ANGEL T. SMITH ► gérard butler

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle je n'ai pas de pseudo et j'ai 24 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à une amie.  J'aime bien le design et le fait qu'il y ait du monde ! alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise gérard butler comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ J'espère pouvoir m'intégrer facilement, vous verrez, je ne mords pas ^^.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Naissance à Londres. Rien de très glorieux. Je suis né, j’ai crié, pleuré et gesticulé, comme tous les enfants qui sortent du ventre de leur mère. Ma mère est professeur de piano. Mon père était un policier tué dans l’exercice de ses fonctions. C’est peut-être pour cette raison que j’ai voulu travailler pour la société après lui. Servir une cause juste. Le pédopsychiatre qui me suivait à l’époque parlait de « post-traumatisme » et de « syndrome du Messie ». N’ayant pas suivi de cours de psychologie en faculté, je ne sais toujours pas ce qu’il a voulu dire par là encore aujourd’hui. Bref. J’ai eu une enfance normale. Un élève studieux, ambitieux mais réservé. Certains me qualifiaient même d’associable. Je ne sais exactement ce qui a été le déclencheur, mais tout a changé du jour au lendemain. A l’adolescence, mes hormones ne poussèrent à me rebeller contre le système. Intelligent mais peu habitué à recevoir des ordres de la part de mes professeurs, j’ai quitté très tôt les bancs du lycée, à peine ma majorité en poche, pour m’engager dans l’armée. Soldat médaillé au champ d’honneur pour bravoure et héroïsme en ayant sorti mes camarades du front de l’enfer de la guerre Afghane, je n’en ais retiré que le mérite de savoir que j’avais aidé mon pays. Rapidement promu au rang de capitaine malgré mon jeune âge, je quittais les troupes le jour où mon meilleur ami qui avait grandi dans les mêmes classes que moi et dont la mère était la meilleure amie de la mienne, apprit que son fils était mort sur les champs de bataille. J’ai vécu un an en isolement, loin du monde, de mes amis. Seule ma mère recevait une fois tous les trois mois une lettre pour la prévenir que son fils adoré n’était pas encore mort. Le suicide, j’y ai pensé, mais j’ai trop d’orgueil et de lâcheté pour réussir à m’éliminer sans que mon esprit proteste. Un an passa, jusqu’à ce que je rentre un jour à Londres, j’avais passé tout l’hiver en France dans les Pyrénées, et ne fasse la connaissance d’une femme qui devint pour moi une arche, une ancre, et une collègue de travail. Envoyée par le MI6 qui avait eu vent de mes exploits militaires, je m’engageais dans la lutte antiterroriste pendant près de 10 ans, changeant mon nom de famille comme il était obligatoire chez les agents de terrain, pour celui de "Smith" que je porte encore aujourd'hui. Ces années ont eu raison de la tendresse quasi-obsessionnelle que je portais à Mary. Dix ans qui nous ont donné un fils, que nous avons prénommé Charles, en l’honneur de notre prince. Malheureusement, au cours d’une mission, ma famille périt dans les flammes d’un incendie criminel. Quatre ans passés sur une mission d’infiltration de la mafia italienne, et quelqu’un les a prévenu. J’ai pété les plombs ce jour-là, détruisant tout sur mon passage, manquant de tuer certains collègues qui se sont acharnés à me sédater soit-disant pour éviter un drame. Mon patron, responsable du MI6 tenta de me dissuader de poursuivre mes investigations, mais évidemment la rage bouillonnait dans mes veines. Lorsque la taupe fut démasquée, seul son cadavre en putréfaction fut découvert, enchaîné à une chaise, la bouche encore grande ouverte. Torturé. Je n’ai eu aucun remord, ni regrets. Après quoi, j’ai failli démissionner plusieurs fois, mais un reste de patriotisme demeurait en moi. Finalement, je suis resté, bien que mon chef ait pris la décision pour que je « recouvre la santé » selon lui, que de m’envoyer aux Etats-Unis pour une mission de repérage et de surveillance tout ce qu’il y a de plus ordinaire. N’ayant d’autres choix que celui d’accepter, j’ai suivi les ordres, et suis aujourd’hui depuis un an le professeur de sport attitré de l’université de Harvard. Ma mission : protéger un(e) étudiant(e) apparemment témoin d’un évènement qu’il ou elle n’aurait pas dû voir.