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- LaReponseHOTdeTeoAHAHAH:
- Je n'avais pas fais exprès de remonter de cette façon, je n'avais pas prévu de frôler une partie de son corps. Mais sur le coup, j'avais eu ce petit frisson qui faisait que j'avais eu envie de me rapprocher de Keanu. Je m'étais rapprochée de lui à un point d'être à la limite de l'embrasser, de me mettre contre lui, la raison était là qui me disait de ne rien faire, de ne rien tenter sinon je le regretterais amèrement, et au risque de perdre une amitié que j'aimais, une des meilleures amitiés que j'avais sûrement. Mais mon corps désirait Keanu, je lui montrais que je le voulais, que je voulais qu'il retire cette petite vertu de mon corps, que ce soit lui, après tout, il était gentil avec moi, je n'étais pas qu'un simple coup, non ? Je le regardais, j'essayais de lui dire que j'étais ouverte à ce qu'il vienne me posséder en cet instant. J'étais passé du stade d'ami à conquête, rien que par ma bêtise et mon envie de faire l'amour avec lui, ce n'était pas de ma faute s'il était le garçon parfait que l'on rêverait avoir dans son lit, que l'on voudrait qu'il nous dépucèle pour avoir la plus merveilleuse des premières fois. Et une fois que je le sentis m'embrasser, je fermais automatiquement, je redécouvrais ces lèvres pour la seconde fois, et c'était encore plus intense, car là j'avais pas envie de montrer sa virilité pour jouer mais j'avais envie de lui, de son corps. Et sans comprendre où ce baiser allait nous mener, me laissant simplement apprécier ce moment qui passait du doux au sauvage, les appréciant tous les deux, j'adorais, j'aimais sentir les lèvres d'un homme sur ma peau, surtout lorsque j'avais envie d'en terminer avec cette virginité qui me poursuivait depuis toujours. Je caressais le dos de mon ami, répondant à son baiser, je ne savais pas quoi faire de mieux, moi et les relations « manuelles » de ce genre ça faisait un million, je ne savais pas par où commencer même si je connaissais quelques petits trucs à force d'approcher de la limite de l'acte, de surprendre des personnes sans le vouloir dans les discothèques, voir même les « super » cours d'éducations sexuelles que s'amusaient à nous donner le lycée. Et j'avais envie de les tenter avec Keanu, je voulais les tenter pour essayer d'oublier ma peur continuelle de faire l'amour avec un homme, de peur que ça change quelque chose entre nous. Je faisais confiance à mon ami pour me faire l'amour, et me montrer que c'était comme on me le disait, comme j'avais cru comprendre, enfin, je le prendrais n'importe comment il le ferait, je voulais juste sentir la chaleur humaine. D'ailleurs, je la cherchais facilement en glissant mes petits doigts de « sainte » sur le ventre de mon partenaire, avant de les glisser à une partie que jusque là, je m'interdisais depuis toujours, je venais doucement caresser cette partie intime de Ken, chose que je n'aurais jamais imaginé jusque là. Je ne me rendais pas à quel point j'avais envie de le faire, depuis le temps que j'en avais envie mais que cette peur, que je ressentais encore avec Keanu, me tiraillait et m'empêchait de vivre quelque chose d'intense à chaque fois. Pour l'instant, je la sentais augmenter en moi, mais je me contenais, ma détermination à faire l'amour, la « chose » qui comptait le plus pour moi. Si Ken pouvait le faire après tout ? Je devais le convaincre de mon envie, je devais. C'est d'ailleurs pour cela que je le poussais un peu, pour me laisser glisser mon dos le long du mur, lentement. Je déposais des baisers sur sa peau, je la caressais avec mes mains, jusqu'à ce que mes lèvres atteignirent une partie sensible, la partie qui avait déclenché ce que nous faisons actuellement. Je ne me posais même pas la question, je ne cherchais pas à me dire comme à chaque fois « Oh mon Dieu, qu'elle est énorme! » ou des choses dans le genre, même s'il fallait avouer, Keanu battait tous les records malgré ma petite expérience. Mais cette expérience était assez « poussé » pour savoir comment m'y prendre avec mes lèvres, ma langue et mes mains pour faire plaisir à mon ami. Je m'y prenais doucement, prenant presque mon temps pour lui faire plaisir. Après tout, plus je faisais reculer le moment fatidique, mieux je me sentirais, du moins, c'est ce que je croyais lorsque je fermais les yeux en continuant de faire plaisir à mon ami Eliot.
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