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Andrew & Prue - We play a dangerous game and we like that

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Souhaitant me retrouver un peu au calme avec lui, nous nous étions réfugiés dans un petit salon privé. L’atmosphère était très causie et feutrée. M’asseyant sur le canapé, je tendais ma main dans sa direction, lui donnant ainsi, l’autorisation de venir s’assoir près de moi. De ses mêmes mains puissantes qui quelques minutes avant me tenait fermement, il attrapait ma taille pour que je puisse me blottir dans ses bras. D’une douce voix, pas plus bruyante qu’un murmure, je lui demandais de me parler de lui. Que c’était-il passé dans sa vie et qu’avait-il fait durant ses longs mois d’absences ? Au fond de moi, j’avais l’impression que ces dernières années, j’étais passé à côté de quelque chose. Du bout des doigts, il touchait mon visage comme la douce caresse d’une plume. « Eh bien. Je me suis finalement décidé à intégrer une Confrérie à Harvard : la Winthrop House… Je suis en quatrième année de droit et politique tout en bossant en parallèle pour KW Industries… Je crois que sans le vouloir, je suis en passe de faire tout le boulot de mon père… Je suis dans l’équipe de natation d’Harvard mais aussi dans l’équipe nationale britannique… Cet été, je vais essayer de conserver mon titre de champion d’Angleterre mais la concurrence est rude. Et toi ? » Ainsi, j’apprenais qu’il était chez les Winthrop. Je n’en attendais pas moins que lui. Cette maison lui convenait parfaitement. « Nos deux maisons sont alliées. On risque de se voir souvent » disais-je avec un léger sourire. Il me racontait son travail parallèle. Pourquoi est-ce que je n’étais pas surprise, parce qu’il venait de me confier ? Tous les deux, nous venions d’une famille importante et connu par le monde. La mienne avait toujours travaillé dans la finance et avec un peu d’entrainement, je pourrais reprendre une des branches de la famille. Seulement, ce n’était pas ce que je voulais faire et mon père avait été très compréhensif là-dessus. Selon lui, j’étais beaucoup trop féroce pour ce genre de milieu et je risquais de leur faire peur. Néanmoins, il soulignait le fait, que cela était un avantage. « Ce n’est pas ce que tu voulais faire ? » Il me semblait que ce genre de chose était plaisant pour Andrew et à la hauteur de ses ambitions, du moins, pour l’instant. Je ne doutais pas du fait, qu’un jour où l’autre, il serait capable d’aller bien au-dessus. « Je t’ai vu durant une compétition à la télé » Une lueur taquine dans le regard, je n’oublierais pas se fameux moment où je l’avais vu à la télévision. C’était un matin, alors que mon père regardait la télé. Il m’avait signalé la présence du fils Kenworth. A cette époque, j’étais encore avec James et ce moment lui avait particulièrement déplut. Je me souvenais avoir fixé l’écran pendant tout le long, me perdant dans le mouvement de ses muscles sous l’eau. Comme toujours, il avait éveillé se désir qui nous était si propre.   

