Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+Micah) I'M SO SORRY, LOVE ME.
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(+Micah) I'M SO SORRY, LOVE ME.

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T'étais mal, même vraiment mal. Tu jetais un coup d'oeil à ton reflet dans le miroir qui semblait plus que pathétique. Yeux gonflés, cernes creusé. Autant dire que tu donnais l'impression d'avoir passé de sale jour. Et c'était plutôt le cas. Toi qui jouais à la fille forte, t'avais été bien loin de l'être ses derniers temps. D'ailleurs, tu n'avais même pas pris la même de sortir de ta chambre à la Mather House depuis quelque jours. Bordel, mais pourquoi est-ce que ça t'affectais autant. Les yeux plus que rougis, tu les essuyais une nouvelle fois appliquant une tonne d'anti cerne pour te donner meilleure mine. Fallait pas qu'il te voit comme ça. Fallait qu'il voit à quel point t'avais souffert. Parce que c'était le cas non ? T'étais presque au plus bas et t'avais l'impression d'avoir vécu un réel calvaire. Tout ça pour quoi ? Tout ça pour qui ? Comme une agonie lente et douloureuse tu t'étais sentis sombrer petit à petit sans réussir à te relever. C'était pas toi ça. Toi t'étais la fille forte, la fille fière. T'étais pas ce truc qui pleurait plus qu'autre chose. T'étais pas cette fille qui restait enfermer dans sa chambre sans aucune envie. Non. Toi t'étais l'invincible, celle que rien ne touchait et pourtant, tu te sentais misérable à ce moment même. Micah. Mais comment avait-il pu avoir autant d'impact sur toi ? Votre dernière altercation résonnait douloureusement dans ta tête et tu n'avais de cesse de te repasser encore et encore la scène final. Celle qui avait mis un terme à ce que vous pouviez vivre. Et tout ça pour quoi ? A cause de toi. Parce que c'était toujours ta faute. T'avais jouée encore et encore sans penser une seule seconde que tu pouvais perdre et maintenant que c'était fait.. T'avais l'impression de souffrir le martyr. Il te manquait, c'était indéniable. T'étais plus toi. Il te manquait la partit la plus essentielle. Lui. Et tu t'étais battu ces derniers temps pour avoir une chance de lui parler. Parce que pour la première fois de ta vie, tu lui avais clairement dit que tu l'aimais et il était partit sans se retourner. Cela ne pouvait pas se finir comme ça. Il ne pouvait pas. T'avais besoin de plus, tu pouvais pas être sans lui. C'était impossible. Une dernière couche de maquillage et tu partais. Tu partais en direction de chez lui sans trop savoir quoi lui dire au final. T'avais peur qu'il te rejette encore une fois alors que s'il le faisait tu l'aurais bien méritée. Après tout, c'était de ta faute tout ça. Tu l'avais cherchée. Tu n'avais pas arrêter de lui en envoyer plein le visage et il avait finit par exploser. Qu'est ce que tu pouvais espérer maintenant. Après un certains temps qui te parut être une éternité, tu finissais pourtant par arriver devant son immeuble et tu montais les marches menant jusqu'à sa porte le coeur battant. Le miroir se trouvant dans le hall d'indiquer que t'étais toujours dans un piteux était malgré tes efforts mais ce n'était plus le moment de reculer et tu finissais par frapper légèrement à sa porte retenant ta respiration.
