Jules-Baptiste de Châtenay ► Marc Schulze

C'est le 02 juin 1993 à Paris, dans une clinique très privé au prix exorbitant que les membres de la famille de Châtenay m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Jules-Baptiste Phillipin Gustave, des prénoms qui se portent très facilement comme vous pouvez le voir hahum. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier, même très fier. Je viens d'une classe sociale aisée, pour ne pas dire très aisée.. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Histoire de l'art majeur, et philosophie mineur depuis trois ans, mes deux premières années ayant été faites à La Sorbonne à Paris ans et travaille en parallèle de mes études en tant que fils à papa qui n'a jamais réussi a vider son compte en banque malgré de nombreux excès. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrop ou les Eliot.

J.-Baptiste de Châtenay

Looks alot like Marc Schulze

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle mempd et j'ai 19 ans. Je suis BRETONNE /zbaff/ et j'ai connu le forum grâce à à top-site + bazzart + partenaires, vous êtes partout . Ce forum me fait frétiller la culotte alors j'ai décidé de m'inscrire pour la première fois. J'utilise Marc Schulze comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Vénus. Je fais environ 100 à 300 mots mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par moi même ( si si c'est possible ).

Mot de la fin ? ▲ ~~MOT~~ Jules-Baptiste de Châtenay ► Marc Schulze 1839924927

Jules-Baptiste de Châtenay ► Marc Schulze 1839924927

Est ce qu'un admin pourrait rajouter le petit chapeau chinois sur le a dans mon pseudo ? "de Châtenay". Si non c'pas grave, je survivrais sans Jules-Baptiste de Châtenay ► Marc Schulze 1153642411

Jules-Baptiste de Châtenay ► Marc Schulze 1153642411

Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Je n'étais pas parmi les Harvardiens à ce moment là. J'occupais encore les bancs de la Sorbonne à Paris, à écouter des professeurs plus diplômés ces 3 dernières années que je ne le serais toute ma vie. Mon correspondant Harvardiens, qui s'en était sorti sein et sauf, m'a mis au courant quelques heures plus tard par e-mail. Le lendemain, la nouvelle avait déjà fait le tour de notre faculté. Certains parlaient de renoncer à leurs troisième année de licence là bas, sous prétexte que cet acte barbare dévoilait le côté dangereux d'Harvard. J'ai été désolé de cet événement, mais ça ne m'a pas fait reculer, et j'ai demander à aller là bas pour terminer ma licence malgré les réticences de monsieur et madame de Châtenay.

WINTHROP.
J'ai la face du joli garçon, le sourire du charmeur, les manières du gentleman et le compte en banque de mari parfait. Je correspond au profil de la confrérie de par mon caractère avenant, sociable et charmeur, qui joue le Don Juan torturé quand trop de sentiments arrivent, mais qui n'hésite jamais à faire sourire une jolie fille pour la ramener dans son lit. J'aime la réputation de Winthrop, ils ont la classe, on peut pas le nier. Et malgré les différences entre tous les garçons de la confrérie, ils sont tous réuni autour d'un même critère qui fait leur force, malgré leurs nombreuses différences. C'est ça qui me plait. Cette étiquette de charmeur collé sur le front d'un tas de gars différents, aux histoires et caractères opposés.

ELIOT.
Je suis né dans un clinique privé, j'ai grandis dans un château, j'ai un prénom composé, un nom qui respire la noblesse, un compte en banque entretenue par les actions de mon père, une carte bancaire internationale sans plafonnement. Je sais que je n'aurais jamais à travailler de ma vie, car l'héritage et le patrimoine de la riche famille de Châtenay parait sans limite. Je saurais parfaitement me glisser dans la peau d'un Eliot. Je ne suis effectivement pas toujours un exemple de gentil garçon, et j'ai mon hypocrisie toujours un peu sous le bras. Il faut bien ne pas laisser se marcher dessus, non ?

