l'éveil des problèmes nocturnes (ft. Anastasia & Dexter)

l'éveil des problèmes nocturnes

fiche par ©century sex

Je venais encore de passer une soirée sans évènement digne de devenir souvenir. J’avais étudié pour mon examen de droit du lendemain et avais finis par m’endormir dans mes cahiers. J’aimerais dire que c’était la première fois que je me réveillais la tête dans un livre, mais je mentirais. Comme chaque soir, autour de la même heure, je me réveillais au milieu de mon cauchemar pour le faire fuir d’un sourire. Cette nuit était particulièrement difficile comme j’en avais lourd sur le coeur, je n’avais plus de raison d’être heureux, seulement plusieurs de me sentir coupable. Mes histoires concernaient toujours des femmes, certaines me manquaient, d’autres me hantaient, mais aucune ne me comblait. Je me redressai, le dos courbaturé par ma position antécédente. Je grimaçai en me hissant sur mes jambes, mon corps entier me hurlait de ne plus le maltraiter de la sorte. Je titubai aveuglément, les deux yeux mis clos vers la salle de bain. J’étais pratiquement nu, seulement vêtu d’une paire de boxer bleu, mon pyjama habituel. Je glissai mes doigts contre le mur, me laissant guider par mon instinct jusque dans la salle de bain. La porte était déjà entre-ouverte, quelques bruits quasi inaudible comblèrent le silence. C’était comme... Mon doigt flippa l'interrupteur et la lumière fut. Mes iris brûlèrent d’abord, et puis c’est ma conscience qui me ramena sur Terre. «Anastasia?» Elle était emprisonnée dans les bras d’un autre homme que je n’osais même pas essayer d’identifier, je ne voulais pas savoir. Sans réellement réfléchir, n’écoutant que mon instinct, je me précipitai sur eux pour la défaire de l’emprise de l’autre. «Ne la touche pas! Elle ne veut pas de toi!» Mes derniers mots s’échappèrent sans que je ne les comprennes. Mon esprit avait associé la scène à un manque de consentement à un... J’avais envie de mordre quelqu’un. Mes yeux se posèrent sur la brune, plongeant dans ses iris en ignorant ses lèvres teinté de rose par l’effort du baiser. «Ça va, il ne t’a pas fait mal?» J’avais envie de la serrer dans mes bras, de la consoler. Mais dans cette histoire, c’était sans doute moi l’idiot qui aurait besoin d’être apaiser.

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Ce soir j'avais pas prévue grand chose en fait j'étais seule dans ma chambre en train de me plonger dans mes devoirs de biologie, j'avais pas vraiment envie de m'y lancer parce que ce soir j'avais envie de sortir, de bouger de ma chambre et ne pas rester enfermer du coup j'avais décider de lire mon devoir de Biologie vu que j'avais envoyer un sms à un ami, enfin plutôt un ami assez spécial pour savoir si sa lui disait qu'on ce voit chez les winthrops et à ma grande surprise il me répondit peu de temps après. Je souris en me redressant de mon lit pour quitter les mathers et je me dirigea direction la maison des rouges, une fois sur place je me fis attiré par ce mec en question jusqu'au douches, je me laissais faire avec un petit sourire et je me fis plaquer contre le mur, enfin du moins je pense vu qu'il faisait noir, je laissa ma main glisser contre sa joue puis sa nuque pour donner plus d'entrain à ce baiser alors qu'il déboutonnait deux trois boutons de me chemisier mais au même moment la lumière nous brûla les yeux. Je recula mes lèvres en posant ma main contre son torse pour qu'il s'arrête et là a mon grand étonnement c'était Dexter, mince tout sauf lui, c'était le seul mec avec qui j'aurais craint cette situation et pourtant. Il avait vite réagi en fait mais contre ce mec, je me mordilla la lèvre en le voyant faire et je ne savais pas vraiment ou me mettre, je le regarda en posant ma main sur son bras. "Non attend il ne m'a forcé à rien Dexter." Les rouges ne s'engueulaient que très rarement entre eux donc le mec en question préféra partir et nous laissés régler ça entre nous et je regarda le jeune homme morte de honte avant de rattacher les boutons de mon chemisier.

