KIRIKA ► SOS demoiselle en détresse !.

Killian & Tamara

fiche par ©century sex

Quel temps merdeux ! Quelle journée merdique !. Après avoir emprunté un cheval à l'écurie pour une petite balade en forêt, la nuit était tombée, sauf qu'il s'était mise à pleuvoir et que j'étais toujours dans la forêt. Quelle idée en même temps d'avoir attendu si longtemps avant de rentrer. De plus, maintenant j'étais toute trempée. Je donnais des coups de talons à mon cheval pour qu'il accélère, sauf que poisseuse comme je suis, mon cheval cambra et me projeta dans les airs. Ma cheville s'écrasa la première sur un gros caillou et ensuite ma tête. Fort heureusement il n'y avait aucun gros choc, juste une égratignure sur mon front et ma cheville légèrement foulée. D'ailleurs, j'avais essayé de me relever, mais rien à faire, à peine je fis un pas que la douleur s'amplifia. Mon regard détaillait mon cheval afin de décerner la cause de ses hurlements, lorsque je vis un petit écureuil en possession de sa noisette, nous regarder en mangeant. Okey, il nous narguait là ? Mais je ne pouvais pas m'empêcher de le trouver mignon. Finalement, ce petit animal s'éloigna de nous alors que je remarquais plus loin, une petite cabane délabrée et apparemment je n'avais pas de chance, puisque puisqu'il n'y avait personne dedans. J'essayais à nouveau de rassembler mes forces pour l'atteindre et me protéger au moins de la pluie, mais j'y arrivais pas. Je me rassis alors ne voyant plus aucune issue si ce n'est que de crier à l'aide. Pour mettre la cerise sur le gâteau, mon cheval pris la fuite en me laissant dans cette merde toute seule et dans une forêt qui plus est complètement sombre avec pour seule lumière, notre cher Lune. Mon cœur commençait à s'affoler en m'imaginant tout sortes de scénarios et si un loup sentait l'odeur de mon sang ou encore un serpent qui rodait dans le coin. Je ne faisais même plus attention à mes vêtements et ma à ma tête complètement trempée, la peur me transformait en James bond girl, bah ouai, je ne voulais pas finir dans la gueule d'un animal ou empoisonnée par le venin d'un serpent. Rien que ses pensées me donnaient la force et le courage d'essayer d'atteindre la petite cabane tout en ne cessant guerre de hurler en SOS.

(Invité)

sos demoiselle en détresse !

tamara b-r maybelin & Killian M. F.-Whitefield

Ce que je fais là ? Je n’en ai pas la moindre idée et très sincèrement j’en viens à regretter le fait d’avoir quitter le campus. Seulement, j’ai ressenti le besoin pressant de m’aérer l’esprit, de me changer les idées de n’importe quelle façon du moment que cette façon est efficace. Il y avait longtemps que je n’avais pas ressenti cette sensation d’étouffement qui m’a gagné sans crier et gare – avouons que l’inverse n’aurait pas été amusant. Concentré sur mon livre de cours tout en roulant les quelques cigarettes que je comptais fumer plus tard dans la soirée, j’ai finalement laissé mon esprit divaguer sur divers sujets et la panique m’a gagné si brutalement que j’en ai perdu mon souffle. Le retrouver fut une véritable épreuve qui nécessita mon départ précipiter du campus d’Harvard ainsi que mon petit tour en ville. La nuit étant déjà tombée sur Cambridge, ce n’est pas ce qui m’a arrêté tandis que j’avançais les mains dans les poches de mon jean alors que le ciel devint plus sombre qu’il ne l’était déjà. La pluie n’allait pas tarder à s’abattre sur la ville et pourtant je n’ai pas fais demi-tour, j’ai continué de laisser mes jambes me guider pour atterrir dans un endroit que j’ai reconnu sans savoir de quelle manière j’avais réellement fini là. Quelques gouttes ont commencé à me tomber dessus me forçant à lever le nez vers le ciel comme si l’observer allait changer quoi que ce soit à la météo. Non, j’avais surtout l’air d’un idiot qui après avoir senti une goutte lui tomber dessus, lève le nez vers le ciel et comprendre que, oui oui, il pleut.

