POPPY&MAËL • c'est juste toi et moi ♫

Une connerie, j'avais fais une belle connerie en l'embrassant, non pas que je n'aimais pas le goût de ses lèvres, mais je ne savais même pas si elle en avait envie. Et je voyais bien qu'elle ne savait pas quoi dire, je tentais alors de m'approcher d'elle pour tenter de lui parler posant mes mains délicatement sur hanches et je vins lui chuchoter tout doucement à l'oreille. « Je suis désolé Poppy je ne voulais pas te brusquer. J'en avais envie et je n'aurais sans doute pas dû, mais ...» dis. Je perdais mes mots, je ne savais pas quoi dire, je ne savais pas comment l'aborder et comment lui parler, Je patinais toujours derrière, mais j'avais décidé de vraiment lui parler et d'arrêter le patinage. Je la plaquais contre moi, elle était de dos et je la retournais pour pouvoir la regarder droit dans les yeux. « Allez répond moi. » lui dis-je, toujours avec mon regard plongé dans le siens. Je n'en avais plus rien affaire des personnes qui tournaient autour de moi, je voulais tenter de retracer les choses et comprendre comment tout cela avait pu arriver. Je ne pouvais pan retourner en arrière et je ne voulais pas, car là je n'avais qu'une envie c'es de recommencer à capturer ses lèvres et l'embrasser à nouveau.

En réalité, Poppy ne savait pas ce qu'elle voulait. Elle semblait si confuse, si perdue, si hors d'atteinte et inaccessible. Mais pourtant elle n'avait que deux voix dans sa tête. L'une lui disait de se laisser aller avec Maël. Après tout l'attirance qu'elle ressentait pour lui était inimaginable et elle se sentait toujours bien en sa compagnie. Mais il y avait aussi Noa dans l'histoire. Elle ne voulait pas le blesser en tentant quoi que ce soit avec son frère jumeau. Et puis cela faisait tellement longtemps que Poppy n'avait pas aimé, elle ne savait plus comment s'y prendre, et ne savait plus comment cela pouvait fonctionner. Ce qu'elle savait, en revanche, c'était que Maël ne la laissé pas indifférente. Aussi, lorsqu'elle s'était éloignée de lui après qu'il lui ai volé un baisé, elle ne fut presque pas surprise de voir qu'il l'a rattrapa rapidement. La tenant par la taille et se collant à son dos avant de la retourner brusquement afin qu'ils soient face à face l'un de l'autre, la jeune Cabot plongea ses iris noisettes dans les yeux du jeune homme, s'y perdant un instant. « Je ne sais pas quoi te dire... Tu m'as surpris. » Elle tordit sa bouche en une drôle de moue et tout en ne lâchant pas du regard le jeune homme, elle mordit sa lèvre inférieur. La tension était presque insoutenable, et Poppy avait l'impression de perdre pieds un peu plus chaque secondes.

Je ne savais plus quoi dire ni quoi faire. Je perdais mesmoyesnf ace à une fille ? Non je ne devais pas e devais me reprendre et tenter de me montrer fort. En plus elle mordillait sa lèvre inférieur et je n'avais qu'une envie c'est de l'embrasser une nouvelle fois. Mais je ne devais pas pour une fois j'allais penser avec ma tête, car ça ne m'arrive pas souvent. Mais là je devais me concentrer et trouver un moyen que le moment redevienne agréable et sympathique. « Et si je recommençais est-ce que te dérangerais ?»  demandais-je. Pourquoi j'avais dis ça ! Au départ je devais lui dire que j'étais désolé, mais qu'est-ce que j'étais bête. Franchement parfois je me demande comment je peux être aussi bête. J'étais énervé contre moi-même, pourtant je tentais d'être souriant et de montrer que j'étais bien. Que tout était parfait et que je n'avais rien fais de mal. Oh, mais non je devais me rattraper je devais trouver un moyen de me rattraper, mais pourquoi elle était aussi sexy ? Je me le demandais, car franchement elle était simple et naturelle et j'arrivais à la trouver belle comme une sirène. Arrête, Maël arrête de dire n'importe quoi, tente de te raisonner, car là ton cerveau est en ébullition me dis-je. « C'est pas ce que je voulais dire. Je je ... oh et puis zut je sais pas m'excuser auprès d'une fille que j'ai embrassé ! » M’exclamais-je en poussant un long soupir. Je me sentais un peu idiot sur ce coup là, sortant un sourire sincère et un peu gêné je grattais l'arrière de ma nuque tout en la fixant droit dans les yeux.

