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Konrad & Anaya
Ana' ne put s'empêcher de sourire à son amant. Elle était faible face à lui, dans un sens positif. Dans le sens où elle ne pouvait pas lui résister. Il savait comment la faire craquer, dans tous les sens du terme. Il était toujours trop mignon avec elle et attentionné. Même s'il fréquentait surement un tas de filles, il s'occupait d'Anaya comme si elle était seule au monde. Cependant, il n'allait pas s'en tirer comme ça !
La jeune tatouée se leva du fauteuil, s'éloignant de leur place initiale. Elle se retourna en marchant, afin de capter le regard de Konrad. Il voulait tout dire. Elle espérait qu'il la suive mais elle lui laissait le choix. Ses enjambées se faisaient aguicheuses, ses jambes tatouées faisant rouler ses hanches. Elle prit la direction de la chambre à coucher. Pas très original pour une fois, mais c'était la seule pièce où ils pourraient être seuls. Ana' aimait le danger mais pas l'exhibitionnisme. Personne ne remarquerait qu'ils n'étaient plus là, tout le monde était bourré et pour la plupart, sous substances illicites et un tas de gens devaient déjà baiser dans les escaliers ou les toilettes.
Excitée comme une puce, comme une gamine de quinze ans qui défie l'autorité de son père, Ana s'enferma dans la chambre. Elle resta debout, face à celle-ci, attendant son partenaire les bras croisés. Elle lui laissait un temps de trois minutes, passé ce délais, elle rentrerait chez elle. Elle aimait aller au bout des choses, et frustrer Konrad en faisait partie.
Le sentir glisser sa main entre ses cuisses la fit frissonner de tout son long. Elle avait uniquement envie d'une chose, qu'il lui arrache ses vêtements et qu'il lui fasse l'amour comme jamais. Il savait où la toucher pour l'exciter et ses doigts s'étaient retrouvés vraiment très près de son intimité. Son souffle avait presque été coupé par l'envie et la surprise. Elle voulait encore sentir ses mains sur elle, partout, sur son ventre, sa poitrine, ses cuisse... Elle le voulait contre elle et... en elle. Tous ses sens étaient en éveil et il l'avait complètement électrisée.
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