Décoration d'un hôpital ► Cabots + Lowells uniquement

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Évidemment, il est rare que des gens disent qu'ils adorent ça, mais certains y travaillent, certains font des dons pour eux, d'autres les conçoivent. La vision qu'il en avait avant n'était pas si mauvaise d'ailleurs : pendant une période c'était là-bas qu'il voyait son père ! Mais la mort d'une personne, surtout quand celle-ci n'est rien moins que sa petite soeur, change radicalement l'avis qu'une personne peut avoir sur un lieu.
Mais bon, qu'allait-il faire ? Bouder pendant que les autres Lowel y allaient ? Sûrement pas !

Notre peintre se souvient des bâtiments dans lesquels sa soeur a laissé la vie, c'était un endroit d'un blanc et d'un vert déprimant. Rien de mieux pour mettre les patients en confiance, si ce n'est le couloir de la mort d'une prison d'état ! La décoration morbide des lieux n'avait certainement pas aidé a embellir les dernières images qu'il avait de sa soeur. Et tout insensible qu'il veuille paraître parfois, James a des sentiments et il n'a aucune envie que qui que ce soi meurt dans un endroit si fade... il ne pouvait pas vraiment aider pour les odeurs de médicaments, mais les couleurs c'était son domaine.

Le jeune homme débarque donc, habillé d'un treillis dont l'usage ne fait aucun doute tant il est recouvert de centaine de tâches colorées et un tee-shirt blanc sans manche encore vierge de tout mouchetage arc en ciel... mais pas pour longtemps - il a aussi amené une paire d'écouteur et assez de musique sur son téléphone pour tenir, mais ils ressent pour l'instant dans l'une de ses poches. Il s'est décidé pour la salle d'attente - il a longtemps hésite entre les deux lieux à redécorer, mais cet endroit était particulièrement marquant pour lui : c'était là qu'il avait patienté de nombreuse fois, avec ses parents, pour entendre les dernières nouvelles de sa soeur - les médecins évitant souvent de donner leur diagnostiques en face de patients si jeunes.

La pièce est aussi glauque que prévu, des murs blancs cassé, unis, accordés au carrelage crème et aux plinthes d'un blanc titane. Quelle joie fantastique émane de ce lieu dites-moi !
Avec un rictus amusé, il pose au sol les lourds pots de peinture métallique.

Bref, premier arrivé, James commence donc a empiler les chaises de la salle avant de tendre la bâche plastique sur le sol, réfléchissant aux éventuelles couleurs et motifs que l'on pourrait peindre sur ces murs.
Enfin, de toute façon il fallait attendre les autres pour se concerter !

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Je n'appréciais guère la monotonie des hôpitaux et n'y mettais les pieds que dans de rares occasions, en somme les cas urgents. Aujourd'hui, je m'y rendais pour une raison bien précise, non pour aller rendre visite ou me faire soigner mais pour redécorer. Redécorer cet endroit dépourvu de toute vie. Les présidents de la Lowell et Cabot House avaient eu une idée fabuleuse. Rien de mieux que de remettre un peu de baume dans le cœur des personnes pénétrant à l'hôpital.

Je pénétrais dans la salle d'attente où était disposée une bâche et où se trouvait une personne. Un homme dont je ne connaissais pas l'identité mais dont je savais membre de ma confrérie. - Cabot en même temps, ça paraîtrait bizarre avouons-le. - Je m'avançais donc vers lui dans le but de le saluer.   Salut, moi c'est Alena. C'était étrange, on était membre de la même maison et on ne connaissait même pas.

Et ainsi s'en va la solitude.

Et tant mieux à vrai dire, ce serait presque devenu ennuyant ici à tourner en rond.
James se redresse donc d'un mouvement souple pour saluer la nouvelle venue dénommée Alena, poussant du pied la dernière cale de la bâche. Il époussette mes mains sur mon treillis, le sol est impeccable - c'est un hôpital tout de même - mais la bâche avait du traîner dans une remise de l'université pendant pas mal de temps.

« Bonjour, moi c'est James, je suis nouveau à la Lowel... »

Difficile de dire d'où sa vis a vis vient quand à elle, il ne l'a encore jamais croisé et, contrairement à lui qui ne peut être qu'un violet - garçon oblige - la jeune femme à la possibilité, par définition, être autant l'une ou l'autre.
En même temps, qu'importe.

« Mon truc c'est la peinture... enfin, le truc qui sera utile ici. »

Après tout, il y a peu de chance qu'on sculpte quoi que ce soit.

« Tu as des idées particulières pour la déco ? Plutôt abstraite ou représentative à ton avis ? »

Tout en disent cela le jeune peintre observe les murs d'un air pensif.
Les formes géométriques et les arabesques créent en général des atmosphères plus calmes du point de vue de James, mais, d'un autre côté, les paysages sont une source d'intérêt et détournent les gens de leurs éventuel soucis.
Et, en général, s'il on est ici c'est que l'on en a.