Je suis bien parti pour attraper la crève, mais tant pis, ça m’apprendra à sortir aussi peu couvert et … je cesse brusquement de pester mentalement contre moi-même alors qu’un cri me parvient et me glace le sang. Je ne suis pas du genre à flipper facilement, pas en ayant fait partie d’un gang, mais avouons que les scénarios type film d’horreur ne me rassurent pas plus que ça. Seulement, et parce qu’il faut du temps à mon cerveau pour se mettre correctement en marche, je finis par me rendre compte que la voix que j’ai plus ou moins distinguée me semble familière et, probablement est-ce idiot, je m’enfonce un peu plus dans l’obscurité de la forêt à la recherche de la propriétaire. Je suis trempé jusqu’aux os, les chaussures pleines de boue mais je continu d’avancer jusqu’à ce que les hurlements soient plus proches. Lorsque j’estime être à quelques mètres, je sors mon portable de ma poche et active la fonction lampe torche. Balayant les lieux de ma lumière, je m’arrête lorsque au loin j’aperçois une silhouette se diriger vers ce qui semble être un cabanon. Il me faut forcer sur mes yeux pour reconnaître la jeune femme qui titube droit devant elle. « Tam’ ? » Très malin de l’appeler avec le bruit infernal de la pluie … comme si elle allait m’entendre. Je me mets donc à trottiner dans sa direction tout en rangeant mon portable dans ma poche et à sa hauteur je lui attrape le bras de sorte à l’arrêter pour faire barrage de mon corps. « Qu’est-ce que tu fiches ici ? C’est toi qui hurlais à la mort ? » Certes, un bonsoir ne m’aurait pas tué mais … bon je n’ai pas vraiment réfléchi – comme souvent – et je me suis contenté de dire la première chose qui me soit passée par la tête.

(Invité)

Killian & Tamara

fiche par ©century sex

Quelle idée de m'être fiée à la météo ce matin, car cette dernière était un peu trop venteuse. Une forêt dans la tempête, c'était impressionnant, ça craquait de partout et du bois dégringolait de tous les côtés à la fois. Bonjour la poisse !. Oui je criais de toutes mes forces, j'avais peur, j'étais une petite froussarde et je l'assumais. Attendez, déjà pour aller dans un train fantôme, je remuais ciel et terre pour ne pas monter, alors imaginez-vous, moi toute seule dans cette forêt. Le vent faisait frissonner les frondaisons, danser très lentement les arbres, chose qui parvenait à mes oreilles comme des bruits assez bizarres. Sayez, je virais à la paranoïa, d'ici une minute, je vais me sentir suivie par un loup où un truc encore pire, genre les indigènes ayant pour but de me kidnapper et de me décapiter pour manger mes intestins. Je criais à l'aide, aussi fort que je pouvais et parfois je me calmais lorsque j'entendais des bruits, car j'avais aussi peur d'attirer les vilaines ondes sur moi. Le pire dans tout ça, c'est ce maudit cabanon que je n'arrivais pas à atteindre depuis plus de dix minutes. Mais putain c'est quoi ça ! Il s'éloignait au fur et amuse que j'avançais ou quoi ?. Sauf que maladroite comme je suis, je perdis l'équilibre, oui oui ce n'était pas très malin d'essayer d'avancer sur un pied. Un piquant de bois s'enfonça dans mon pouce me volant une petite douleur. « Aïee !. ». Je retirais vivement le piquant apportant mon pouce à ma bouche pour sucer mon propre sang alors que mes longs cheveux blonds mouillés vinrent me gâcher la vue. Mais alors que j'étais obnubilé par mon pouce, je n'avais pas fait attention au bruit qui s'approchait de plus en plus de moi, ce n'est que lorsque j'entendis une voix, que je criais de peur en tournant la tête vers cette dernière. Dieu soit loué, ce n'était que Killian. Je posais ma main sur mon cœur me tournant difficilement en sautant, car je ne pouvais pas utiliser mon autre pied. « P'tain j'ai failli avoir une crise cardiaque !. » Mais je fus soulagé de voir une personne que je connaissais. D'ailleurs, je m'avançais lentement de lui, il avait dû remarquer maintenant l'une de mes jambes inutilisables. « C'est bien moi qui criais, je te jure que je me suis imaginée les pires scénarios d'horreurs ! Allant même jusqu'aux indigènes t'imagines ?!. » Une fois à sa hauteur, je m'appuyais contre son épaule et plongea mon regard dans le sien. « Tu peux m'aider à atteindre le cabanon là-bas ? C'est le seul endroit potable pour nous protéger de la pluie pour le moment !. » Mes os étaient rongés par le froid et je détestais cette sensation, un peu comme si la mort voulait vous embrasser pour vous emporter avec elle. Ouai genre un remake du Titanic, manquait plus que la triste musique et c'était dans la boite !. Okey je divaguais, j'avais le sang qui glaçait et de plus en plus froid, surement dû à la douleur de ma cheville qui se faisait de plus en plus insistante. « J'étais venue pour une ballade à cheval, résultat, il m'a lâchement abandonné après m'avoir projeté dans les airs à cause d'un petit écureuil et toi ? Qu'est-ce que fiches ici ?. »

