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(flashback) Evanna & Andrew ✗ You're hiding something ! [HOT]

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Bar dans l'Inman Square
Evanna & Andrew

(flashback) YOU’RE HIDDING SOMETHING !



Ce jour-là, lorsqu’il s’était finalement décidé à se lever, il était prêt de midi et le ventre du jeune homme criait famine ! Il allait donc satisfaire ce besoin primaire tout d’abord… Il avait énormément faim et en plus, il n’avait pas mangé depuis la veille à la pause « déjeuner » ! Mais pourquoi diable il n’avait pas mangé ? Eh bien lorsqu’on se rend à une soirée étudiante, manger était la dernière chose à laquelle on pense ! Une fête ? Oui la veille, il y avait eu une grosse soirée… Cette soirée-là avait été pire qu’une orgie ! Alcool, drogue, filles à gogo ! Tout y était ! Comme il n’avait pu participer au dernier Spring Break, Drew en avait profité avant de partir à Hawaï avec ses frères de la WH ; qu’importe, il avait passé sa soirée à embrasser toutes les filles qu’il croisait, mettant à chaque fois la main au panier pour tâter la marchandise et lorsqu’il y en avait une qui lui plaisait réellement, il l’emmenait loin de toute la fête pour lui faire SA fête ! Et ça avait été ainsi pendant des heures jusqu’à ce qu’il rentre pour dormir… Enfin bref, il s’était préparé pour une deuxième soirée dans un bar à strip-tease pour l’anniversaire d’un de ses amis et lorsqu’il fut prêt, il s’était directement dirigé vers sa voiture… Enfin sa deuxième voiture… Eh oui lorsqu’on était un fils à papa, on pouvait se permettre d’avoir une deuxième voiture voire même plusieurs mais les autres voitures se trouvaient chez ses parents à Londres ! Bref, sa deuxième voiture était une ACURA NSX CONCEPT de couleur grise, une série totalement limitée et qu’il avait eue directement des fabricants eux-mêmes. Avec l’un de ses amis de la Winthrop House sur le siège passager, ils avaient pris la direction de la plage afin qu’ils puissent se ressourcer et reprendre des forces parce que ce soir, c’était le SHOW encore une fois ! Marchant d’un pas conquérant, Drew pénétra dans un bar à strip-tease qui commençait à avoir du monde tout de même, or pourtant il était encore tôt quoique… Il regarda sa montre et constata qu’il était déjà près de vingt heures… Ah oui quand même ! Le temps allait trop vite ! Il se rendit au comptoir afin de saluer le barman et lui commander sa boisson habituelle : « Un bon whisky coca ! » ! Il paya son dû et chercha du regard ses amis… Il les vit installer à une table proche de l’estrade sur laquelle dansaient les strip-teaseuses du bar… Il alla donc rejoindre ses potes qu’il salua comme il se devait, puis il dut s’asseoir parce que la première danseuse venait d’entrer sur l’estrade…Hum du lap-dance comme il les aimait !  Drew sirota tranquillement son whisky coca tout en matant la danseuse qui venait de retirer son haut ! Alors qu’il l’applaudissait à tout rompre, la strip-teaseuse fit signe au jeune homme de monter sur l’estrade aussi et c’était parti pour une danse du corps qui allait encore l’exciter… Pendant quelques minutes, il eut droit à cette danse du corps tandis que la danseuse se déshabillait entièrement devant lui et elle finit par l’embrasser avec fougue avant de le repousser ! Ce fut ainsi la fin du numéro ! Il en était tout groggy, mais il était content… Il se releva et se décida d’aller chercher une bouteille au comptoir… Et alors que le barman lui tendait la bouteille, le jeune british se figea en voyant entrer une jeune blonde qu’il connaissait bien… Elle s’appelait Evanna Cheyenne Xander... Que faisait-elle là ?

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You’re hiding something !


Tout vient à point à qui sait attendre
Bar d’Inman square
Andrew & Evanna

Depuis combien de temps étais-je revenue ? Un peu plus d’un an me semblait-il. Mon point de repère se situait au 6 janvier dernier, lorsque ma petite Aliénor Kathleen Evanna avait vu le jour. Je repensais sans cesse à elle, restée dans ma famille en Angleterre. J’allai régulièrement la voir, tous le week-end, et à chaque fois que je pouvais me permettre un voyage là-bas. Pourtant, au début, ce n’était pas gagné, je ne voulais pas la voir. Mais le temps avait fait son œuvre. Mon père m’avait envoyé une photo d’elle sur mon portable en sachant que c’était la seule chose à laquelle je tenais un tant soit peu, et ce fut le déclic. Il m’avait mis dans son MMS son nom, son poids, sa taille, et le nom de sa mère… mon nom. J’avais refusé toutes ses informations en bloc, mais dès lors, je devins gaga de ma fille. Elle poussait vite, déjà un an… Mon père avait été ravi quand elle se mit à marcher à quatre pattes, et j’avais croulé sous une avalanche de photos. Son grand père gâtait trop ma petite Aliénor ! Mais il l’aimait du fond du cœur. Je savais que sa boîte allait de plus en plus mal, et que ma mère se faisait un plaisir de l’enfoncer, mais il savait ce qui allait se passer. Sa boîte allait être rachetée. Le travail ne manquait pas, non, c’était juste que de moins en moins de gens faisaient confiance à Stephen Xander. Les banques particulièrement, parce qu’une partie de son argent se perdait quelque part. Mon père savait que sa femme était derrière tout ça, mais il n’en disait rien, il laissait faire. Il voyait maintenant qu’elle ne l’avait jamais vraiment aimé, qu’elle voulait juste un peu plus de fortune.

