Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKARY&DORIAN << Un petit goût du passé - Page 2
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KARY&DORIAN << Un petit goût du passé

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J'aurai pu oui, j'aurai du mais, je ne l'ai pas fait. Parfois, on pense que l'autre va deviner mais, non on ne devine pas ces choses-là. J'ai dis "oui" parce que je l'aimais. Oui mes sentiments étaient sincères. Qu'y a-t'-il de plus beau, de plus mémorable qu'un homme qui vous déclare vouloir passer sa vie à vos côtés? Y a-t'-il plus belle preuve d'amour? Mes yeux se relevèrent dans les siens, c'est vrai lui il aurait pu comprendre, il ne serait sans doute pas emporté. Parce qu'il était différent des gars que j'avais pu connaitre. Et je sais que j'ai gâché ma chance. Ma main vient se poser sur la sienne alors qu'elle repose sur la table. Si j'ai dis oui c'est parce que je t'aimais aussi. Je le désirais. Je voudrais que tu le saches, je n'ai jamais cessé de t'aimer. Mes sentiments n'étaient pas en cause, je ne les avais pas refouler, j'en avais toujours parce que les sentiments ne s'en vont pas juste comme ça. Je ne sais même pas pourquoi je lui dis ça, puisque je sais que c'est irréparable. Depuis, il est passé à autre chose, moi pas réellement non. Mais nous avons continué. Trouver quelqu'un? Sans m'en rendre réellement compte je lui souris. Innocemment. Ce n'est pas près d'arriver mais, je suis certaine que toi tu trouveras une fille moins idiote que moi. J'espère juste que tu ne me déteste pas parce que je ne voulais pas te faire mal. Non, vraiment pas. Je pensais qu'il serait plus heureux sans une fille aussi compliquée que moi.
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L’amour c’est réellement compliqué quand on aime quelqu’un on ne peut s’empêcher de se poser beaucoup de questions qui reste parfois sans réponse. Aujourd’hui encore je me pose beaucoup de questions sur ce qui aurait pu être ma vie avec elle. Notre vie. Nous étions si heureux si complémentaire. Je sais que je devrais tourner la page mais ce sentiment d’inachevé me bloque pour avancer. Je reste frustré de cette histoire comme amère même si je sais que toutes les belles histoires ont une fin j’aurai préféré que la notre ne se termine jamais. J’essaye de me concentrer sur ce qu’elle me dit mais je dois bien avouer que j’ai du mal à l’écouter. Pas parce qu’elle m’ennuie au contraire simplement parce que c’est dur pour moi de l’écouter dire qu’elle m’aimait et qu’elle n’a jamais cessé de m’aimer. « Je t’aimais aussi Kary et je pense sincèrement que nous aurions pu être heureux » Oui nous aurions pu maintenant c’est trop tard. Bien sûr je l’aime encore et je l’aimerai toujours forcément. Mais les choses sont compliquées et je pense que si elle ma dit non ce sont pour de bonnes raisons. « J’ai essayé de détester j’ai même presque réussi mais je ne te déteste pas je t’ai trop aimer pour ça je t’aime trop pour ça dans le fond je veux que tu sois heureuse même si ce n’est pas avec moi » Dans le fond le principal c’est le bonheur qu’il soit avec moi ou pas je m’en suis fait une raison.
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Oui nous aurions pu être heureux si je n'avais pas été aussi idiote avec cette fichue peur de perdre les gens que j'aime. Si je n'avais pas cette piètre vision de l'amour, et surtout de moi-même. Mais, ce que je lui avais fait était irréversible, irréparable. Cela me fendit presque le palpitant en deux de l'entendre dire qu'il m'aimait. J'étais, ou j'avais été trop aveugle pour m'en rendre compte. Ou j'avais fermé les yeux sur la plus belle demande que l'on puisse faire à une femme. La promesse d'un engagement. Sans doute que le fait de me découvrir un demi-frère, de savoir que mon père avait trompé ma propre mère avait encore un peu plus noirci la vision que j'avais d'un couple. Rien ne semble durer éternellement... Je baissais les yeux ne sachant plus quoi dire surtout dans l'entendre dire qu'il avait presque réussi à me détester. Les mots me brûlaient pourtant les lèvres, j'avais envie de lui dire que je me détestais déjà amplement pour nous deux. Parce que oui je m'en voulais terriblement de lui avoir fait du mal parce que je n'étais pas ce genre de personne à la base, ce genre de nanas qui brisent le palpitant des autres. Je me levais alors de table, posant mes deux mains à plat dessus et tentant de lui sourire pour dissimuler mes sombres pensées. Heureuse moi, un jour j'y croyais pas trop mais, bon. Et si on zappait, tu veux pas que je te fasses un truc un peu plus calant que des céréales? Après tout nous n'allions pas pouvoir nous éviter tout le temps, on bossait au même endroit, on faisait quasi les même études et on vivait tous les deux dans cet endroit.
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