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Seeley & Prue - Courtesy visit (a)

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Jeudi en fin d’après-midi à dix-huit heures. J’avais passé ma journée dans mes devoirs, alors qu’il y avait un beau soleil dehors. La fin de la journée arrivée et je décidais de me dégourdir les jambes. Seulement, où aller ? Sortir du campus était une idée tentante, car j’avais bien besoin de rompre avec la monotonie des lieux.  C’est alors, qu’une idée me vint à l’esprit. La veille, j’avais parlé avec Seeley qui m’avait dit finit à dix-huit heures aujourd’hui et qu’il ne savait pas ce qu’il allait faire de sa soirée. Peut-être que j’allais pouvoir combler la sienne. Seeley avait été l’un des rares hommes à me résister depuis mon arrivé à Harvard en novembre. En plus de cela, c’était un adulte donc beaucoup plus mature que les étudiants. Cependant, il ne c’était pas contenter de me repousser. A ma plus grande surprise, il avait commencé à me faire des leçons de morales. Pour lui, je ne devrais pas draguer les hommes aussi facilement. Je comprenais ce qu’il voulait me dire et je ne lui en voulais pas. Seulement, depuis que j’avais quitté Yale, j’avais tendance à me laisser complètement aller. Encore plus, depuis que l’autre idiot était revenu me pourrir la vie. Je draguais avec subtilité tout en me faisant désirer. J’aimais plaire et cela n’était pas nouveau pour moi. Comme je le disais plus tôt, Seeley était une des rares personnes à me résister, mais cela ne m’empêchait pas de jouer la carte de la séduction avec lui. C’est donc vêtu d’un long blouson et d’une simple nuisette que j’arrivais à sa caserne. Il était en train de ranger ses équipements. J’arrivais par derrière et me hissais sur la pointe des pieds pour mettre mes mains devant ses yeux. « Qui suis-je ? »
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En ce moment, mes journées étaient monotones. Souvent le matin, j’allais en cours, et en fin d’après-midi j’allais à la caserne afin d’entamer mon service et de le finir en soirée. Durant le soir, j’avais l’habitude de me remettre au travail afin de bosser mes cours et de faire les choses habituelles. Je ne dormais toujours pas, les insomnies ne voulaient pas me laisser aux bras de Morphée, une chance, je manquerais de temps quotidien sinon. Cependant, je détestais lorsque mon emploi du temps était fixe, je préférais vivre au rythme des horaires chamboulés, je préférais que l’on m’appelle d’urgence, pourquoi ? Pour éviter de penser, de m’encrouter dans une vie semblable à celle de ces derniers jours. J’avais pris mon service à midi après un léger repas, et il faut dire que l’après-midi avait plutôt été tranquille, sauf sous les coups de seize heures où toute la caserne avait été appelé en en renfort dans une ville proche pour mettre fin à un feu qui avait englouti presque tout un immeuble. Il n’y a vraiment que dans ces moments-là que je me sentais terriblement bien, terriblement car l’adrénaline dans ces cas-là n’était pas une bonne chose et parce qu’adorer le feu alors qu’il m’avait pris la seule chose au monde que j’aimais avait quelque chose de malsain, mais c’était en quelque sorte ma rédemption, mon moyen d’oublier, même si mon esprit ne semblait pas être d’accord sur ce point. Une fois rentré à la caserne, je descendais du camion en soufflant longuement, j’étais épuisé, ce qui n’était pas fréquent mais disons qu’un mal de dos me tiraillait depuis quelques jours déjà, j’avais dû, après une bouteille d’alcool mélangé à une boîte de somnifères, m’endormir dans une mauvaise position dans mon canapé tout défoncé. Mais comme d’habitude, je ne réagissais pas, je me taisais et faisais comme si cette douleur m’était totalement inconnue, préférant me mordre les lèvres plutôt que de me plaindre. Bref, je laissais mes collègues se diriger vers les douches et en profitais pour aller ranger le matériel. J’étais couvert de suie et je n’avais qu’une envie, y aller aussi, mais je préférais que tout soit en ordre avant. Soudain, quelqu’un posa ses mains sur mes yeux et une voix cristalline que je connaissais bien se faisait entendre. « Une demoiselle en détresse ? » Je me redressais alors et me tournais vers elle en lui adressant un large sourire.