J’avais reçu un nouveau MMS de mon père avec la petite bouille ronde et souriante d’Aliénor assise sur le canapé. Elle était si pétillante de vie ! Après avoir enregistré la photo dans le document « Aliénor » de mon portable, je lus le message qui suivait :

Aliénor à plus d’un an pourtant elle ne connait toujours pas son père. Tu ne nous l’as jamais présenté. Etes-vous en froid ? Mais pour le bien de ma petite-fille, ne serait-il pas plus raisonnable de lui montrer qu’elle est comme tout le monde, avec une mère et un père qui l’aime ?
Je m’inquiète pour toi, la semaine tu ne donnes plus de nouvelles et le week-end on a l’impression que tu n’es plus toi. Tu vas bien ? Si tu avais un problème, tu le dirais n’est-ce pas ?
Je t’embrasse,
Ton père qui t’aime.


Il avait raison, une chose me perturbait : c’était justement cette histoire de père. Je connaissais son emploi du temps par cœur, il le fallait bien pour l’éviter. En un an, je m’étais arrangée pour jouer les mortes : pas de nouvelles, pas mon ombre dans un couloir. Que lui aurais-je dis ? « Salut ça va ? Ah au fait si je t’ai évité pendant plus d’un an c’est parce que tu es père d’une petite fille qui a justement plus d’un an et qui est trop mignonne. » ? C’était impossible. J’avais pensé à me mettre en couple avec quelqu’un d’autre, mais je ne pouvais pas non plus. Je n’avais aucune envie de me poser, et je n’étais pas une fille sage.

Lasse de ressasser toujours les même choses, je sortie de ma chambre. Un bon bol d’air me ferait le plus grand bien, pensais-je. Ou plutôt, un petit air de fête. Je me vêtis donc d’un top doré à décolleté plongeant et d’une jupe plissée noir qui m’arrivait au milieu des cuisses. Ils comptaient parmi mes vêtements les plus simples mais feraient bien l’affaire. Pour allonger encore un peu ma jambe, je mis mes escarpins noir et or. Pour ne pas paraitre trop délurée, j’en profitais pour mettre ma nouvelle veste en cuir à manche longue qui ne descendait qu’au-dessus du bassin et je dénouais mes cheveux.

Spoiler:

Je partis avec ma fidèle Lamborghini jaune décapotable, direction… Peut importait la direction en fait ! J’aimais le bruit du moteur et la puissance de la machine, un vrai petit bijou ! Les cheveux aux vents, je ne me sentais jamais plus libre qu’en roulant à tombeau ouvert sur les routes excentrées de campagnes lorsqu’il n’y avait personne ! Un air de musique des Two Steps From Hell, Strength of a Thousand Men me semblait-il, me délassait. C’était si bon !

Après cette virée en voiture, je me suis rendu dans un bar à l’Inman square, près de Harvard, au nord de Cambridge. Sur le parking, je crus reconnaître une voiture. Oh non pas lui… Pas Andrew… Je fronçais les sourcils tout en manœuvrant pour me garer en bataille entre deux voitures. J’ouvris la portière, pris mon petit sac à main et entrait d’un pas décidé dans le bar à strip-tease. J’étais pourtant sûre que je connaîtrais personne, où alors mon cavalier de la soirée qui me raccompagnerait chez moi et que j’aurais largué le lendemain. Je jetais un coup d’œil circulaire : il était assis près du bar… et m’avait déjà repéré ! Mince alors… Je fus tiraillée entre m’enfuir tout de suite et aller lui dire enfin qu’il était père. Finalement j’optais pour la franchise.

Je me dirigeais vers lui, un brin bousculée par la foule, lorsque je me fis sifflée. Une bande de jeunes gens me mataient sans vergogne. Je leur lançais un joli sourire hypocrite, juste avant un tout aussi joli bras d’honneur. Mauvaise technique, ça ne faisait qu’exciter un peu plus ces porcs. Voilà donc ce qu’était la jeunesse aujourd’hui… En soupirant, je m’assis près de mon ex. Enfin étions-nous vraiment des ex ? On n’avait jamais parlé de sortir ensemble, c’était juste pour le fun… Donc nous n’avions jamais vraiment cassé non plus.

Je demandais un whisky coca au barman. Il me l’apporta et je bus une gorgée sans jeter un regard à Drew. Il me semblait sentir son regard poser lourdement sur moi, mais je pouvais me tromper sur toute la ligne. Enfin, je me levai et m’approchais de lui pour lui dire à l’oreille tant la musique était forte :

- Salut ça va ? Ah au fait si je t’ai évité pendant plus d’un an c’est parce que tu es père d’une petite fille qui a justement plus d’un an et qui est trop mignonne. On est dans de beaux draps maintenant. Non, je n’ai avorté. Pourquoi ? Déshonneur. Je n’ai pas accouché sous X. Pourquoi ? Déshonneur. Elle n’a pas quitté ma famille. Pourquoi ? Parce qu’on m’a montré que ce n’était pas un monstre. A sa naissance, je la détestais, mais maintenant, je ne peux plus vivre sans elle. Alors voici ton dilemme : que vas-tu faire ?

Je retournai vers ma place et payais ma boisson que je finis d’un trait. Je sortis immédiatement après. Me suivrait-il ? Je ne savais pas. En tout cas, s’il voulait discuter, on le ferait dehors. Les gosses du fond devenaient de plus en plus bruyants, mais je les ignorais. Ils me laisseraient bien tranquilles. Je sortis et avant de rejoindre ma Lamborghini, je pris une cigarette d’un vieux paquet entamé depuis des lustres et l’allumais avec mon briquet. J’avais arrêté pendant la grossesse, m’y était remis après l’explosion de la bombe, avait de nouveau tout lâché, mais quand j’étais à la limite des crises de panique, je préférais m’en griller une sans quoi je deviendrais folle…

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Evanna & Andrew

(flashback) YOU’RE HIDDING SOMETHING !