(Invité)

Je n’ai pas pour habitude de faire peur … enfin sans vouloir me lancer des fleurs, mais je ne suis pas stupide, j’ai conscience de ce que j’ai en ma possession et je sais donc que je ne suis pas repoussant. Certes, ce n’est pas le sujet, mais ce n’est que la vérité et sur le coup je dois avouer avoir pensé que la peur de Tamara était due à ma tête qui devait faire peur à voir. Sauf, qu’après mûre réflexion en un dixième de secondes, je me suis rappelé qu’il pleuvait averse, que j’étais trempé jusqu’aux os mais surtout que mes bruits de pas avaient été étouffés alors que je l’a rejoignais. Je venais de la prendre par surprise et entre nous il n’y a pas mieux pour faire peur à quelqu’un. Alors oui, il m’a fallu un temps pour m’en rendre compte et ceci fait j’ai grimacé comme si ça allait excuser la panique que je venais d’éveiller chez la blonde. Néanmoins, j’ai vite cessé de me préoccuper de ça pour porter mon attention sur ses jambes – sans la moindre pensée déplacée. Elle prenait plus appuie sur l’une que sur l’autre, signe plutôt évident à mes yeux que l’autre était en mauvais état, au moins ça explique le fait qu’elle était en train de mettre une éternité à rejoindre le cabanon un peu plus loin. Je relève les yeux vers la jeune femme tandis qu’elle m’avoue avoir imaginé les pires scénarios et je ne peux pas m’empêcher de rire légèrement. « En clair, la crise cardiaque tu l’aurais eu sans moi. » Déclare-je sans me départir de mon petit sourire. Franchement, n’est-ce pas une très mauvaise idée d’aller s’imaginer être attaqué au beau milieu de la forêt, en pleine nuit et sous une pluie diluvienne ? e crois bien que si, mais après tout je ne suis pas expert en scènes d’horreur. « J’ai cru avoir remarqué pour ta cheville … Je vais te servir de preux chevalier, mais ça restera entre nous, de toute manière je nierai tout en bloc. » M’exclame-je avec autant de sérieux que possible avant de lui adresser un énième sourire. Bon, ce n’est pas parce que je souris que je ne vais pas nier, je le ferais quand même parce que j’aime être un con voilà tout. Je me penche alors pour passer un bras derrière ses genoux alors que le second se positionne dans son dos et je l’amène ensuite contre moi me dirigeant, pour finir, en direction du cabanon. « Sympathique ta monture, vraiment. Et je faisais un tour … oui j’adore la pluie, les bois et les scénarios qui font froid dans le dos. » Lance-je alors que j’atteins enfin notre destination. Sur place je suis ravi de remarquer que le propriétaire ne semble pas tellement se préoccuper d’être volé ou non et une fois à l’intérieur je dépose doucement Tamara sur ce qui me semble être une table. « En réalité, j’ai ressenti le besoin pressant de prendre l’air et j’ai laissé un peu trop de pouvoir à mes jambes. » En clair, j’ai atterri dans cette forêt sans réellement m’en rendre compte ce qui me donne limite l’air d’un pauvre idiot qui, en réalité, s’est perdu en route.

