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Je veux
Joe le taxi.
J’aurais pu dire que le réveil avait été particulièrement dur après une telle soirée si seulement j’avais fermé l’œil. Une nuit blanche, comme j’avais tant l’habitude de faire et je débordais encore d’énergie. Je crois même qu’à côté une puce électrique semblerait forte sage. J’étais encore dans le gaz, les idées pas très en place, accompagné d’un de mes potos mather. Cela faisait quelques longues minutes que nous étions sorti de la fête pour prendre le chemin de l’école comme deux enfants sages, mais c’était sans compté de un, à mon non-sens de l’orientation qui nous avait mené je ne sais trop où et de deux, à l’heure qui ne cessait d’avancer trop vite afin de nous mettre à la bourre. Marchant au bord de la route, je n’avais aucune idée à combien de temps nous nous trouvions d’Harvard, mais nous avions l’air soit, option un : de clochard totalement défoncés, soit option deux : de zombies totalement défoncés.
« J’ai mal aux pieds » Me plaignais-je avant de m’arrêter et de me tourner vers Kena d’un air illuminé. « Tient, fait ta pause la plus sexy et essaye d’arrêter une voiture » Quelle idée de génie de faire de l’auto-stop. Ne jamais sous-estimer mon intelligence. Fallait-il encore que quelqu’un daigne s’arrêter en vue de notre tête pour nous amener à l’école. Ouais, on aurait de parfaits enfants totalement perdus, mais les hommes sont tellement mauvais de nos jours. Personnellement, je me serais arrêtés (a)
« J’ai mal aux pieds » Me plaignais-je avant de m’arrêter et de me tourner vers Kena d’un air illuminé. « Tient, fait ta pause la plus sexy et essaye d’arrêter une voiture » Quelle idée de génie de faire de l’auto-stop. Ne jamais sous-estimer mon intelligence. Fallait-il encore que quelqu’un daigne s’arrêter en vue de notre tête pour nous amener à l’école. Ouais, on aurait de parfaits enfants totalement perdus, mais les hommes sont tellement mauvais de nos jours. Personnellement, je me serais arrêtés (a)
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