Get out of my way PV Liz

   Tu t'étais un peu assagi depuis le spring break qui aurait pu finir en drame si Kol n'était pas venu à ton secours. Du coup, tu faisais un peu plus attention, évitant un peu les excès surtout pour ne pas le décevoir, pour ne pas qu'il regrette de t'avoir sauver. La moindre erreur de ta part ou de sa part est ce serait la fin de ta vie alors il fallait marcher sur des oeufs. Bien évidemment tu restais Mather dans l'âme, tu avais beaucoup trop souffert pour revenir en arrière à ton ancienne vie de Cabot, tu ne voyais plus du tout le monde de la même façon qu'avant, il restait tout de même assombri. Tout ne c'était pas arrangé loin de là, tu restais sur tes gardes. Maintenant tu défendrais ton territoire quoiqu'il t'en coûte, quitte à être méchante odieuse, aucunes limites. A la pause du midi, tu étais sortie sur le parking pour fumer une clope ou plutôt deux en fait, tu ne pouvais plus t'en passer, cela te détendait et tant pis si tu te bousillais les poumons, tu avais perdu pire, à vrai dire. Ta dose de nicotine était nécessaire en cette période de révision surtout que tu n'avais pas foutu grand chose pendant l'année alors tu avais beaucoup à rattraper. Tirant une latte, ton visage devint de glace lorsque tu voyais Liz toute pimpante, sautillant dehors, sa simple vue te donnait envie de vomir et pour le coup tu avais envie de la voir pâlir. Te levant, tu fonçais droit sur elle, t'arrêtant à quelques centimètres soufflant la fumée sur son visage." Quel regret que la maladie ne t'aies pas emporté la dernière fois, ça aurait été un beau cadeau pour l'humanité. " La détruire voilà un but intéressant pour le reste de ta journée.



   

   La sonneire de midi sonne enfin dans tout Harvard, signe de la pause du midi. C'est un soulagement pour toi qui mourait juste de faim et qui commençait déjà à en avoir marre des cours. Le retour au campus avait été dur après deux semaines paradisiaques sous le soleil de Punta Cana. Cela avait été un retour à la réalité des plus rudes car oui t'avais revu Kol. En fait, le simple fait de repenser une seconde à son nom te donnait la nausée. Il t'avait une nouvelle fois trahi, planté un couteau en plein coeur. Au fond tu t'y attendais à son retour avec Keyla mais ce n'était pas ça le problème. Le problème ou plutôt le sien, c'est que malgré ça il jouait autant avec les femmes et il avait trop joué avec toi. Il t'avait fait espéré tant de choses alors qu'il était parfaitement conscience de ce qu'il était en train de faire avec toi. Et cette fois-ci, tu ne voulais pas lui pardonner. Tu lui avais donné une chance. Une seule et unique qu'il avait réussi à réduire en poussière en un seul claquement de dooigt. Tu ne savais pas encore si t'étais triste de ta dispute avec ton pseudo meilleur ami mais pour l'instant tu n'éprouvais juste de la haine et du dégoût envers le jeune homme. Et ta jalousie et ta haine envers Keyla, s'était encore plus amplifiée. Si t'avais la malchance de la recroiser, le moins que l'on puisse dire est que ça allait chier. Royalement chier. Tu chasse cette idée sombre de ton esprit, arrivant enfin à l'extérieur du bâtiment où tu avais eu cours et qui donné sur le parking. Tu devais le traverser pour te rendre de l'autre côté du campus. Alors tranquillement tu le traverse quand soudainement t'es interrompue. Tu manque de t'étouffer avec la fumée que tu reçois dans la gueule. Ce qui par automatisme, tu pousse la personne qui avait osé faire ça dans un but unique de te piquer au vif. Et quand ta vision s'éclaircie tu crois rêver. C'était une blague ? Keyla ? Sérieusement ? Tu soupire à ses mots qui ne te faisaient plus aucun effet à présent. Tu lui réponds sur un ton des plus glacials Ouais, quel dommage.. mais faut croire qu'il y avait une raison pour que je reste.. te pourrir la vie Ouais tu faisais la gueule à Kol et t'avais plus aucune pitié pour la mather Mais on dirait que c'était plutôt toi qui va offrir ce cadeau à l'humanité si tu continues à fumer comme un pompier.