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Son contact me fis frisonner, ce regard me glaça le sang. Dans ce scénario je n’étais pas l’héros, j’étais l’intrus qui brimait les plaisirs. "Non attend il ne m'a forcé à rien Dexter." Sa voix me gifla en plein visage. Non, évidemment que non, elle était consentante, elle le voulait sur ces lèvres… je les voulais aussi, étrangement, tout de suite. Mes yeux suivirent son mouvement, aperçurent une nouvelle parcelle de sa peau, le décolleté qui me donnait vu sur sa poitrine. Je me rétractai rapidement en réalisant mon erreur, cela ne m’aiderait pas à ravaler mes envies. En un coup de ventre, j’entendis les pas de l’autre dans mon dos, il ne partait pas à la course, mais il fuyait, c’était l’évidence. Je fronçai les sourcils. «Pourquoi est-il partie?» En posant ma question, la réponse me heurta enfin. «Je suppose que ce n’est pas ton nouveau petit ami.» Je ne savais pas quoi faire de cette nouvelle. En un sens j’étais heureux de savoir qu’elle n’avait pas du tout changer… de l’autre j’étais assaillit par le fait qu’elle n’aurait jamais pu faire de moi une exception. Ce qu’elle m’avait fait, ou avait voulu me faire, elle l’avait déjà partagée avec maintes autres hommes. Pourtant j’y avais cru l’espace d’un espoir, cru qu’elle m’offrait quelque chose d’inédit. Je devais m’isoler pour y réfléchir encore. «Je vois… et bien, bonne soirée, désolé de vous avoir dérangé, je suis sûr que tu arriveras à le rattraper, si tu as besoin de moi je suis… enfin, la chambre juste en face, à droite. Je n’arriverai pas à dormir de toutes manières.» Je lui envoyai la main d’un geste, puis souris brièvement avant de me retourner. Je m’ennuyais du confort de mon lit, avec un peu de chance, j’arriverais peut-être à perdre conscience sans m’en rendre compte. Je m’y allongeai donc, bras en dessous de la tête, profitant de l’air frais qui me caressait le corps et le rendait alerte à chaque brise.

