avec réaction. Je défais violemment sa chemise et descend doucement en embrassant chaque parcelle de son torse jusqu'à découvrir sa ceinture. Là, mes yeux se lèvent vers lui, un regard aguicheur alors que je joue de mes doigts fins avec sa ceinture.
Je ne pensais plus du tout rationnellement. Mais alors plus du tout et plus les minutes s'écoulaient et plus les caresses s’enchaînaient et plus je perdais peu à peu pied, ne sachant faire la différence entre la réalité ou un fantasme assez étrange que j'étais en train de réalisé. Tant pis pour l'identité de la jeune femme, tant pis pour le reste et mes sentiments. Seul comptait en cet instant même ce que je vivais, ce que nous vivions avec pour seul compagnie le contact de nos corps ensemble. Si elle avait donné le feu vert avec son premier baiser, je donnais le feu orange en attrapant ses hanches afin de la plaquer contre le mur d'une façon brutal. Elle est romantique, moi je suis bestial. Je n'avais pas vraiment le temps pour les faux semblants et les modalités de gentleman et je savais qu'elle en avait conscience. Passant alors d'abord mes lèvres dans son cou, je relevais doucement mon visage pour lui sortir une petite réplique un peu déplacé. « Je ne dis pas que tu es mon gigolo ... » Ses mains caressant mes épaules et ma peau plus particulièrement me fessait ressentir plus d'un frisson calculé. Je pouvais sentir comme mon cœur palpitaiy, comme ce qui se trouve en bas commençait peu à peu à très bien s'éveiller. « ...Mais ça ne me déplairait pas de l'être là. » Pour le coup, j'avais presque du mal à réalisé quel était mon prénom complet. Subitement, les choses prirent une tournure plus importante : ses mains avaient commencé à défaire les boutons de ma chemise en jean et lorsque je sentis ses mains frôler mon torse, je ne pus empêcher ma langue de se balader sur mes propres lèvres, en réclamant toujours plus. Elle m'allumait totalement et lorsque ma chemise fut totalement ouverte et que sa main frôla innocemment mon tatouage, je crus que j'allais devenir fou, encore plus lorsque ses lèvres descendirent de mon cou jusqu'au bas de mon torse. Jetant un regard à nos alentours comme pour bien m'assurer que nous étions seuls, je la relevais rapidement à l'aide d'un bras avant de prendre possession de ses lèvres comme jamais. Ses doigts avaient quelque peu jouer avec le bas de mon pantalon mais c'était à moi de jouer maintenant. La retournant, je plaquais mon torse ouvert contre son dos, alors que je l’incitais à ouvrir les jambes avec l'une des miennes. Embrassant son cou, je fis remonter une de mes mains du bas de sa cuisse jusqu'à l'introduire sous la jupe qu'elle portait alors que mes lèvres embrassaient aussi son épaule, mordillant un peu sa peau. Ma main continuait son exploration jusqu'à trouver ce qui l'intéressait et se faufiler sous la fine dentelle de son sous-vêtement afin de commencer à toucher ce qui me revenait de droit en cet instant même.
