Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityperdre la notion de réalité, toi et lui impossible - KIRILL - Page 2
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


perdre la notion de réalité, toi et lui impossible - KIRILL

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
perdre la notion de réalité,
toi et lui c'est impossible.

w/ Kirill Lindstam.

Je ne savais même pas si je pouvais lui faire confiance, il semblait être le genre de garçon tellement sur de lui, séducteur comme pas possible. J'avais l'impression qu'il savait exactement ce qu'il voulait et aussi étonnant que cela pouvait paraitre, il me voulait moi. Je déglutissais avec beaucoup de difficulté à l'idée d'être cette fille là, celle qui pouvait lui plaire. Après cette rencontre, je dois à tout prix faire un debriefing avec Jackie, avoir son avis si je ne suis pas folle. JE SUIS FOLLE de lui. Je me foutais mentalement des claques avant de nous isoler du regard des autres. Je me détendais un peu plus, je n'avais plus que cela de toute manière, même si à tout moment je pouvais tomber dans les pommes et me retrouver dans un état peu avouable. Ne tombe pas dans les pommes Lawrence, tu auras tout gagné. Il ne semble pas comprendre l'inévitable, il ne comprend pas la réalité des choses, comme si tout cela ne l'atteignait pas, comme s'il ne voyait pas la personne que j'étais, qu'on a pas arrêté de me dire, des centaines de fois, et ça tourne encore dans mon esprit.

Il me regard, et je me sens à chaque fois tomber, je dois résister n'est-ce pas, c'est la stratégie que j'ai toujours suivie, pourquoi changer franchement ? « Avec quoi ? » A ça, ce que je suis, ce tas de graisse avais-je envie de lui dire, mais je ne répondis pas, parce qu'il n'aurait surement pas envie d'entendre mes paroles. J'étais allée trop loin dans mes pensées je suppose. « Cerceï. » Je fond littéralement à son sourire que j'aimerai graver à jamais dans ma mémoire, comme me souvenir qu'un jour, un seul jour un homme avait fait cela, pour moi. Me regarder d'une manière qui me rend plus forte, plus sur de moi, comme si je pouvais avoir de l'importance pour quelqu'un. Ca existe vraiment ? « J'ai le droit d'apprécier qui je veux quand je veux, personne n'a le droit de me dicter avec qui je dois être ou ne pas être. » C'est une réponse que je ne m'attendais pas, sa main se refermant un peu plus sur la mienne, je ne donne comme réponse qu'un petit sourire timide, avant de me mordiller la lèvre. Il n'aime pas, enfin je ne pensais pas qu'il puisse me dire une chose pareille et bon sang je pourrais m'habituer à cela, c'est parfait, mon coeur se noue une nouvelle fois. « Les relations sont faites pour ça. » Je fis une petite moue. « Ce n'est pas une réponse, tu triches. » à mes yeux c'était le cas, il ne me répondait pas honnêtement et je n'aimais pas cela. 

Prise de curiosité, je ne le lâchais pas des yeux, surprise et amusée en même temps. Sous le choc, encore plus ensuite... « A toi de le découvrir. » Ben voyons, je comptais bien le faire puis le temps se stoppa. Comme dans les séries américaines, pareille. Tout bougeait autour de nous, sauf Kirill qui me semblait s'approcher de moi au ralenti. Allait-il m'embrasser, ne le faisait-il pas je ne savais plus. J'étais comme scotcher incapable de faire un seul mouvement humain. La commissure de mes lèvres accueillis son baiser et je manquais de m'évanouir. Les yeux mi clos j'entendais juste un... « Que fait-on maintenant ? » Là je beugais... Littéralement, physiquement. je chuchotais alors... « un scrabble, ça te dis ? » Je riais à mes âneries avant de le regarder et de sourire en voyant qu'il n'était pas un mirage, il n'était pas parti, ce n'était pas pour de faux, c'était agréable et je voulais encore de ses lèvres sur ma peau, tout partout partout. « Je suis sur de te battre. Mais plus sérieusement, comment ça se fait qu'un écossais se retrouve en Amérique ? » Face à sa moue surprise je venais à rajouter pour ne pas passer pour une folle du genre, je cherche des info sur tout le monde. « Je l'ai reconnu à l'accent et au soccer, bien évidemment. Si tu veux avoir l'honneur de trainer avec moi, va falloir que tu parles de toi, navrée... Mais je suis pas un fille facile. » Avouais-je en faisant une petite grimace, une moue, le tirant par le bras afin de marcher tous les deux mains dans la mains. Je prenais sur moi, mais je pouvais le faire non ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Head in the clouds but my gravity centred
Touch my neck and I'll touch yours.

w/ cercï-rae lawrence.