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Si seulement j'avais su que la chambre de Dexter était tout près et qu'il me verrait dans cette position j'aurais jamais rien tenter avec ce mec seulement la seule fois où j'avais tenter quelque chose avec lui il m'avait repoussé en me disant qu'il avait pas le droit de partagé ce moment et penser à une autre femme. Ces mots m'avaient blessées et sa avait aussi le don d'être clair et pourtant si je l'avais embrasser c'est parce que j'en avais réellement envie et je savais qu'il n'était pas comme les autres et c'est ça qui me plaisait, je le respectais trop pour me foutre de lui. Quand le rouge s'en alla je n'essayais même pas de le retenir et je regarda Dexter après sa remarque et surtout après avoir refermer mon chemisier et seulement après sa je pu le regarder dans les yeux. "J'en sais rien.." Il enchaîna presque immédiatement avec une autre question et je secoua la tête pour lui répondre. "Non, il voulait juste couché avec moi, je pense que ta présence à couper court à ces envies... et au mienne aussi." Je parlais pas de sa présence négativement, au contraire sa me permettait de ne pas encore servir d'objet et pourtant c'est moi qui cherchait à être un simple objet. Je posa mon regard dans ces yeux et j'avais peur de ne plus rien représenter à ces yeux, je ne voulais pas qu'il pense que je l'avais embrasser comme j'embrassais les autres parce que ce n'était pas le cas au contraire. Il me fit une autre remarque et j'avais l'impression de me prendre un savon et je me sentais coupable aussi du coup je préférais le laisser partir pour éviter de devoir me justifier ou voir ce regard sur moi qui me rendait mal mais j'arrivais pas j'avais besoin de lui parler et de lui expliquer et je ne savais même pas pourquoi. Je pris une grand inspiration avant de sortir pour rejoindre la chambre de Dexter et taper à sa porte, je voulais m'expliquer, j'entrais doucement avant de refermer la porte derrière moi, je m'approcha de lui pour venir m'asseoir sur le bord de son lit et le regarder. "Je tiens à tout t'expliquer, je sais que tu doit te dire que quand je t'es embrasser l'autre fois c'était surement pour compter un homme de plus à mon tableau de chasse mais ce n'est pas le cas Dexter. C'est vrai je couche avec des hommes sans sentiment juste avec de l'attirance physique et me demande pas pourquoi j'agis comme ça je ne saurais même pas te répondre de toute manière depuis la mort de mon frère je fais n'importe quoi par contre quand je t'ai embrassé c'était sincère, tu me plait physiquement c'est vrai, tu est un très beau garçon mais ta personnalité, tout ce qui fait de toi l'homme parfait me plait et j'étais sincère. Quand tu m'a repoussé j'ai été blessée c'est vrai mais tu est amoureux et je le comprend c'est tout à ton honneur et je suis désolé que tu est assister à cette scène.." Je le regarda en me pinçant la lèvre et je lui chuchota par la suite. "Voilà je t'ai tout dis, bonne nuit." Je me pencha pour lui déposer un baiser aux coins des lèvres et je me redressa de façon à le laisser tranquille maintenant qu'il savait tout.

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l'éveil des problèmes nocturnes

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Elle ne semblait pas trop affecté par le départ de l’autre et j’aimais bien avoir son entière attention, ça me rassurait. Je donnerais tout pour la retenir encore pour la nuit, pour l’empêcher de faire l’erreur de s’offrir à quelqu’un qui n’en avais rien à faire de la revoir le lendemain. Savait-il au moins son prénom? Ça me tordait tout l’intérieur maladivement, pourquoi devrais-je être moi? Quand je lui demandai s’il était son amoureux, elle me répondit toujours aussi franchement et crûment. "Non, il voulait juste couché avec moi, je pense que ta présence à couper court à ces envies... et au mienne aussi." J’avais presque oublier cette manière directe qu’elle avait de dire les choses sans se risquer à l’artifice. Au moins ça avait le mérite d’être clair. «Bien, ça a toujours été mon rêve de dédaigner une femme au point de lui couper l’envie de... » Je ne terminai encore pas ma phrase, toujours aussi gêné d’employer les mêmes termes qu’elle. J’étais troublé de les entendre alors imaginer les dire. Tout ça n’était qu’une blague évidemment et je la laissai sur ça en allant me réfugier dans ma chambre, seul. Je ne restai pas longuement en méditation, couché sur mon lit, on cogna à la porte et je me redressai en la voyant s'asseoir au bord de mon lit. J’ouvrai la bouche pour dire quelque chose, mais elle me devança de peu. Elle répondit à toutes mes questions conscientes et inconscientes. Elle me parla de mon importance, de la mort de son frère, de ses méthodes sans justification. Je restai statique un instant, oubliant de cligner des yeux pour ne pas manquer un fragment de son discours. Pour conclure, elle s’excusa et se tint prête à s’enfuir de nouveau. Ses lèvres embrassèrent le coin des miennes un instant, je clos les yeux pour m’y perdre un instant d’éternité. Ma main cherchant aveuglément la sienne pour la retenir à moi et l’obligeai à se rassoir avec moi. J’aurais pu me gêner de ma presque nudité, mais quelque part elle me rendait à l’aise. «Ne pars pas.» Soufflais-je au moment ou elle entrait de nouveau en contact avec mon matelas. «Tu n’avais pas besoin de te justifier, je n’ai aucun droit de ... enfin, j’espère que tu sais que je ne te juge pas.» Je ne pouvais être plus sincère, la seule chose que je déplorais en fait c’était... ; «Reste avec moi, je n’ai pas envie que tu ailles le retrouver, je n’arrive pas à dormir.» Je trouvai cette excuse plate à côté de la véritable raison cachée sous ma demande. J’étais jaloux, simplement. « Oh je crois que...» Je portai une main à son visage pour glisser mon pouce sur l’arrête de ces lèvres. Sa peau était masquée par son gloss ou son rouge-à-lèvre qui c’était propagé... sans doute sous l’impact d’un baiser. Je n’avais pu m’empêcher de les toucher, de les regarder, je me trahissais moi-même. «Tu crois pouvoir survivre sans... activité physique pour ce soir?» J’étais pathétique.