(Invité)

20 ans ◭ 3 ème année ◭ a fait ses deux premières années à La Sorbonne, à Paris ◭ aisé ◭ charmeur ◭ impulsif ◭ sociable ◭amusant ◭ surprenant ◭ généreux ◭ parfois moqueur mais jamais méchamment ◭ têtu ◭ sincère ◭ modeste ◭ travailleur ◭ festif ◭ curieux ◭ rancunier ◭ lâche ◭ camé à la cocaïne dans les soirées, sans en abusé ◭ fumeur ◭ vice-champion national de boxe anglaise poids léger ◭ geek sur console à ses heures ◭ collectionneur de relations ambiguës ◭ ambidextre ◭ a été élevé dans la religion catholique, mais n'est pas croyant ◭ allergique au chocolat, ça le fait éternué ◭ piètre cuisinier ◭ bon coup d'après celles qui sont passés dans son lit ◭ fait de la batterie ◭ grand fan de soccer

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« Jules-Baptiste fut un enfant adorable ! Il a fait ses nuits tôt, était calme en présence d'invités, a commencer a marcher et parler sans retard. Le bambin dont tout le monde rêve ! Même ses professeurs le disaient. "Jules-Baptiste est une véritable perle en classe, il a beaucoup de culture et des facilités d'expressions impressionnantes !". Ha mon petit JB, il a bien grandit maintenant. Après la Sorbonne, il a réussi à intégrer Harvard, grâce à son dossier scolaire qui a toujours été irreprochable. Moi et son père sommes très fier de notre fils ! »

Bérénice Aubar de Maupas de la Châtenay, mère.

« Sa mère ne vous le dira jamais, mais il nous a aussi donner du fil à retordre. Surtout dans sa période lycée, il avait la fâcheuse habitude de se privé de rien, mise à part de nous. L'argent était devenu son nouveau doyen. Il faisait le mur dans le dos de sa mère -quand à moi je le savais très bien-, enfourchait son vespa, et partait faire la bringue. Ils étaient une petite bande de déluré à son lycée pourtant très privé. Une petite dizaine de gosse qui dérogeaient à la règle du tout beau tout propre. Je ne veux pas savoir les détails de ce qui s'est passé pendant cette période là, et je n'ai jamais réussi à le garder entre les murs du château une semaine complète. »

Charles Henry de Châtenay, père.

« J'ai arrêter de compter les conneries qu'on a fait ensemble. Premiers vélos, premiers plongeons, premières vacances, premiers scooters, premières copines, premiers baisers, premiers rapports, premières infidélités, premières clopes, premières soirées, premières cuites, premières drogues, premières voitures... J'aurais lâché ce type pour rien au monde. Si vous avez besoin de lui à 4h du matin par temps de pluie, il viendrais vous chercher à l'autre bout du continent. Si quelqu'un cherche à vous embrouiller, il est le premier volontaire pour aller lui briser les os. C'est un gars bien, prêt à faire milles conneries à n'importe quel moment. Il n'hésite jamais, a une force de persuasion du tonnerre, fait le con dans n'importe quelle situation... Et en plus, il a le don de faire craquer toute les filles. C'est une machine sur pattes. »

Alexandre d'Amédor de Mollan, meilleur ami.

« Jules-Ba', c'était un peu le type parfait. La plus part des filles étaient folles de lui. Il était toujours galant, balançant des sourires craquants à la moindre fille à son goût, gentil, câlin, à l'écoute, drôle, généreux, sociable... Il était tellement parfait que son petit jeu d'acteur cachait évidemment quelque chose. Ce quelque chose, c'est son incapacité maladive à être l'homme d'une seule femme. Charmer, il adore ça, il ne peut pas s'empêcher de le faire. Le couple à vie, l'amour, les sentiments, ça le fait flipper. Et pourtant, il adore faire croire le contraire. Il joue à merveille l'amoureux des temps modernes. Il adore ça, je le sais. Il a besoin d'attention, de tendresse, je pense que sous ses airs de grand bourreaux des coeurs, c'est surement une véritable guimauve. Disons que les filles, c'est sa grande faiblesse et sa grande force à la fois. »

Edeline Aerensen, ex petite amie.

« J'en vois des tas de petits riches bourgeois qui se came à la cocaïne. Mais lui il est différent, dans le sens ou il me regarde pas avec ses yeux de chiens battus avec la lèvre tremblante quand il est en manque. Il arrive, serein, prend sa came sans faire d'histoire. C'est un des seuls qui a mon adresse perso si jamais il a besoin de quelque chose. Il a un compte en banque bien garni, ça se sent, ça se voit, mais dans le fond, c'est un type bien. Disons qu'il a pas oublié son humanité pour les tunes, mêmes si parfois dans ses réflexions on sent le sarcasme bourgeois du parisien. Mais c'est pas de sa faute, il a été élevé comme ça. Il doit être un peu perturbé, le cul entre l'humanité et l'argent. »

"Ed.", dealeur.

The End

(Invité)