   

   Il était midi, pour ma part j'avais fini ma journée, de cours du moins, je pouvais souffler un peu, parce que c'est vrai que reprendre les cours après le Spring Break n'était pas si facile que ça. Peut-être que cette après-midi, j'aurais le courage de passer à l’hôpital pour aider un peu, même si ce n'était pas vraiment mon jour, mais après tout dernièrement j'avais manqué tellement de jours que je pouvais bien venir une après-midi de plus, dans la semaine. Je m'étais dirigé vers ma voiture sur le parking, quand j'ai reconnu, ma femme. Elle était accompagnée mais de qui ? Qu'est-ce qu'elle faisait la ? Y'avait une autre femme avec elle ... ben oui forcément, c'était prévisible bien sur ... Elizabeth. Je savais qu'elle avait très mal digéré le fait que je lui dise, la dernière fois au restaurant que j'étais de nouveau avec Keyla ... mais après tout il fallait bien que je lui dise la vérité, je n'allais pas lui mentir une nouvelle fois ... mais la vérité avait été de trop. Ce n'était pas mieux comme ça ? Après tout je n'aurais pas pu lui cacher bien longtemps, si je l'aurais voulu. Et puis merde c'était ma femme après tout. Ça c'était très mal passé, en même temps, c'était prévisible, sa m'aurait encore plus étonné si elle avait prit la nouvelle avec sérénité. Elles étaient surement en train de s'engueuler toutes les deux ... j'avais hésité à m'approcher, parce que je voulais pas me mêler de leurs affaires à toutes les deux, mais après tout je n'allais pas quand même pas les laisser s'entre tuer. Je tenais à elles, c'était les deux femmes de ma vie. Quand j'étais arrivé au près des deux femmes, je m'étais mis sur directement du côté de Keyla. Je savais que ça n'allait pas plaire à Elizabeth mais rien n'allait plus entre nous alors je n'allais pas forcément jouer au gentil, avec quelqu'un qui m'en voulait à mort, même si je tenais encore à elle énormément « Vous en avez pas marre toutes les deux ? » J'avais regardé Keyla, cigarette à la main. Même si sa me faisais chier qu'elle fume autant, je pouvais rien dire parce que je faisais pareil. « Elizabeth va chercher la merde autre part s'il te plait ! » lui avais-je dis légèrement agacé.

   