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Vêtue d’un simple duffelcoat léger, ainsi que des escarpins noirs au pied, je m’étais dirigé vers la caserne des pompiers de Cambridge. Vous vous imaginez bien, que je n’y allais pas pour leur demander leur aide, surtout dans cette tenue. En dessous de ce simple blouson, je portais des sous-vêtements victoria secret et ce n’était pas un pur hasard si je me dirigeais vers cet endroit. En réalité, je venais voir Seeley, un très beau pompier. Nous nous étions rencontrés en soirée et suite à un refus de sa part, nous étions devenus amis en quelque sorte. Seulement voilà, je ne m’avouais pas aussi facilement vaincu. Depuis cette fameuse soirée, je m’étais mise en tête de le faire craquer un jour ou l’autre et pour cela, j’usais de tous les stratagèmes possibles. En arrivant sur place, j’eue la délicieuse de trouver mon ami en train de ranger le matériel. Même rempli de suie, je le trouvais attirant. Aussi, je m’étais mise derrière lui et avais glissé mes mains devant ses yeux, tout en lui demandant qui j’étais. « Une demoiselle en détresse ? » J’esquissais un sourire, avant de répondre. « Très en détresse » disais-je malicieusement. Je retirais mes mains de ses yeux, attendant qu’il se tourne vers moi. Une fois chose faite, je pouvais constater à quel point, il était devenue noire de suie. « J’en connais un qui aurait besoin d’une bonne douche » Même comme ça, je le trouvais très séduisant. Cela lui donnait un petit côté sexy. « Je pense que je devrais t’aider pour frotter toute la suie que tu as dans le dos » J’essayais de prendre un ton désintéressé et presque convaincant.
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La caserne était devenue mon quotidien, en plus des cours je veux dire. Mon métier me vidait la tête, il me permettait de penser à autre chose qu’à mon passé douloureux, aux choses que j’avais perdues, et surtout au trou béant qu’il y avait à l’intérieur de ma poitrine. Parfois mon métier me décrochait un sourire, parce que j’avais secouru une personne, ou même un chat, mais parfois, il me laissait de marbre, comme lorsque j’observais les bâtiments s’effondrer, engloutis par les flammes, où lorsque j’arrivais trop tard pour une âme. Je ne pouvais pas me mentir, pas me cacher, j’étais du genre sensible à ce qui m’entourait, et d’habitude ce genre de chose me procure des émotions intenses, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, mais depuis la mort de Joanne, je ne ressentais plus rien, c’est comme si j’étais éteint de l’intérieur. Pourtant je souriais, oui je souriais alors que mes yeux se posaient sur Prudence qui était vêtue d’un long cardigan, naïf comme j’étais, je ne voyais pas plus loin que ça. « Que puis-je faire pour toi ? » Disais-je en me baissant une nouvelle fois pour fermer la caisse de matériel. Je m’essuyais rapidement les mains sur un torchon qui était dans le coin et me dépoussiérais rapidement même si au final, cela ne servait pas à grand-chose. « Là-dessus, tu n'as pas tort. » Je rêvais d’une douche brûlante pour finir avec de l’eau froide histoire de bien me réveiller. Je laissais alors un blanc s’installer après ses dernières paroles, puis je faisais une moue soudaine. « J’y ai presque cru, tu fais des efforts. »

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En cette fin d’après-midi, j’étais venue voir le jeune homme pour deux raisons. La première, parce que cela faisait un sacré bout de temps que l’on ne c’était pas vu. La seconde, parce que j’étais bien décidé à m’amuser ce soir. Bien sûr, il ne se doutait pas de mon stratagème et cela ne m’étonnait guère. Pourquoi est-ce qu’il voyait toujours le meilleur en moi ? « Que puis-je faire pour toi ? » A l’entente de sa réponse, j’esquissais un sourire innocent. « Me soulager d’un poids peut-être » Jouant parfaitement la comédie, je cachais la lueur malicieuse qui menaçait d’exploser à tout moment. Préférant détourner la conversation sur la suie qui s’étalait sur tout son corps. « Là-dessus, tu n'as pas tort. » Je me chargerais bien de l’aider, juste pour voir à quel point cela pourrait le rendre mal à l’aise. On pouvait croire ce que l’on voulait de moi, je n’avais pas peur de me salir pour obtenir ce que je voulais. Surtout, lorsque le jeu en valait la chandelle. Croyant maitriser le jeu, mes illusions furent brisés lorsque Seeley prenait une nouvelle fois la parole : « J’y ai presque cru, tu fais des efforts. » Mince. C’était presque raté pour cette fois. Je disais presque, car il ne savait pas ce qu’il l’attendait. « Qu’est-ce qui m’a trahis ? » rétorquais-je, non sans un certain amusement. Je me rapprochais de lui, venant m’appuyer contre les étagères de rangements. Il n’avait aucune idée de ce que je lui préparais, ni même de ce que je portais sous cette longue veste. J’humectais légèrement mes lèvres, attendant une réponse de sa part.