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Des jours que tu attendais que la douleur passe. T’avais l’impression que c’était ça, qu’une douleur qui devait passer pour que tu puisses avancer. Parfois tu en venais à te poser des questions sur pourquoi ça te faisait aussi mal. Vous ne vous connaissiez pas depuis si longtemps. Vous n’étiez pas mariés, vous n’étiez pas en couple. Vous ne vous étiez même jamais vraiment embrassés. Vous n’aviez pas d’enfants en commun, pas un appartement, même pas un chien. Alors pourquoi ça te faisait mal ? Parce que tu avais pris la chose à cœur, trop à cœur. Tu étais bien dans ta bulle de solitude, insaisissable aux autres, loin, tout simplement. Tu te sentais bien quelque part, parce que ça t’empêchait de souffrir, ça t’empêchait de ressentir la douleur des autres. Ca t’empêchait de repenser à la douleur que t’avais ressentis le jour où tu avais vu Annalisa pour la dernière fois. C’était même pas la douleur physique de l’accident. Elle avait été tellement soudaine, brutale, fugace, qu’au fond elle ne t’avait pas fait si mal que ça. Ca s’était effacé de ta mémoire, en quelque sorte, et ton corps seul sans rappelait. C’était la douleur morale. T’avais pas réussi à oublier tout ça, mais à t’en éloigner suffisamment pour que ça devienne vivable. Tu avançais dans la vie sans rien dire, parce que tu t’en fichais au final. Mais Zippora c’était autre chose, c’était différent. Tu avais appris à aimer Annalisa, vous aviez sympathisé avant de vous aimer. Mais avec Zippora, ça t’était tombé dessus, d’un coup. Dès le premier regard tu avais senti cette chose, tellement plus forte que de l’amour vous unir. C’était de la fusion, littéralement. T’avais contemplé le plafond toutes les nuits depuis la dispute, sans pouvoir dormir, parce que tu t’en voulais de lui avoir dit ça. Au fond, pourquoi ça te gênait à ce point ? Tu avais fini par trouver la réponse. Ca te gênait simplement parce que tu l’aimais vraiment, profondément. Tu pensais à elle, tout le temps. Même avant que vous ne vous disputiez. Assis par terre dans ta chambre, un amas de papiers étalé autour de toi, tu cherches à écrire les paroles de chanson qui te viennent d’ordinaire si naturellement. Mais plus rien depuis quelques jours. A croire que Zippora t’a, en plus de ton cœur, volé ton inspiration. Quelqu’un frappe à la porte, tu la contemples en silence un instant avant de te lever. Tu l’ouvres lentement. Zippora est là, penaude. Elle aussi a eu l’air de mal vivre l’après-dispute. Ses yeux bleus te fixent, comme éperdus. Comme si elle n’arrivait pas à formuler des excuses qui étaient là, pourtant, dans son esprit. Vous vous contemplez un moment en silence, guettant le premier pas de l’autre, comme à chaque fois. C’est toujours comme ça entre vous. Mais tu finis par te dire qu’il faut dépasser ça. Quelques centimètres vous séparent, et tu décides de supprimer cette barrière invisible. Lentement, tu passes un bras autour d’elle et tu la serres contre toi, contre ton cœur. Purement, simplement. Sans un mot.

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Bordel, ça te rongeait à l'intérieur. La porte c'était même pas encore ouverte que t'avais l'impression de te sentir défaillir. Et pourtant, tu luttais. Tu luttais pour pas pleurer, pour pas t'enfuir. Pour lui dire enfin ce que t'avais vraiment sur le coeur. Il fallait que ça sorte, fallait pas qu'il croit que tu jouais. Parce que putain, c'était bien le seul avec qui tu voulais pas jouer. T'avais jamais été aussi sincère qu'avec lui. C'était le seul à te connaître, à savoir que tu n'étais pas qu'une garce sans coeur. Alors pourquoi t'avais t-il tourner le dos quand tu avais enfin dis que tu l'aimais ? Peut être parce que c'était trop tard. Ouais.. C'était sûrement trop tard. Et maintenant, t'avais encore plus mal. Tu te demandais quel pourrait être ta réaction si jamais il te tournait le dos encore une fois. Comment t'allais réagir s'il ne voulait pas te parler. Parce qu'il était probable que ça arrive. Probable qu'il te claque la porte au nez avant même que tu ne puisses dire quelque chose. Et finalement, il ouvrait. L’apercevoir, ça te faisait un bien fou. Comme si tout à coup, ta vie avait de nouveau un sens. Mais tu voyais