   Tu n'avais rien d'un enfant de coeur au contraire t'étais un peu du genre désagréable avec les gens que tu ne peux pas voir et encore plus lorsque ta vie avait changée du tout au tout, que tu t'étais forgée un caractère à la limite de l'explosif. En fait t'étais devenue le genre de fille qu'il ne faut pas venir faire chier sous peine de connaître les pires souffrances. Plus aucune pitié, et plus jamais tu ne te laisserais marcher sur les pieds. Alors oui aujourd'hui c'était toi qui était venu chercher la merde, en venant cracher à la figure de Liz mais bon là aussi tu avais tes raisons. Après tout ce qu'elle t'avait fait enduré dans ta vie sentimentale, elle méritait que tu déverses ta colère sur elle sans même une raison apparente.Elle toussotait et un rire sadique s'afficha sur tes lèvres." Ouais, quel dommage.. mais faut croire qu'il y avait une raison pour que je reste.. te pourrir la vie... Mais on dirait que c'était plutôt toi qui va offrir ce cadeau à l'humanité si tu continues à fumer comme un pompier.  " Ouh ouh c'est que tu pourrais avoir peur mais non du tout." J'ai pas peur de la mort tu sais et puis au moins là bas je n'aurais pas à voir ta sale tronche, ça me fera des vacances. " Tu ne mesurais pas tes paroles, à quoi bon de toute manière, c'est pas nouveau que vous vous détestiez, tu n'allais pas le cacher au contraire et ce même à Kol qui venait de vous interrompre, se positionnant à ton côté. Rien qu'avec ça, tu gagnais la partie contre Liz." Vous en avez pas marre toutes les deux ? " Tu secouais la tête, ça te plaisait de détruire ta pire ennemie et de la voir t'envier car tu avais gagné ce qu'elle convoitait le plus au monde, ton mari." Elizabeth va chercher la merde autre part s'il te plait ! " Tu savais déjà qu'elle allait se mettre à pleurer qu'il rejette la faute sur toi. Pauvre petite fille." Non mais laisses j'ai deux mots à lui dire moi. " Tu t'approchais à quelques millimètres d'elle, un regard de braise." Ne t'avises pas de t'approcher de lui sinon je t'étoufferai de mes propres mains et tu sais très bien que j'en suis capable. " Oui tu pourrais très bien appliquer ces menaces de mort, ce n'est pas comme si tu n'avais jamais tué quelqu'un...
   

   T'avais répondu avec autant de sadisme possible face aux mots de la brune. Très bien, elle voulait jouer à ça. Jouons. Mais à peine vous avez le temps de vous crêper le chignon qu'une visite surprise vous interrompt en plein combat. Kol ? Mais c'était une blague ? Qu'est-ce qui foutait là ? Cela t'étonne pas de toi, depuis qu'il t'avait annoncé la "nouvelle" il prit le partie de sa femme. Quel lâche. C'est fou comment il pouvait manipuler les femmes, nous manipuler, autant Keyla que moi, par ses jolies mots et sa bouche en coeur. Kol avait enfin eu les couilles de choisir, mais maintenant il fallait qu'il assume son choix pleinement et qu'il revienne pas dans un mois en rampant vers toi. Tu ne l'accueilleras plus les bras ouverts. Il avait su gâcher en un claquement de doigt, la deuxième chance que tu lui avais donné. Tu soupires aux mots du jeune homme Que j'arrête de foutre la merde ? Apprend à contrôler ta femme au lieu qu'elle me saute TOUJOURS dessus comme une furie dès que j'ai le malheur de la croiser... tu marques une pause, en essayant de contrôler ta colère qui bouillonne en toi Puis de quoi tu te mêle ? Dégage on a pas demandé ta présence ici! tu lui réponds aussi froidement et méchamment qu'il avait osé le faire. Puis sans surprise Keyla en rajoute une couche. Tu lèves les yeux au ciel. Pure provocation Dit plutôt ça à ton mari SI fidèle ! Je paris combien qu'à la prochaine crise de couple monsieur va revenir avec sa tête de chien battu vers moi ? Hein Kol ? tu lui lances pleine de provocation en le regardant droit dans les yeux. Mens pas Kol. Mens pas devant les deux femmes que tu prétends aimer. Tu sais que j'ai raison.

   