Même Cerceï semble ne plus pouvoir croire que ce ne sont que des mensonges, il sait qu'elle se méfie de tous et encore plus de lui. Et pourtant dans son regard il y lit quelque chose qui lui fait comprendre que peu à peu il perce la carapace qu'elle s'est construite. Il la détruit si facilement, elle qui a mis des années à se protéger des moqueries d'autrui. Quels seront les dégâts lorsqu'elle apprendra la vérité ? Il n'a pas le droit d'agir ainsi contre elle, détruire tout ce qu'elle bâtit par de belles paroles et quelques sourires enjôleurs juste pour un pari. C'est facile pour lui de la piéger, il a toutes les cartes en mains. Cerceï ignore qu'il est celui qui la détruira par ses actions et ses propos alors qu'à cet instant elle doit le trouver si particulier, différents des autres. Trop peu de monde ont prononcé les mots qu'il lui dit avec tellement de sincérité. Impossible de déceler le vrai du faux dans tout ce qu'il a pu lui dire. Cependant il ne fait pas que jouer, il en est incapable car ce n'est pas un profond connard. Il remarque tout ce mal-être en Cerceï, qui le pousse un peu plus à être si gentil et souriant, a prononcer de belles paroles pour qu'elle croit un peu plus en elle. Cerceï fait ressentir un des bons côtés de Kirill, de défendre ceux qui en ont besoin comme lorsqu'il était gamin.

Il commençait à bien l’aimer mais pas différemment ce ce qu’il peut dire. Pendant encore quelques secondes il avait eu envie de lui dire la vérité, mais il sentait toujours sa main dans la sienne. Elle ne refusait plus son contact, elle commençait à trop le croire et à le laissé rentrer dans son intimité. Tel un bourreau il vient de nouveau abattre sa lame sur la carapace qu’elle s’est construite en venant déposer ses lèvres, non sur les siennes par acquis de conséquence, elles se sont déposées délicatement sur la commissure de ses lèvres. « Un scrabble, ça te dis ? »il fronce légèrement les sourcils en ricanant légèrement, qu'elle fasse attention à ses propos parfois ce mot surtout face à Kirill. Jouer au scrabble peut -être une toute autre chose. « Tu dis vraiment des choses étranges par moment. » dit-il en souriant légèrement posant son regard rieur dans les siens, voilà qu'elle revient à s'intéresser à lui. Preuve qu'elle ne le connaissait pas car lorsqu'il est question de parler de son passé, de sa raison ici il semble perdre toute sa loquacité et rentre dans un mutisme les plus profond. On y lit souvent ce mystère dans ses prunelles, cette partie de lui qu'il ne que personne ne connaisse. Il hausse les épaules simplement sans pour autant de donner de réponse. Il sourit à sa dernière phrase, sans pour autant ajouter quelque chose. Cela est si étrange de ne pas l'entendre parler, il sourit légèrement cherchant ,pour une rare fois, ses mots. « Des circonstances ont fait que j'ai dû quitter l'écosse. » dit-il simplement, le regard ailleurs, bien que des personnes d'Harvard savent que sa mère est décédée, une raison suffisante pour un père et son fils de quitter le pays. Si seulement c'était aussi simple. Il s'arrête, tire sur le bras de Cerceï pour qu'elle soit face à lui. « Si tu veux savoir quelque chose sur moi. » il regagne son sourie et cette lueur dans son regard amusé. « Je ne réponds peu aux questions de ce type. » il affiche une légère mimique, un léger haussement d'épaule. Cerceï devra se contenter de cette réponse pour l'instant. Il lui fait comprendre d'un regard qu'elle doit cesser cet interrogatoire, elle peut bien lui poser d'autres questions à son sujet mais pas de ce genre. « Je perds donc la chance de traîner avec toi ? » dit-il en venant caresser le dos de sa main de son pouce. C'est un joueur, même un horrible joueur. Lui qui réagit si spontanément contrairement à la brune qui semble réfléchir systématiquement à comment elle doit réagir. Ses prunelles dévorent les siennes, qu'est ce qui lui reste à faire pour qu'elle évite de poser des questions sur lui ? L'une de ses mains se pose sur sa joue délicatement, comme s'il touchait quelque chose de fragile. Elle est prisonnière des regards des autres. Il ne peut pas être celui qui la délivra mais il peut l'aider. Une nouvelle fois il rentre dans son intimité, il doit faire exploser cette protection qu'elle s'est construite. Elle ne doit plus se méfier de lui, juste croire en ses mots et ses actions. Leurs lèvres sont une nouvelle fois si proches, elles se frôlent, il sent son souffle contre les siennes qui s'étirent d'un léger sourire. Doucement, comme à la recherche d'un moment de tendresse, leurs lèvres s'effleurent, aériennes. Une simple caresse, ne franchissant aucune barrière. « Qu'en pense tu? » lui susurre-t-il en l'hypnotisant, ses doigts balayent l'une de ses mèches de chevaux derrière son oreille. Il joue avec elle si aisément, il est en train de la torturer. Pourtant il n'a pas encore franchis une barrière, celle-si semble plus compliqué.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
perdre la notion de réalité,
toi et lui c'est impossible.