J'observais l'homme se trouvant face à moi et il se présenta quant à lui. Il s'appelait James et était violet depuis peu de temps. Je suis également membre de la Lowell.. Je lui souriais. Du moins, je dois encore faire mes preuves. Je riais doucement avant d'éteindre mon Ipod contenant une variété d'artistes connus comme Lady Gaga, par exemple.  Mon truc c'est la peinture... enfin, le truc qui sera utile ici. J'acquiesçais. C'est sûr qu'mon cursus danse, ça va pas nous servir à grand chose, m'enfin, j'faisais d'la peinture aussi, donc..  Tu as des idées particulières pour la déco ? Plutôt abstraite ou représentative à ton avis ? Si j'avais des idées? Ben sur le coup, pas vraiment. Je toisais les murs dans l'espoir d'avoir un déclic. Il fallait créer une ambiance chaleureuse et accueillante. Et qui dit chaleur dit couleurs chaudes.Pourquoi ne pas peindre des notes de musique, des papillons ou ce genre de trucs ? Je regardais James d'un air songeur puis soupirai. Fin, j'sais pas, si j'me fie à mon instinct ça va ressembler à rien. Enfin, en tout cas faut qu'on fasse quelque chose de colorer ! Un peu d'gaieté dans un hosto quoi, pour changer.

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Deux fraternités avaient décidé de s'allier pour un projet commun: redécorer un hôpital. les Cabots et les Lowell. Qui l'eut cru ? J'étais revenue chez les Lowell au moment même de cette annonce, d'un sourire, j'avais regardé June, la Vice Présidente et une amie très précieuse pour moi, lui certifiant que j'allais participer à ce projet. Et je n'ai pas menti ! en tenue de travail, je portais une salopette, des grosses baskets, un t shirt et en avant pour le travail. Les cheveux attachés, j'étais prête. Voyant qu'un groupe était déjà en train de s'atteler à redécorer les couloirs, je m'avançais vers ceux qui s'occupaient de la salle d'attente. C'est là que j'entendis des présentations : Alena et James, je m'avançais vers eux tout sourire : Salut, moi c'est Blueberry, je suis Lowell moi aussi ... enfin ... bizut... même si j'avais été déjà Lowell mais c'est une trop grosse histoire à raconter, on commence par où ? Par quoi ? Normalement je danse, mais je ne pense pas que la danse va servir à grand chose ici dis je en riant. Je regardais les deux jeunes gens en face de moi, je n'avais jamais vu Alena auparavant, peut être est elle arrivée juste après mon départ des Lowell, ou alors je n'avais pas fait attention. Quoi qu'il en soit, je ne suis pas prête de partir de ci tôt de ma confrérie, ça, c'est sûr ! En tout cas j'attendais que l'on me dise quoi faire, je n'avais aucune compétence en décoration ou en peinture, mais j'avais au moins les compétences pour aider

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Les Lowell étaient vraiment des gens bien. Une confrérie adorable qui était là pour redécorer un hôpital, avec les Cabots. Franchement, quand il était venu chez les violets, il avait eut peur d'être de trop. Mais ces gens étaient juste parfait. Sven avait décidé d'y participer, parce que c'était une bonne action, et puis comme ça il rencontrerait peut être un peu plus de gens, et qui sait, il aurait peut être plus d'amis dans sa confrérie. Il venait d'arriver après une fille en salopette. Faut pas le dire, mais il l'avait sûrement suivit, vu qu'il était doué pour se perdre dans une rue droite hein. Il entendit son speach, et il lui dit alors. «Heu faut se présenter en plus? Oui je suis Mister Boulet. Vous êtes tous Lowell ici? C'est bien pour la décoration de l'hopital hein?» Le mec on dirait toujours qu'il débarque en touriste dans un lieu. Non mais il était adorable Svenou, juste un peu paumé rapidement. Il resta planté là en regardant les « On fait quoi là? on attend quelqu'un qui nous dise quoi faire? »

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En blouse à l’hôpital, j’avais vu des Cabots et Lowells venir pour décorer ce lieu médicalisé. Tenant mon dossier concernant cette décoration, je les rejoignais : « Bonjour, je suis Dr Ying, enfin, Li Mei pour vous aujourd’hui, je suis des Cabot. Tout d’abord c’est gentil d’être venus. On va commencer la décoration par les murs de l’hôpital. » Montrant alors les pots de peintures, stickers et autres matériels pour la décoration, je leurs disais : « Vous pouvez décorer les murs comme bons vous sembles du moment que vous ne salissez pas trop le sol. Il suffit de trouver un thème et vous pouvez commencer les décorations. » J’avais dis cela comme ça, et j’espérais bien que tout s’arrange. Je rajoutais : « Je suis là si vous avez besoin de moi. »

Alors que je discutais avec James, une jeune femme s'avança vers nous et je lui rendis son sourire. Elle se prénommait Blueberry et était également Lowell.  Toi aussi tu fais d'la danse? J'étais ravie de ne plus être la seule danseuse ici mais étrangement, je ne l'avais jamais croisé.  Bah écoute, on est en train d'y réfléchir justement. J'l'aimais bien elle, elle dansait. Heu faut se présenter en plus? Oui je suis Mister Boulet. Vous êtes tous Lowell ici? C'est bien pour la décoration de l’hôpital hein? Je me retournais surprise. Y a aussi des Cabot qui doivent venir. C'quoi ton nom? Bozzo le clown? Ok j'arrête. Soudainement une femme en blouse se joint à nous et prétendait être Cabot. Elle nous donna des instructions et je me tournais vers les autres étudiants afin de savoir ce qu'ils en pensaient.

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