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Poppy se sentait confuse suite au baisé de Maël. En réalité la jeune Cabot ressentait tout un tas de choses. Etait-elle en tord ou au contraire, était-ce bien ce qu'elle faisait ? Elle ne savait plus vraiment quoi penser et les actions ainsi que les paroles de Maël ne l'aidait pas à y voir plus clair. Après tout, elle aimait passer du temps avec lui et elle ne le cachait pas. Cependant, il y Haytam, pour qui elle commençait à ressentir des choses qu'elle ne pensait pas pouvoir ressentir un jour. Et il y avait Noa, pour qu'il elle avait un profond respect et une grande amitié, est-ce qu'elle était entrain de le trahir ? Beaucoup trop de questions étaient en suspens dans sa tête mais la Cabot décida qu'il ne valait mieux pas écouter sa tête et qu'elle devait simplement écouter son coeur. « Tu n'as pas besoin de t'excuser pour quoi que ce soit Maël. Tu sais que j'adore passer du temps avec toi, mais je ne sais pas si... » Elle fronça les sourcils perplexe puis elle s'approcha de lui et posa ses lèvres sur les siennes tout en prenant son visage entre ses mains. Et après quelques secondes elle se sépara de lui et secoua négativement la tête, déclarant « Je crois que j'ai des sentiments pour quelqu'un d'autre. » Elle déglutit légèrement. Et elle savait au fond qu'elle ne devrait pas dire ce genre de truc à Maël, mais dans un sens, elle voulait être sincère avec lui.

Poppy était différent, je ne sais pas, elle avait autre chose que cette simple attirance. Je ne pourrais expliquer ce que je ressens pour elle, car il n'y a pas de mots pour le décrire.  Je l'écoutais attentivement, mais elle n'avait pas le temps de finir sa phrase que je sentis ses lèvres se poser sur les miennes. Un espoir peut-être ? Et j'entendis ce que je n'aurais pas aimé entendre. Qu'en faite elle avait des sentiments pour quelqu'un d'autre. « Je ne peux rien y faire. De toute façon je sais pas Poppy c'est compliqué. A vrai dire je ne sais pas ce que je ressens ppour toi. Je ne sais pas si c'est des sentiments ou autre chose. e ne sais pas, ce qui est sûr, c'est que j'accepte que tu es des sentiments pour une autre personne. Après tout je ne suis qu'un simple baiser non ? »  dis-je avec un faible sourire sur les lèvres. J'aurais bien envie de déposer mes lèvres à nouveau, mais je ne pouvais pas faire ça. Je pense que ça créerait une situation encore plus étrange. Oui je n'arrivais pas à décrire ce que je ressentais et ça m'énervait, moi qui d'habitude avait le contrôle là je le perdais. parfois cela ne me dérangeait pas, mais là si.  « C'est qui ? Juste son prénom je ne dois sans doute pas le connaître, mais par simple curiosité j'aimerais savoir qui est cette personne qui fait apparemment battre ton coeur ? »  demandais-je. Oui je faisais toujours dans l'ironie, je ne sais pas si c'est bien, mais en même temps quand je me sentais faible je jouais avec les mots, je tentais d'utiliser l'humour et le sarcasme.