w/ Kirill Lindstam.

Okay, fait le point un instant. Toi, lui... dans un endroit à l'écart des gens pas loin du terrain de foot. Ta main dans la sienne, ce sentiment très agréable parcourant ton corps, ce regard qu'il échange avec toi, ce sentiment de flottement. Tu es en train de céder Lawrence et en beauté. Je cède c'est pas possible. Mais comment ne pas se laisser berner par ce sourire qu'il m'adresse je fond complètement je voudrais me montrer plus forte, m'imposer lui faire comprendre qu'il ne faut pas croire que je suis une fille qui ne connait rien à la vie et qui ne voit pas qu'il est en train de me draguer. BORDEL DE MERDE ! KIRILL LINDSTAM me drague. J'en reviens pas, mon corps tout entier bouillonne à cette seule idée de lui plaire. Je m'en fous qu'il soit beau, craquant, séduisant, diablement sexy, je veux dire, c'est le sentiment que je ressens qui me transporte. J'ai envie d'y croire j'ai envie d'y croire mais dans un sens je trouve cela tellement bizarre qu'un gars comme lui s'arrête un instant sur une fille comme moi. Je suis pas le modèle parfait, je ne suis pas spécialement craquante, je veux dire. Je suis folle, introvertie, gueularde, chiante, et entêtée. Mais quand il caresse le dos de ma main, faisant une pression un peu plus forte sur cette dernière je pourrais y croire et c'est tellement glorifiant, tellement vivifiant. J'essaye d'éviter de nouveau de ressentir cela, je pourrais y prendre gout et je ne sais pas, demain il ne sera peut-être plus là. « Tu dis vraiment des choses étranges par moment. » Oh... non non non... « Je... Je ne suis pas folle... » Quoiqu'un peu mais non, je ne le suis pas. Ma question semble le gêner, il change en tous cas je crois percevoir quelque chose différent dans les traits de son visage, il se ferme sur lui même. M*rde j'ai fais une connerie, et il semblerait que ce ne soit pas dans son habitude de parler, okay je prends note. Mais j'ai vraiment envie d'en apprendre plus sur lui. « Des circonstances ont fait que j'ai dû quitter l'écosse. » Je n'aurai pas aimé qu'on me pose cette question moi même j'aurai aimé oublier pourquoi j'étais ici.

