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esclave par choix (ft. Orlane & Dexter)

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fiche par ©century sex  

Je cru la perdre, un moment trop douloureusement long, cru ne jamais plus pouvoir revenir sur mes mots. Plus elle souriait, plus elle me triturait le corps de désir. Il n’y avait plus grande impatience que celle-ci, si vicérale qu’elle en devenait absolument insurmontable et gaspillait toute notre énergie à essayer de la supprimer. La meilleure façon de se débarasser d’une tentation c’est d’y céder. Rien n’était plus réel. « Vraiment? Je pourrai dire pareil de toi. » Arf, le voilà encore ce fameux sourire aux mille un une étoiles. Si elle me trouvait irrésistible maintenant, qu’elle attende de voir quand j’aurais véritablement essayé. Je me glissai entre ses bras, reprenant la place qui m’était dû depuis peu. Je lui embrassai le cou et l’oreille, essayant de lui arracher les mots que j’attendais désespéremment. « Après ce que tu viens de faire... Ça me brûle partout. » Exactement ce que j’attendais. Je soupirai mon bonheur sur la peau libérée de son cou, m’amusant encore un peu à la torturer. «Et si on allait visiter notre chambre avant que nos deux colocataires envahissent l’espace, hum?» Je posai mes lèvres sur les siennes avant qu’elle ne puisse répondre, au fond je ne lui laissais pas véritablement de choix. Je l’embrassai juste une seconde, le temps qu’elle cesse de se mordre, tic insupportablement sexy. En la tirant par la main, je l’emportai à ma suite, notre chambre n’était pas bien creuse dans la maison, pas du tout isolé, il faudrait penser à tout, aux bruits et puis au respect des autres. En entrant dans la pièce ne refermai aussitôt la porte, la plaquant contre la surface plane du bois. Je l’aurais mangé toute crue de me faire subir autant de violence intérieure. Alors que je l’embrassais de nouveau, plus passionnément et plus possesivement, mes doigts cherchèrent à l’aveuglette l’interrupteur pour fermer les lumières. «On fait un marché, tu enlèves un morceau et j’enlève un des miens en échange?» J’avais murmurer ces mots entre deux baisers, ne pouvant plus la quitter. Dans cette noirceur qui nous rendait tous les deux aveugle, elle ne pourrait rien constater des dommages. «Ça soulagerait ta brûlure ça?» Parfois voir avec ses sens rendait le tout d’autant plus romantique. Oh mon coeur… regarde moi.
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J'avais beau chercher la colère, je trouvais plutôt le pardon en premier. Quoi qu'il m'avoue, je retournais littéralement vers lui, incapable de tourner le dos à l'amour. Telle était ma destinée à présent. J'étais devenue misérable,les émotions contrôlées par un sentiment intense. Je voulais laisser une chance à notre parfaite harmonie, il en valait la peine. J'étais littéralement conquise par sa faon d'être et d'agir. Ses paroles avaient le don de m'attendrir et de me faire aller dans son sens. Je faisais taire au mieux cette envie immense qui envahissait tout mon corps à la suite de ses révélations. Comme si verbaliser ne suffisait pas, il se plaisait à jouer la carte de la torture en exploitant des endroits qui ne m'étaient pas insensibles. De ces gestes, il ne faisait que nourrir mon envie et bientôt je serai hors de contrôler mes pulsions. S'il aimait jouer avec le feu, il allait le regretter. Tout mon corps s'enflammait délibérément, mes dents faisant pression sur mes lèvres de manière aléatoirement. Oh Dexter, à quoi tu joues? « Et si on allait visiter notre chambre avant que nos deux colocataires envahissent l’espace, hum? » J'ignorais quelle idée claire lui passait par la tête en ce moment-même, mais j'approuvais. Il ne me laissait même pas l'opportunité de répondre en écrasant ses lèvres contre les miennes. Je n'avais pas le choix de toute manière et me l'avait clairement fait comprendre en me tirant par la main pour se rendre jusqu'à notre chambre. Je le suivais sans broncher, intriguée par ce qu'il me réservait. D'un claquement, la porte se refermait derrière nous alors que nos lèvres se scellèrent à nouveau. Je ne m'en lasserai dont jamais, et je ne pouvais que lui répondre en me joignant à lui. Nous nous retrouvions dans le noir le plus total. Je ne le lâchais plus par peur de le perdre dans cette obscurité. « On fait un marché, tu enlèves un morceau et j’enlève un des miens en échange? » Un sourire se dessinait malicieusement sur mes lèvres, même si j'étais désormais la seule à le savoir. Cette idée était bonne, mais moins pour m'aider à contrôler mes pulsions. « Ça soulagerait ta brûlure ça? » Je ne répondais pas tout de suite, faisant mine de réfléchir, bien que ma réponse était toute énoncée. « Marché conclu, mais je pense surtout que ça ne fera qu'empirer mon état actuel. » S'il s'attendait à ce que je reste de marbre, même dans le noir, il se trompait complètement. Si mes yeux ne pouvaient pas apprécier, mes mains et ma bouche ne se priveront pas. « Tu n'as pas peur que je te saute dessus? » A tes risques périls, chéri.