Mes mains se baladent sur son corps et je me sens bruler de l'intérieur par un désir fou et inconnu. J'aime toucher ce corps qui appartient pourtant à ce mec qui m'insupporte et là je me demande si je ne dois pas reculer pourtant mes doigts défont doucement ses boutons de chemises instantanément sans meme se poser quoique ce soit comme question. Je n'ai aucunement peur et finalement, aucun regret ne se fait sentir dans mon cœur : seul la flamme de mon désir. Il a beau me dire qu'il ne serait aucunement dérangé si je le prenais pour un gigolo, je me sens étrangement dérangé à l'idée de le prendre ainsi et là, je me dis que ça ne va pas du tout car je suis entrain de mettre sur un pied d'égalité Theophyl Cameron a qui je fais sans cesse la guerre. Qu'est-ce que le désir d'un corps peut faire l'esprit ? GODNESS. Je reste muette laissant simplement entendre mon souffle qui commence à se couper tant le désir est cuisant. Je le sentais devenir fou sous mes mains, voyant sa langue passer tranquillement sur ses propres lèvres comme pour montrer un certain contentement. Je savourais alors l'instant savourant chacun de mes gestes, des possibilités proposées à moi, ses réactions, profitant de tout. Je ne savais que faire de plus, oubliant tout quand il me touchait trop déstabilises par ce moment intense. Et soudain, il tenta de me surprendre, je le crois. Un regard sur la rue, on n'y voyait personne. Il déposa un baiser foudroyant sur mes lèvres engendrant chez moi un truc incroyable que je ne pouvais décrire tant c'était peu croyable qu'un mec haï puisse nous provoquer ce genre de palpitation excitante. Une violence arrive enfin dans son comportement et je crus mourir de désir à l'instant où il me plaqua contre le mur collant son torse contre mon dos. Je sentais le peu de pilosité me restant se dresser d'envie. Ses doigts me touchaient avec délicatesse mais par instant avec sauvagerie et là, je la reconnaissais bien. Je poussais quelques petits cris de surprise mais surtout quelques souffles d'excitation qui m'échappait tandis que je me sentais doucement mouillé, à l'endroit où il tentait d'accéder par la pression d'une de ses jabes entre les miennes. Je les ouvrais avec appréhension de prouver à ce garçon tant détesté que ouais, il m'excitait à fond. Il passa alors sa main devant moi, entre le mur et moi. Je sentis son bras glissait tandis qu'il embrassait mon épaule finement dénudée et je compris que le moment était venu de devenir plus intime. Je le sentis se rapprocher un peu, son érection contre mes fesses m'excitant encore plus. Je me sentais trempée de désir, trempée de l'effet surprenant qu'il savait si vite me faire mais surtout, transpirant d'un désir sexuel sur le point d’être assouvi. Je profitais alors de l’instant, laissant un hoquet de surprise m'échapper quand sa main, deux de ses doigts vinrent toucher me bouton de plaisir. Malheur ! Je sentais mon cœur sauter dans ma poitrine et je ne savais plus me tenir à l'instant précis où ses doigts commencèrent à s'agiter dans ma culotte. Le petit vent frai du soir faisait par instant trembler mes jambes mais au contraire, n'aidait qu'un peu plus à me rendre folle de sexe, de sexe avec mon amant du soir. Je bougeais avec lui ne manquant pas de tenter de l'exciter en laissant mon bras libre, qui ne s'appuyait pas contre le mur, a venir se loger dans son cou, derrière pour me tenir à lui et mes fesses à bouger quelques peu contre son sexe déjà en pleine levé. Je ne perdais pas non plus si facilement l'esprit et cherchant toujours à le faire suer, dans un soupire de plaisir, peu de respiration, je lui dis sensuellement : je pensais que tu pouvais faire tellement mieux .... Je ne pus rire pour accompagner tout, trop occupé à crier. Comme il assurait ma sécurité en me collant contre le mur, je tentais de faire confiance au jeune homme et ne gardait qu'une main dans son cou prenant l'autre pour accompagner le mouvement de sa main sur mon clitoris et l'encourager à me surprendre avant de donner un peu plus de coup de bassin vers lui pour que son sexe soit clairement levé jusqu'à la garde. Je balançais la tete en arrière criant avec le plus de discrétion que je le pouvais mon plaisir.