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Prudence & Andrew





Petit moment de tendresse après avoir joué à leur jeu favori ? C’était véritablement étrange de la part de Drew d’avoir accepté cela mais il avait bien vu que quelque chose tracassait sa compagne et malgré son envie de savoir ce que c’était afin de pouvoir l’aider etc, il avait joué la carte de la tendresse et de la douceur. Chose qu’il n’avait jamais faite auparavant surtout en compagnie de Prudence mais il lui semblait que cette nouvelle attitude était la plus appropriée pour la suite des événements ; de ce fait lorsqu’il l’avait sentie se refroidir quelques minutes plus tôt et qu’elle s’était éloignée de lui, il s’était empressé de la rejoindre et de la prendre dans ses bras en lui murmurant avec une douceur infinie qu’il fallait qu’elle profite de sa soirée. Sa réponse à elle l’avait surpris mais il n’en avait rien laissé paraître, se contentant de la prendre dans ses bras comme elle le lui demandait puis par la suite, ils étaient partis rejoindre un endroit plus approprié pour être tranquille. C’était l’un des salons privés de la boîte de nuit qu’ils avaient choisis. Un endroit qui respirait tant la tranquillité et d’où on n’entendait que très peu la musique et les bruits provenant de la pièce principale de la boîte de nuit. Après avoir bien refermé la porte, il était venu la rejoindre la prenant immédiatement dans ses bras, afin qu’elle puisse se blottir dans ses bras – il ne voulait pas dire mais il adorait cette sensation, l’avoir près de lui était quelque chose qu’il appréciait et qu’il ne voulait surtout pas échanger avec quelqu’un d’autre – puis à sa demande, il lui avait racontée sa vie actuelle. Elle lui répondit que leurs deux maisons étaient alliées, ce qui voulait dire qu’elle faisait partie des Dunsters et ils allaient se voir souvent. Sans cesser de lui caresser le visage, Drew lui répondit : « J’espère bien qu’on puisse se voir souvent. On a du temps à rattraper tous les deux… Et honnêtement, au départ, je pensais être fait pour intégrer les Eliot mais les Winthrops c’est parfait pour moi. » Il lui sourit plongeant son regard bleu lumineux dans ses prunelles vertes ressemblant à une prairie au printemps… Il était subjugué par leurs beautés comme toujours mais dans cette situation, cela lui faisait encore plus d’effet ! Il voulait intégrer cette image en lui pour toujours ! Elle lui posa une question… Etait-ce ce qu’il souhaitait faire ? Il se mit à réfléchir un peu avant de répondre d’une voix posée : « Sincèrement, je ne sais pas trop à l’heure qu’il est… J’aime mon entreprise et mes parents mais je souhaite faire de la politique un jour et je m’en donne les moyens, cependant le fait d’avoir un poste si important à mon jeune âge peut parfois me porter préjudice dans mes études et j’avoue que ça ne me plaît pas trop. Je ne peux pas non plus refuser bien que je délègue déjà beaucoup à mes adjoints, parce que c’est mon héritage… » Pendant qu’il parlait, il se disait qu’il semblait véritablement ancré dans un dilemme… Il fallait qu’il fasse quelque chose pour s’en sortir sans séquelles… Les dernières paroles de la jeune femme le firent sourire jusqu’aux oreilles. Cela lui faisait plaisir de savoir qu’elle l’avait regardé lors d’une de ses compétitions… Avec un sourire amusé, il lui demanda, lui caressant les lèvres doucement avec son revers de doigt : « Tu as aimé ? » Dieu qu’il avait envie de l’embrasser…