Est-ce que Drew s’était imaginé qu’il allait faire une terrible découverte qui allait à tout jamais bouleverser sa vie insouciante de jeune garçon, Don Juan de son état, séducteur invétéré, excellent parti et j’en passe… ? Eh ben la réponse était non, parce qu’il se trouvait que le jeune homme avait tellement confiance en son pouvoir de séduction qu’il ne fallait guère très peu de talents pour réussir à choper une fille ! Il avait eu envie de profiter de sa soirée avec ses potes, à célébrer la possibilité d’une victoire de KW Industries lors de ses négociations avec Boeing… Enfin bref, le voilà donc à bord de sa toute dernière ACURA qu’il avait achetée pour flamber (chose étrange… En fait non ? Vu qu’il n’arrêtait pas de montrer aux gens que le fait d’avoir de l’argent faisait tout ! Son père lui avait toujours dit que déjà qu’on possédait un tant soit peu de l’argent, tout le monde était à nos pieds ! Parce que l’argent faisait le monde ! Ce dicton se transmettait de générations à générations chez les Kenworthl ! Bref, je m’égare là ! Revenons à nos moutons !). Donc je disais que Drew était au volant de sa rutilante Acura qu’il venait d’avoir et il se rendait en direction du Bar où se tiendrait lieu la soirée… Soirée strip-tease s’il se souvenait bien ! C’étaient les meilleures soirées auxquelles il assistait et il y prenait un malin plaisir parce qu’il savait toujours qu’il serait choisi par les strip-teaseuses pour monter sur l’estrade et afin d’offrir un strip intégral et l’exciter…

Lorsqu’il était arrivé au bar, il avait commandé sa boisson habituelle, puis il s’en était allé rejoindre ses amis afin de discutailler entre potes… Il se trouvait que c’étaient les rares personnes qui avaient eu la chance inouïe d’être amis avec Liam… Il avait confiance en eux et c’était réciproque ! Bref, à peine était-il parvenu à la table de ses amis que le spectacle avait commencé ! La strip-teaseuse l‘avait aussitôt choisi… Chose incroyable mais c’était à prévoir… Quoiqu’il n’en avait guère envie ce soir ! Néanmoins, il s’était empressé de rejoindre la professionnelle de danse sensuelle… Il aimait énormément cela et en plus la jeune femme n’était pas du tout désagréable à regarder, bien au contraire ! Elle était tout bonnement sublime et son intimité qu’elle avait découverte au visage du beau blondinet était des plus magnifiques… Et elle sentait divinement bon ! Flûte ! Dommage que ça ne soit qu’une simple strip-teaseuse !!!! Il avait eu une grosse envie de la goûter mais qui dit strip-teaseuse, disait pas touche surtout si le show n’était pas privé ! Puis ce fut la fin du show ! Oui le jeune homme en était groggy mais il était tout de même parvenu à se rendre jusqu’au bar où il commanda à boire de nouveau mais il était tombé nez à nez avec une personne qu’il n’avait pas trop l’intention de voir… Evanna Xander, cette fille qui était son amante secrète à cause du lien très conflictuel qu’entretenaient leurs parents respectifs. En effet, les deux familles avaient toujours été rivales dans le domaine de l’Aéronautique et dans tous les autres domaines d’ailleurs. Mais aujourd’hui, c’étaient les Kenworth qui semblaient avoir gagné le bras de fer entre les deux familles, en effet entre Mr Xander et sa très chère épouse, une guerre sans merci semblait se mener et ce qui était le plus touché dans toute cette bataille c’était leur entreprise familiale ! Elle était en train de couler petit à petit, ce qui faisait un peu la joie de Lord Kenworth qui avait envie de couler cette entreprise qui lui faisait beaucoup trop d’ombre. Quant à Drew, il souhaitait racheter l’entreprise de son ennemi parce qu’elle était mieux gérée, elle serait plus florissante que jamais donc oui, il allait se préparer à mener une rude bataille pour pouvoir obtenir ce qu’il voulait ! Pour Mr Xander, le mieux était de l’écouter lui, Lord Andrew Henry Kenworth, parce qu’il souhaitait le sauver de la débandade sinon il ne se gênerait pas de le faire couler comme c’était l’intention de son père. Enfin voilà, revenons à Evanna… La jolie blondinette était son amante, son ex-petite amie… Mais il se demandait comment se faisait-il qu’il ne l’avait pas vue depuis tout ce temps ? Où était-elle cachée ? Elle était sexy dans sa tenue et même s’il était super étonné de la voir aujourd’hui, il ne put s’empêcher de ressentir un désir fulgurant pour la jeune femme qui venait vers lui après avoir bu du whisky ! Putain ! Il la regarda longuement sentant quelque chose d’étrange en elle, comme si elle s’apprêtait à lui dire quelque chose d’important… Enfin, dès qu’elle arriva à sa hauteur, elle se pencha pour lui chuchoter à l’oreille :

- Salut ça va ? Ah au fait si je t’ai évité pendant plus d’un an c’est parce que tu es père d’une petite fille qui a justement plus d’un an et qui est trop mignonne. On est dans de beaux draps maintenant. Non, je n’ai avorté. Pourquoi ? Déshonneur. Je n’ai pas accouché sous X. Pourquoi ? Déshonneur. Elle n’a pas quitté ma famille. Pourquoi ? Parce qu’on m’a montré que ce n’était pas un monstre. A sa naissance, je la détestais, mais maintenant, je ne peux plus vivre sans elle. Alors voici ton dilemme : que vas-tu faire ?

Elle le laissa planté là alors qu’il venait de se prendre une bombe en pleine tête ! Quoi ! Il avait une petite fille ! Non ce n’était pas possible ! Elle se moquait de lui ! Non non et mille fois non ! C’était impossible parce qu’il n’oubliait jamais de mettre un préservatif lorsqu’il couchait avec Evanna avant, même lorsqu’ils revenaient bourrés d’une grosse soirée… Mais à ses dires, il avait une petite fille avec elle et elle était très mignonne… Il fallait qu’il sache si c’était la vérité ou non, donc il mit quelques secondes pour se remettre de cette bombe puis il but d’une traite son verre de whisky coca et il sortit emboitant les pas de son ex. Elle se trouvait à côté de sa Lamborghini fumant une cigarette, il la rejoignit d’un pas décidé et dit d’un ton masquant sa fureur : « Dis-moi que c’est vrai ?! Prouve-le moi ! Montre moi une photo de notre fille ! Et surtout pourquoi tu me l’as caché depuis tout ce temps ?! Si réellement, j’ai une enfant, je suis parfaitement en droit de la voir ! Allez explique-toi, Evanna ! »