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J'aurais très bien pu le rejoindre et avoir ce que j'avais chercher mais Dexter avait couper court à cette envie, j'avais pas du tout envie que lui me voit sous une autre facette, il avait été le seul à me voir comme la Anastasia du passé mais elle était loin bien qu'elle reviendrait le jour où je tomberait amoureuse et que je me contenterait seulement d'un homme dans ma vie et peut être que sa ne serait que tarder. Il m'avait fait une remarque avant de quitter les lieux et j'avais préféré ne pas y répondre parce que je ne savais pas vraiment pourquoi il avait agit comme ça, pourquoi il avait stopper ce type mais je me disais que peut être il avait vraiment cru qu'il me faisait du mal. J'étais donc venue le rejoindre dans sa chambre pour lui parler, j'en avais besoin alors oui peut être que j'avais pas à me justifier mais j'en avais envie. Il savait peut être pas à quel point il comptait pour moi même si on c'était vu qu'une fois et que j'avais tenter de l'embrasser avant qu'il me repousse. D'ailleurs le fait qu'il me repousse me poussait plus à me dire qu'une fille comme moi méritait simplement les histoires d'un soir que les romances, ça faisait mal d'être repoussé de la sorte quand un homme nous plaisait. J'étais sur le point de partir parce que j'avais dis ce que j'avais à dire et surement qu'il avait pas envie de me voir sans compter qu'il était à moitié nu et j'avais beaucoup de mal à le regarder dans les yeux alors quand il me retenait je posa mes yeux sur sa main en le regardant. "Je sais j'en avais envie c'est tout, j'ai pas envie que tu croit que j'ai joué avec toi l'autre soir parce que ce n'était pas le cas." Je laissa ma main ce faufiler contre la sienne pour caresser sa main de mon pouce avant de sourire. "Pourquoi tu ne veut pas que j'aille le retrouver??" Je le regarda dans les yeux avec ce petit sourire toujours sur les lèvres avant que sa main glisse contre celle ci, je frissonna au contact de sa main et je ferma les yeux pour chasser toute les pensées que je me faisais et qui pourtant ne voulait rien dire, il m'avait repoussé et il était amoureux donc je devais pas prendre ce genre de réaction comme quelque chose d'important il était juste tactile. D'ailleurs sa dernière remarque me sortit de mes pensées et je planta mon regard dans le sien. "Si je reste avec toi c'est que je l'accepte, je sais que tu n'ai pas intéressé tu m'a assez repoussé et dit que tu était amoureux donc t'inquiète pas je ne te sauterais pas dessus même si tu me fait craquer dans cette tenue." Je souris en laissant mon regard descendre sur son torse, je me pencha d'ailleurs pour aller me réfugier contre lui, je posa ma joue contre son épaule et ma main glissa sur son torse que je caressa, c'était pas en mal que je faisais ça j'étais vraiment tactile et j'avais vraiment envie de sentir les courbes de son torse sous mes doigts.