L'Angleterre me manquait, mes amis aussi et puis ce n'était pas pareille ici, tout... Je refusais de me plomber le moral j'en parlais assez avec un médecin. On s'arrête, se faisant face. « Si tu veux savoir quelque chose sur moi. » Oui, son groupe de musique préféré, son repas, ses habitudes, ses envies d'avenir, ses passions. Quelque chose qui me permettrait de mieux le comprendre, voir le connaitre. Cerner qui se cache derrière ce visage. « Je ne réponds peu aux questions de ce type. » Je réfléchissais à la prochaine question, il y en avais tellement mais je fus exposée de trop prête à cette lueur qui vrillait de nouveau dans son regard. Okay, respire Cerceï, respire tu peux te contrôler, s'il fait tout cela, c'est qu'il le désire vraiment, n'est-ce pas. « Je perds donc la chance de traîner avec toi ? » Non, mais j'avais perdu d'avance. Ses mots réconfortantes vinrent se loger dans mon esprit, malgré toute la bonne volonté que je désirais inscrire entre nous, je baissais les bras à bout de force. Il était plus fort que moi, ma faiblesse envahissait mon espace. D'un mouvement de la tête, je disais non... Il était juste là, si près...  Je sentais mon corps trembler de toute part, il ne savait même pas tout ce que cela pouvait me procurer. Si seulement j'avais la moindre idée de tout ce que cela voulait dire, combien il jouait si bien la comédie à mon égard. Je laissais nos lèvres se frôler, se chercher, s'hypnotiser. Je rouvrais légèrement les yeux, alors que je cherchais une nouvelle force, celle de ne pas céder à l'envie de m'embrasser. Les baisers son toujours une finalité, je ne veux pas de ça. « Qu'en penses-tu ? » Il remet ma mèche et je trouve cette situation tellement bisounours. Irréelle.

Je plongeais mon regard avec une intensité nouvelle, un désir inavoué ? Une puissance émotionnelle ? Je n'avais pas besoin d'être sauvé, il devait voir autre chose, je sais que cela pouvait paraitre complètement fou, mais je me sentais soudainement bouillir sous ma peau. Ma tête se penchant légèrement sur le côté, je passais une de mes mains remettant une de ses mèches en bataille, me mordant la lèvre. « Tu sais... Je suis douée pour embrasser les garçons. » Face à sa tête je venais à rajouter. « Tu crois qu'il suffit de faire tout ça pour que je cède à l'envie de t'embrasser. Tu es charmant Kirill, très séduisant et tu es doué dans l'art de séduire. J'aime ça, mais je suis plus coriace, je ne suis pas désespérée non plus. » J'effleurais à mon tour ses lèvres avec une délicatesse délicieuse, deux doigts, deux doigts de l'embrasser je pouvais, j'en avais terriblement envie mais je n'étais pas simple comme fille, du genre compliqué à vouloir avoir le dernier mot, à ne pas me montrer faible et complètement accroc à ce garçon que je connaissais à peine. BON SANG je le suis... Non, je devais penser rationnellement. Je ne fis rien, hormis embrasser la commissure de ses lèvres et continuer notre chemin, main dans la main. JE disais d'un air faussement détaché. « J'ai des prétendants chez moi, un fiancé même. Tu te crois capable de te battre pour moi ou bien es-tu juste un chasseur qui se délecte seulement de la chasse ? » Je le regardais amusée, avant de marcher, une fierté dans mes pensées, je pouvais être plus forte que cette torture qui semblait appliquer avec facilité.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Head in the clouds but my gravity centred
Touch my neck and I'll touch yours.

w/ cercï-rae lawrence.