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Je la sentais hésitante du bout de ma langue, réfléchissant l’échappatoire peut-être, ou simplement la meilleure réponse. je ne voulais pas m’imposer sur elle, ni la forcer à faire quoi que se soit, je tendais l’oreille pour être bien à l’écoute de ses désirs, je n’étais qu’à son service après tout. « Marché conclu, mais je pense surtout que ça ne fera qu'empirer mon état actuel. » Hum, intéressante réponse. Cela m’indiquait-il de continuer ou de m’arrêter? Mon esprit se tordait dans tous les sens pour y trouver ma vérité. Je ne la sentis pas bouger donc le marché n’était pas réellement conclut, non? « Tu n'as pas peur que je te saute dessus? » J’étais loin d’avoir peur de ça, mais pour ce soir je tenais quand même à rester relativement sage. Nous aurions mille nouvelles occasions de faire l’amour comme nous le désirions. «Je ne sais pas, ne crois-tu pas savoir te retenir?» J’étais réellement confus dans ses réponses, incapable de voir son visage pour analyser ce qu’elle ressentait, un sens en moins et j’étais perdu dans le l’univers des hypothèses. Mon amour... dis moi ce que tu veux de moi. J’eus un léger pas de recule, me tenais tout de même près d’elle pour l’entendre respirer à mon oreille. Ma langue glissa frénétiquement sur mes lèvres y puisant sa savoir embaumante que j’adorais tant! «De quoi as-tu besoin, là, tout de suite?» Je ne pouvais être plus clair dans ma demande, j’en avais assez de tourner autour du pot, aussi bien le savoir tout de suite et je serai fixé sur mon objectif.
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J'ignorais d'où cette idée lui était venue à l'esprit, mais je ne pouvais qu'y participer. Je détestais cette obscurité totale. Mes yeux cherchaient désespérément les siens, mais il était impossible d'y parvenir. Je m'accrochais du mieux que je pouvais au bruit de son souffle et au son de sa voix, pour être certaine de ne pas m'éloigner de lui involontairement. Si j'avais accepté de jouer à son jeu, je devais le mettre en garde de me tenter si facilement. « Je ne sais pas, ne crois-tu pas savoir te retenir? » Je ne pouvais lui donner une réponse claire. Je n'en avais aucune idée moi-même, mais s'il le fallait je saurai rester en place. « Hum, je ne sais pas, j'essaierai. » Je ne pouvais pas lui répondre positivement alors que je n'étais même pas sur moi-même si j'allais pouvoir lui résister. Si je ne pouvais pas le voir à moitié dénudé, je pouvais laisser recours à mon imagination et fantasmer discrètement en l'imaginant tel quel. Torture. « De quoi as-tu besoin, là, tout de suite? » La question fatidique. Oh s'il savait ce que j'avais besoin en ce moment-même... Mon esprit se retournait dans tous les sens. « Ce dont j'ai besoin? Tu veux vraiment savoir? » Je lui posais cette question, mais ne le lui laissait pas pour autant le temps de répondre. Ca me brûlait bien trop pour renfermer secrètement mon incendie intérieur. Si je ne pouvais pas agir, je pouvais au moins verbaliser puisqu'il m'en laissait l'occasion. « J'ai besoin que l'on apaise mes brûlures. En ce moment-même, je n'ai que des idées salaces et il m'est impossible de les effacer. J'ai envie de te manger, à pleine dent, avec gourmandise et appétit... » J'aurai pu m'éterniser sur mes besoins actuels, mais je me serai passée pour une nymphomane. Ces quelques paroles l'éclairciront surement sur mes attentes. Avec un peu de chance, il ne sera pas effrayé. « Mais je n'en ferai rien. Je me forcerai à rester sage et m'obligerai à éteindre ce feu qui envahi tout mon corps. » Enfin j'essaierai. Mais s'il voulait attendre, je respectais complètement ses choix. Je ne pouvais rien lui promettre pour autant. Arg, il avait tellement d'emprise sur moi que même tout mon corps en perdait le contrôle. J'avais enfin terminé de répondre à sa question, et en profitait pour prendre l'initiative d'enlever mon haut que jetais je-ne-sais-où. C'était bien ça son idée, non? « Quoi qu'il en soit, j'ai enlevé une moitié de mes vêtements. » Puisqu'il ne pouvait pas le voir, j'étais dans l'obligation de le prévenir. C'était à son tour à présent, enfin, s'il voulait toujours jouer.