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Bar d’Inman square
Andrew & Evanna

Si je m’attendais à ça ! Le voir, lui, dans un bar de strip-tease… Quoi que ça collait parfaitement au personnage. Il avait toujours sa frimousse d’ange que les femmes adoraient. Je le détestais. Comment pouvait-il paraitre si tombeur ? Si seulement elles savaient ! Mais bon, j’avais sans doute été un peu brute de décoffrage avec lui ce soir... Je me souvenais de tout ce que je lui avais sorti :

- Salut ça va ? Ah au fait si je t’ai évité pendant plus d’un an c’est parce que tu es père d’une petite fille qui a justement plus d’un an et qui est trop mignonne. On est dans de beaux draps maintenant. Non, je n’ai avorté. Pourquoi ? Déshonneur. Je n’ai pas accouché sous X. Pourquoi ? Déshonneur. Elle n’a pas quitté ma famille. Pourquoi ? Parce qu’on m’a montré que ce n’était pas un monstre. A sa naissance, je la détestais, mais maintenant, je ne peux plus vivre sans elle. Alors voici ton dilemme : que vas-tu faire ?

En fumant ma cigarette, je me sentis un peu seule. Ma fille était loin, et que pouvais-je faire sas elle ? Elle était celle qui me poussait à avancer, à me donner à fond et à aller de l’avant ! J’étais nerveusement à bout : je n’étais pas si loin que ça de chez moi, mais je ne pouvais m’y rendre en ce moment : trop de travail me tenait sur place.

Il faisait un peu frais, je ne m’étais pas assez couverte, et je fus secouée d’un frisson. Il n’était pas que dû au climat il était aussi nerveux. Je tirai une nouvelle fois sur ma cigarette en levant les yeux au ciel. Peut-être que je devrais sécher les cours pour aller la voir. Je n’avais que des photos et un pauvre enregistrement de ses gazouillis quand elle était encore petite. J’avais été à ses côtés alors qu’elle prononçait son premier mot : maman. On jouait ensemble, j’essayais de lui faire répéter des mots simples à prononcer. Je me souvenais de sa frimousse se levant vers moi en répétant « mama ». Ce n’était pas une prononciation parfaite, mais c’était discernable. J’avais été folle de joie. Ma puce grandissait.

Mon portable vibra dans mon soutien-gorge (lieu stratégique quand on n’avait pas de poche !). En regardant qui avait cherché à ma joindre, je tombai sur une vidéo envoyée par mon père : Aliénor marchait à quatre pattes vers le canapé, levait ses petites mains potelées et se hissais pour se mettre sur ses jambes encore faibles. Un message suivait :

Toujours dans l’attente d’une réponse, je te préviens que la pitchounette ne tardera plus à marcher ! A quand tes prochaines vacances, que tu puisses admirer ses progrès de tes propres yeux ? Ce serait trop bête de manquer ça, tu ne penses pas ?
Prend soin de toi,
Ton père qui t’aime


Eh beh… Deux messages le même soir, il devait encore gagatiser devant sa petite-fille ! Ce petit monstre adorait le faire tourner en bourrique, mais lui ne s’en plaignait pas. Elle illuminait ses journées autant que les miennes ! Heureusement que lui pouvait me passer (trop) régulièrement des nouvelles : je la voyais ainsi régulièrement, mais à chaque fois je me sentais plus triste. Mais bon, il n’aurait pas fallu compter sur ma mère pour s’en occuper…

Enfin Andrew me retrouva dehors. Pas trop tôt. Il avait l’air plutôt maîtrisé, mais je le connaissais assez pour savoir que j’avais excité sa curiosité et attisé sa colère. Aussi ne fus-je pas surprise lorsqu’il déclara :

- Dis-moi que c’est vrai ?! Prouve-le-moi ! Montre-moi une photo de notre fille ! Et surtout pourquoi tu me l’as caché depuis tout ce temps ?! Si réellement, j’ai une enfant, je suis parfaitement en droit de la voir ! Allez explique-toi, Evanna !

Je le fis mijoter encore un peu, histoire de finir ma cigarette que je laissai tomber au sol et écrasai de mon talon. Il ne s’était rendu compte de rien le crétin ! J’étais tiraillée entre rancune et indifférence. Et puis à quoi bon… Je tirai à nouveau mon portable de mon soutien-gorge et sélectionnai une photo récente que j’avais prise moi-même sur laquelle Aliénor était assise par terre, les jambes en V et tenait ses pieds dans ses petites mains. Elle était écroulée de rire parce que mon père et moi faisions des grimaces de l’autre côté.

-Tu peux les faire défiler si tu veux, c’est par ordre chronologique : à gauche les plus anciennes, à droite les plus récentes.

Je me rappelais soudain que j’étais venue avec un sac à main… Il devait être resté à l’intérieur…

-Attend-moi là, je crois que j’ai oublié mon sac au comptoir du bar.

Je retournai à l’intérieur et retrouvais sans aucun mal mon sac. Sauf qu’au moment de me retourner, je me retrouvai nez à nez avec la petite frappe qui m’avait sifflé en entrant un peu plus tôt :

-Hello ma jolie ! Ça te dit une petite virée avec ma bande ? demanda-t-il en pointant du doigt sa bande de potes goguenards.

-Ouais, bien sûr ! Tiens, avant je te file mon numéro.

Il fit une drôle de tête. Il ne savait pas si je me moquais de lui ou non. Il était stupide en plus d’être lourdingue… Je fis semblant de chercher du papier dans mon sac, et lançant un grand sourire désolée, je lui annonçai que je n’avais rien pour noter.

-Ca ne t’empêche pas de venir faire un tour. Ah, mais tu es peut-être venue en Lambo ? Mince, il n’y a que deux places, non ? Bon, bah on va faire u tour seulement à deux, qu’en penses-tu ? ricana-t-il en me saisissant le poignet.

-J’en dis que c’est bête mais que je suis venue accompagnée.

-Quoi ? Avec l’autre ? Il a branché une strip-teaseuse tout à l’heure, et vous n’êtes pas arrivé en même temps ! Tu ne me feras pas croire ça, ma biche.