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J’étais loin de me douter, en rencontrant Prudence qu’elle allait élaborer des stratagèmes pour m’avoir dans ses filets. Cette fille était charmante, je devais bien l’avouer, mais je ne succombais jamais, car je savais que je ne pourrais pas m’en remettre. J’avais l’impression d’avoir le fantôme de Joanne constamment derrière mon dos, même si je me doutais d’une chose, Joanne aurait voulu que je refasse ma vie, seulement ce n’était pas aussi simple, et avec Prue, tout n’était que jeu de séduction, pas question de sentiments, donc je me contentais de résister et de faire comme si de rien n’était. « Un poids, rien que ça ? Je me demande bien lequel. » Je me retournais alors vers elle, examinant quelques secondes mes mains sales, je n’avais qu’une envie, celle de boire une bonne bière fraîche, fumer une cigarette et par-dessus tout prendre une bonne douche, mais mon programme s’annonçait compliqué étant donné que la jeune femme avait fait son apparition. Je me mettais alors à rire en la voyant perdre son assurance quelques secondes, ça l’étonnait vraiment que je commence à déceler ces techniques pour m’avoir ? J’aurais dû accepter pour la douche, rien que pour voir sa réaction, car elle aussi, à force, devait avoir l’habitude que je décline toutes ces invitations aux charmes. « Je ne sais pas, l’habitude peut être, ou tes mimiques, ou sûrement le fait que tu sois trop … sage ? Je commence à te connaître tu sais. » Je plantais alors mon regard dans le sien et faisais une légère moue, haussant les épaules. J’avais beau apprendre à la connaître, j’étais loin de me douter ce qu’elle avait préparé pour la suite.

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« Un poids, rien que ça ? Je me demande bien lequel. » Je me contentais de sourire. Surprise, alors qu’il me disait savoir à quoi je jouais, je lui demandais ce qui m’avait trahi. « Je ne sais pas, l’habitude peut être, ou tes mimiques, ou sûrement le fait que tu sois trop … sage ? Je commence à te connaître tu sais. » En effet, il connaissait à me connaître. « C’est tout à ton honneur »[/color] Je ne faillais pas devant lui, alors qu’il me pénétrait de son regard perçant. Il disait commencer à me connaître, mais il ne se doutait pas de ce que je lui avais préparé. « Donc tu veux bien m’alléger d’un poids ? » Je m’étais rapproché de lui, touchant le col de sa tenue du bout des doigts. J’évitais de me coller à lui, au risque de m’enduire de suie. Continuant de soutenir son regard, je me mordillais la lèvre inférieure. Nous étions seuls et aucun de ses collègues n’avaient l’air de venir. Sans doute étaient-ils dans les douches ou dans leur salle de repos. Il était donc possible de lui montrer ce que j’avais prévu pour lui. Encore maintenant, je me demandais qu’elle soit sa réaction. Qu’il ne croît pas que j’étais du genre à courir après les hommes. Seulement, Seeley était comme un challenge à relever. J’adorais cette homme pour sa personnalité et le fait qu’il soit resté face à mes avances, avait un côté intriguant. Je ne voulais pas dire que j’étais irrésistible, mais pas mal de mecs se contentaient d’une simple fille.