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« J’espère bien qu’on puisse se voir souvent. On a du temps à rattraper tous les deux… Et honnêtement, au départ, je pensais être fait pour intégrer les Eliot mais les Winthrops c’est parfait pour moi. » Il aurait pu aller chez les Eliot, mais à quoi bon fréquenter de telles personnes ? Moi-même, j’aurais pu y adhérer, mais ils étaient trop imbus de leur personne pour que je puisse m’intéresser à eux. « L’emblème de cette maison te correspond mieux. » Même si certaines manières pouvaient être déplaisante pour d’autre, il était un parfait gentleman. Ce qui était préférable à un vieux con égocentrique. Me parlant de son travail dans l’entreprise familial, je crus déceler une légère déception. On lui incombait de hautes responsabilités, mais n’était-ce pas là, ce qu’il avait toujours voulu avoir ? « Sincèrement, je ne sais pas trop à l’heure qu’il est… J’aime mon entreprise et mes parents mais je souhaite faire de la politique un jour et je m’en donne les moyens, cependant le fait d’avoir un poste si important à mon jeune âge peut parfois me porter préjudice dans mes études et j’avoue que ça ne me plaît pas trop. Je ne peux pas non plus refuser bien que je délègue déjà beaucoup à mes adjoints, parce que c’est mon héritage… » J’aurais dû me douter de ses ambitions. Elles allaient bien au-dessus de leur entreprise. Drew était aussi ambitieux que ma personne, peut-être même un peu plus. « Pourquoi ne pas déléguer plus de responsabilité ? Cela serait tout à fait compréhensible, surtout avec tes études. » M’arrêtant de parler, j’observais les traits de son visage, tandis qu’une lueur nostalgique éveillait mes sens. « Et quel rôle politique souhaite-tu avoir ? »[/color] murmurant cette question, je rapprochais un peu plus mon visage du sien, soutenant son regard bleuté. Andrew avait fait ressurgir en ma mémoire, un moment passé dans le salon de la demeure familial. Je l’avais vu nager durant une compétition. Mes yeux n’avaient pu se détacher de sa silhouette athlétique. « Tu as aimé ? » Un de ses doigts venait caresser mes lèvres dans un mouvement sensuel. Sans défaillir, je continuais de tenir son regard, alors qu’une drôle de sensation s’insinuait en moi. C’était sans doute l’atmosphère feutré de la pièce et la chaleur de la pièce qui me donnait le vertige. Comment cela pourrait s’expliquer, sinon ? Je n’osais plus bouger le visage, profitant de l’effleurement de son regard sur ma peau nacrée. Je ne serais expliquer ce qui se passait, mais je sentie l’air se charger d’une électricité nouvelle et déconcertante. Détournant le regard, je brisais cet instant, posant ma coupe sur la table basse. Puis, d’un mouvement gracieux, je glissais ma main jusqu’à sa nuque, hâtant mon corps vers le sien. « Ça te plairait que je dise oui ? » C’était une question sans l’être que je lui posais. Mes lèvres rosées, s’était dangereusement rapprochées des siennes.