Il m’entraîna par la porte de derrière et m’emmena vers ma Lamborghini. Il se saisit de mon sac et chercha les clefs. Il ouvrit la voiture et d’un geste faussement galant m’accompagna jusqu’à la portière côté passager. Il l’ouvrit pour que je rentre dans l’habitacle mais avant qu’il n’ait pu se rendre compte de ce qui se passait, je fermais brutalement la porte, et ses doigts restèrent coincés.

-Put*** la garce !!! hurla-t-il si fort que l’on devait l’entendre jusque de l’autre côté du bar.

Je me lançai vers l’entrée mais ses chiens de garde eurent vite fait de me rattraper et empoignant mes cheveux, me tirèrent en arrière et me firent tomber au sol, à plat dos. Mon premier réflexe fut de me couvrir le visage. Je sentis un coup de pied dans mes jambes.

-Laissez-la. Elle est pour moi, déclara le chef de la bande.

Il me releva. Les doigts de sa main droite formaient un angle étrange : l’index, le majeur et l’annulaire étaient sans aucun doute cassés. Une fois sur mes pieds, il me donna une grande gifle du revers de la main gauche qui me fit chanceler. Je ne mis pas longtemps à reprendre mes esprits, et lui crachait dessus. De nouveau, il fit une drôle de tête. L’un de ses larbins passa derrière moi et s’empara de mes mains qu’il ligota à l’aide d’une corde dans mon dos. Quelle bande de barbares ! Ils me poussèrent contre le capot de ma voiture et m’allongèrent de force dessus, le ventre contre la carrosserie. Les saletés… J’arrivai à me retourner mais aveugle et entravée dans mes mouvements, je ne pouvais rien faire.

-Elle résiste en plus !

Quelqu’un abattit son poing dans mon ventre, me coupant la respiration. Je commençai à paniquer. Aliénor… J’espérais juste que j’avais gagné assez de temps pour qu’Andrew se rende compte que quelque chose clochait. Quoi que s’il admirait sa fille, ce n’étais pas sûr… Et même s’il s’en rendait compte, il avait de bonnes raisons de rester en spectateur pendant que ces types… Rha !!!

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Evanna & Andrew

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Mais que faisait-elle ici ? Drew se l’était demandé avant que la jeune femme ne vienne d’elle-même le rencontrer après avoir bu son verre de whisky et elle lui avait balancé la fameuse bombe dans la figure… Ils avaient une fille ensemble… Mais non ce n’était pas possible ! Faites qu’il se réveille de ce cauchemar ! Parce que cela voulait dire que sa pire crainte venait de se réaliser… Comme quoi ses fameux rêves prémonitoires étaient tels qu’ils étaient réellement… Non il ne voulait pas ! C’était l’horreur ! Une bataille intérieure venait de naître en lui alors qu’il digérait encore cette nouvelle qui allait à tout jamais changer sa vie. Il s’était mis à faire des retours en arrière dans ses pensées afin de se remémorer le jour où ils avaient fait l’amour sans préservatif mais malheureusement, son esprit déniait totalement ce fameux épisode. Et pourtant, il savait qu’Evanna était la fille avec laquelle il avait le plus couchée l’année précédente et comme depuis quelques mois, il ne la voyait pas – au départ, il s’était dit qu’elle en avait peut-être marre de lui et cela ne lui était que strictement égal – mais il comprenait aujourd’hui… Cela voulait dire que ses dires étaient véridiques et ça, le jeune Comte anglais ne voulait pas… Mais qu’importe, il s’était empressé de la rejoindre afin d’exiger des explications sur ces choses qu’il pensait être des mensonges même intérieurement, il savait que ce n’était que la plus stricte vérité parce qu’il connaissait bien la belle Evanna Xander : il savait mieux que quiconque que malgré ses côtés de connasse, elle était d’une franchise déconcertante.

Elle ne lui dit rien pendant quelques secondes, le laissant miroiter comme un idiot et cela avait le don d’attiser encore plus sa colère qu’il essayait tant bien que mal de contrôler… Elle fumait sa cigarette jusqu’au bout, ce qui le fit bouillonner de rage mais avant qu’il ne puisse exploser de colère comme il en avait envie actuellement, elle termina sa cigarette qu’elle écrasa avec son talon puis elle sortit son portable de son soutien-gorge ; qu’il ne put s’empêcher de reluquer malgré le fait qu’il soit en train de maîtriser de son mieux sa colère… Elle était toujours aussi sexy et son désir pour elle s’était aussitôt réveillé malheureusement, mais il l’ignora… Il voulait savoir la vérité ! Elle ouvrit le portable sur la galerie photo, plus précisément dans un dossier qui portait le nom d’Aliénor… Le jeune homme fut bouche bée en voyant la petite bouille de petite fille sur la photo qu’il regardait… Il s’agissait d’une petite fille de plus d’un an qui riait en se tenant les pieds, assise sur sa mère… Sur Evanna, plus précisément… Non ce n’était pas possible ! Il avait en face de lui la preuve irréfutable qu’il avait une petite fille qui s’appelait Aliénor : elle lui ressemblait même si c’était totalement le portrait craché de sa mère. La petite avait ses yeux à lui, son sourire et pleins d’autres petits attributs… Il ne se rendit pas compte de suite mais la colère qu’il ressentait actuellement était en train de s’envoler comme par enchantement alors qu’il regardait les photos de sa fille. Elle était si belle qu’il en pourrait devenir gaga. Le jeune homme était tellement subjugué dans sa contemplation de sa fille qu’il entendit à peine Evanna lui dire qu’il pouvait faire défiler les photos parce qu’elles étaient dans l’ordre chronologique. Il haussa simplement les épaules afin de dire qu’il avait compris tout en continuant à faire défiler les photos de son bébé. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait pendant sa contemplation mais cet enfant qu’il avait considéré comme un mauvais sort de la fatalité était en train de s’offrir une place dans cet endroit du corps humain qu’on appelait communément « le cœur ». « Ok ! Je t’attends ici » répondit-il alors qu’Evanna venait de lui dire qu’elle avait oublié son sac à l’intérieur du bar. Il ne fit même pas attention à elle : elle était déjà partie et il ne s’en était même pas rendu compte parce qu’il était trop sur sa contemplation de son petit bébé. Evanna avait raison sur un point : leur fille était vraiment belle et elle semblait être une fille très épanouie, ce qui lui donnait une certaine envie de la rencontrer mais pour le moment, il n’était pas encore prêt à faire cela. Il lui fallait du temps pour se remettre de cette nouvelle émotion forte ! Il avait l’impression que son corps menaçait de se désintégrer tout seul.