(Invité)

Killian & Tamara

fiche par ©century sex

Avec lui ou pas, j'aurais probablement pu avoir une crise cardiaque sur le moindre bruit qui m'aurait surpris. Je remercie le ciel de m'avoir épargné en mettant Killian sur mon chemin. « En clair, c'est bien ça et dieu merci ce n'est que toi. » Killian était un mather particulier, il était différent de Duncan et je n'arrivais pas à le cerner, car à chaque fois que je croyais avoir compris comment il fonctionnait, il me surprenait en dévoilant encore plus de sa personne. Par contre, il était fidèle à la réputation de sa maison. Un mather est un mather pas d'exception chez eux. Et ils étaient bien reconnus pour aimer jouer aux con(ne)s à semer la terreur sur leurs passages, mais lorsqu'on apprenait vraiment à les connaître, on décelait vraiment des êtres avec un cœur, tantôt fragile, tantôt solide comme la pierre et puis bon ce n'était pas comme-ci je connaissais tous les mathers non plus. Je venais de m'appuyer sur les épaules de Killian dans le but d'avoir un peu de son aide, car je n'y arriverais pas toute seule ou du moins, j'aurais encore mis du temps avant d'atteindre le cabanon. Ce dernier accepta ma demande n'hésitant pas à m'ordonner d'en garder secret. J'esquissais un large sourire, affichant un regard pétillant de malice, oui bon difficile avec la pluie aussi. « Pourquoi donc veux-tu priver à ces demoiselles, l'espoir de rencontrer un vrai preux chevalier ?. Tu te rends compte que tu pourrais être l'homme de leurs rêves ?. » Riais-je alors qu'il me pris dans ses bras en mode princesse. Okey, ça faisait scène cliché sortis tout droit d'un film romantique, mais c'était loin d'être le cas dans la vraie vie, en tout cas pour ma part, car je ne croyais pas au prince charmant et même maintenant, il était impossible pour moi de me dire que ce genre d'hommes pouvaient exister. Sauf dans les films, ouai ! Celui qui ne vous brisera jamais le cœur et vous laissera en miette pour une autre. « Ce qui veut dire que tu serais assez fou pour t'aventurer dans une forêt au beau milieu de la nuit sous une tempête assez coriace ? Dois-je réellement avoir peur de toi tout compte fait ?. » Soufflais-je en passant mes bras autour de son cou, ne le quittant pas du regard. J'espérais ne pas être lourde finalement, quoi que non, j'étais de nature légère, mes os ne pesaient pas tellement et fort heureusement. Nous arrivions enfin dans le cabanon et apparemment le propriétaire n'était pas là. Le jeune homme me déposa sur une table alors que je regardais autour de moi tout en l'écoutant me donner la vraie raison de sa venue ici. « Et résultat, tu te retrouves coincé avec moi dans un cabanon ! Il va t'en falloir du courage pour me supporter. » Je lui tirais légèrement la langue avant d'inspecter de nouveau les lieux. « Tu crois que tu pourrais trouver un truc pour apaiser la douleur de ma cheville et désinfecter l'égratignure sur mon front ?. » Je ne sais pas, sur un coup de chance ce cabanon pourrait contenir tout ce qu'il fallait en cas de besoin urgent, après tout, nous étions dans une forêt et le danger rôdait en permanence. « Et si le propriétaire de ce cabanon était un vieux fou, un psychopathe ?. » Là mon visage tournait rapidement au vert. J'enlevais difficilement mes bottines posant ma cheville sur la table alors que je commençais à masser. Ce n'était pas tout, mais je tremblais également de froid.

(Invité)