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Elle me promit d’essayer de contenir ses gestes, ses envies, de se retenir d’insister trop, d’être spontanné. J’avouais ne plus savoir ce que je voulais, chacune de ses phrases pouvaient être interprété de manière à m’aventager ou non. Évidemment, dans mon esprit tordu de misère, il me fallait toujours comprendre le pire en premier. Pour être plus sûr d’agir dans les périmètres permis, je lui demandai de verbaliser ses envies. « Ce dont j'ai besoin? Tu veux vraiment savoir? » Directement, mon coeur se noua d’impatience. J’hochai la tête légèrement, même si elle ne pourrait évidemment pas me voir. Sa voix était d’autant plus charmante quand un sens me manquait, les autres semblaient prendre la relève et compenser pour les lacunes. « J'ai besoin que l'on apaise mes brûlures. En ce moment-même, je n'ai que des idées salaces et il m'est impossible de les effacer. J'ai envie de te manger, à pleine dent, avec gourmandise et appétit... » Arf, ce que j’aimerais qu’elle me fasse l’amour de ses mots qui lui heurtent maintenant l’esprit, il n’y aurait jamais eu moment plus chérit que celui-là, dans toute ma vie. La poésie de ses désirs que l’on avait forcés à être vulgariser en mots, j’aimerais le vivre et ne pas y survivre. «Oh crois moi, dans mon esprit c’est encore pire.» À en être brûler vif, je n’étais plus que censure. Je luttais contre mes instincts primaux à vouloir lui faire du bien… mais je savais que me voir ainsi, que me détailler du regard ne ferait que lui déplaire, voire même de la dégoûter. « Mais je n'en ferai rien. Je me forcerai à rester sage et m'obligerai à éteindre ce feu qui envahi tout mon corps. » J’avais soudainement envie de lui dire de ne lutter devant rien, de se laisser aller… arg j’en mourrais d’envie, le monde était trop injuste avec moi. D’un autre côté, c’était aussi étrangement excitant de se complaire dans l’interdit, de poser des limites infranchissables et de se meurtrir dans la course… la douleur de l’impatience était aisément survécut quand c’était pour une bonne cause. « Quoi qu'il en soit, j'ai enlevé une moitié de mes vêtements. » Hum. Je m’en mordis la lèvre de jouissance. Comme je ne pouvais voir, il me fallait toucher, d’une main timide je tentai de l’attraper… collant mes doigts à son épaule, puis descendant sur les courbes de sa poitrine parfaitement dimensionné… oh seigneur, comme j’aimerais que le tissus de son soutien-gorge ne fasse pas obstacle à ma découverte. Sans vouloir être impolis je retins mes pensées les plus vulgaires et me contentai de dire; «Tellement belle.» Je déposai la paume de ma main sur elle, trouvant son ventre et puis son nombrils que je m’amusai à pénétrer de mon index, juste pour voir… Comme ce fut mon tours de participer, je retirai rapidement mon débardeur, le lançant à mes pieds là où je pourrai le reprendre tout à l’heure avant de rallumer les lumières. «Mon torse est à toi.» Soulais-je en faisant un pas vers elle, écrasant ses seins contre moi pour reprendre mes repères… sa bouche fus prise en otage de mes désirs, je ne pouvais rien retenir, ce moment était trop charmant et intense. J’étais sincèrement comblé qu’elle y participe avec moi. Entre deux baisers je dû être gourmand et dire; «Enlèves-en un autre s’il te plaît.» Mon estomac se tordit à l’idée…