Tout à sa contemplation, le jeune homme n’avait pas suivi la scène qui se déroulait à proximité de lui, on aurait presque dit qu’il était totalement absent. Mais ce n’était qu’au bout de quelques minutes alors qu’il ne voyait pas encore la blondinette revenir qu’il comprit quelque chose clochait. Où était-elle ? Drew s’arracha rapidement de la contemplation des photos de sa fille et il se mit aussitôt à chercher des yeux la jeune femme. Elle avait dit qu’elle allait chercher son sac au bar non ? Malgré le fait qu’il l’avait un peu ignorée, il avait retenu cette information donc il se précipita à l’intérieur mais après quelques minutes de recherche et il avait même fouillé les toilettes des filles, ce qui n’avait pas fait manqué de faire crier les jeunes femmes qui s’y trouvaient mais ne prenant guère le temps de s’excuser, il était reparti à la recherche de la mère de sa fille … il se dit qu’elle était peut-être revenue à l’heure qu’il était donc il ressortit mais à mi-chemin, il vit la scène qui se déroulait dans la Lamborghini de son ex. Celle-ci était en train de se faire torturer par un groupe de type. Le sang du jeune homme ne fit qu’un tour ! Il se précipita et aussitôt il asséna un coup de coude dans le dos de celui qui était en train de ligoter les mains d’Eva… L’autre s’écroula sous la puissance du coup, ses camarades vinrent s’attaquer à Drew qui les élimina avec une facilité déconcertante avant de s’attaquer au chef de la bande en le sortant sèchement de la voiture. Il le balança par terre, au même moment où les vigiles du bar se précipitaient vers eux. Drew lui fit un simple signe de tête, ils hochèrent la tête pour montrer qu’ils avaient compris puis ils prirent les connards et les jetèrent sèchement hors de l’enceinte du bar en leur disant bien de ne pas revenir. Pendant ce temps, Drew refaisait le portrait de l’autre con, il lui explosa le nez d’une droite bien placée avant de lui murmurer d’une voix menaçante : « Si jamais je te revois ou que tu portes plainte, je te jure que je vais faire de ta vie un enfer ! Maintenant dégage ! » Il se releva tandis que son adversaire, en sang, se relevait difficilement avant de se précipiter dehors. Il remercia les vigiles d’un signe de tête sans faire attention aux personnes qui étaient venues voir ce qu’il se passait, puis il alla voir Evanna. Elle était sonnée, il la sortit de sa voiture et la prit dans ses bras en disant doucement : « C’est bon ! Tu n’as plus rien à craindre. »



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Tout vient à point à qui sait attendre
Bar d’Inman square
Andrew & Evanna

J’étais sous le choc. J’avais réussis à m’enfermer dans ma voiture après avoir été agressée, mais je n’avais pas compris ce qui venait de se passer. Drew était intervenu. Enfin il me semblait… J’avais un doute maintenant… Si mes yeux ne m’avaient pas trompée, il avait fait leur fête à ces petits délinquants (terme faible, certes, mais je pataugeais trop pour trouver quelque chose de plus fort à leur balancer à la figure). Des vigiles s’étaient emparés des malotrus, et les avaient envoyés à l’extérieur de bar. Drew avait achevé le chef de la bande de ses propres mains. Il avait dû lui balancer une phrase acerbe mais je ne compris pas quoi : il avait parlé trop doucement. L’imbécile qui avait osé s’attaquer à moi s’en alla très promptement, et Drew fit un signe de tête aux vigiles. Des personnes s’étaient attroupées autour de nous et nous regardaient bizarrement.

Drew ouvrit la portière et me prit dans ses bras. Je ne réagis pas. Je l’aurais bien insulté, remercié, je lui aurais sortis ses quatre vérités, mais je n’y parvins pas. Je tremblais encore. Il me chuchota une parole réconfortante, mais je ne l’entendis pas. Comment pouvais-je le croire capable de sentiments affectueux à mon égard ? Il nous avait abandonné, moi et sa fille ! Je m’écartais de lui et le fixais. Aurait-il changé pendant cette année écoulée ? Avait-il vraiment eu peur pour moi ? Et pourquoi était-il venu ? J’aurais aussi bien pu me débrouiller seule ! J’étais bien partie ! Je bredouillais quelques remerciements très plats. Je me noyais dans ses yeux plus purs qu’un ciel d’azur, puis m’en détournai.

-Je suppose qu’en bon homme d’affaire tu vas exiger que je te paye une dette. Alors prononce ta sentence et après… après… Mais allez voir ailleurs vous autres, y’a plus rien à regarder !

Je m’emportais sans raison contre les passants. Pas parce que j’étais en colère, mais parce que je réalisai que je perdais à nouveau tous mes moyens face à lui. Comme il y avait 1 an. On n’était pas devenu sex-friends de l’extrême pour rien !

© Crédit - Lackey_G ® - Je t'aime mon ange


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Evanna & Andrew

(flashback) YOU’RE HIDDING SOMETHING !



