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PHOENIX R. JENKINS ► Luke Worrall.

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Phoenix Reese Jenkins
fiche; terminée

C'est le 22 Avril 1987 à New-York, que la famille Jenkins m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Phoenix Reese. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis homosexuel refoulé et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en médecine, je suis maintenant en septième année d'étude. Et pour terminer, je fais partie des Eliot House.

Études
Je n'ai pas choisi d'étudier la médecine par envie ou car c'est mon rêve depuis gosse comme certains, non il s'agit d'une obligation de mon paternel. Il m'a d'ailleurs fait suivre un régime plutôt autoritaire et strict depuis ma naissance, afin de concrétiser un rêve qui était au départ le sien. Désirant depuis toujours être chirurgien, il a finalement fondé ses espoirs sur son propre fils, car il s'est vu avoir son rêve brisé. J'ai donc du partir en médecine contre mon gré, puisque je suis plutôt passionné pour la musique et la peinture, chose intolérable pour mon père. Je vis donc assez mal de devoir travailler quelque chose qui me déplaît complétement, mais je bosse tout de même, afin de faire plaisir à mon père. Heureusement pour moi, mes parents me payent tout ce qui se rapporte au scolaire, je n'ai donc aucunement le besoin de travailler en dehors pour payer mes études. Je passe déjà assez de temps à ça et j'ai peu de temps de libre, mais je fais avec. A l'intérieur de l'université, je passe mon temps à la bibliothèque et au club de dessin.


Caractère
Je suis un homme des plus angoissés et assez timides quand il faut parler en public, perdant alors toute confiance en moi. Je suis atteint d'un trouble de la personnalité paranoïaque, voyant souvent le mal partout, ayant peur de toute et n'importe quoi. Elle me pousse parfois à tomber dans une folie que je ne remarque pas, trouvant souvent des éléments ou événements louches, bizarres... alors qu'il ne se passe rien d'anormal. J'ai du mal à accorder ma confiance, mais quand la personne l'a, alors je ne serais jamais jaloux, possessif ou même inquiet de ce qu'elle pourrait me faire, seulement je peux m'avérer être très rancunier si elle me trahit, vexe ou blesse, et il sera dur de redevenir mon ami. Je reste méfiant face aux gens, ne désirant pas me faire avoir, je ne me confie d'ailleurs presque jamais, de peur que ça retombe ensuite sur moi. On peut dire de moi que je suis introverti, car en effet, je ne laisse que peu paraître mes sentiments, ni dans mes dires, ni sur mes expressions de visage, je tente d'être le plus neutre possible. Je ne suis d'ailleurs pas tactile ni câlin, et je n'aime pas réellement donner de l'affection aux gens. Parfois, j'ai besoin de rester seul sans aucune raison précise, étant un peu solitaire. Je ne suis donc pas vraiment un fêtard, même s'il m'arrive de sortir pour me rendre en discothèque ou des soirées, sans y boire trop, par contre, je fume comme un pompier. Mon cerveau cogite souvent, me créant parfois même un monde à l'intérieur, un peu rêveur. Je suis quelqu'un qui reste un peu enfantin et qui a besoin d'affection, bien que je n'en donne pas, j'aime bien être ce petit garçon dont on aime s'occuper. Je suis claustrophobe et ochlophobe ; j'ai peur de la foule car j'ai cette impression que tous ces gens vont se liguer contre moi, peur d'être trop enfermé car ça me donne l'impression ne plus jamais pouvoir en sortir de la pièce ou de l'ascenseur. J'ai beau être assez spécial, je suis quand même très passionné pour la musique, mais aussi déterminé chaque fois que je souhaite quelque chose plus que tout. Je peux me montrer attentionné envers mon entourage, ce qui reste rare. Je suis toujours motivé pour faire une activité, et hors de question d'être un fainéant de première. Je suis aussi anorexique depuis mon adolescence, n'arrivant toujours pas à me dépêtrer de cette maladie. Aussi, je n'ai jamais eu de relations amoureuses ou sexuelles, et je suis ce que l'on appelle un "puceau".