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Ma main contre la sienne y trouvait chaleur et réconfort. J’étais perdu entre deux idylles, seul au monde, pour la première fois de ma vie je ne devais rien à personne... je pouvais me laisser aller tout en restant le même coincé habituel. C’était tout de même rassurant de pouvoir penser à l’embrasser sans m’en sentir complètement coupable. Elle sa rassit à mes côtés, ne luttant pas contre mon besoin de la voir rester. "Je sais j'en avais envie c'est tout, j'ai pas envie que tu croit que j'ai joué avec toi l'autre soir parce que ce n'était pas le cas." Elle me caressa le dos de la main avec son pouce, cette caresse était douce et toxique, elle empêchait le libre court de mes pensées. Si, elle avait jouer avec moi et je m’étais laissé emporté par sa manière de séduire. L’homme qu’elle avait choisit ce soir là, c’était moi, mais cela ne me rendait pas plus unique qu’un autre idiot. «Je suis heureux d’avoir faillis être une de tes victimes, ça ne m’arrive jamais à moi ce genre de chose... c’était plaisant, mais je ne suis pas près de croire que je suis le seul à avoir eu ce traitement. » J’usais de la franchise la plus clair. Ça me dérangeait un peu de savoir qu’il y avait d’autres hommes avant et après moi, mais à quoi pouvais-je m’attendre? Je n’avais même pas pu profiter de notre baiser la dernière fois, j’en avais marre d’être un bon garçon. "Pourquoi tu ne veut pas que j'aille le retrouver??" J’haussai les épaules par réflexe, je ne voulais pas être trop transparent non plus et puis je n’avais absolument aucun droit sur elle ou si quiconque. Elle était libre de faire ce qu’elle voulait. Ce qui aurait été normalement un ordre ou un reproche se transforma en simple affirmation aujourd’hui; «Ça me rendrait jaloux.» Je l’étais déjà, affreusement, mais au moins là je savais qu’il n’y avait eu qu’un baiser échangé entre elle et cet inconnu. Nos mains restaient entrecroisés, posées sur le matelas. Je n’avais pas envie de la lâcher, et si elle s’enfuyait encore? "Si je reste avec toi c'est que je l'accepte, je sais que tu n'ai pas intéressé tu m'a assez repoussé et dit que tu était amoureux donc t'inquiète pas je ne te sauterais pas dessus même si tu me fait craquer dans cette tenue." Oh. J’avais déjà oublié ma presque nudité. Je baissai les yeux, trop gêné pour affronter son regard qui me brûlait maintenant la peau. Elle se rapprocha sans prévenir, posa sa tête sur mon épaule et sa main sur ma peau sensible, juste là, au niveau du coeur. N’avait-elle donc rien appris de notre dernière rencontre? Elle me faisait perdre la tête en agissant de la sorte, j’adorais et détestais à la fois. Mes muscles se contractèrent sous son passage, alimentaient par le désire de la voir recommencer. Dans cette perte de contrôle, j’arrivai à peine à formuler une phrase. « Beaucoup de choses ont changé depuis notre dernière rencontre, mais tu me fais toujours aussi peur.» J’étais paralysé sur place, tel une statut de pierre je n’osais même plus respirer trop fort. Mon coeur aimait encore la même femme, il l’aimerait toujours, mais aujourd’hui la possibilité de la conquérir à moi seul c’était volatilisé avec mes espoirs. J’étais plus libre que jamais, mais je restais moi et ça c’était tout un handicap.

