Dans ce petit moment de tendresse, je sentis des mains se mettre sous mes bras pour ainsi me soulever. Ma mère m'avait pris dans ses bras et m'avait dit un:
« Je t’aime ma puce. » si réconfortant et plein d'amour. Je ma serrais plus fort dans mes bras. Elle savait que je l'aimais et que ce geste signifiait un:
« Moi aussi.» Quelques secondes passèrent, ma mère me déposa. Je pris sa main puis nous nous dirigeâmes vers la cuisine. L'adore du café parvenait à notre nez. Il ne passa pas inaperçu auprès de ma mère quand celle-ci me demanda si j'avais fait le café. Je hochai de la tête en signe d'affirmatif puis nous continuions notre chemin. J'étais contente et fière de moi. Dans les yeux brillant de ma mère, je vis qu'elle était ravie que j'aille fait cette acte. Je lâchai sa main pour me diriger vers ma chaise. Je la tirai puis m'assis sur celle-ci. Nous avons chacune nos places habituelles. La place de ma mère était au bout de la table et moi à sa droite. Même quand il y avait des invités, nos places restaient les mêmes. Je vis ma mère se diriger vers le frigo pour en sortir une bouteille de jus d'orange avec pulpe. J'aime bien la sensation des pulpes qui passaient entres mes lèvres. Elle me servit du jus d'orange dans un verre puis me le donna. Je pris un gorger de mon jus en même temps que ma mère prenait son café. Oui oui. J'adorais imiter ma mère par moment. Une autre preuve que ma mère était mon idole féminin. Elle est au même pied d’escale que Pandore, ma chanteuse favorite.
Un petit moment passait. Ma mère rompa le petit silence en me demandant:
- « Bon alors, on les prépare ces gaufres !? »
- Oui!, lui dis-je avec détermination.
Je peux t'aider?Je savais déjà la réponse d'avance. Sans qu'elle me dise quoi que ce soit, je descendis de ma chaise puis pris une autre chaise pour l'emmener près du comptoir. Je montai sur celle-ci. Soudain, je dis:
- Attends! Nous avons pas nos tabliers! On va salir nos pyjama sinon!Je descendis rapidement de ma chaise puis courus vers nos tabliers. Il étaient accrochés sur un crochet près de la cuisinière. Je pris un petit tablier rose avec des princesses dessus. Je le mis correctement puis je pris l'autre tablier. Ce tablier était spécial à mes yeux. Je lui avais offert pour la fête des mères. Il y avait une écriture. C'était écrit: « La bonne cuisine de Maman! » Je lui tendis son tablier.
-Voilà! On va pouvoir commencer!, lui dis-je toute en grimpant sur ma chaise.Je regardai ma mère avec des petits yeux brillants. J'écoutais les indications qu'elle me donnait. Elle sortait au fur et à mesure tout les ingrédients que nous avions de besoin. Rendu à la farine, je ne pus m'empêcher de mettre mon dos dans celle-ci et de mettre un peu de farine sur le nez de ma mère. Je rigolais comme une petite folle. Je sais qu'on ne joue pas avec la nourriture mais bien des fois c'était ma mère qui me faisait des petits mauvais coups quand on cuisinait ensemble. Après quelques petits moments de rigolades, ma mère fit cuir les gaufres. Je descendis de ma chaise pour ensuite la remettre à sa place puis j'allais mettre la table.
Un peu plus tard, les gaufres étaient prêtes et nous étions assis tout les deux à la tables. Je pris une bouchée de mes gaufres. Je savourais ma nourriture. Je ne mangeais pas rapidement parce que ma mère voulait que j’apprenne à déguster ma nourriture. Elle me disait souvent qu'on devait prendre le temps de bien manger et ainsi notre estomac serait bien rassasier. Les fraise et les bleuets rajoutaient un petit gout sucré à ma pâte. De plus, ma mère avaient rajouter un peu de sucre à glacer sur celle-ci.
-C'est délicieux!, lui dis-je une fois la bouche vide.
Maman, que va-t-on faire aujourd'hui?