Ce ne sont que les sentiments de Cerceï qui sont en jeu. Il ne la connait pas vraiment, elle est un peu comme une inconnue. C'est sûr qu'il ne ferait pas la moitié aux personnes qui comptent pour lui. Il est donc sensé ce foutre d'elle et d'en rire alors, pourquoi il la défend comme il le fait? Pourquoi il la regarde de cette façon comme s'il voulait la secourir ? Il n'a pas le droit de lui faire croire ce genre de choses, il est TOUT sauf son sauveur. Il est celui qui lui apportera désespoir et destruction, pourtant il l'aborde comme s'il allait lui offrir bonheur et sûreté. Par moment quand elle le regarde de cette manière il a envie de lui avouer la vérité mais s'il la prononce elle lui flanquera une bonne gifle et sans ira. Et toutes ses chances de la connaitre s'évaporons, oui car dans le paradoxe le plus total, il a envie de connaitre plus sur elle. Il voit toute cette force dans ses yeux qui l'intrigue, et il adore ça. Ceceï mérite mieux que lui, elle ne devrait pas lui céder et avec toutes les paroles qu'il lui a dites elle ne pouvait que faiblir, qu'espère que cela soit vrai, que oui Kiril Lindstam a craqué sur elle. Si seulement c'était vrai, toute cette histoire serait... joyeuse et bénéfique pour elle. Mais derrière toutes ses paroles se cachent un secret, lorsqu'elle le découvrira elle et lui ça ne sera qu'histoire passée. Il lui laissera juste le temps qu'elle s'attache à lui et que cela soit trop douloureux pour qu'elle puisse le pardonner. Qu'est-ce peut lui faire si elle le déteste? ce n'est pas comme s'il l'aimait bien ou qu'elle avait de l'importance ? Non ce n'est qu'une simple fille, qui par son physique a été victime d'un stupide pari. Et ça devait être Kirill son bourreau, personne d'autre, car sa bande d'amis savent ses talents de comédiens et à quel point il peut être convaincant.

Elle y croyait et pourtant elle le rejetait sans cesse, il devine la raison de ce comportement. Car elle doit se dire qu'il est trop bien pour lui que cela puisse être possible. Et ça l'énerve qu'elle pense cela d'elle, il a envie de lui dire pense que tu es parfaite. Mais les paroles trop sincères restent sellées. Il se retient de l'envie de la secouer un peu ; d'agir comme si elle était son amie mais il ne peut pas, il ne pourrait pas mais il ne veut pas. Il dépasserait le contrat du pari et il ne vaut mieux pas qu'il y mette trop de sincérité. Cela serait d'autant terrible lors de la révélation de la supercherie, elle croirait que tout ce qu'il lui a dit n'était que mensonge. « Je n'ai pas dit ça. » rétorque-t-il à sa remarque, l'art de déformer les choses par Cerceï, il sourit légèrement comme toujours. Et là elle pose ce genre de questions auxquelles personne n'a pu avoir de véritables réponse, cette part de mystère en Kirill restera longtemps une énigme. Elle doit ressentir qu'elle a prononcé les questions qu'il ne fallait pas, et dans l"art des choses il change de sujet. Non avec les mots mais avec les gestes, cela l'insiste à précipiter ses plans car elle veut trop en savoir. Et moins elle en sait sur lui mieux sait. Ses doigts sur sa joue, ses lèvres effleurant les siennes, il ne l'embrasse toujours pas sans raison. Ses iris noisette l'observent, la sondent brutalement, il sent sa main passée dans sa chevelure rebelle. Ce sourire indescriptible étire légèrement ses lèvres, il est simplement intrigué par ce qu'elle peut faire. Il la teste, il adore ça: s'amuser avec les envies et les sentiments des autres. Il l'écoute attentivement, sans ciller, désespéré. Ce mot raisonne dans son cerveau, très bien ce n'est pas la première fois qu'il se fait jeter mais c'est toujours étrange. Elle vient légèrement de l'atteindre, le blessé dans sa fierté plutôt. Elle n'est pas assez désespérée pour l'embrasser, bien il lui fera changer d'avis. Elle vient juste de le piéger à son propre jeu, la première fois qu'elle marque un point depuis leurs petits échanges. Il reste perplexe, et c'est bien malheureux mais elle commence à réellement l'intrigué, un peu trop même.

Il s'humecte les lèvres après qu'elle est rendue le même baiser qu'il lui a donné plutôt. Assez jouer, il s'arrête à sa phrase brutalement sans lâcher les doigts de la brune l'obligeant ainsi à arrêter de nouveau leur "course". Ses lèvres s'étirent de ce sourire indescriptible. « Tu as oublié ce que j'ai dit tout à l'heure ? » dit-il de sa voix suave, il s'approche d'elle et son regard dévore le sien. « Je détruis toute personne qui m'empêche de t'atteindre. » ok il préfère encore un peu jouer, il essaye de lui donner de quoi la faire taire un petit moment. Encore un pas. « Tu te poses trop de questions. » dit-il simplement lâchant tout doucement sa main, il n'y avait plus aucun contact entre eux. Elle a voulu trop jouer, et lorsqu'il y a un joueur tel quue Kirill en face, cela se retourne trop facilement en sa faveur. « Parfois c'est si simple. » Son regard prouve ses intentions, mais avant qu'elle n'agisse et qu'elle rouvre la bouche pour rétorquer encore une réponse qui est contre sa volonté il vient, enfin, plaqué ses lèvres contre les siennes.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
perdre la notion de réalité,
toi et lui c'est impossible.

w/ Kirill Lindstam.