bien qu'il allait pas bien non plus. Est-ce que c'était à cause de toi ? Est-ce que c'était toi qui le rendait comme ça ? T'avais des tonnes de chose à lui dire et pourtant, aucun son ne sortait de ta bouche. Tu restais juste bloquée sans trop savoir quoi dire te contentant de le fixer encore et encore. Pourtant, tu savais qu'il fallait que tu t'excuses, parce que c'était de ta faute tout ça. Mais tu faisais rien. Tu restais juste face à lui, le regard un peu perdu et le coeur meurtri. Jusqu'à ce qu'il fasse le premier pas. Tu sens son bras t'attirer contre lui et tu te retrouve contre son corps, le coeur battant la chamade. T'as l'impression que ta peine de ses derniers jours disparaît petit à petit et tout ça, simplement parce que tu es avec lui. Alors pour la première fois depuis votre dernière altercation, tu souris. Tu passes à ton tour tes bras autour de son cou le serrant un peu plus voir avant de lui murmurer doucement. « Je suis désolée Micah. Je suis tellement désolée. » Et puis sans savoir pourquoi, tu fonds en larme. Comme si encore une fois, tu laissais évacuer toute cette peine qui te bouffais à l'intérieur. C'était la première fois qu'il allait te voir réellement pleurer. Généralement, t'arrivais à rester assez forte pour ne pas le faire. Mais pas cette fois. Non, tout était différent maintenant. Parce que tu t'étais rendu compte de que tu ne pouvais pas être sans lui et que t'étais prête à assumer tes sentiments pour ne pas le perdre à nouveau. Tu finissais par reculer légèrement, juste pour pouvoir le regarder. Ton visage était inondé de larme mais, fallait que tu lui parles. Que tu lui dises ce que tu pensais vraiment pour que plus jamais il ne croit qu'il ne comptait pas. « Je t'aime Micah. J'veux dire.. Vraiment et.. J'veux être avec toi. » Tu savais pas pourquoi mais, t'arrivais pas à dire le reste. Pourtant, tu te l'étais récitée encore et encore dans ta tête, comme un vieux discours appris à l'avance mais maintenant.. Les mots ne sortaient plus. Pourtant, l'essentiel était là. Tu l'aimais et tu lui avais enfin dit sans qu'une dispute précipite tes paroles
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« Je t’aime aussi ». Elle a fondu en larmes et tu la regardes. Tu aimerais savoir comment faire pour la réconforter, mais en même temps tu as l’impression que ce ne sont pas des larmes de tristesse, mais d’épuisement, d’énervement. Elle a l’air à bout de nerfs, comme si elle luttait comme toi contre elle-même. Tu approches ta main de son visage, hésite, puis effleure sa joue. Vous vous tenez comme ça, sur le pas de la porte. Tu ne sais pas si cela implique plus. Tu n’es pas vraiment timide avec les filles, sans être extraverti. Mais face à elle, tu ne sais pas comment réagir. Elle te désarme. Elle est différente des autres, et spécialement pour ça, tout avec elle est différent de ce que tu as vécu avec d’autres. « Et je veux être avec toi ». Maintenant que tu l’as tenue contre toi tu ne peux t’empêcher de sentir cette impulsion qui la veut toujours dans tes bras. Ton cœur bat la chamade. Tu poses ton front contre le sien, comme vous le faites si souvent. C’est le geste intime que vous partagez comme amis. Mais une pensée fugace te traverse l’esprit. Vous n’êtes plus amis. Vous êtes amants, au sens restrictif du terme. Vous vous aimez, et simplement pour ça vous êtes amants. Les secondes s’égrènent mais tu n’as pas la notion du temps. Vous restez là. Pour une fois, tu as l’impression que vous êtes véritablement dans la même bulle. A part du monde. Au final peut importait qui disait quoi, qui faisait quoi. L’essentiel était que vous étiez là, ensemble. Et que vous vous aimiez, finalement. Alors doucement, presque comme une caresse, tes lèvres glissent sur les siennes, légères, sans réellement savoir si tu as tout-à-fait le droit mais t’autorisant tout de même cette effronterie. L’embrasser c’est jouer à la roulette russe ; tu ne sais réellement si tu vas en ressortir en entier, indemne. « Je te veux avec moi », tu murmures encore, deux millimètres à peine vous séparant. Votre premier baiser sur le pas d’une porte. Parce qu’à l’intérieur de toi, tu as peur que ça rompe la magie de l’instant. T’es pas un mec fleur-bleue, d’ordinaire. D’ordinaire.