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Alors qu’ils étaient tranquillement blottis l’un contre l’autre, la jeune femme dans ses bras, Drew se disait qu’ils ressemblaient à un joli petit couple et cela le gênait un petit peu tout de même parce que comme dit précédemment, c’était la première fois qu’il se comportait comme ça avec une fille et encore plus avec Prudence : tout le monde savait à quel point Drew avait une certaine phobie de tout ce qui était relation sentimentale mais à le voir ce soir, on pourrait croire qu’il avait finalement changé d’avis… Ils étaient donc en train de discuter tranquillement dans le petit salon privé qu’ils avaient choisi à faire d’être à l’écart de la foule et du bruit ambiant de la salle principale de la discothèque. Le jeune Winthrop était en train de raconter à son interlocutrice sa vie actuelle en commençant par le fait qu’il ait intégré la Maison des Rouges. La réponse de la jeune femme à ses dires avait été qu’ils allaient se voir plus souvent puisque sa maison à elle était alliée à la Winthrop House. Drew avait renchéri en disant qu’il espérait qu’ils se voient plus souvent parce qu’ils avaient du retard à rattraper, puis il lui avait dit qu’il pensait être un Eliot mais qu’au final être Winthrop lui correspondait beaucoup mieux. Elle lui avait répondu que l’emblème de la maison des Rouges lui correspondait mieux, il lui sourit d’un air radieux avant d’enchaîner sur le fait qu’il ne savait pas véritablement ce qu’il souhaitait en fin de compte parce qu’il voulait être politicien mais il était plus dans la vie corporative pour le moment malgré son jeune âge. Elle lui demanda pourquoi il ne déléguait pas plus de responsabilité mais avant qu’il ne puisse répondre, elle avait murmuré une nouvelle question sur ce qu’il comptait faire comme rôle politique… Il ne répondit pas de suite parce qu’elle venait de rapprocher son visage et il était comme pétrifié… Elle était si belle qu’il en frissonnait… Il avait vraiment envie de l’embrassé là de suite ! Mais au lieu de faire cela, il répondit d’une voix aussi douce qu’un murmure : « Mon père refuse… Seul un homme Kenworth peut prétendre à être PDG de KW Industries et comme lui, il se trouve dans l’incapacité d’exécuter ce poste, cela me revient de droit. Et sinon, je rêve de pouvoir un jour devenir Premier Ministre britannique. » Il se tut alors qu’il promenait son doigt sur les lèvres de la jeune femme. Il avait envie de les goûter de nouveau et alors qu’il venait de lui demander si elle avait aimé lorsqu’elle l’avait vu à la télé pendant sa compétition, la jeune femme posa sa coupe de champagne pour pouvoir lui mettre la main sur sa nuque pour le rapprocher d’elle. Elle lui demanda si ça lui plairait qu’elle dise oui. Il murmura doucement : « Oh oui. Ça me plairait beaucoup ! » Les lèvres de la jeune femme n’étaient plus qu’à quelques centimètres des siennes, il lui jeta un regard fiévreux avant de se décider finalement à l’embrasser avec toute la passion qu’il pouvait avoir à l’instant t…

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Je ne comprenais pas pourquoi, il ne pouvait pas délégué une partie de ses pouvoirs, le temps de terminer ses études. « Mon père refuse… Seul un homme Kenworth peut prétendre à être PDG de KW Industries et comme lui, il se trouve dans l’incapacité d’exécuter ce poste, cela me revient de droit. Et sinon, je rêve de pouvoir un jour devenir Premier Ministre britannique. » Je ne comprenais pas toujours cette fierté qu’avait les hommes, mais je pouvais comprendre le fait qu’il veuille garder ça dans la famille. Andrew serait le futur pdg et il devait se faire respecter par les employés de l’entreprise, surtout qu’il était plus jeune qu’eux. Il devait leur montrer sa puissance et incliné leur respect. Mettre l’entreprise aux mains d’une autre personne, pourrait se révéler problématique, quand il devrait reprendre les rênes. Au fond de moi, je sentais qu’il n’était pas vraiment emballé par la reprise de l’entreprise. Il me confiait même, vouloir être politicien, mais pas n’importe lequel : premier ministre. Cela lui ressemblait bien. Un sourire s’épanouissait sur mes lèvres, alors que je l’imaginais dans ce rôle. Drew était un jeune homme plein de puissance et cela serait mentir que de dire que cela ne me plaisait guère. Il y avait un côté excitant chez une personne pleine de pouvoirs. Néanmoins, pour ce rôle, Andrew devrait refréner son tempérament fougueux et téméraire. « Monsieur le ministre Kenworth »[/color] disais-je en détachant chaque syllabe. « ça sonne plutôt bien »[/color] Au détour de la conversation, nous évoquions son passage à la télé, il y a de cela plusieurs mois. M’étant rapproché de lui, j’avais glissé une de mes mains jusqu’à sa nuque pour avoir une meilleur emprise sur lui. Rapprochant mes lèvres des siennes, j’attendais une réponse honnête de sa part. Cette soudaine intimité était volontaire et doucement, je reprenais le contrôle des choses. « Oh oui. Ça me plairait beaucoup ! » Je pouvais sentir son contrôle se fissuré. Si bien qu’après ses mots, il se jetait sur moi, pressant ses lèvres contre les miennes. Reculant légèrement, j’entrouvrais la bouche pour reprendre mon souffle, avant d’appuyer à mon tour, mes lèvres sur les siennes. Avidement, je mêlais ma langue à la sienne dans une étreinte explosive. Mes deux bras venaient l’entourer, me permettant de venir complètement sur lui. Je retrouvais là, notre passion de toujours et notre avidité commune qui à chaque fois repoussait nos limites. Mon corps répondait à son appelle, s’éveillant comme s’il avait été endormie tout ce temps. Abaissant mes mains, je déboutonnais sa chemise, révélant son torse nu et éclatant d’une couleur nacré. Il était exactement comme dans mon souvenir. Me rappelant de l’envie que j’avais eu de lui, en le regardant fixement à la télé, je redoublais d’ardeur dans notre baisé.