Et s'il ne m'appréciait pas, et s'il jouait la comédie, arriverais-je à sortir indemne de cette histoire. J'ai beau cherché, je n'arrive pas à comprendre pourquoi il fait tout cela, avec moi. Il a beau dire qu'il m'apprécie, cette voix danse dans ma tête me promettant que je peux lui faire confiance. J'en ai vraiment envie, je sens les barrières qui m'entourent s'abaisser de plus en plus, j'ai envie de croire que je peux lui plaire. Mais mes relations avec les garçons sont compliqués, je n'ai jamais réussi à savoir si c'était vrai ou non, ce qui pouvait leur plaire chez moi. Je n'aime pas me laisser dicter par les gens, la critique fait mal, mais je la combats. Le pire ennemi que j'ai... c'est moi, uniquement moi. Je le sais, mais c'est plus fort que tout, je n'y arrive tout simplement pas autrement. Et s'il ne m'aimait pas, oh je veux dire, il ne m'aime pas, mais qu'il faisait tout cela pour une autre raison. J'en mourais, pas du mensonge, enfin si... Mais d'avoir eu l'impression de plaire à quelqu'un, c'est agréable de regarder le regard de l'autre et d'y voir autre chose que de la haine, du dégout ou de la pitié. Je réfléchis beaucoup trop, j'entends Jackie me le répéter, j'analyse je cherche je décortique tout ce que je vois, et ça à le don de l'énerver je le sais, mais comment il en serais-je autrement franchement ? J'ai beau le regarder, je ne comprends pas, bon sang je ne comprends pas. « Je n'ai pas dit ça. » Je suis un peu folle, c'est vrai je ne l'ai jamais vraiment caché, c'est tellement simple de se contenter de cette phrase, je suis folle, folle, folle, folle, folle... J'ai envie de hurler, de crier de tout jeter en l'air et de finalement croire ce que les gens peuvent dire, mais quand je vois Kirill près de moi je me dis que peut-être, le bonheur et la simplicité n'est pas si loin.

J'avais aussi envie de le tester à ma manière, subtilement ? J'en sais rien mais assez pour lui faire comprendre que mon physique, ma naïveté, ma réserve ne signifient en rien un manque cruellement d'expérience, j'ai embrassé des garçons, enfin des c'est pas non plus tout une équipe de football mais assez en tous les cas pour savoir qu'à défaut d'être le top du sexy, je suis douée dans ce domaine, embrasser un garçon. J'aurai du savoir que Kirill n'était pas un petit joueur, il est plus fort que je ne le croyais et j'aime ça. Je crois que j'aime ça. CECE RESSAISIT TOI ! La chute n'en sera que plus douloureuse. La victoire danse dans ma tête, je ne lui ai pas laissé le dernier mot. On s'arrête de nouveau pour se faire face, à ce niveau là on avancera jamais. « Tu as oublié ce que j'ai dit tout à l'heure ? » Sa voix, son regard. BORDEL de merde c'est tellement difficile de lui résister, de ne pas jouer les pauvres pauvres petites filles sous le charme. Je résiste pourtant, je peux le faire, pas vrai ? « Je détruis toute personne qui m'empêche de t'atteindre. » Ah... Faut pas dire ce genre de chose, ce n'est pas du jeu, puis ce regard, je suis sensée resté là et lui demander de jouer monopoly bien sur que non. Faut que je fasse quelque chose, il peut pas juste faire ça troubler mon état déjà précaire. Il fait chaud pas vrai ? Et il est encore trop près de moi, mon corps tout entier bouillonne. « Tu te poses trop de questions. » MERDE ! Il lâche ma main, merde je ne peux plus sentir sa main dans la mienne. FUCK ! J'ai gagné, voilà, encore une fois miss je fais n'importe quoi à encore sonné, ça fait carrément chier tu veux dire.