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J'aimais sa compagnie alors je ne voyais pas pourquoi je devrais lutter contre mon envie de rester si c'est lui qui me le demandait, quel idiote le ferrait après tout, il était de bonne compagnie et puis il pourrait plaire à n'importe quel femme qui croiserait son chemin. J'étais certaine qu'il me verrait comme une allumeuse comme tout les autres mecs mais je ne l'avais pas été avec lui, au départ oui j'étais venu vers lui dans le but de le séduire en voyant son air mystérieux et réservé mais par la suite j'avais juste envie d'apprendre à le connaitre et il m'avait plus alors oui j'avais tenté de l'embrasser mais ce baiser était des plus sincère, j'en avais eu envie et simplement sentir ces lèvres contres les miennes. Je continua de caresser sa main de mon pouce avant de secouer la tête de gauche à droite. "Non Dexter je suis sincère et si vraiment tu serait une de mes victimes je ne serais pas venue te rejoindre mais je serais retourner avec l'autre, je t'apprécie vraiment pour ce que tu est et même après m'avoir refoulé l'autre soir, surtout pour m'avoir refouler." Il m'avait repoussé et sa prouvait bien qu'il avait eu du respect pour moi d'abord parce qu'il m'avait repoussé pour ne pas penser à une autre femme en m'embrassant, celle qu'il aimait et aussi il aurait pu juste profiter de moi et il l'avait pas fait donc sa prouvait bien qu'il était quelqu'un de bien même si j'aurais aimé avoir le privilège d'avoir une suite à ce baiser, il me plaisait réellement et j'aurais aimé partager plus qu'un baiser avec lui mais si l'envie n'était pas partagé je ne pouvais rien faire contre cela. Je lui avais demander pourquoi il ne voulait pas que j'aille retrouver ce type et sa réponse me fit sourire mais je comprenais pas trop le sens de sa réponse. "Jaloux pourquoi??" Je comprenais pas pourquoi il serait jaloux en fait vu qu'il avait été le premier à me repousser et qu'il était déjà amoureux, il est vrai que j'étais célibataire et que je profitais peut être un peu trop mais je m'étais livré à lui et je ne cachais pas être une femme qui faisait n'importe quoi en ce moment. J'avais perdu mes parents, j'avais perdu mon frère et je m'étais fais violé à 17 ans avant de faire adopter ma fille suite à ce viol et au vu de mon passé chaotique j'avais enchaîner une vie aussi chaotique, je savais que je ne méritais pas un homme comme lui et il me le faisait comprendre à travers ces mots ou ces réactions mais je ne pouvais pas m'empêcher d'être tactile avec lui c'était plus fort que moi. Je m'étais blottis contre son épaule avant de caresser son torse de ma main, ma main montait et descendait pour lui faire de petites caresses douce contre sa peau nu mais là encore je m'attendais à ce qu'il me repousse. "Peur?? Peur comment?? Enfin je fois prendre sa comme un compliment ou un reproche??" Je releva le regard vers lui en continuant de caresser tendrement son torse et je regardais un instant ces lèvres que j'avais toujours autant envie d'embrasser mais je ne le fis pas, je me pinça d'ailleurs les lèvres pour éviter de l'embrasser.