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T'arrivais pas vraiment à réaliser ce que tu venais de dire. Parce que c'était tout ce contre quoi tu t'étais battus jusqu'à maintenant. Les sentiments, l'amour, l'attachement, t'avais tout fait pour ne pas que ça t'arrives. Parce que t'avais la trouille. La trouille de souffrir, d'avoir mal, de n'être plus rien. Et finalement, t'avais souffert parce que tu l'avais repoussé. Quelque part, tu espérais vraiment que les choses soient différentes avec lui, que tout aille toujours bien. Et t'y croyait. Parce que c'était pas une banale histoire d'adolescent. C'était quelque chose de beaucoup plus fort, de beaucoup plus grand. Quelque chose qui vous dépassez sûrement mais qui vous avez atterrit dessus comme ça, d'un coup. Une histoire digne de Shakespeare. Son je t'aime t'explosa au visage. C'était le genre de chose que t'aimais pas entendre, tu voulais pas que les gens t'aimes mais lui.. Lui tu le désirais plus que n'importe. T'étais prête à tenter de mettre de côté toute tes barrières juste pour pouvoir l'avoir à tes côtés. Parce que t'avais compris que sans lui tu n'étais rien. Que vous étiez deux âmes complémentaire ne pouvant vivre qu'en présence de l'autre. Son front contre le tien, ton coeur qui prend un rythme effréné, ton souffle qui s’accélère presque dangereusement. Tu ne sais pas quoi faire ou dire. Attend t'il quelque chose de toi ? Ton regard se perd dans le sien pendant une durée indéterminée. Tu restes justes là à attendre. Vos retrouvailles sont parfaites, tu n'as presque plus mal. Et puis pour la première fois ses lèvres viennent se poser sur les tiennes. Doucement. Timidement. Et toi, tu fermes juste les yeux. Surprise et heureuse à la fois. Tu savais que ça allait arriver et quelque part, t'en avais rêver bien trop longtemps. C'était comme une explosion de sensation à l'intérieur de toi. Ça restait timide, discret, ce n'était qu'un simple effleurement et pourtant, ça signifiait tout. Tu sentais son souffle se propager sur ton visage et tu glissais ta main dans la sienne comme pour lui dire que tu ne le quitterais plus. Que cette fois t'étais prête à te battre pour lui.  « Je suis avec toi. » Tu murmures à ton tour avant de venir chercher ses lèvres à nouveau. Une nouvelle addiction. T'a envie de l'embrasser et cette fois, tu ne restes pas sans rien faire. Tu rends même les choses un peu plus passionné. Tu le veux. Tu le désires. Et pour rien au monde tu ne le laisseras à nouveau partir. « Cette fois je partirais pas. »
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Elle t’enlace à son tour et te rend ton baiser. Plus passionnément, presque férocement. Ses lèvres sur les tiennes sont comme un pansement sur ton cœur. Tu espères tellement que les engueulades débiles soient terminées ; mais d’un autre côté, tu sais au fond de toi que tu ne pourras qu’espérer la changer sans y parvenir totalement. Ton cœur tambourine dans ta poitrine tandis que vous vous étreignez. Les secondes s’égrènent mais tu n’en n’as cure. Tu es avec la fille que tu aimes. Peut-être n’est-elle pas comme les autres, peut-être est-elle tout simplement meilleure ou pire. Mais tu t’en fiches, dans l’instant présent. La seule chose à laquelle tu penses, à cet instant, c’est à ses lèvres contre les siennes. Vous avez franchis ensemble les ultimes barrières de votre amitié. Vos lèvres s’éloignent finalement et tu repenses aux mots qu’elle t’a dits.  « Bien sûr que non, parce que je te laisserais pas partir ». Le sourire en coin, l’étreignant toujours, tu te rends compte que c’est vrai. Tu feras tout pour la garder, tu lui montreras à quel point entre vous c’est fusionnel. Lentement, tu desserres ton étreinte et, tes doigts enlaçant les siens, tu l’entraînes dans l’appartement, enfin rassuré que tout ne soit pas qu’un vague mirage. Gêné, tu te retrouves confronté à la vue de ton amas de papiers griffonnés, que tu te presses de ramasser maladroitement.  « C’est…hum… des brouillons de chansons », tu balbuties, l’air de t’excuser. Tu rougies bêtement et tu les flanques sur un meuble. Hésitant, tu la regardes contempler ton petit monde à toi, dans lequel elle n’avait jusqu’alors jamais mis les pieds. La voir ici te semble étrange mais agréable.  « Je… Je suis désolé pour ce que je t’ai balancé l’autre fois », tu finis par murmurer en t’approchant d’elle, d’un air gêné. Tu effleures son bras, hésitant.