Everyone Has Their Own Story

Je me suis longtemps demandé si j'avais été un jour heureux. C'est vrai qu'il m'a fallut beaucoup de temps pour m'habituer au contexte social de ma famille, trop riche et méprisante à mon goût, mais mes parents ont réussi lorsque j'étais encore qu'un môme, à transformer cette idée que les Jenkins n'étaient que des bourgeois sans cœur, en une positive. Pour cela, ils ont utilisé la bonne manière : tous les jouets que je réclamais, ils me les achetaient, non sans mal, étant donné que leur métier leur permettait bel et bien de faire plaisir à leur unique fils. Ils avaient beau être très absents, autoritaires et parfois même assez méchants à mon égard, ils connaissaient le bon moyen pour rendre leur fruit de leur amour, heureux. Ma mère était une brillante avocate tandis que mon père excellait en tant que directeur dans une agence publicitaire. Brisé par son rêve de devenir chirurgien, il avait toujours mis tout espoir sur moi, peu importe mes rêves, peu importe ce que je désirais devenir. Il faisait vivre son propre rêve à travers son fils, tellement que je n'avais rapidement plus l'impression de l'être. Il m'assura dès mon plus jeune âge, que je serais un jour, un grand chirurgien comme il avait toujours souhaité l'être. Mon géniteur était avant tout un égoïste de pur souche, celui qui se souciait à peine du reste du monde et qui gagnait énormément d'argent en idéalisant le monde et les êtres humains à travers des publicités mensongères. Un connard de première, un connard fini, un connard que j'ai toujours fait semblant d'aimer, bien qu'une haine se tissait à l'intérieur de moi au fur et à mesure que les jours passaient. Quant à ma mère, elle était adorable et je fus surpris bien des fois, de remarquer qu'elle supportait le comportement de mon père, celui qui le poussait à être trop strict envers moi, à être méchant et mythomane sur les bords avec qui que ce soit. Elle l'aimait terriblement, mais était pourtant tout son contraire. Honnête et franche, prête à tout donner même pour un inconnu, et plutôt cool à tout ce qui se rapportait au scolaire. Seulement, dans la maison, c'était toujours mon père qui avait le dernier mot, celui qui régnait et qu'il fallait suivre, ma mère n'était qu'une soumise et partageait tant bien que mal son avis à chaque fois. Le manque de soutient de ma génitrice m'a fait du mal, le manque d'affection de mon père également : il préférait me donner quelques gifles que m'offrir une seule étreinte. En effet, j'étais selon lui trop turbulent, trop rêveur, trop artiste à son goût... lui qui voulait absolument que je sois recueilli dans la médecine. Je n'avais le droit à aucune sortie après les cours, mise à part celle pour mes activités extrascolaires, comme la peinture, le violon et le piano, instruments pour riches d'après mon père, qui se réjouissait de clamer haut et fort que son fils était un grandiose musicien. Et quand je l'entendais dire, ça me permettait d'être encore plus passionné par la musique, de vouloir en faire jusqu'à la fin de ma vie. J'ai même commandé une guitare pour ce noël-ci et j'ai commencé à jouer par moi-même. J'ai compris que le chant, le piano et la guitare étaient les principales choses qui me donnaient le sourire et l'envie de revenir chez moi rapidement. J'ai alors dit à mon père que mon rêve n'était pas d'être chirurgien, mais musicien. En guise de réponse, il s'est horriblement fâché, m'a privé de repas, m'a giflé, et m'a demandé d'aller me calmer dans ma chambre. J'étais alors considéré comme une simple victime qui n'avait d'autres choix que d'accepter ses souhaits et de les réaliser, alors j'ai continué à travailler en classe, gardant au plus profond de mon être, l'espoir qu'un jour, il comprendrait que je ne suis définitivement pas fait pour la médecine. Ce n'est pas faute d'avoir essayé, je dus lui dire beaucoup de fois, néanmoins il était toujours en colère ensuite, collant par ailleurs sa main fortement contre ma joue.