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Je manquais de confiance en moi, c’était pathologique. C’était l’évidence même qui gouvernait chacune de mes relations avec la gente féminine. Il me fallait le capital de l’attention ou je me sentais démunie de quelque chose d’essentiel. Même une amie, même une connaissance devait tout m’offrir ou j’en trouvait une raison d’en être triste. Anastasia n’y ferait pas exception, et j’avais aujourd’hui assez de preuve incriminant son partage d’elle-même que j’en étais violemment jaloux. Jaloux jusqu’au cou. "Non Dexter je suis sincère et si vraiment tu serait une de mes victimes je ne serais pas venue te rejoindre mais je serais retourner avec l'autre, je t'apprécie vraiment pour ce que tu est et même après m'avoir refoulé l'autre soir, surtout pour m'avoir refouler." Surtout? C’était étrange, j’avais cru avoir tout gâché en la repoussant, en me justifiant de la sorte. Une baiser n’aurait suffit à personne, il n’aurait étanchée aucune soif, ce n’était pas tant ses lèvres que l’idée de ne jamais plus pouvoir les ravoir par la suite qui m’avait fait prendre un pas de recule. L’illégalité n’était pas toujours excitante, ici elle était simplement dangereuse. «Je dois bien être l’un des seuls à l’avoir fait je suppose... parfois j’aimerais vraiment être comme les autres.» Je soupirai lourdement, m’accrochant à l’espoir qu’un jour se serait ma réalité. Je ne vivrais plus en marge, je n’aurais plus jamais à chasser la moindre pensée malsaine. Force de l’habitude, je laissai échapper le fait que j’étais jaloux à l’égard de l’autre homme qui avait la liberté de la toucher allègrement, sans calculer, sans regretter. "Jaloux pourquoi??" Il y avait réellement trop de raisons. Mes raisons complètements égoïstes. «Je n’aurai jamais la liberté de faire ce qu’il te faisait, j’en ai l’envie, mais non le droit.» Je cachais sans doute la plus grande part de ma vérité, celle qui dictait que je devais absolument être le centre de l’univers au yeux de mon interlocutrice. L’idée de la savoir à d’autres en même temps qu’à moi me rebutait bien malgré moi. "Peur?? Peur comment?? Enfin je dois prendre sa comme un compliment ou un reproche??" Elle continuait ces caresses, me rendant d’autant plus fou et rendant incohérentes chacun de mes nouvelles pensées. «Simplement peur. Comme un compliment, c’est rare de me mettre dans cet état, de réussir à me faire douter, mais je ne peux simplement pas... ça ne fonctionnerait jamais.» Je vis son regard me caresser les lèvres, j’eus le réflexe d’y passer ma langue, voir si ses yeux y avaient brûlés leur marque. Il n’y avait rien. «Que dirais-tu d’être amis?» Je le dis si faiblement que je devais m’interroger à savoir si elle m’avait même entendu.

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Il avait été l'un des seuls à m'avoir repoussé il est vrai et c'est peut être ça qui m'attirait chez lui je ne pourrais pas exactement dire ce qui me procurait une telle chose mais j'étais presque sure que sa réaction était pour quelque chose dans l'attirance que j'éprouvais envers lui, il m'avait prévenu qu'il était amoureux d'une autre femme et il avait même refusé un baiser donc je savais très bien qu'il y aurait rien mais je ne pouvais pas m'empêcher d'être attiré par lui. J'allais pas mentir ces paroles étaient blessantes sans le vouloir parce que sa me rappelait que plusieurs hommes avaient eu l'autorisation de me toucher et de faire bien plus avec mon corps ou mes lèvres mais c'était pas une chose que je voyais comme quelque chose de mal jusqu'à que Dexter me le fasse comprendre, j'avais été violer sans même le vouloir à l'âge de 17 ans donc je me disais que je ne pouvais pas être plus salie à présent. "Oui entre autre après j'ai pas couché non plus avec tout havard." Il était sérieux comme garçon je l'avais remarqué mais trop sérieux, on ne vivait qu'une fois et si il laissait toujours parler sa raison plutôt que ces envies il gâcherait sa vie et il devrait arrêter de ce priver autant. "Alors laisse parler tes envies Dexter, tu va gâcher ta vie à t'interdire des choses, la vie est courte et on ne vit qu'une fois alors profite." Je lui disais ça pour lui maintenant il ce débrouillait si vraiment il voulait vraiment rater des choses dans la vie il ne s'en prendrait qu'à lui puis si c'était comme ça qu'il voulait procéder comme ça pourquoi après tout j'avais des façons de procéder qui était mauvaise et pourtant j'agissais comme ça. "Je ne fais rien pour te faire peur.. Si tu veut que j'arrête d'être si tactile ou autre dit le moi et je m'arrêterais." Je laissa mes doigts faire de petites cercles sur son torse et je me pinça la lèvre à sa remarque. "Je ne sais pas si j'arriverais à être ami avec toi, peut être quand j'aurais un homme dans ma vie ou que je me serais fait une raison sur le fait que tu appartient à une autre." Il me plaisait et je ne pouvais pas être ami avec un homme qui me plaisait.

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