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Aux questions qu’elle lui posait, Andrew savait parfaitement que la jeune femme avait un peu de mal à comprendre pourquoi c’était aussi dur pour lui de devoir ses pouvoirs alors qu’il devrait plutôt se concentrer amplement sur ses études qui étaient si compliquées – surtout qu’il n’était pas dans n’importe quelle université, en effet, il se trouvait dans la meilleure université du monde, en l’occurrence Harvard et les personnes qui s’y trouvaient étaient la crème des meilleurs, l’élite : les futurs grands noms du Monde – et je crois bien que même lui, il ne comprenait pas pourquoi il faisait tout cela alors qu’il ne supportait pas que son père régente à ce point sa vie. Et dire qu’il pourrait tout simplement dire non, mais cela voudrait dire également renoncer à cette vie qu’il aspirait tant depuis son plus jeune âge : il était né pour faire partie des plus grands de ce monde et il avait tous les moyens à sa disposition pour gravir tous les sommets, cependant il fallait qu’il fasse des concessions voire même des sacrifices… La plus grande étant sa décision de remplacer son père pendant le temps qu’il se rétablisse avant qu’il ne puisse lui succéder totalement. Heureusement qu’avec tout ce qu’il faisait pour l’entreprise, il était en train de gagner les faveurs du Conseil d’Administration mais également de tous les employés de la société ainsi que du monde économique en général – d’ailleurs en aparté, récemment, il avait découvert dans un magazine people qu’il était affiché comme les plus jeunes PDG sexy en diable qu’il fallait s’arracher parce qu’il était encore officiellement célibataire et je dois dire que cela ne lui plaisait pas du tout. Néanmoins, il n’allait pas porter plainte contre ledit magazine parce qu’il n’en avait rien à faire de ce torchon – sinon croyez-moi il allait tout faire pour garder cette image de lui ! Parce que si jamais, il ne parvenait pas à accomplir son rêve suprême, il ferait en sorte d’être le meilleur PDG que sa société n’avait jamais vu depuis sa création. Enfin voilà quoi ! Prue l’avait appelé Monsieur le Ministre Kenworth avec un joli sourire et elle disait que cela sonnait, ce à quoi le jeune répondit d’une voix amusée : « J’espère que tu seras à mes côtés le jour de mon élection et même pendant ma campagne… » Il plaisantait bien sûr mais en fait, il se disait que si jamais il se présentait réellement un jour afin de devenir Premier Ministre du Royaume-Uni, il voulait qu’elle soit à ses côtés. Qu’importe, alors qu’ils étaient toujours dans les bras l’un de l’autre, ils avaient fini par unir leurs lèvres qui s’étaient dangereusement rapprochées pour ne plus se quitter. Il l’embrassait avec une passion et une fougue sans précédent tout en lui caressant les cheveux, leurs langues s’étaient par la même occasion rencontrées et s’étaient mises à danser ensemble. Elle avait passé ses deux bras autour de son cou ce qui rapprochait leurs deux épidermes… Un violent désir transperça le jeune homme : il la voulait comme un damné et alors qu’elle avait déboutonné sa chemise révélant ainsi son torse nu, il ne put s’empêcher la prendre dans ses bras afin de la mettre sur ses genoux. Tout en lui caressant le dos, il continuait de l’embrasser ardemment avant de venir l’embrasser dans le cou tout doucement… Son désir était si puissant, on aurait dit un incendie de forêt impossible à éteindre…

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« J’espère que tu seras à mes côtés le jour de mon élection et même pendant ma campagne…» Après ses mots, je liais mes lèvres aux siennes, pressant mon corps contre le sien pour m’imprégner de sa chaleur. Déboutonnant sa chemise, je caressais sa peau lisse. Au moment où je le touchais, je le sentie me porter sur ses genoux, me permettant de le sentir pleinement contre mon corps. Ainsi, je pouvais sentir la protubérance qui prenait forme entre ses jambes. Cela ne fit qu’accentuer le désir que j’éprouvais pour lui à cet instant. Reprenant mon souffle, je fus transpercé par le reflet de ses yeux bleus. Je pouvais y lire tout le désir qu’il ressentait pour moi et cela était déroutant. C’était la première fois que l’on se retrouvait dans une telle situation. Généralement, on se cherchait, avant de tomber dans les bras l’un de l’autre, mais ce soir, c’était différent. Nous fêtions nos retrouvailles et cela ne se passait pas comme d’habitude. Au lieu de ça, nous nous étions retrouvés assis sur un sofa à parler sur son désir d’avenir. Lorsqu’il avait dit me vouloir à ses côtés, si jamais il réalisait son désir de politique, je ne l’avais pas pris au sérieux, car notre relation n’était qu’amical. De plus, je détestais parler d’avenir. Alors que je l’embrassais une nouvelle fois, les rumeurs des conversations me parvenaient plus clairement. Tournant le visage, je vis plusieurs têtes hilares, y compris celle de certains mecs complètement ivre. « On dirait bien que notre moment est passé » lui soufflais-je. Me relevant, je plissais ma robe, qui c’était relevée. Sans plus de concert, je prenais la main de Drew et l’attirait au dehors du salon privé. A croire que certaines personnes ne respectaient pas la pancarte occupée.
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