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CADWICK ▬ can you keep a secret? (hot)

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Même si j'incitais mon esprit à se décontracter, j'avais toujours cette peur qu'il fasse quelque chose d'insensé contre moi. Comme un coup de pute, un poignard dans le dos qui me ferait souffrir d'avantage. Et c'est pourquoi, je m'attelais à le mettre en confiance, à le détendre aussi afin que mon insécurité disparaisse avec lui, juste pour cet instant. Lentement, j'enlevai la ceinture de son pantalon, attendant un quelconque mot sortant de sa bouche. Une approbation, un refus soudain, la surprise semblait toujours présente. Je le regardai droit dans les yeux, afin de voir une quelconque émotion ou sentiment. Et bizarrement, je ne vis rien. Son regard demeurait vide, me déconcentrant. Brusquement, sa main arriva sur mon cou. Par crainte, je pensais qu'il allait m'étrangler. En un bref instant, je fus soulagé que sa main redescende avant de coller à nouveau mes lèvres sur les siennes. Ma respiration commença lentement à se haleter. Le baiser fut beaucoup plus passionnel, comme une envie profonde, un désir qui avait contaminé Camille. Mon sentiment de crainte s'enterra doucement, baissant ma garde. Finissant à califourchon sur le jeune homme, torse nu contre torse nu. Il agrippa mes cheveux pour faire basculer ma tête en arrière et m'embrasser dans le cou. Mon désir s'éveilla grandement et la chaleur de mon bas-ventre finissait à être amplement concret, déformant mon caleçon. Camille devenait sauvage et étrangement, d'un côté, cela me plaisait. J'en voulais plus, j'étais prêt à me soumettre, à m'abandonner à ses soins. Sensuellement et ressortant mon accent polonais, je prononçai d'une voix douce ; «Je suis à toi...» Me laissant embrasser, mes mains déboutonnèrent son pantalon et agacé, je commençais à m'extirper maladroitement de l'unique tissu qui était resté sur moi, libérant mon membre excité. La peur se remplaçait par du désir et en cet instant, mes problèmes s'étaient évaporés. Cela reviendra au galop, mais je préférai mettre en veille, voulant m'abandonner à Camille.
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« On est sûr de réussir quand on ne montre pas ses faiblesses. »

 Désir, envie, besoin, peur. Ces sentiments se bousculèrent dans l’esprit du jeune homme, cassant peu à peu tout ce qu’il restait d’humanité en lui. Fermant les yeux alors que son jeans fut déboutonné, il se rendit compte que dans cette histoire, c’était Camille la salope. Avait-il prévu de se faire le danseur ? Bien sûr que non. Son esprit torturé par d’anciennes angoisses ne répondit plus, ce n’était plus la peine d’être rationnel, d’être humain. Il était trop tard. Je suis à toi. Voilà, il s’abandonna tout entier à Camille. Merde. Avait-il peur ? Si peu que ça ? Cela semblait être un mélange de crainte dû au manque d’émotion dans le regard de Camille et d’envie. D’ailleurs, son corps ne mentit pas, alors qu’il enleva le seul vêtement resté sur lui. Baissant les yeux quelques instants, il retira son pantalon ainsi que son boxer, laissant apparaître la preuve physique de son attirance pour lui, de ses envies de voir Lud se soumettre à Camille. Ta gueule, Ludwick. Prononcer son prénom, entendre ce petit accent polonais l’excita de plus belle. C’est avec une certaine maîtrise de la situation qu’il rejoignit le jeune homme sur son lit, Camille se tenant au-dessus de lui. Leurs corps nus se touchèrent, leurs peaux étaient brulantes tandis que les lèvres de Camille s’empressaient de rejoindre celle de Ludwick pour un baiser passionnel, sa langue forçant le passage à travers sa bouche, venant rencontrer la sienne. Leurs membres à présent nus durcirent encore plus, se touchant quelques fois. Sa main passa dans ses cheveux blonds, avec délicatesse. Il stoppa son baiser, pénétrant son regard dans celui de Lud. Il était temps de passer aux choses sérieuses… Sa main descendait, se baladant sur son cou, sur son torse, suivant les formes de ses abdominaux pour finalement atterrir sur son membre dur, commençant quelques va et vient rapides.