   Je savais que ça allé très vite dégégner, en même temps quand elles étaient toutes les deux c’était toujours comme ça, crépage de chignons intégrale, mais merde à la fin, c’était fini tout ça, j’avais fait mon choix, et j’avais choisi Keyla, il fallait que ça s’arrête maintenant, et une bonne fois pour toute, ça allé beaucoup trop loin. J’avais essayé de me m’interposer entre les deux pour calmer un peu le jeu, en prenant légérement parti pour Keyla, en même temps je n’allais pas jouer les gentils alors que moi et Liz’ étions vraiment … fou de rage l’un contre l’autre. « Keyla, c’est bon laisse tomber, on s’en va ! » J’avais pas envie qu’elles s’engueulent toutes les deux, après tout Liz’ restait ma meilleure amie, mon première amour, la femme pour qui j’aurais toujours quelques sentiments, alors pour moi c’était loin d’être agréable de voir les deux femmes de ma vie, s’engueuler et se chercher comme ça. « Sérieux Keyla, n’en rajoute pas ! » Fallait vraiment que je réussise à calmer le jeu, ça partait un peu loin pour le coup. « Non mais tu vas arrêter putain ! Je viens en partie pour t’aider et tu m’agresses, mais qu’est-ce qu’il te prend ? » avais-je dis à Liz’ un peu énervé par sa réplique insultante et agressive. « Arrête Liz’, arrête tout de suite ce petit jeu de merde ! C’est pas toi ça. Va t’en avant que ça dégénere, un peu trop. Je pourrais rien plus faire pour toi après. » lui avais-je dis sinsérement et un peu inquiet, le sujet qui nous attendait n’était pas forcément le meilleur.
   

   Kol, il cherche à fuir. Toujours et éternellement. Après cent cinquante ans, l'info qu'il devait enfin choisir entre Keyla et moi, lui était monté au cerveau. C'est pas trop tôt, t'avais envie de dire. Son choix, il t'avait blessé, tu n'allais pas te le cacher mais au fond tu la connaissais la réponse depuis le début. Depuis le jour où il t'avait trompé. On ne le changera pas, il était un homme à femmes. Il le sera toujours. Pauvre Keyla. Kol, il avait réussi à te briser, et cette fois-ci t'avait sérieusement du mal à lui pardonner. Ces mots te sort par la tête. Attend t'es sérieux là en me disant que tu m'rends service en m'aider ? Ou tu m'aides là exactement ? ! ça a aucun sans ce que tu dis mon pauvre. Tu voyais bien que tu l'avais lui aussi énervé. Tu voulais juste lui transmettre tout le mal qu'il t'avait fait. Tu voulais qu'il ressente à quel point cela fait mal. Que j'arrête ce jeu ? Alors arrête toi d'abord de jouer avec nos sentiments ! C'est de ta faute si j'suis devenue comme ça à me faire espérer des choses qui étaient fausses ! Tu mens comme tu respire Kol. Tu t'approche de lui pour lui montrer que tu n'avais pas peur et tu croise tes bras sur ta poitrine Putain t'as choisi alors assume jusqu'au bout Kol ! Assume les conséquences que tu as provoqué ! tu savais que tes mots n'allaient ni plaire à Kol et encore moins à Keyla, mais t'en avais rien à foutre. Tu savais aussi que ton geste allait encore plus énervé et provoqué la brune. Mais bon, Kol il était allé trop loin, il t'avait poussé à bout, il avait joué avec ta sincérité. Il récoltait ce qu'il semait.
   

   Elle ne se rendait pas compte à quel point ce qu'elle faisait était très dangereux pour elle. Tu l'avais prévenu, tu lui avais dit de sortir de vos vies à Kol et toi, tu ne voulais plus qu'elle tourne autour de lui maintenant que tu l'avais récupéré. En aucun cas tu ne laisserais une fille te le voler à nouveau ce qui signerait ainsi ton arrêt de mort. Kol tentait de te contenir alors que Liz se faisait passer pour la victime dans toute cette histoire. Tu serrais les poings, à chacun des mots qui sortaient de sa bouche, tu avais cette envie que ton poing s'écrase dans sa figure. Ton regard se portait sur ton mari qui demandait à Liz de fermer son clapet mais c'est à croire qu'on lui parle chinois. Au moment où elle se rapproche trop près, beaucoup trop près de lui, la fureur monte en toi. Tu la repousses le plus fort possible que tu peux, tu t'en fiches totalement qu'elle tombe à terre." La ferme ! Qu'est ce que tu comprends pas dans cette phrase. Tu nous lâches la grappe okay. Il veut pas de toi, donc met toi ça en tête et va voir ailleurs. Vient pas nous faire la morale. " Tu ne voulais plus voir sa sale face et essayais par tous les moyens de mettre fin à cette histoire. Tu ne mâchais pas tes mots, parlant même au nom de ton mari. Elle devait à tout prix quitter vos vies, c'était obligé si tu ne voulais pas avoir la boule au ventre en te demandant si Kol n'allait pas encore briser la promesse qu'il t'avait faite.
   