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J’ignorais à quel jeu était en train de jouer Prudence. Depuis le début, j’avais décliné ses avances, je pensais qu’elle avait définitivement que mon cœur était pris, du moins ailleurs, enchainé par le passé, un cœur que je ne m’autorisais pas à libérer, même pour une aventure d’une nuit, et surtout pour une aventure d’une nuit… Je savais à quel point elle pouvait se montrer sûre d’elle, totalement séductrice, et voir son assurance voler en éclat, rien qu’une demi seconde avait fini par me convaincre qu’il y avait un pot aux roses, qu’elle était en train de me préparer un truc. Elle avait de nombreuses ressources et idées farfelues, c’est bien ça qui m’inquiétait. Avalant ma salive, je me reculais au fur et à mesure qu’elle avançait pour venir me coller contre le mur derrière moi. Je regardais d’abord en l’air, essayant de comprendre ce qui se passait, puis je baissais mon visage sur elle, la regardant attraper mon col et se mettre sur la pointe des pieds pour essayer d’attendre mon visage. « Tout dépend du poids en question. » Je soufflais alors longuement au fur et à mesure que je la sentais se rapprocher de moi. Je priais intérieurement pour qu’un collègue vienne nous surprendre, quoique, j’aurais été le mec le plus questionné de la caserne après ça. « Tu devrais te reculer, tes vêtements vont en prendre un coup… » Et je savais à quel point la suie était… tenace.

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« Tout dépend du poids en question. » Pauvre Seeley, car oui, il semblait se sentir comme un animal en cage. Plus je me rapprochais et plus il reculait comme une pauvre petite bête effarouché. A présent, il se retrouvait coincé contre le mur. « Tu devrais te reculer, tes vêtements vont en prendre un coup… » Je rêve ou il venait de se vendre tout seul. Prenant une fausse voix embêter, je lui répondis lâchement : « T’as raison et le pressing ne pourra même pas sauver ma veste. Elle est trop chère pour que je l’abime » Un faible sourire apparaissait sur mes lèvres et sans attendre plus longtemps, je fis glisser le ruban qui maintenant ma veste en place, ainsi que les boutons. Dans un bruissement d’étoffe, la veste glissait le long de mon corps pour atterrir dans un bruit sur le sol. Dévoilant avec délice, la tenue légère que je portais sous ma veste, je gardais mes mains près de mon corps, tout en observant sa réaction. Il ne m’avait jamais vu en petite tenue et je voulais savoir s’il était aussi fort qu’il prétendait l’être. Résisté à une fille habillée cela passait encore, mais est-ce qu’en sous-vêtement cela serait la même ? C’était un homme tout de même ! « Je n’ai plus de risque de me salir maintenant » murmurais-je, un sourire narquois illuminant mon visage.
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J’étais loin de m’imaginer que Prudence allait tomber sa veste devant moi. Je ne comprenais toujours pas ce qu’elle me trouvait et surtout ce qu’elle me voulait. Elle était le diable pur, à me tenter pour une raison stupide alors qu’elle savait très bien que mes pensées étaient ailleurs. C’est dingue, plus elle se rapprochait de moi, plus j’avais l’impression de tromper Joanne. Collant ma tête contre l’étagère derrière moi, je fermais les yeux le temps de souffler et de ralentir mon rythme cardiaque, j’angoissais légèrement en voyant le plan de la brune se dessiner devant moi. Je n’étais pas dupe, encore moins con, je venais de comprendre ce qu’elle avait mis en marche, à jouer, elle allait simplement perdre, et me faire perdre également, moi qui avais toujours l’impression que mon ex-fiancée me regarde d’en haut. « Voilà, c’est ça… » Un faible espoir, une légère lueur qui me faisaient espérées qu’elle s’éloigne de moi pour me redonner l’air manquant, mais au lieu de ça elle laissa tomber sa veste, dévoilant ses dessous affriolant. J’avalais alors ma salive tout en fixant le plafond, comme si de rien n’était. Je priais intérieurement pour qu’un de mes collègues fasse son irruption. Je me reconcentrais alors et posais mon regard sur la jeune femme qui paraissait pourtant si innocente… « Non mais maintenant, tu risques d’attraper froid… »

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