Je soupire fortement à toute cette merde et je tente de me ressaisir. Je suis forte, je suis plus forte que cela. « Parfois c'est si simple. » Mais bien sur, comme si tout cela pouvait être si simple, j'ouvre à peine ma bouche pour dire une pensée... Pas forcément la plus sensée mais une pensée... « Kirill, je... » MAIS... Il m'embrasse pour de vrai. Je veux dire, il ne fait pas cela dans le vent, je ne ressens pas de malaise, ni de gêne. La seule à l'être s'est moi. Bon sang, ses lèvres sont tellement douces que je crois bien apprécier cela durant un temps indéterminé. tic tac. BORDEL DE MERDE CECE il t'embrasse. Je le repousse, ma main plaqué contre son torse, afin de reprendre mon souffle et plus que tout mes esprits. « Woow wooow une seconde papillon. » Mon naturel finira par me bouffer j'en suis persuadée. Cerceï ouvre les yeux, ouvre les BORDEL. « Tu n'as pas le droit de faire cela, je veux dire... On se connait à peine, je suis peut-être, même surement une fille peu fréquentable, tu ne t'es pas demandé pourquoi je trainais seule, tout le temps ? Ah, on embrasse pas les fi... les gens comme cela, c'est... » J'arrêtais de parler dans le vent, pour dire des âneries, okay j'étais pas douée pour cela, okay il venait de me prendre au dépourvue... Okay je me ridiculisais devant lui, mais bon sang c'était juste... GENIAL. Je pouvais le lui dire... Non je ne crois pas, j'aurai l'air trop désespérée... BORDEL je suis désespérée. J'entends déjà Jackie me hurlait d'arrêter de tout foirer. « OH et puis FUCK ! » Je baissais les bras, je lâchais prise, je devenais complètement folle, j'espérais qu'il n'allait pas me repousser, je n'y survivrais surement pas, mais nous avions une vie, pas vrai. L'attirant à moi par son t-shirt je scellais nos lèvres dans ce baiser, un peu intimidé, en rien sur de moi, je ne savais si ma langue devait dépasser la barrière de ses lèvres, mais ainsi, ici de cette manière... oh oui, j'étais plus vivante que jamais. Bien plus que tout.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Head in the clouds but my gravity centred
Touch my neck and I'll touch yours.

w/ cercï-rae lawrence.

Avec le temps il a simplement appris comment piéger autrui, avec une certaine facilitée déconcertante et accablante. Au final Kirill ne serait pas quelqu'un de confiance. Pourtant, bien nombre de personnes la lui accorde, il laisse cette impression de bonne personne. Il est si facile de lui offrir sa confiance, quelques minutes à parler avec lui, lorsqu'il ne joue pas les crétins, et vous voilà pris aux pièges avec ses beaux sourires et sa façon de vous emprisonner avec un simple regard. Il a toujours attiré la confiance d'autrui et les confidences, depuis gamin cela a toujours été ainsi. En grandissant il n'a pas perdue cet aura, cependant il n'a plus cette innocence pure. Il a cessé de jouer au héros pour enfiler le rôle de crétin, qui en réalité est beaucoup plus simple à jouer. Au moins il ne déçoit plus personne, cette crainte quand il avait étant gamin s'est dissipée. Alors peut-être est-il devenu crétin sur certaine chose, qu'il se fou un peu de tout comme si le monde entier était une blague que lui seul comprenait.