   Je savais très bien que Keyla était prête à tout pour que je ne retombe plus dans les filets de Liz’, car il fallait bien le dire cette fille avait le don de m’ensorceler … mais il fallait qu’elle me fasse confiance, cette fois je ne voulais plus de ça, je ne voulais plus qu’on se sépare tous les deux, elle était celle que j’aimais et ça pour toujours et personne ne pourrait changer ça, pas même Liz’. « Mais arrête de jouer, t'es plus une gamine putain, tu ne comprends pas ce que je dis, faut que ça s’arrête tout ça, ok. Alors n’en rajoute pas et vas t’en, ça évitera pas mal d’embrouilles. Merde t’es intelligente à la fin ?! Je sais que je suis la cause principale de cette stupide tension qu'il y a entre vous deux, mais faut que ça cesse, j'ai fais mon choix Liz', j'ai choisi Key', et même si c'est dur faut qu'on continue à avancer ! » J'essayais de la rassurer, j'essayais de lui faire comprendre que tout ça c'était fini parce que je savais que Keyla avait changé, son caractère s’était affirmé et je savais qu’elle pouvait être violente et je ne voulais pas qu’elle lui fasse du mal, non ça hors de question, je ne voulais pas être spectateur de cette embrouille qui allait très vite dégénérer et surement pas en bien … putain mais qu’est-ce que les filles s’étaient compliqués à la fin ! Alors que tout s’enchainé très vite Key’, finit littéralement par péter un câble, elle poussa brutalement Elizabeth, c’était presque un miracle qu’elle ne soit pas encore à terre, je ne pouvais pas rester là sans rien faire, ce n’était tout simplement pas possible. J’avais donc retenu Keyla, l’enlaçant avec mes bras, pour essayer un maximum de la calmer. « Je t’en prie mon amour calme toi ! Ce n’est pas la bonne solution et tu le sais bien. » lui avais-je dis d’une voix douce et tranquille.
   

   Tu vois Kol essayer de clamer sa folle de femme. Cette vision te dégouttait, tu lui aurais bien foutue une claque à cette cruche, juste là Kol il t'en empêchait. T'en pouvais plus de les écouter, toujours le même discours, toujours le même problème. A vous trois, vous allez provoquer la troisième guerre mondiale. T'étais tellement en rogne que leurs paroles t'affectaient pas le moins du monde. Ça rentrait par une oreille ça sortait par une autre. Ouais c'est de ta faute cette foutue tension comme tu le dis si bien Kol ! T'es un putain d'hommes à femmes, j'devrais même te remettre le prix du mec le plus infidèle, tiens ! Kol il se rend pas compte mais à essayer de calmer sa femme devant tes yeux c'est juste de la provocation. Tu sais pas ce qui te retient de pas en coller une... peut-être parce qu'il te restait un semblant d'amitié pour lui au fond de toi. C'était fort peu probable. Il te dégouttait, il t'insupportait. Keyla n'en parlons pas et tu rajoute par pure provocation J'ai juste envie de rester ici pour te faire chier Keyla. Franchement vous faites pitié tous les deux, j'me demande combien de temps votre couple va encore durer... c'est sur qu'avec le mec le plus "fidèle" au monde ça risque de durer une éternité... pure ironie ce que tu dis et si la folle elle montre les crocs cette fois-ci tu n'hésiteras pas à cogner. Suicidaire toi ? Non pas du tout.