Oui, je considère avoir une réputation à tenir même si ce n’est pas tellement pour ça que je tiens à préciser que je nierais tout en bloc si elle était amenée à parler de son sauvetage fait par mes soins. En réalité, j’ai une carapace à entretenir. Je ne tiens pas à ce que l’on découvre qui je suis réellement, je préfère que l’on s’arrête à l’image que je renvois de moi-même, après tout je ne me donne pas tout ce mal pour rien. J’aime passer pour un petit con. J’aime être froid avec bien des personnes uniquement afin de m’assurer que personne n’ira creuser pour connaître mon secret. Une seule personne le connaît et c’est uniquement parce que cette dernière a grandi à mes côtés, je ne tiens pas à ce quelqu’un d’autre soit au courant. Enfin, passons. Un rire m’échappe alors que Tamara me dit que je pourrais être le preux chevalier d’une autre, voire même l’homme de ses rêves, bah voyons … « Crois-moi, je suis loin d’être l’homme des rêves de qui que ce soit et, en fait, je ne tiens pas du tout à l’être. » Non, moi je préfère être un idiot, c’est connu c’est tellement plus drôle. Je soupire contre ma propre stupidité et continu d’avancer en direction du cabanon en écoutant la blonde s’adresser à moi et je ris de plus bel. « Tu ne le savais pas encore ? Je suis le grand méchant loup, celui dont cauchemarde bien des personnes … Malheureusement ta vie s’arrêtera ce soir. » Dis-je avec sérieux, appuyant mes paroles en opinant du bonnet, puis je souris. Je suis peut-être un con, mais je ne suis pas méchant. Je ne dis pas que je serais incapable de faire du mal à une mouche, il ne faut pas déconner non plus, mais je ne suis pas du genre à m’attaquer aux personnes innocentes et de toute manière j’apprécie trop Tamara pour lui faire quoi que ce soit … hormis la taquiner bien sûr. Une fois dans le cabanon, je tourne sur moi-même à la recherche de n’importe quoi du moment que ça m’aide à m’occuper de sa blessure, ce dont la jeune femme parle quelques secondes après le début de mon inspection. « Un bâton ça t’irait ? Tu le mords quand t’as mal, ça devrait faire l’affaire. » Déclare-je en haussant les épaules de façons nonchalante. Ce que je peux être con quand je le veux … Cette fois, au lieu de rester sur place, je commence à fouiller un petit peu partout avant de tomber sur une bouteille d’alcool que je soulève afin de l’éclairer à l’aide de mon portable. Un fier sourire étire mes lippes et je rejoins rapidement Tamara. A sa hauteur je déchire un morceau de mon haut et l’imbibe d’alcool. « Ça risque de faire un peu mal. » La préviens-je, le morceau de tissu à quelques centimètres de son front. Je la regarde encore quelques secondes puis je me mets à nettoyer sa plaie avec précaution. « T’as pas fini de t’imaginer le pire ? Aucun psychopathe ne va débarquer et si jamais c’est le cas, je te promets de l’assommer pour être tranquille. » En espérant que le dit psychopathe ne fasse pas trois têtes de plus que moi même si ce n’est pas ce qui pourrait m’arrêter. Je termine enfin de nettoyer sa blessure bien que je ne la quitte pas des yeux. « Quand ça se sera calmé dehors je t’emmène à l’hôpital, je pense que tu vas avoir besoin de points. Maintenant laisse-moi regarder ta cheville, après je fouillerais pour voir s’il n’y a pas quelque chose pour te tenir chaud. Tu vas finir par te mordre la langue à force de claquer des dents … ou attirer des loups avec ce bruit. » Je cache mon visage de sorte à ce que Tamara ne voit pas mon sourire et je m’occupe de vérifier si sa cheville n’a rien de grave. A première vue ce n’est qu’une petite entorse ce qui signifie qu’il faudrait que je cale sa cheville pour qu’elle la laisse se reposer mais pour le moment je m’applique à la masser pour dissiper un peu la douleur.

(Invité)