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Ce qu'il me faisait subir était complètement illégal. J'étais condamnée à contenir ma faim en résistant à la pire des tentations. Si ça ne tenait qu'à moi, je lui aurai déjà sauté dessus en lui faisant tout ce qui me passait par la tête en ce moment-même. Mon esprit était complètement tordu, ne m'épargnant pas des idées les plus salaces possibles. Tout ça était de sa faute. Il m'avait librement provoqué et voilà les conséquences que ces provocations avaient sur moi. Je le mordrais bien pour le punir. Tout s'entrechoquait, mon coeur s'emballait et mon corps s'enflammait vivement. Je lui confiais mes pensées, mes envies et mes besoins abrégés sous sa demande. Je lui avais répondu sans relâche, ne mesurant pas l'impact de mes paroles et de cette vulgarité poétique. « Oh crois moi, dans mon esprit c’est encore pire. » Je me mordais sauvagement la lèvre inférieure pour retenir mon envie de l’agripper comme un animal. Pourquoi avait-il répondu ça? Il était loin de m'aider à contrôler mes pulsions. Merci pour ton soutien chéri. Il n'y avait pas plus mauvaise torture que celle qu'il me soumettait actuellement. J'avais envie de me l'approprier d'une manière dont il se souviendrait, d'apaiser mes brûlures par son biais jusqu'à en perdre le souffle. Je m'imaginais toutes les scènes possibles, faisant de mon esprit un endroit complètement censuré. Oh s'il savait à quoi je pensais en ce moment-même... J'étais au bord de l'explosion. Je faisais un effort sur humain de me retenir. Je n'osais même pas bouger, je restais immobile jusqu'à décider d'enlever mon haut comme il en était convenu dans notre marché. Sa main venait se déposer sur mon épaule, sentant ses doigts se tracer un chemin jusqu'à ma poitrine qu'il découvrait au toucher. Un long frisson me parcouru tout le corps, ne manquant pas l'occasion de m'hérisser les poils sur son passage. « Tellement belle. » Je me pinçais les lèvres que je mordais sans restriction. Cette manie que je prenais sous l'effet du désir et de la tentation. Sa main reprenait le cours de sa trajectoire, se focalisant sur mon nombril, cet endroit sensible qu'il me chatouilla du bout de son index. Comme c'était difficile de rester en place dans un moment pareil... « Mon torse est à toi. » C'était à mon tour de laisser ma main se balader sur ton torse puisqu'il me le livrait si gentiment. Mes yeux avaient déjà eu la chance d'avoir un apperçu, mais mains restaient encore affamées de pouvoir y toucher. D'un pas, ma poitrine se retrouvait écrasée contre son torse, le temps de sentir ses lèvre se sceller aux miennes que je savourais dignement. « Enlèves-en un autre s’il te plaît » Je n'avais même pas eu le temps de profiter à mon tour de son torse dénudé qu'il me faisait une nouvelle réquisition. « Hum, tu te fais gourmand, ce n'était pas dans le marché. » lui répondais-je pour le titiller un instant, laissant mon ventre s'imprégner de la chaleur du sien. « Mais, ça peut être négociable. » Ce n'est pas comme si j'allais m'opposer à cette idée. Sentir sa main parcourir les moindres parcelles de mon corps me plaisait particulièrement. Oh, il éveillait tous les désirs les plus imaginables en moi. « J'enlève une autre partie à condition que tu fasses pareil. » J'aimais quand les choses étaient équitables. S'il avait le droit de toucher, moi aussi. C'était donnant-donnant après tout! « D'accord? » insistais-je pour être certaine qu'il suive cette règle primordiale. Je ne doutais cependant pas de sa réponse, et sans même l'attendre, je me décollais de lui pour ôter mon slim. J'aurai très bien pu enlever une autre partie, mais je voulais le faire languir. Il ne méritait que ça, un peu de torture à son tour.
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