Le jeune homme avait été complètement hypnotisé par les photos de sa fille qui était très jolie comme l’avait dit sa mère. Elle était véritablement le fruit d’une parfaite union sexuelle entre Evanna et lui : la petite fille était une jolie Princesse et elle briserait des cœurs lorsqu’elle serait plus grande tout comme ses deux parents ! Bref, il était tellement hypnotisé par sa contemplation qu’il n’avait remarqué qu’après coup qu’il se passait quelque chose de bizarre autour de lui et que sa compagne du soir – sensée être repartie dans le bar afin de récupérer son sac à main – n’était pas encore revenue. Cela avait inquiété Andrew qui s’était mis à la chercher aussitôt qu’il eut compris que quelque chose se passait et qu’Evanna était certainement la victime… Il l’avait retrouvée aux prises avec des malotrus ! N’écoutant que son instinct, le jeune Comte anglais s’était jeté à la mêlée et en quelques tours de passe-passe, il avait éliminé ses adversaires les uns après les autres et alors que des vigiles étaient venus l’aider afin de se débarrasser de ces connards, il s’était occupé du chef de la bande qui venait d’attaquer Evanna… Il lui avait complètement refait le portrait puis il lui avait dit sèchement de ne plus jamais revenir ni même apparaître ne serait-ce qu’une seule et unique fois devant lui, il le payerait très cher de sa vie ! L’autre lâche s’en était allé ! Drew avait remercié les vigiles d’un signe de tête avant de récupérer son ex sexfriend et désormais mère de son enfant… Car oui, il la croyait maintenant qu’il avait vu la petite bouille qu’était Aliénor… L’Héritière de l’une des plus grosses fortunes de la planète ! A même pas 2 ans, la petite fille cumulait déjà tout : Duchesse, Comtesse, Baronne, descendante de la famille royale britannique et héritière de KW Industries et de Xander Inc… Evanna semblait lutter contre des sentiments contradictoires alors qu’il l’avait prise dans ses bras. Elle murmura quelques mots qui étonnèrent Drew… Elle gueula après les gens qui les regardaient. « Calme-toi, Eva ! Viens on va ailleurs, ainsi tu pourras peut-être payer ta dette… » Il fit signe à l’un des vigiles à qui il murmura à l’oreille : « Veuillez je vous prie de bien surveiller cette Lamborghini jaune. Elle sera récupérée par un homme vêtu d’un costume noir dans quelques minutes. Si jamais je retrouve une simple rayure dessus, vous pourrez dire adieu à votre travail… Est-ce bien clair ? » Le Grand Black hocha la tête en signe d’accord puis Drew prit la main d’Evanna et la mena jusqu’à sa voiture à lui… Il lui ouvrit la portière puis il s’installa au volant et démarra en trombe… Il mit la radio. Alors qu’il était bien concentré sur la route, il se tourna soudainement vers Evanna et se pencha pour cueillir ses lèvres… Leurs sensations lui avaient énormément manqué, il l’embrassa longuement tout en conduisant : la route était tellement fluide qu’il pouvait conduire les yeux fermés. Puis il dit d’une voix aussi douce que possible :

Mon âme, tourne vers moi ce regard ébloui
Plonge en mes yeux ce regard enivré
Et dis-moi
Dis-moi par les plus simples mots
Dans une seule langue, s’il le faut, que tu m’aimes
J’ignore si je dois, j’ignore si je peux
Epancher sans regretter mes plus sombres secrets
Afin de les transporter grâce à une brouette vers un lieu inavoué…
T’aimer plus qu’il vaudrait,
T’aimer comme je voudrais…
Tout ce qui palpite en moi telle
Des pâtes à la carbornara dans une casserole,
Ce douce folie qui se transmet de mes doigts à ta peau sourdement,
Je voudrais aussi te le dire et te l’écrire… JE T’AIME !

Il se tut légèrement et préféra se reconcentrer sur la route… Ouah ! Il venait de faire une déclaration d’amour à la mère de sa fille… Comment allait-elle réagir à cela ?



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Andrew & Evanna

Tout vient à point à qui sait attebndre



Je ne comprenais pas ce qu’il se passait, tout s’embrouillait. Je n’avais qu’une envie, m’enfuir chez moi. Pas à Harvard, non, à Londres, avec ma petite fille.

-Calme-toi, Eva ! Viens on va ailleurs, ainsi tu pourras peut-être payer ta dette…

Parce qu’il comptait vraiment m’en coller une ce salop ? Il se retourna et demanda aux gorilles posés là de prendre soin de ma Lamborghini le temps qu’un de ses subalternes vienne la récupérer. Pour qui se prenait-il à décider à ma place ? Cependant je me tus. Il prit ma main et m’entraîna vers sa propre voiture. A quoi jouait-il ? Je n’avais aucune intention de partir faire une virée à deux ! J’étais comme du chewing-gum, molle au possible. Je me révoltais intérieurement, mais c’était comme si mon cerveau n’imprimait plus jusqu’au muscles : c’était le grand vide. Est-ce qu’il sentait que je n’étais pas dans mon état où faisait-il semblant de ne pas voir ? Ça lui ressemblait bien, ça… Il me posa sur le siège passager, ferma la portière et s’installa derrière le volant. Il démarra en trombe, j’en restais collée à mon siège. Ca petite voiture aussi avait pas mal de chevaux sous le capot. Mais j’étais moins à l’aise que dans ma Lambo. Peut-être parce que son odeur emplissait tout l’habitacle ?

Il mit la radio, mais je n’entendais pas ce qui passait. J’étais en train de revoir par flash mon épouvantable soirée. J’étais partie pour m’amuser et dans la même soirée, j’avais croisé mon ex et père de ma fille, et je m’étais faite agresser alors que je retournais chercher mon sac. Et puis je me retrouvais séquestrée par Andrew dans sa voiture.