Killian & Tamara

fiche par ©century sex

« Crois-moi, je suis loin d'être l'homme des rêves de qui que ce soit et, en fait, je ne tiens pas du tout à l'être. » Le contraire m'aurait étonné d'ailleurs, je ne le voyais pas du tout se montrer en preux chevalier devant tout le monde, encore moins lui trouver un côté romantique, mais sait-on jamais ce que l'être humain cache au plus profond de soie, si ça se trouve il l'était, mais refusait simplement d'être cet homme là. Quoi qu'il en soit, si Killian changeait, il ne serait plus Killian. Faut dire que je me suis habitué à ce visage, à ce caractère et je ne l'imaginais pas autrement. « Tu ne le savais pas encore ? Je suis le grand méchant loup, celui dont cauchemarde bien des personnes ... Malheureusement ta vie s'arrêtera ce soir. » Dit-il en rejoignant mes craintes d'un air on ne plus sérieux avant de sourire, je fis de même en jouant la petite victime toute effrayée. Il était peut-être con, mais pas au point de faire du mal à un innocent, par contre si vous osez vous dresser devant son chemin et que votre tête ne lui plaît guerre, soyez en sûre que vous finirez peut-être à l'hôpital. Bien installé dans le cabanon, je lui avais demandé s'il pouvait trouver de quoi soigner ma blessure au front et soulager ma cheville. « Un bâton ça t'irait ? Tu le mords quand t'as mal, ça devrait faire l'affaire. » Je fronçais les sourcils en grimaçant. « Et ton bras, il f'rait pas plutôt l'affaire ? Si si je préfère te mordre !. » Et puis mordre dans un bois, noway, je pourrais me chopper un sale truc si ce bois n'était pas propre heurkkkk. Je le regardais fouiller un peu partout, sourire en coin et mine de rien, le voir autant s'impliquer pour me soulager était plaisant à regarder, la prochaine fois qu'il m'affirme avoir un cœur de pierre, je lui ferais ravaler sa langue. Le mather revint vers moi avec de l'alcool, déchirant un peu sa chemine, il la mouilla du liquide brulant et passa délicatement sur mon front. « Ça risque de faire un peu mal. » Il n'y avait pas trente-six solutions avec l'alcool, ça faisait toujours mal. Je fermais les yeux et pendant qu'il appliquait je grimaçais, car ça picotait un peu, mais c'était supportable. « T'as pas fini de t'imaginer le pire ? Aucun psychopathe ne va débarquer et si jamais c'est le cas, je te promets de l'assommer pour être tranquille. » Mes yeux de nouveaux ouverts, je croisais son regard, oui bon ce n'était pas de ma faute si j'étais une petite trouillarde dans le noir et dans le silence un peu trop louche, vous voyez le genre, j'imaginais trop de choses. « Je te fais confiance et de toute façon, il fera pas le poids contre tes muscles pas vrai ?!. » Riais-je en me le persuadant moi-même et puis c'est vrai quoi, faut q'j'arrête de paranoïer. « Quand ça se sera calmé dehors je t'emmène à l'hôpital, je pense que tu vas avoir besoin de points. Maintenant laisse-moi regarder ta cheville, après je fouillerais pour voir s'il n'y a pas quelque chose pour te tenir chaud. Tu vas finir par te mordre la langue à force de claquer des dents ... ou attirer des loups avec ce bruit. » Annonça-t-il en terminant de soigner mon front. Il s'attaqua maintenant à ma cheville qu'il commença à masser, mais avant ça, il n'avait pu s'empêcher de vouloir m'effrayer de nouveau en me voyant claquer des dents prise de froid. « Ahaha très drôle Killian !. » Dis-je en affichant presqu'une mine boudeuse. « t'as des mains d'expertes, ton massage est excellent ! Merci... » D'être surtout resté avec moi, parce qu'il aurait très bien pu me mettre à l'abri et m'abandonner en allant prévenir quelqu'un que je suis ici. Pendant qu'il massait encore ma cheville, un tonnerre gronda bien plus fort que les précédents, le vent obligea l'une des fenêtres à se claquer. Prise par surprise, j'attrapais le col de Killian l'attirant rapidement contre moi tandis que je fourrais ma tête sur son torse en fermant mes yeux et serrant encore plus le tissu de sa chemise entre mes doigts. « C'était quoi ce bruit !. » Criais-je alors que ma voix s'étouffait contre son torse. Bonjour la honte Tamara. Mais surtout, je ne lâchais plus Killian.

(Invité)