« Je pensais que tu pouvais faire tellement mieux .... » Si la jeune femme cherchait désespérément à me déstabiliser, elle se trompa carrément. Cela ne me motiva pas plus mais je n'en avais que faire, je me laissais juste aller comme je le pouvais à un désir irréprochable et presque incontrôlable. Le fait d'avoir mener une certaine vendetta personnelle contre cette jeune femme depuis tout ce temps devait avoir nourri un certain désir et d’innombrables pulsions à son égard, car je devais reconnaître que dans son genre, c'était totalement mon type de femme et qu'elle m'excitait probablement à chaque fois qu'elle m'irritait ou posait son regard sur moi...Et j'avais comme le sentiment de gagner une certaine bataille en me permettant d'assouvir ce fantasme inavoué que ni elle ni moi ne pourrions envisager discuter lors de nos moments de lucidité. Je l'avais plaqué contre le mur, laissant mon torse rencontrer son dos et ma main son intimité que j'avais laissé glisser sous sa jupe. En cet instant précis, son corps m'appartenait entièrement et je la sentais totalement disposé à faire quoique ce soit avec ma personne, pour mon plus grand plaisir personnel. Mes doigts avaient alors commencé un jeu dangereux avec le petit bout de chair de son intimité, qui lui procurait un certain plaisir et que j'appréciais malaxer et caresser dans toute sa splendeur. Si je crus durant un bref instant qu'elle allait faire en sorte à ce que je ne retire ma main de cet endroit, je fus plutôt surpris lorsque je constatais qu'elle y rajoutait sa main afin d'accentué son propre plaisir et un sourire victorieux apparut sur mes lèvres tout contre son épaule que je mordillais sans lassitude. Les gémissements qu'elle laissaient échapper de sa bouche résonnèrent comme une douce mélodie pour moi, alors que les miens ressemblaient plutôt à des grognements de frustration alors que mon acheteuse avait décidé de frotter son postérieur contre mon entrejambe qui devenait au fur et à mesure de plus en plus douloureuse suite à ses coups de bassin, enfermée dans mon pantalon. Je n'avais plus qu'une envie, me débarrasser de nos surplus de vêtements et de prendre possession de ce corps sublime qu'elle m'offrait. Son bras était par d'ailleurs venu se loger dans mon cou, comme dans un bref essai de se raccrocher à quelque chose alors que plus elle se frottait à moi et plus j'accentuais la pression sur son intimité, le moment prenait une tournure des plus intimes et je me sentais tout aussi haletant qu'elle, sentant à quel point elle se préparait à la perfection pour ce qui allait probablement suivre dans quelques brèves minutes. Lorsque sa tête vint à reculer en arrière, je masquais les gémissements qu'elle m'offrait avec mes lèvres alors que sans la prévenir, un de mes doigts décida d'explorer en profondeur son intimité, se faufilant en elle et jouant au jeu du va-et-viens, bientôt suivis par d'autres doigts. J'aimais la sentir ainsi, totalement soumise à moi. Et me stoppant littéralement, je retirais ce que je venais de commencer, avant de retourner la jeune femme, plaquant de nouveau son dos contre le mur. « Tu vas prendre cher, j'espère que t'en es consciente...» Laissant un sourire narquois flotter sur mes lèvres, je remontais le haut qu'elle portait, sans pour autant le faire passer au-dessus de sa tête, dégrafant ensuite son soutien-gorge je repoussais le tissu vers le haut et prit possession d'un de ses seins en bouche, jouant avec le petit bout de chair rosé avec ma langue pendant que mes mains jouait tranquillement tout contre son corps, se faufilant sous ses vêtements, sur son postérieur et j'en passe. Je n'avais pas fini de la caresser et j'en voulais toujours plus alors que chaque fois qu'elle posait une main sur ma personne, mon cœur ratait des battements. J'avais chaud et le lieu illicite dans lequel nous nous trouvions ne me stoppais nullement alors que je faisais glisser la jupe de la jeune femme vers le bas, la regardant tomber à ses chevilles avec un regard de prédateur.