Je sentais quelque chose monter entre nous, comme un courant électrique. C’était ça qui avait fait de notre relation quelque chose de magique. On avait toujours été très compatibles sur un seul plan : le sexe. Aussi, je tournai la tête vers lui, et nos lèvres se rencontrèrent. Depuis combien de temps n’avais-je embrassé personne de cette façon ? Il avait une manière bien à lui de prendre possession de ma bouche et de me donner des frissons. Il ne faisait même plus attention à la route… J’aurais été dans mon état normal, j’aurais sauté en route. J’aurais été dans mon état normal, je l’aurais repoussé, giflé, je m’en serai éloignée. Oui mais voilà, je n’étais pas dans mon état normal, loin de là. Par contre, je ne m’attendais pas à ce qui suivit

Mon âme, tourne vers moi ce regard ébloui
Plonge en mes yeux ce regard enivré
Et dis-moi
Dis-moi par les plus simples mots
Dans une seule langue, s’il le faut, que tu m’aimes
J’ignore si je dois, j’ignore si je peux
Epancher sans regretter mes plus sombres secrets
Afin de les transporter grâce à une brouette vers un lieu inavoué…
T’aimer plus qu’il vaudrait,
T’aimer comme je voudrais…
Tout ce qui palpite en moi telles
Des pâtes à la carbornara dans une casserole,
Cette douce folie qui se transmet de mes doigts à ta peau sourdement,
Je voudrais aussi te le dire et te l’écrire… JE T’AIME !


ERROR SYSTEM. ERROR SYSTEM. Réinitialisation. C’était… Original ! Je ne savais pas s’il avait composé ça sur un coup de tête où essayé d’apprendre un poème, mais bon, je devais reconnaître qu’il avait fait un effort, quoi que j’aurais au moins essayé de coller des rimes dans ce fouillis plein de sentiments. Ce qui palpite en lui telles des pâtes à la carbonara… Subtile comme image, on n’aurait pas dit comme ça, mais très profond ! Je souris, mais ne dis rien. Jusqu’au moment où je ne pus m’empêcher d’éclater de rire. Je partis dans un fou rire incontrôlable, et entre deux nouvelles explosions, j’arrivais tout juste à articuler « Gare-toi abruti ! ». Oui, il m’avait manqué, mais surtout d’une façon inavouable dans mon état.

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Drew avait eu énormément peur pour la jeune femme lorsqu’elle s’était faite agressée et c’était pour cela qu’il avait intervenu de la plus forte des manières. Il n’avait pas trop aimé comment elle l’avait remercié par la suite… Elle le voyait réellement ainsi ? Un salaud qui faisait quelque chose uniquement pour recevoir une récompense en retard. Néanmoins, il lui avait dit de monter dans sa voiture tout en demandant aux gorilles qui gardaient l’entrée du bar à striptease de bien surveiller la Lamborghini de la jeune femme. Il leur avait dit que si jamais la voiture avait un quelconque problème, ils auraient à faire à lui. Donc une fois cela fait, il avait démarré sa voiture en trombe tout en allumant la radio. Alors que la route était bien plus fluide, il s’était mis à l’embrasser avec une ardeur que seul lui connaissait d’ordinaire. Ce baiser lui avait donné une envie étrange et il sentait que dans son pantalon, une bosse se formait à cause de ce super baiser qu’ils étaient en train de s’échanger. Puis soudain sans prévenir, il lui avait fait une super déclaration avec une drôle d’image à propos de pâtes à la carbonara qui palpiteraient dans une casserole. Il était un peu gêné mais il ne le montra pas tandis que la jeune femme souriait et elle éclata de rire ! Elle lui dit de se garer, ce qu’il fit aussitôt en souriant. « Voilà beauté, nous sommes garés ! Que veux-tu faire maintenant ? » murmura-t-il d’une voix doucereuse…
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Quelle drôle de déclaration ! Je ne m’attendais vraiment pas à ça de sa part. J’aurais dû me douter qu’il serait doué d’une finesse pachydermique ! Il était complètement rouillé ! J’allais devoir le reprendre en main, et ce, dans tous les sens du terme. A une jeune femme telle que moi, si parfaite, si modeste, si riche et belle, on devait offrir le meilleur ! Et puis bon, Google était l’ami de tous les instants pour les poèmes, il aurait pu s’e inspiré ! Au début, j’avais songé à un gage, une sorte de jeu entre lui et un autre Winthrop, peut-être un bizutage, ou qu’en savais-je ? Eh puis non, comme il avait énoncé les derniers mots et redirigé son regard sur la route, je savais qu’il était sincère, ce qui me fit partir dans un fou rire incontrôlable. Du coin de l’œil, je vis que mon charme opérait encore, surtout après une si longue absence, et entre deux crises de rire, je lui demandai de s’arrêter sur le bas-côté. On était perdu au milieu de nulle part, il n’y avait que des arbres, et la route étendue à l’infinie sous le ciel d’encre. Les étoiles mouchetaient le ciel, et la pleine lune offrait juste assez de lumière pour que je puisse me lancer à l’assaut sans craindre un coup de frein à main dans le bassin.

-Voilà beauté, nous sommes garés ! Que veux-tu faire maintenant ?

Il osait poser la question alors que son entre jambe le trahissait ? J’hésitais à le laisser mariner. Après tout, je n’étais pas encore détachée, et je nageais toujours en plein fou rire. Non, j’en avais envie moi aussi. Je ne répondis pas, mais calmai les larmes qui me montaient aux yeux à cause de mes éclats. Je pressais le bouton pour me libérer de ma ceinture. Quand le silence retomba parfaitement, je me mis à genoux sur le siège, laissant tomber mes talons sur le tapis de sol. Ma main droite vint caresser son membre durci alors que je me penchais pour l’embrasser fougueusement. Oh oui, j’en avais envie, mon propre corps me trahissait. Ma main baladeuse remonta doucement sous son T-shirt, caressant ses muscles si bien dessinés. Un régal pour les doigts ! Je remontais jusqu’à sa poitrine, entrainant son vêtement dans ma course. Je glissais un œil sur ses abdominaux. Il n’avait pas changé, toujours aussi bien foutu. J’étais envieuse des nouvelles copines qu’il avait pu se faire. Sous mes doigts, je sentais son cœur « qui palpitait en lui telles des pâtes à la carbornara dans une casserole ».

Nos bouches ne se quittaient plus, nos langues se cherchaient des noises, mais ma main se retira : j’attrapai un élastique à tâtons dans mon sac et m’attachai les cheveux. NI lui ni moi n’avions sans doute envie d’en manger. Du moins, s’il comptait aller plus loin. J’avais été assez clair quant à mes intentions, à lui de me montrer ce qu’il avait dans le ventre, à par son cœur palpitant !

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