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On ne pouvait point considérer ce moment comme romantique, réunissant deux amants qui s'aimaient. On ne pouvait pas dire aussi qu'il sentait toute la classe et le glamour de ce monde qu'était la luxure. Le Ta gueule, Ludwick m'avait frappé en pleine face, ne pouvant plus répondre. D'un côté, j'étais calmé. Je ne pouvais pas m'imposer au risque de l'énerver. Me rejoignant au lit, j'étais couché, Camille au dessus de moi, prêt à m'embrasser langoureusement. Okay, je devais l'admettre, c'était sexy, ça m'excitait d'avantage mais Camille restait tout de même quelqu'un de vil et profiteur. Désormais nus, nos corps se caressaient, s'entrechoquaient quelque fois, guidé par nos mouvements. Mes mains s'agrippèrent à son dos, le griffant doucereusement tandis que ma langue valsait avec la sienne dans une danse endiablée avant d'être interrompue. Camille releva sa tête et son regard se plongea dans le mien. J'eus une petite pensée, fronçant les sourcils ; comment on s'était trouvés là déjà ? En quelques instants, sa main descendit, franchissant toutes les parties de mon corps pour arriver à mon entrejambe avec laquelle elle s'allia. Inhabituel et assez différent de mes derniers rapports sexuels. En général, j'étais celui qui dominait, le mâle de la situation. Cependant, cas exceptionnel, les rôles étaient inversés. A ses caresses intimes, je poussai quelques faibles gémissements, ma respiration commençant à se saccader. S'il voulait vraiment me pourrir, au lit, il savait y faire. Brusquement, je recollai mon visage au sien pour reprendre nos baisers salvateurs et passionnés. Mes mains descendaient lentement dans son dos, le caressant sensuellement avant de me cambrer quelque peu. Une de mes mains atteignit son membre dur pour le caresser vivement. J'en voulais plus. Et je savais que Camille n'était guère un petit joueur, ayant dans le pantalon.
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« On est sûr de réussir quand on ne montre pas ses faiblesses. »

Bordel, c’était un connard. Un enfoiré de première prêt à baiser la première personne qui passait devant lui. Meuf, mec, au choix. Parfois, il se dégoûtait, n’ayant qu’une seule envie : disparaître à tout jamais. Son comportement était tellement ancré en lui, dans son corps, dans son âme, qu’il ne trouvait plus d’occasion de se retrouver, de retrouver l’enfant qu’il était, de puiser au plus profond de lui les quelques miettes d’âme qu’il lui restait. Même lorsqu’il exagérait, comme avec sa dernière insulte, le jeune blond ne réagit pas. Putain, il n’osait même pas imaginer les pensées de Ludwick à son égard. Trop tard. Les dés étaient lancés, la partie commencée. Chaque partie devait trouver une fin. Pour le moment, C. dominait la situation et lorsqu’il se cambra légèrement tout en parcourant son dos d’une main, il eut un petit gémissement de plaisir. Inattendu. D’habitude, chaque geste fut mécanique, comme une pièce de théâtre déjà jouée des dizaines de fois. L’une de ses mains se joignit à son membre, ce qu’il apprécia par-dessus tout. Prêt à t’amuser, Ludwick ? Il était prêt à lui donner la satisfaction de ne pas s’être donné pour rien, de garder son secret tout en passant un moment dont il se souviendra. C’est avec une certaine aisance qu’il porta le jeune homme jusqu’au mur, le plaquant violemment. En califourchon, dos contre le mur, torse contre le sien et ses jambes chacune d’un côté, son membre collé au sien, il reprit ses baisers avec toujours plus d’animosité et de passion. Bientôt, plus rien ne pourra le retenir et il ne pourra répondre de ses actes…

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J'étais immergé dans une certaine ivresse, particulière, inédite et grisante. Englouti dans cette mer où se trouvaient plaisir et haine, dominés par une force malsaine. Mes complexes m'avaient complètement abandonnés et seules mes lèvres ainsi que mon entrejambe avaient pris possession de ma raison. J'étais attaché à Camille, l'embrassant pleinement, le caressant en recevant aussi du plaisir. On aurait pu continuer dans un chemin normal. Mais, on parlait encore de Camille. Avec surprise, je me retrouvais aisément soulevé, plaqué dos contre le mur. Naturellement, mes jambes s'accrochèrent au bas de son dos, membre contre membre et lèvres contre lèvres. Je poussais quelques légers gémissements peints par la douleur et le plaisir, mélangés. Mes lèvres ardemment collés aux siennes, j'interrompis vivement le baiser pour reposer mon regard à travers ses yeux perçants. Puis j'abaissai ma tête pour l'embrasser brièvement, par quelques baisers sur le cou avant de coller langoureusement les lèvres et d'en aspirer la peau. Provoquer un suçon, d'une façon, j'avais ma vengeance. Je voulais marquer cet ébat passionnel par ce symbole. Me reculant, je plaquai à nouveau brusquement mes lèvres contre les siennes, demandant encore plus d'acte sauvage et passionnel. Je le désirais, je voulais l'avoir en moi et j'étais prêt à tout pour l'exciter, quitte à nous pousser dans nos derniers retranchements. Par des mouvements sensuels, j'essayai d'agiter doucement mon corps avant de souffler d'une voix basse : « Prends-moi... » Je divaguai, je commençais à entrer dans cette folie qui rognait ma raison et mon esprit, abandonné dans une débauche des plus graves.
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