De nouveau il l'a envoûté, pris au piège désormais elle ne peut lui échapper. Kirill ne lâche aucune proie quand il l'a dans la ligne de mire, c'est un redoutable prédateur. Et Cerceï n'est qu'une proie fictive pour lui, elle n'est pas le genre de fille avec qui il fricote et fornique. Elle ne ferait sans doute pas de cette partie s'il l'avait connu autrement qu'à l'issue d'un pari. Une amie ? Sans aucun doute, quelque chose en Cerceï l'intrigue et lui plait mais cela ne semble pas dépassé ce stade. Il s'y attache peut-être un peu car malgré les apparences Kirill apprécie rapidement une personne. Mais Cerceï ne peut être nie son amie, ni une aventure elle est une victime, sa victime. Elle a tout sauf besoin de cette relation, mais à force que Kirill se fou de tout, il ne prend plus compte de ce que peuvent ressentir les autres. Alors il se permet d'agir de cette manière, la séduisant et la piégeant par la même occasion. Il est là venant vers elle pour l'embrasser, sachant qu'elle n'allait pas lui résister longtemps. Elle est obligée de céder à la tentation, de venir enfin à lui au lieu de le fuir. Il sent cette pression que fait sa main sur son torse, décollant leurs deux bouches. Il la regarde intrigué, a-t-elle vraiment quelqu'un d'autre en vue ? Qu'elle ne soit pas intéressée à lui ? Par qui alors ? Une lueur étrange traverse ses prunelles, puis quand Cerceï vient à ouvrir la bouche pour prendre la parole il fronce légèrement les sourcils, hésitant à rester humble ou à rire. Ses lèvres alors finissent par s'étirer d'un sourire, elle est vraiment étrange.Il la regarde intrigué avant qu'elle ne vienne, d'elle-même l'embrasser. Il a réussi la première manche, elle a cédé.

C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre. « Oh Kirill. » cette voix lointaine, le fait se décoller d'elle, quittant ses lèvres tandis que les siennes s'étirent d'un léger sourire. Son regard dévore le sien avant de se retourner, voyant un de ses camarades courir vers eux. Il lui attrape la main. « N'invente plus d'excuse pour couvrir tes envies. » Leur petite tête-à-tête semble prendre fin. Quel dommage, cela devenait intéressant. Il voulait savoir à quel point elle pouvait lui céder, et entendre sa réaction sur ce premier baiser. « Ramène-toi. On a besoin de toi sur le terrain. » S'égosille son coéquipier, cette expression sur le visage de Kirill est implicite et dévastatrice. Il pose ses prunelles prédatrices dans les siennes, elle l'avait légèrement surpris par sa façon d'embrasser. Il ne s'attendait pas à ce qu'elle soit si...douée ? Puis il lève les yeux aux ciels, haussant les épaules et lui lançant ce regard qui en dit long sur ce qu'elle a loupé en le rejetant. Son camarade n'est plus très loin d'eux, alors Kirill vient poser ses lèvres sur sa joue non par crainte d'être vue avec elle mais plutôt pour Cerceï; il a ressenti que c'était elle qui était plus mal à l'aise quand ils étaient tous les deux. « Affaire à suivre !» il lui fait un clin d'oeil, ses doigts glissent dans sa paume tandis qu'il recule d'un pas. Et avant de lui tourner le dos un dernier sourire qui la laissera sans mot quelques secondes, qui lui fera regretter de ne pas avoir cédé plutôt. « A bientôt Lawrence. » Et il lui tourne le dos, trottinant vers son coéquipier au courant de la supercherie, il aura de quoi raconter dans les vestiaires. Des rires, des moqueries à son sujet et Kirill prendront sa défense par intermittence. Parce que par moment c'est un véritable goujat, qui aime manipuler autrui. Si Cerceï entendrait toute cette conversation elle regretterait de l'avoir embrassé si facilement. Mais à cet instant présent elle ne se doute pas du chemin qu'elle emprunte en suivant Kirill aussi facilement. Elle ne doit pas oublier quel genre d'homme il est avec la gent féminine, il n'est pas le petit copain idéal. Il l'a rarement été, peut-être avant qu'il arrive à Harvard oui mais maintenant rare son ses ex qui n'ont pas été trompé et qui ne le haïssent pas. Bien qu'il lui fait croire qu'elle est spéciale par des paroles et sa façon de la regarder, c'est faux. Il n'a jamais encore sortie ce numéro à une fille, il n'en a jamais eu le besoin cependant Cerceï c'est une fille différente, plus délicate à aborder. Elle s'apprécie tellement peu qui lui est difficile de croire que quelqu'un l'apprécie plus qu'elle-même. « Tu es bien parti pour gagner. » sans doute oui mais à quel prix ?


Spoiler:

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)