Les années passèrent et je rentrais finalement dans le cycle de l'adolescence en changeant seulement de ville, pour déménager à New-York. Mon père était toujours aussi strict et le sera encore longtemps. Puis, alors que je ne m'y attendais absolument pas, je vis débarquer ce petit gosse beaucoup plus jeune que moi du nom de Doryan. Ma mère avait insisté auprès de mon père pour adopter quelqu'un en difficulté, quelqu'un ayant grand besoin d'avoir des parents. Mon père ne pouvait lui refuser, après tout ce qu'elle avait pu faire ou sacrifier pour ses beaux yeux. Du coup, ils adoptèrent ce petit garçon dont on me fit vent rapidement de son histoire. Orphelin et brisé, c'était normal qu'il ne m'avait pas laissé indifférent dès le début et que j'avais fait tout mon possible pour qu'il se sente bien chez nous, comme dans sa vie. Je tentais de lui montrer le bon exemple, le bon chemin à suivre, même si petit à petit, je remarquais très bien que ses fréquentations n'étaient certainement pas les bonnes. Cela m'a fait mal aux trippes de voir que mon 'frère' que je considérais clairement comme mon meilleur ami, prenait de la drogue et de l'alcool à volonté, s'en fichant royalement de moi, qui était obligatoirement coincé dans ma chambre avec mes devoirs. Oui, l'injustice était présente à l'intérieur de ma maison. Doryan n'avait pas le droit au même traitement que le mien, il avait la possibilité de sortir lorsqu'il le souhaitait, avec permission. Il n'était pas obligé d'avoir un très bon bulletin, ne recevait jamais de gifles. D'un côté, j'ai toujours été un peu jaloux de lui, un peu admiratif, un peu... rêveur. Je voulais être à sa place, lui ressembler et être apprécié par mon père comme lui l'était. Ils riaient ou discutaient, pendant que je faisais mes devoirs sur la table du salon, et ça me tuait. Tellement que j'en suis devenu anorexique, afin d'attirer l'attention de mon père. Je suis devenu maigre, j'ai du aller en hôpital pour augmenter un peu plus mon poids. Seulement, mon père m'a juste engueulé, m'a dit que je gâchais mes études en restant dans cet endroit blanchâtre plutôt qu'au lycée. Il ne comprenait pas et je lui étais toujours autant indifférent. J'avais l'impression que le garçon adopté était son fils et que j'étais l'adopté. Je n'en ai jamais voulu à Doryan, je l'aimais d'ailleurs beaucoup, bien qu'il prenait ma place et qu'il avait plus de chance que moi du côté famille. Pourtant, il me faisait rire, me donnait le sourire à longueur de journée et je lui étais reconnaissant. Il m'a d'ailleurs poussé à devenir peintre, me trouvant plutôt talentueux, me défendant même près de mon père chaque fois que je tentais de lui en parler. Il m'engueulait mais n'en voulait jamais à l'adopté. J'en avais assez, pourtant je ne me rebellais pas, ou tout du moins, je tentais par le biais de mon anorexie qui inquiétait de plus en plus ma mère, qui essayait tant bien que mal de faire réaliser à géniteur qu'il fallait que ça cesse. Il persista, préférant toujours autant de voir son rêve s'accomplir plutôt que de voir son petit bout de chou heureux. Mon anorexie s'est finalement transformée en vraie maladie, puisqu'au moment où j'ai voulu arrêté tout ça en remarquant que mon père n'était toujours pas inquiet, je n'ai pas pu. J'avais pris l'habitude de manger peu et de finir par le vomir, de tomber dans les paumes très souvent, de ne peser plus que quarante kilos et de me rendre finalement à l'hôpital avec un visage livide et des os apparents. Aussi, mon frère adopté a toujours été là pour me remonter le moral, en m'apportant tout ce dont j'avais besoin, parce qu'il me connaissait très bien maintenant. Nous avions grandi ensemble en quelque sorte, et il savait que j'avais besoin de ma guitare et de ma palette de couleur. Sauf que mon père s'y mêlait toujours, foutant mes dessins à la poubelle. Je voyais bien que ça emmerdait Doryan, tout comme ça m'embêtait moi-même, mais il savait tout comme moi qu'il était désormais impossible de se mettre contre mon père ; j'allais finir en maudit chirurgien.