Je sentais son excitation monter et la mienne par la meme occasion. Je savais que j'avais un potentiel énorme niveau séduction mais chez lui, je n'aurais jamais cru puisque notre haine était surement plus grande que tout autre battle ici. Pourtant, cette haine se transformait en une étrange énergie érotique. Je bougeais toujours mon bassin doucement pour accentuer son désir lorsque son sexe frappait contre mes fesses bien rebondies. Je profitais de chacune des sensations qu'il m'infligeait. Trop de désir montait en moi en cet instant et je me sentais en pleine perdition dans ce monde de luxure. Ma main s'agitait par dessus la sienne, justement placé sur l'objet de son désir, sur ce petit bout de chair qui pouvait en un instant me faire jouir et monter dans un ciel nouveau. Je gardais ma tete en arrière pas assez forte pour garder la tete haute durant cet étrange sensation provoqué par les mains de l'homme détesté. Je le sentais fébrile à cause de l'effet que je pouvais lui faire, moi, sa tendre ennemie mais il était tellement actif que je ne pouvais plus penser. Un regard sur le coté alors que ma tete gardait encore tout son appuie sur son épaule et soudain, je fus surprise lâchant un hoquet qui l'expliquer bien quand ses doigts vinrent à visiter les profondeurs de mon intimité mouillée de désir pour le jeune homme acheté. Je bougeais alors doucement mes hanches pour sentir plus encore ses va-et-viens qui me plaisaient tant et me délecter des bienfaits de ce tendre plaisir. Mes cris ne furent plus retenus dans ma gorge mais commencèrent à sortir. Cependant, je tentais de baisser le son sachant que je ne pourrais pas éternellement réussir à garder assez les pieds sur terre pour me contrôler ainsi. Je retrouvais un peu le monde réel en pensant à ce qui nous entourait soit uniquement les murs de la ruelle mais une grande possibilité d’être vu. Je ne voulais pas m'en occuper alors je tentais de l'occulter ; ça fait de nouvelles expériences. Là, il me retourna net collant mon dos nus contre le mur glacé avec une certaine violence très appréciée avant de me dire avec sensualité, perversité et provocation ; « Tu vas prendre cher, j'espère que t'en es consciente...» Il souleva alors mon t-shirt, je crus presque qu'il allait l'arracher puis il commença à profiter de mes mamelons, goutant à ses bouts de chairs de ses lèvres puis de ses dents, activant plus encore la chaleur qui courrait dans mon corps. Voilà que ses mains se baladent sur moi de mon dos à mes fesses, à mon antre sacré, partout ... Je tente de m'activer, de me libérer de la frénésie sexuelle qui a débuté depuis un petit moment entre nous pour pouvoir moi aussi m'activer sur lui. Je passe une main sur son torse en me mordant la lèvre et je me décide à profiter de cette domination qui me revient de droit vu le prix payé. Je tente de reprendre mes forces et relève sa tete pour qu'elle ne soit plus face à ma poitrine meme si son traitement me plaisait bien plus. Je veux faire ce que je veux et dominer un instant au moins. Je le pousse à mon tour contre le mur et dépose quelques baisers dans son cou, descendant sur son torse pour lui faire une banderole de baiser accentuant cela sur son tatouage ayant remarqué l'excitation que cela provoque plus encore et j'arrive à sa ceinture. Je joue doucement avec en le regardant, yeux en l'air, un regard provocateur, une lueur de sadisme et je fais l'enfant en faisant gigoter mes mains autour de la boucle de la ceinture que j'ouvre ensuite avec douceur, délicatesse mais toujours sans lâcher son regard qui me fait tomber intérieurement de bien haut. Je défais le bouton de son pantalon et le descend alors à ses chevilles profitant du spectacle offert très peu décevant et plutôt ... époustouflante. Une bosse assez conséquente me fait alors face et je sens alors que mon travail devra être aussi conséquent que ce spectacle offert. Un sourire malicieux, je caresse la bosse de la paume de ma main en le regardant toujours le provoquant en ne baissant pas encore son caleçon. Je ne sais pas si tu as mérité ta gâterie du jour ... Peut-être devrais-je me stopper, non ? Dis-je provocatrice en faisant mine de remonter, me retrouvant de nouveau à sa hauteur puis là, debout, je baisse d'un coup sec en passant mes mains entre nous deux, son caleçon découvrant l'engin en pleine érection qui fout carrément une distance entre nous, pas immense faut pas exagérer mais conséquente effectivement. Je plonge mon regard dans le sien collant mes seins de nouveau caché par le t-shirt retombé contre son torse et de ma main, je commence à branler son sexe. Ma main vogue entre l’extrémité de sa queue et toute sa longueur, profitant pour montrer ma rapidité et ma facilité de contrôle. Je soupire, ferme les yeux comme pour montrer que je prend aussi un certain plaisir à l'effet que je lui fais puis tout en continuant, je caresse de mon autre main son torse. Je me laisse glisser doucement en mode sensuelle vers le bas pour le prendre en bouche. De nouveaux va-et-viens débutent alors sur toute cette longueur alors que je ne pense meme plus à l'endroit où je me trouve.
