Invité
est en ligne
Invité
JEREMIAH & DIAMANTIKAfiche par ©century sexCette ambiance m'emplissait d'une légère poésie alors que ce cadre idyllique de nous deux et de cette plage était assez romantique. Si seulement nous pouvions stopper le temps, je crois qu'il s'arrêtera là pour toujours. « C'est pas marrant, arrête de me regarder. » Comme si je le pouvais, son visage, son si beau visage, lorsque je le regardais, je voyais mon sourire bienveillant qui l'accueillait avec tendresse et envie, mes lèvres pulpeuses aux couleurs framboisés qui venaient parcourir les moindres parcelles de son visage avec une tendresse affamé d'envie, je voyais mes mains se planter avec douceur dans sa nuque marchant une complainte de désir partager. Il était un dessin à l'aquarelle sur une toile, j'aurai volontiers assuré qu'il s'agissait d'une oeuvre d'art alors comment pourrais-je arrêter de le regarder dites-le moi ?. Pour contempler davantage cette oeuvre, j'avais choisi de nous rendre totalement quitte en lui retirant le dernier vêtement qui gâchait une partie de son corps. Sauf qu'une vague se permit de s'immiscer entre nous rompant ainsi notre baiser. Mais je voulais jouer un petit peu, après tout, je possédais une part d'âme enfantine qui s'ajoutait d'ailleurs à mon charme. Cachée derrière un rocher, je priais pour qu'il me retrouve, mais à trop prier, je n'avais pas remarqué qu'une partie de ma tête était à découvert. Résultat, il me trouva bien vite que prévu. « Ce ne devrait pas être légal d'être aussi belle. » Tiens donc, je pensais évidemment la même chose de lui. « Je ne suis belle que parce que tes yeux me regardent, c'est toi qui me rend belle Jeremiah. » Disais-je le plus sincèrement possible et d'ailleurs mes yeux pétillaient de vérités. Il me rendait belle, je me sentais belle à ses côtés et je n'avais jamais ressenti ça de toute ma vie. Il se jeta littéralement sur moi, m'emprisonnant contre lui alors qu'il m'offrit de nouveau, un baiser passionnel. Mes lèvres répondirent à l'appelle des siennes avec une certaine fougue, mais tout en gardant une naturelle douceur et sensualité. Ses mains commencèrent un parcours désirent de sensualité en commençant de ma poitrine jusqu'à mes fesses. Mon pouls frappa dans tout mon corps au rythme d'un tambour dévastateur causé par chaque parcelle de peau qui passait sous ses doigts. J'étais dingue de lui et mon corps l'exprimait librement en frémissant. Soudainement, le lowell me souleva en mode princesse, QUOI ?, mais non ! pas comme ça !. Rapidement mon visage vira au rouge sanguinaire. Je cachais mes parties intimes à l'aide de mes mains, car je n'avais pas prévue qu'il pourrait me voir nue d'aussi près, dans l'eau ça passait, on ne voyait rien, mais là, omg, mes mots m'avaient lâchement abandonnés alors que mon coeur s'affolait de plus belle, je me pinçais la lèvre inférieure tout en fixant mes parties intimes cachées, enfin presque. Il me déposa assise sur le natte et se précipita de nous réchauffer à l'aide d'un morceau de couverture. « Rappelle moi de ne jamais plus te laisser m'entraîner dans tes aventures, t'imagines s'il y avait eut des requins? » J'attrapais le plus de tissu possible pour recouvrir entièrement mon corps, je ne sais pas pourquoi j'étais autant gêné et le regard de Jeremiah n'arrangeait en rien la situation. « Je suis sûre que tu les aimes bien mes aventures et puis, s'il y avait des requins on aurait pu avoir la fin que je voulais, mourir ensemble !. » Mon visage s'étira et un sourire colgate apparu. « Est-ce que je peux récupérer ma robe où t'es bien décidé à me laisser en tenue d'Eve ce soir ?. » J'avais froid en raison de la petite brise qui s'était installée. « T'sais, on dit que la meilleure façon de se réchauffer c'est la chaleur humaine de deux corps complètement collés !. » J'attrapais rapidement la petite assiette de cerises et fraises en me redressant doucement pour m'asseoir sur ses cuisses, mes genoux pliés contre la natte et je nous entourais ainsi de tout le morceau de tissu. Il avait remi son boxeur, mais peu importe, j'avais suffisamment de peau pour me réchauffer. Je capturais une cerise dont la moitié se retrouva entre mes dents approchant immédiatement ma bouche de ses lèvres, je voulais qu'il croque la seconde moitié de ce fruit, voulant ainsi bénir la première bouchée par ses lèvres. Et lorsqu'il croqua, je dégustais ma moitié avec délice gémissant doucement pour lui montrer à quel point c'était bon lorsqu'on le partageait ainsi. « Est-ce qu'avec ça, t'veux toujours pas te laisser entraîner dans mes aventures ?. » Murmurais-je tendrement écrasant mon souffle contre ses lèvres alors que je m'emparais d'une fraise, mais cette fois-ci, je lui fis manger moi-même.
(Invité)