Je ne vous raconte pas la joie étalée sur le visage de mon père quand la lettre d'admission est arrivée. J'avais à peine dix-sept ans et j'étais admis à Harvard University pour étudier la médecine. Pour la première fois depuis ma naissance, je sentis mon père m'aimer, il avait ce sourire au bout des lèvres qui faisait rayonner son visage. Il était fier de moi et j'en étais heureux, je ne demandais que ça. Quant à moi, je n'aimais toujours pas l'idée de devenir quelque chose qui ne me plaisait aucunement, mais si ce n'était pour la fierté et bonheur de mon père, alors ça n'avait pas de prix. Mon père n'a pas attendu plus d'une minute pour tous nous faire déménager à Cambridge, afin que je sois proche de l'université. Travail, travail, travail et encore travail. Je regardais toujours mon ami ramener des filles à la maison, leur faisant l'amour dans la pièce juste à côté de la mienne et j'étais assez... admiratif. Dans le sens que quant à moi, je n'ai jamais eu de petite amie mais je ne m'en plains pas, je n'ai pas l'impression d'avoir besoin de ça, peut-être aussi car je sais clairement que les filles ne m'en donnent pas envie. Je n'aime aucunement leurs courbes et leurs manies, leurs vêtements soit disant sexys et leur besoin de se foutre du maquillage sur le visage afin de cacher toutes imperfections. Les filles sont toutes superficielles et je n'aime pas ça. Non, moi ce qui me plaît, ce sont bien les hommes, ce que je cache bien entendu à tout le monde ; personne n'est au courant de mon orientation. De toute façon, je n'ai jamais eu de relations, tant amoureuses que sexuelles. J'ignore si quelqu'un m'a déjà aimé mais je m'en contre-fiche, je ne me sens pas encore prêt à être en couple, un peu trop angoissé par mon manque d'expériences. J'ai vingt quatre et je ne connais rien en la matière d'amour, mais ce n'est pas plus mal. Peut-être qu'un jour... Néanmoins, je prends conscience que je suis véritablement amoureux de mon "frère", celui qui a été là dès mon adolescence, mais je ne compte pas l'informer, et je suis déjà prêt à oublier tout ça. Je suis donc assez jaloux de ses nombreuses conquêtes, alors peut-être qu'un jour, il remarquera mes sentiments, chose qui m'insupporte ! De plus, je suis maintenant à Harvard depuis sept ans, tout se passe très bien, je ne vais pas foutre en l'air mes études à cause de cet amour qui me rendrait presque dingue. Seulement, le fait qu'il soit aussi dans cette école reste assez perturbant et embêtant... Je continue à le surveiller du coin de l’œil, bien trop inquiet pour sa santé, tout en restant occupé par mon objectif et celui en même temps de mon père : devenir un grand chirurgien.

the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Je suis... Meuh. Ou Emeline.
↬ ÂGE - 16 Jahre Alt.
↬ PAYS/RÉGIONS - J'habite en France, près de Lille.
↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Grâce à la publicité de mon frère.
↬ TES IMPRESSIONS - Je crois que je n'ai jamais vu un design plus sublime que celui-là, d'autant plus que le turquoise est ma couleur préférée. Non, sérieusement, le contexte est parfait dans sa simplicité et c'est un forum qui va aller loin, ça se sent déjà.
↬ CRÉDIT(S) - Avatar : Mrs.Crazy ; signature : Kazumi, icons : photobucket.
↬ AVATAR - Luke Worall finalement. ♥
↬ LE MOT DE LA FIN - J'aime bien les océans. (surtout l'administrateur ->)

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Bienvenue & bon courage pour ta fiche (:
N'hésite pas à demander si tu as des questions PHOENIX R. JENKINS ► Luke Worrall.  3850463188
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Merci vous deux. :<3:

La seule question pour le moment c'est : DANNY JONES OU JOSH BEECH ? hanwii héhé.
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PAS JOSH, PAS JOSH, PAS JOSH !
PREND DANNY. JOSH EN HOMOSEXUEL ÇÀ DEVRAIS ETRE INTERDIT ;_; :fleche:
eeeet quoi qu'il en soit, j'veux un lien hanwii tu sais, le meilleur ami gay ... c'toujours utile ! -jesorspardon-
Bienvenuuuue hanwii
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Oh Katie. hanwii Je t'avoue que mettre Josh en homosexuel c'est un crime. 8D
Et je serais ravi d'être ton meilleur ami homosexuel, tu sais. :P
-enfin je vais peut-être le mettre en bisexuel, je n'en sais rien.. -
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moi je vote joooooosh ! ->[] bref bienvenue et bonne chance pour ton choix de vava :P
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HELLLLLLYEAHHHHHHHH , FRÈÈÈÈÈÈÈREEEEEEEE ! hanwii PHOENIX R. JENKINS ► Luke Worrall.  1001568715
héhéhéé bienvenue ici . PHOENIX R. JENKINS ► Luke Worrall.  3850463188

j'dirais Danny. (a)
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Phoenix R. Jenkins a écrit:Oh Katie. hanwii Je t'avoue que mettre Josh en homosexuel c'est un crime. 8D
Et je serais ravi d'être ton meilleur ami homosexuel, tu sais. :P
-enfin je vais peut-être le mettre en bisexuel, je n'en sais rien.. -

J'veux que mon meilleur ami soit Danny (a)
met le hésitant, je t'aiderais à te décider :sex1: c'est le boulot de toute bonne meilleure amie (a) :fleche:
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bienvenue parmis nous et bonne continuation pour ta fiche PHOENIX R. JENKINS ► Luke Worrall.  1001568715
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