Elle en voulait, je savais qu'elle en voulait beaucoup et qu'en cet instant même, elle attendait beaucoup de ma personne. Dans tous les cas, je ne pouvais pas me permettre de la décevoir au risque de subir mille et uns commentaires de sa part dans les jours qui suivraient ou je supposais qu'elle serait carrément capable de me coller une sale réputation, ce dont je me passerais parfaitement. Car après tout, nous nous détestions. Son bassin ondulait contre le mien alors que je jouais tranquillement avec son intimité, me délectant de tous les moindres sons qui sortaient de sa gorge si tentante. J'avais toujours envie de plus, et retirant mes doigts de la course qu'ils avaient commencé, je la retournais pour qu'elle me fasse face afin de soulever son tee-shirt et de goûter à la texture de l'un de ses seins, que je pris sauvagement en bouche, titillant sa chair avec la pointe de ma langue. Si cela l'excitait, cela avait le don de me booster à mille, chose que je n'aurais jamais cru possible avec une femme autant détesté qu'elle. Mes mains se baladaient tranquillement sur son corps, tentant de lui prodiguer le plus de sensations possibles alors que ses propres mains avaient commencé une balade interdite contre mon torse après qu'elle m'eut relevé le visage afin de me plaquer contre le mur à mon tour, m'arrachant une expression de surprise. La laissant faire totalement, je la regardais avec un regard rempli de désir. Lorsqu'elle parsema mon cou de petits baisers, avant de glisser ses lèvres sur mon torse, je ne savais même plus comment je m'appelais. Ses mains avaient alors commencé à descendre très dangereusement vers la ceinture de mon pantalon et durant un instant, je cessais de respirer attendant la suite avec une envie grandissante et nettement voyante. L'observant faire, un sourire narquois se dessina sur mes lèvres lorsque je croisais son regard et quel regard bordel ! Un de ceux qui disait que je m’apprêtais à passer un des meilleurs quart d'heure de toute ma putain de vie. Mon pantalon tomba alors jusqu'à mes cheville et je ne pus qu'appréhender la suite avec une certaine excitation. Tout devenait flou et le lieu ne m'importait plus à présent, juste ce que la jeune femme face à moi s'apprêtait à me faire sans délicatesse. « Je ne sais pas si tu as mérité ta gâterie du jour ... Peut-être devrais-je me stopper, non ? » Un rire rapide s’échappa de ma bouche alors qu'elle caressait la bosse de mon excitation avec la paume de sa main. J'avais carrément envie qu'elle ne passe la troisième car je n'en pouvais déjà plus. Ne répondant rien, je la laissais juste me taquiner avec ses je me lève et je m'accroupis à nouveau afin de me faire chier. Mais je retenais à nouveau mon souffle lorsque sa main commença des va-et-viens contre mon entrejambe déjà bien tendue. Pour être honnête, je n'avais pas du tout besoin de cela, ni même encore moins de ses lèvres dessus et de savoir que je possédais sa bouche de va-et-viens, car elle m'avait déjà bien mis dans un état second. Plaquant ma tête contre le mur derrière moi, je me laissais totalement aller, gémissant silencieusement fasse à tant de merveille de sa part. Bloquant la main qui caressait mon torse avec l'une des mienne après quelques minutes de pur extase, je me dégageais avant de la relever vers moi. « Va doucement chérie, sinon je ne pourrais jamais suivre. » Échangeant de nouveau nos positions, je relevais son tee-shirt afin de me régaler de la vue de sa poitrine avant de glisser tranquillement contre son corps et de lui glisser le sous-vêtement qui lui restait en bas, n'ayant pas du tout envie de me faire chier, faisant en sorte à ce qu'elle le retire complétement. J'en profitais aussi pour récupérer un préservatif dans mon porte-feuille et l'enfiler avec une rapidité qui m'étonna moi-même. « Il est temps de passer aux choses sérieuses maintenant... » Plaquant alors brutalement mes lèvres contre les siennes, j'attrapais ses jambes afin de les enrouler autour de ma taille, plaquant ainsi mon bassin contre le sien et laissant donc nos intimités rentrer en contact l'une avec l'autre. Si je ne la pénétrais pas tout de suite, je laissais néanmoins mon troisième bras se frotter contre son petit morceau de chair qui lui prodiguait du plaisir, avant de la pénétrer brusquement sans prévenir tout en gardant mes lèvres contre les siennes, en un baiser presque sauvage.