Si mon bras fera l’affaire ? Je détourne mon regard pour regarder ce dernier. Je ne sais pas si certains gars trouvent que les morsures les rendent plus virils, mais ce n’est clairement pas mon cas. J’ai déjà bien assez de cicatrices à mon actif sans savoir besoin d’en rajouter une nouvelle, une qui pourrait éveiller la curiosité de certains qui plus est. Je finis par relever la tête et pose mon regard sur Tamara en secouant enfin la tête de gauche à droite. « Restons civilisés jeune fille et laisse mon bras en paix. » Dis-je avant de me concentrer sur sa blessure. Quelle chance que j’étudie la médecine et que, pour une fois, je sois sérieux pour quelque chose. Je fais régulièrement le con, ça me plait et ça me protège mais je ne suis pas un sale type pour autant qui compte ne rien faire de sa vie hormis profiter de l’argent dont il va hériter. Je tiens à réussir par moi-même bien que ça puisse surprendre. Je compte sauver des vies depuis que j’ai perdu mon père – soit depuis plusieurs années désormais – et je sais qu’il faut que je travaille sérieusement pour parvenir à mes fins. Mais ce qui est plus étonnant me concernant c’est sans doute le fait que malgré mes conneries je n’en suis pas moins un élève studieux qui a toujours su obtenir d’excellentes notes en travaillant pour, bien sûr. Bref, tout cela pour dire que je suis un con mais un con qui sait s’occuper des petites blessures, une chance pour Tamara, clairement. Un rire m’échappe alors que la blonde semble persuadée que mes muscles suffiront à battre un quelconque psychopathe venant nous attaquer dans ce cabanon – ce que j’espère ne jamais voir arriver. « Tu peux commencer à prier, un psychopathe c’est très vicieux, plus intelligent qu’on le croit, mes muscles ne suffiront pas et je parle en connaissance de cause. » Avoue-je sans même poser les yeux sur elle. Mon frère jumeau est un psychopathe doublé d’un pyromane qui, par chance, est enfermée grâce à moi derrière les barreaux. Ce n’est pas le genre de chose dont j’aime parler et à vrai dire hormis ma sœur personne dans cette ville ne sait que j’ai un jumeau et ce n’est pas plus mal comme ça. « Oui je sais, je suis un vrai clown. » Affirme-je plutôt fier de l’avoir effrayé tout en continuant de masser sa cheville alors qu’un sourire étire mes lèvres lorsqu’elle parle de mes mains expertes. Non, je n’ai eu aucune pensée mal placée et même si c’était le cas je ne l’avouerai pas. La surprise nous gagne ensuite l’un comme l’autre lorsque le vent fit claquer le volet d’une des fenêtres nous forçant à regarder dans cette direction alors que Tamara est prise de panique. Baissant la tête vers elle tandis qu’elle s’accroche fermement à moi, je n’ai pas pu m’empêcher de rire légèrement. « C’est le vent. Qu’est-ce que tu peux être froussarde. » Tamara refuse de me lâcher et je deviens alors un peu plus sérieux. Clairement, se balader en pleine nuit avec une tempête pareille et se trouver dans un cabanon l’angoisse, il faudrait peut-être que je pense à cesser de me payer sa tête. « Hey, regarde-moi. » Souffle-je en passant ma main sous son menton, penchant ma tête sur le côté pour croiser son regard. « Ce n’est que le vent, je te promets qu’il ne va rien t’arriver. » Affirme-je le plus sincèrement du monde pour finalement lui adresser un petit sourire.

(Invité)

Killian & Marika

fiche par ©century sex

« Restons civilisés jeune fille et laisse mon bras en paix. » Ces propos me firent bien rire, bon ce n'est pas comme-ci j'allais me transformer en zombie girl et lui bouffer le bras. Quoi que, entendre un petit aie sortir de ses lèvres m'aurais fait jubiler j'avoue. En guise de réponse, je lui offrais un très large sourire. C'est fou, même au plus bas de ma forme, j'arrivais à sourire comme-ci de rien n'était. « Tu peux commencer à prier, un psychopathe c'est très vicieux, plus intelligent qu'on le croit, mes muscles ne suffiront pas et je parle en connaissance de cause. » Comme c'était rassurant !. Pas du tout !, je fronçais même les sourcils, limite je commençais à avoir finalement peur. Mais, je savais aussi qu'il ne restera pas les bras croisés s'il devait nous arriver quelque chose et je savais aussi, qu'il réussira au moins à envoyer une belle droite à ce psychopathe. « C'est à se demander comment tu protégeras ta futur femme et tes gosses !. » Le taquinais-je en rigolant, puis en roulant des yeux par la suite. « Oui je sais, je suis un vrai clown. » Dit-il alors que je secouais positivement de la tête comme pour plussoyer ses propos. « Et ta place est dans un cirque t'sais !. » Sauf qu'en souriant, je remarquais son sourire assez comment dire, bizarre ! Lorsque je lui complimentais sur ses mains. « Dis-moi pas que t'viens d'avoir une pensée perverse là ?. » J'arquais un sourcil curieuse de découvrir, même si je savais qu'il n'avouera rien si c'était le cas. Du coup, mon regard se nicha sur sa main qui massait encore ma cheville histoire de distinguer un effet secondaire. Sauf que BAM ! Le vent venait de me jouer un sale tour en claquant l'une des fenêtres et prise par surprise, je m'étais rapidement réfugié contre le torse du mather serrant le plus fortement possible le tissu de sa chemise. « C'est le vent. Qu'est-ce que tu peux être froussarde. » Plus froussarde que moi tu meurs et je l'assumais en plus. « Hey, regarde-moi. » Me souffla-t-il en posant ses doigts sous mon menton m'obligeant réciproquement à croiser son regard. « Ce n'est que le vent, je te promets qu'il ne va rien t'arriver. » Il venait d'emprunter une voix beaucoup plus réconfortante et il était loin de s'en moquer, enfin !. Mais j'avoue que sa présence me réconfortait assez bien et lorsque je me rendis compte que je serrais beaucoup trop fort sa chemise, je la lâchais sur le coup me pinçant la lèvre inférieure et dérivant mon regard ailleurs. « Désolé... » Soufflais-je entre deux petits soupires. « J'ai comme la nette impression que ce surnom de froussarde me suivra encore longtemps... » Dis-je en soutenant fermement son regard. J'attrapais soudainement son col de chemise et sans qu'il puisse en placer une où même avoir le temps de respirer, je plaquais ses lèvres contre les miennes en l'attirant précocement vers moi. Un baiser assez violant, mais fougueux à la fois qui ne prit malheureusement que quelques secondes avant de le repousser tout en gardant mes mains là où il était. « Ça n'marche toujours pas...je suis toujours autant anxieuse !. » Mensonge !. Ce baiser m'avait procuré un bien fou, une sorte d'échappatoire à ce moment et calmant à cette douleur si pénible. Mais évidemment ça, j'allais me passer de lui dire préférant sortir la carte du "baiser indifférent".