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Ou du moins, tu l'espères. T'espères être assez forte pour ne pas fuir encore une fois. Parce que tu ne peux pas nier que ça te fais peur, que ça te terrifie même. Comme si tu plongeais les yeux fermés dans un gouffre sans fin. Tu sais que le laissais entrer totalement dans ta vie signifie aussi que tu prend le risque de souffrir. Mais maintenant, tu sais que ça en vaut la peine. Parce que toute la souffrance du monde n'est rien comparer à son absence. Tu ne l'as que trop bien compris pendant ces jours sans lui. Quelque part, t'avais toujours cru que les choses resteraient comme elles étaient. Rythmées par tes crises de colère. T'avais réellement pensée que ça lui suffirait. Mais ce n'était pas le cas. Il avait eu le cran de te tenir t'aide et finalement, ça avait finit par te faire réagir. Alors oui, t'avais peur. Oui, t'étais complètement perdue mais, t'étais maintenant sûre que tout ça en valait la peine. Qu'il en valait la peine. T'avais jamais voulu baser ta vie sur des sentiments et maintenant, t'étais prête à crever pour lui. Tu lui souris en espérant que les choses se passe réellement comme ça. En espérant qu'il te retienne malgré tes colères, malgré ta méchanceté parfois trop prononcé, malgré tout ce qui te caractérisait pas forcément de la meilleure façon qui soit. Tu le suis dans l'appartement observant tout ce qui pouvait t'entourer. Observant le milieu dans lequel tu vivais mais seul les papier froissées au sol attire ton attention. « Je peux voir ? » T'a toujours été trop curieuse mais la musique, c'est ton domaine. Tu étudie dedans, tu composes tes propres mélodies, alors évidement, ça t'intéresse. Seulement il enlève tout et tu le regardes juste faire sans rien dire de plus. « C'est pas grave.. » Tu frissonnes à son toucher te remémorant sans trop le vouloir les paroles qu'il avait pu avoir à ton égard. T'avais eu mal, terriblement mal et tu t'étais torturer avec ça. Et s'il avait raison ? Si tu étais réellement incapable d'aimer ? S'il t'étais impossible de t'investir dans une relation ? Tu voulais pas lui faire du mal. T'avais peur de revenir sur ta décision par la suite mais tu voulais essayer. Tu voulais lui prouver que tu pouvais être bien. Que tu pouvais être la personne qu'il aimait. Parce que t'y arrivais quand tu abaissais tes barrières. Tu savais que tu pouvais le faire. « C'était de ma faute et.. Je vais vraiment essayer Micah. Je te promet pas des miracles mais je vais essayer. »  
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« Je t’en demande pas tant que ça ». Tu te défends piteusement parce que tu te sens coupable d’exiger tout ça d’elle. Tu sais ce que ça représente pour elle tout ça. Et c’est vrai, au fond, qu’est-ce que tu es en droit de réclamer ? La vérité, c’est que tu ne peux rien exiger d’elle. La seule chose que tu peux exiger c’est de toi qu’elle doit venir, d’être indulgent envers elle, tout simplement. Mais c’est dur pour toi d’être indulgent. C’est dur d’accepter que tu puisses être heureux à nouveau après avoir frôlé la mort de si près. C’est dur autant pour elle que pour toi d’accepter que tu puisses aimer quelqu’un d’autre à nouveau, même si tu as eu le courage de lui avouer la dernière fois. « Si on essaye un peu tout les deux, ça devrait finir par marcher non ? » L’important c’est que vous soyiez honnêtes l’un envers l’autre. Elle t’a promis d’essayer, même si elle reconnait que ce sera compliqué. C’est toujours compliqué, au début. Même avec Anna c’était compliqué. Vous étiez amis, vous vous connaissiez à peine. Et puis il y avait aussi ta jumelle, Lila, qui détestait Anna et la plupart des filles autour de toi. Tu pouvais pas lui en vouloir, tu faisais pareil avec ses éventuels copains. La question est posée sur le ton de l’amusement mais tu ne peux te défendre d’une trace d’inquiétude. Tu glisses tes doigts entre les siens. La voir, la toucher, c’est comme le sentiment d’être à nouveau vivant. Vivant comme avant. Ton coeur se serre; tu aimerais pouvoir lui parler franchement, sincèrement, de ce que tu as vécu, pouvoir lui expliquer pourquoi tu es comme ça. Mais tu n'oses pas. T'as peur qu'elle ait pitié de toi ou qu'au final ton vécu soit incomparable au sien.