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Poppy aimait passer du temps avec Maël et ce n'était pas elle qui dirait le contraire. Ils allaient bien ensembles pour une raison, du moins c'est ce qu'elle se disait au fond d'elle même. Aussi alors qu'elle venait tout juste de déclarer à Maël, qu'elle pensait ressentir des sentiments pour un autre garçon, la jeune Silver avait sentit une boule dans son estomac. Elle ne se sentait pas mal, elle se sentait seulement bizarre. C'était un sentiment qu'elle n'avait pas beaucoup eu dans sa vie, tombant très difficilement amoureuse d'un garçon. Aussi lorsque le Winthrop lui avoua qu'il était d'accord avec le fait qu'elle puisse avoir des sentiments pour un autre homme que lui, elle inspira profondément de soulagement puis détourna un instant son regard noisette du jeune homme. Aussi lorsqu'il lui demanda finalement le prénom du garçon pour qui elle avait des sentiments, Poppy reposa brusquement ses iris sur le jeune homme. Elle le fixa un instant silencieuse puis elle secoua négativement la tête. « Je ne sais pas si... Si c'est une bonne idée. Et puis qu'est-ce que ça changera de toute manière ? » Elle riait mais d'un rire nerveux et mal à l'aise. Elle ne voulait pas blesser Maël, et même si elle ne savait pas les sentiments qu'il avait pour elle, elle l'aimait beaucoup et elle ne voulait pas que leur relation se dégrade à cause des sentiments de la jeune Cabot.

La première fois, la toute première fois que je me prenais une claque. J'étais assez mal à l'aise et je ne savais plus quoi dire. Et puis de toute façon je ne la connais quasiment pas, alors pourquoi j'étais comme ça ? Je sais pas je ressentais quelque chose pour elle, ce n'était pas de l'amour, c'était sans doute moins fort. mais comme un attraction virtuelle. Elle devait avoir raison et qu'est-ce que ça changerait ? Je voulais savoir c'était plus fort que moi. Je ne pouvais pas contrôler ce sentiment de curiosité. « Je sais pas. J'ai juste envie de savoir. Tu peux me dire ça au moins, ne t'inquiète pas je n'irais pas le voir ou le frapper. D'ailleurs je n'en vois pas l'intérêt, je ne suis pas un mec violant contrairement à ce que l'on peut penser. Donc tu peux me le dire, comme ça si un jour il te fais souffrir j'irais le voir ? » dis-je avec un léger sourire en coin. Oui j'étais mal placé pour dire ça. Moi qui m'amusait avec les filles et qui était un vrai connard avec elles. Mais qu'est-ce que je pouvais y faire, c'était ma fierté. De dire que j'étais là et que je pouvais la défendre. C'était sûrement absurde, mais plus fort que moi. De toute façon je trouverais le prénom de ce garçon que j'irais voir un jour, mais bien sûr ça sera un pur hasard !

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Poppy s'était toujours bien sentie en compagnie de Maël. Avec lui, il n'y avait pas de complications et la vie de la jeune Silver paraissait presque normale. Presque banale. Et elle aimait ça. Elle aimait cette sensation, celle qui vous fait sentir comme les autres tout en restant unique de la meilleure des manières qui soit. Elle avait cette chance avec Maël, qu'elle n'avait avec personnes d'autres. Être normale, pouvoir agir normalement et ne pas être frappé, étranglé ou kidnappé par des russes. Mais ce n'était pas sa vie, ce n'était pas Poppy, ce n'était pas la personne qu'elle était. Elle ne serait jamais normale, elle ne pourrait jamais avoir de chien ou ne penser qu'à ses partiels de fin d'années et ses études en temps normal. Aussi lorsque Maël lui raconta qu'il n'était pas un homme violent pour finalement finir avec une touche d'humour, la Cabot lâcha un léger rire en hochant positivement la tête. « Tu sais, que je sais me défendre toute seule quand même ? » Souriant amusée, elle mordit de nouveau sa lèvre inférieur et baissa son regard vers ses rolliers pour lesquels elle se fascina presque aussitôt.