(Invité)

La taquiner a vraiment quelque chose de drôle. J’adore voir la panique dans son regard alors qu’elle n’a aucune raison d’exister. Rien ne va nous arriver. Il ne s’agit que d’une petite tempête comme le pays en connaît souvent et personne ne va débarquer avec une hache pour nous tuer et nous découper ensuite en petits morceaux. Enfin, j’espère que non ça serait quand même très con comme mort et, personnellement, j’aimerais arriver jusqu’à mon objectif et sortir une bonne fois pour toute de mon passé. Mon avenir, j’ose l’espérer, sera bien plus joyeux que ma vie passée et je n’aurais jamais plus à me tourner vers cette dernière et ainsi à penser aux erreurs ou aux choix que j’ai pu faire autrefois. « J’en aurais pas, ça sera bien mieux comme ça. » Réplique-je alors qu’il est question d’une future femme et d’enfants. J’aime me projeter dans l’avenir mais pas à ce point et lorsque je repense à mes parents je me dis que rester seul n’est peut-être pas une mauvaise chose. Ma mère a longtemps été au fond du gouffre suite au décès de mon père, mon frère est devenu littéralement un psychopathe doublé d’un pyromane, les ravages qui peuvent avoir lieu suite à la perte d’un être cher ne me tentent pas le moins du monde. Je ne veux pas avoir à m’attacher plus que nécessaire, surtout si c’est pour souffrir par la suite alors, non, pas de femmes ni d’enfants pour moi. Je repose les yeux sur Marika et ne peux m’empêcher d’avoir un sourire en coin à l’entente de sa question. Si je n’ai pas eu une pensée perverse ? Je suis un homme et un abruti, évidemment que j’ai eu une pensée perverse voyons. « C’est toi qui le dis. » Réponds-je simplement. Je ne vais tout de même pas lui faire plaisir de l’avouer, ça m’amuse bien trop de la voir cogiter comme le fait et … paniquer aussi. Franchement plus craintive je doute de connaître ou de trouver. Je préfère ne même pas imaginer son état en regardant un film d’horreur la nuit, elle serait bien capable de faire un arrêt cardiaque. « Oh oui, il va te suivre par… » Je n’ai pas le temps de finir ma phrase. Sans avoir le temps de réagir, je la sens saisir le col de ma chemise et m’attirer vers elle pour m’embrasser. Mon cerveau se déconnecte le peu de temps que ce baiser dur, incapable de comprendre ce qui vient de lui prendre alors que mes iris se posent sur elle et qu’elle me sort l’excuse la plus bancale du monde. « Tu embrasses un abruti, ce n’est pas une bonne idée du tout. » Affirme-je en secouant la tête pour me donner l’air d’être particulièrement déçu par son geste. « C’est parce que tu t’y prends mal, laisse-moi te montrer. » Déclare-je en m’approchant d’elle. Je pose une main contre sa joue et l’autre sur sa hanche. J’approche lentement mon visage du sien et scelle mes lèvres contre les siennes avec douceur. Le baiser reste délicat voire sage puis je finis par lui donner un peu plus d’intensité alors que ma main glisse dans ses cheveux blonds.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)