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Ouais. T'allais faire des efforts. T'allais réellement faire en sorte qu'il n'est plus le besoin de t'en mettre par la tête. Et tu savais que ça allait t'en coûter. Parce que tu t'étais forgée une tel carapace qu'il allait être plus que compliqué de la briser. Cela demanderait du temps et de la patience et quelque part, t'avais peur de ce que les gens pourraient découvrir quand ils verraient la véritable Zippora. Celle qui rit tout le temps, qui vient en aide aux autres et surtout, qui n'emmerde pas le monde. Tu t'étais fais tellement d'ennemi à Harvard que tu sentais que pas mal de chose allaient se retourner contre toi. Pourtant, t'étais prête à courir le risque. Pour lui, juste pour lui. Quelque part, tu ne savais même pas si tu en serais vraiment capable. Si t'allais réussir à détruire la forteresse que t'avais construire autour de toi. Parce que ça datait de pas mal d'année. Ce n'était pas récent. C'était long, solide, caractérisant ce que t'avais endurée plus jeune. « Oui, ça devrait marcher. » Tu lui adresses un sourire entremêlant tes doigts dans les siens. Et comme à chaque fois qu'il te touche, ta respiration s'accélère, ton coeur prend un rythme effréné. Tu fermes les yeux quelques secondes avant de poser ta tête sur son épaule. Comme si ça te calmais, comme si ça t’apaisais. Quelque part, quand t'étais contre lui, tu te sentais en sécurité. Comme si plus rien ne pouvais t'atteindre une fois qu'il était prêt de toi. Et c'était étrange de ressentir ça. T'avais jamais aimée, jamais comme ça. Et il remettait en cause tout tes principes, tout ce en quoi tu croyais. Il avait débarqué comme une fleur et avait tout ravagé autour de toi sans que tu n'ais le temps de comprendre. « Je t'aime. » Comme un murmure sortant de ta bouche, tu le lui disais encore une fois. Toi qui n'avais jamais aimée personne, tu te retrouvais à le lui répéter inlassablement comme si ce mot te brûlais les lèvres. Et finalement, tu te redressais légèrement plongeant ton regard dans le sien et effleurant du bout des doigts son visage que tu aimais tant. « Si on m'avait dis la première fois que je t'ai parlée qu'on en serait là aujourd'hui, j'y aurais sûerment pas cru. »
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Tu souris. Toi non plus tu n’aurais jamais pensé que vous en seriez là tous les deux. Vous êtes un couple atypique, tu le sais ; vous êtes à la fois colériques, passionnés et orgueilleux. Mais pourtant, en dépit de tout ce que vous pouvez vous infliger mutuellement, vous vous aimez, sincèrement. Et ce « je t’aime », murmuré avec une sincérité palpable te suffit à croire à nouveau que la vie vaut la peine d’être vécue. Sentir ses doigts sur ta peau, la savoir près de toi, c’est déjà quelque chose qui te suffit à vivre, aussi stupide ça puisse paraître. « J’aurais pas cru non plus ». Tu restes un moment silencieux, parce que tu te sens bien, tout simplement. Ca fait longtemps que t’as pas été aussi bien. Tellement longtemps. « Dis-moi un truc que personne ne sait sur toi ». C’est venu subitement comme ça. Une curiosité, un besoin. Tu ne sais rien d’elle et ça t’avait bien convenu jusqu’à maintenant. Tu te mors la lèvre. « Raconte-moi ta vie ». Doucement tu l’embrasses, comme pour lui promettre que tu ne cherches pas à la blesser.

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