Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityperdre la notion de réalité, toi et lui impossible - KIRILL
Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €


perdre la notion de réalité, toi et lui impossible - KIRILL

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
perdre la notion de réalité,
toi et lui c'est impossible.

w/ Kirill Lindstam.

La nuit fut longue et terriblement angoissante. Je n'ai pas travaillé toute la nuit pour les révisions du partiel de la semaine prochaine bien sur que non, j'aurai une bonne note sans même révisée, loin de moi l'idée d'être prétentieuse je suis juste réaliste. Je ne suis pas angoissée par mes cours non, j'ai peur de dormir. C'est con mais c'est un cauchemar, c'est toujours le même qui revient sans cesse et je n'arrive pas à le surmonter. Je devrais en parler à quelqu'un je n'en ai pas envie, ni à quoi bon. Tout le monde fait des cauchemars mais plus encore moi... Depuis que je suis revenue de ses vacances, je suis vaseuse et de mauvais poil, encore plus que d'ordinaire. C'était bien, pas à se taper le cul par terre mais assez bien en tous les cas pour me changer les idées. Mais voilà, j'ai du affronter mes vieux démons et c'est terriblement compliqué pour moi d'assumer tout cela, de devoir me montrer presque nue, affronter le regard et le jugement des gens j'ai beau faire en sorte que tout aille bien ce n'est en rien ce qui arrive, je ne suis pas une fille qui soulève les foules, je suis une fille normale et encore. J'avais pris l'habitude de m'isoler toujours dans des endroits peuplés pour écrire, écouter ma musique et me rappeler combien l'Angleterre me manquait cruellement. J'étais près du terrain de football, oh le soccer comme ils l'appellent ici, j'étais tranquillement en train d'écrire alors que les joueurs s'amusaient à se taper dans la balle. Cette ambiance me rappelle tellement de choses, je ne dis pas que ma vie avant était cent fois mieux non, je n'ai aucun regret là dessus, non c'est juste que certaines habitudes que j'avais me manquent. alors là, je me sens un peu chez moi. Quand soudain le monde s'arrête de tourner, il est là. Mister sourcils sexy, qui joue avec les autres joueurs. Ce mec, bon sang, ce mec est tellement à croquer que j'en ferais mon quatre heures. Parfois quand il vient me parler j'ai l'impression que je lui plais. Je dois surement rêver mais, bon qu'est ce qu'il est à croquer. Me mordillant la lèvre inférieure, imaginant son corps dans toutes ses coutures je me rends compte qu'il regarde vers les gradins. Ma direction. P*tain de merde.  « Shit. » Le groupe de filles devant moi se retournent lorsqu'elles entendent mon juron, je viens à dire.  « J'ai plus de batterie sur mon ipod. » Sale menteuse. La musique chantonne toujours dans ma tête alors que comme une conne, je fais un mouvement de la main et un salut et là j'ai l'air conne. Déterminée à ne pas plus m'attiser la risée des gens je me replonge dans mon écriture, perdue entre insulter de tous les jurons mon esprits et ce coucou à son attention alors qu'il devait surement regarder les filles devant moi et prendre mon courage à deux mains et me lever, fuir et me cacher dans ma chambre, travaillant un partiel. Allez Cece, tu peux le faire est le courage de fuir cette fois ci, tu t'es assez ridiculisée. 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Head in the clouds but my gravity centred
Touch my neck and I'll touch yours.

w/ cercï-rae lawrence.

« Alors quand est-ce que tu la mets dans ton lit. » les prunelles du brun, illuminées par cette fidèle lueur d’amusement, se posent sur un de ses potes qui s’impatientent de sa réponse. Un léger haussement d’épaule, une mimique qui affiche son incertitude. « C’est une tigresse, il faut bien que je l’amadou avant. » dit-il, surpris lui-même de ses propos à son sujet, tandis que son entourage se mets à rire. L’un lance que cela est sur le feu depuis trop longtemps, d’habitude c’est plus rapide. Vrai mais, Cerceï est vraiment quelqu’un de spécial, différente des autres. Elle est toujours là à le renvoyer sur les roses, tandis que d’autre se serait déjà jeter dessus. Il remarque pourtant de la façon dont elle le regarde qu’elle n’est pas insensible à son charme, lorsqu’elle baisse les yeux quand il la fixe avec ses prunelles dévoreuses.   Il l’aura, tous ceux qui sont au courant de ce petit deal le savent, il a toujours ce qu’il obtient. Peu à peu il rentre dans son cercle d’intimité, il la fait sourire alors que d’autre son incapable, il l'a fait légèrement rougir, peu à peu il prend de l’importance. Elle va croire à ce mensonge qu’il lui transmet, ce mensonge lourd et pesant capable de détruire un cœur à sa révélation.  Mais il semble s’en four, il en a même rit lorsqu’il l’a accepté. Tout sourire il était, fringant et invincible, personne n’avait encore osé parier sur cerceï, par crainte qu’elle ne frappe ou ne mord, qui sait ?  

Mais maintenant lorsqu’il y réfléchit bien, il remarque la stupidité de la chose lui qui est si intelligent ne devrait pas rire sur les sentiments des autres. Ou bien est-ce par ennuie de ce monde qu’il est devenu un vrai goujat briseur de cœur, il semble se foutre de beaucoup trop de chose. Notamment des sentiments des autres, il joue avec et les manipulent à sa guise. C’est peut être son subconscient qu’il lui cri qu’il ne doit continuer ce pari mais tout le monde sait qu’il n’abandonne jamais. Il assume s’être engagé et s’oblige par ce fait d’y aller jusqu’au bout. C’est drôle aux premiers abords de se moquer d’une personne comme Cerceï, il en rit encore. Mais il le sent un peu,  plus il s’approche et plus il commence à l’apprécier. Il la défend beaucoup trop, bien des remarques ont été dites à ce sujet mais il finit toujours par donner une réponse qui retire tout soupçon de son affection envers la brune. Pour ceux ignorant du pari, ils se demandent bien se qui se passe dans l’esprit de Kirill, beaucoup de filles pensent que c’est par pitié qu’il vient lui parler. Pour qu’elle soit bien vue et aimée des autres. Balivernes ! « Quel est le moyen de contraception le plus sûr au monde? Réponse : Etre grosse et moche » sous cette mauvaise blague d’un de ses collègues, ils se dirigent, pour la plupart, vers les vestiaires. L’heure d’une partie de foot avait sonnée, bien que beaucoup se disait pour aller réviser, les plus fous préféraient se défouler que rester cloîtré entre quatre murs face à un livre. Pour Kirill, tout était plus simple, jamais on ne le verra le nez dans un cours. Il est toujours présent pour s’amuser un peu.

Là sur le terrain à taper dans un ballon, depuis de très longues minutes, quand l’un lance à l’intention de l’écossais. « Regarde qui est là pour toi. » il lui rentre dedans légèrement, ses lèvres s’étirent d’un sourire et quelques secondes après il voit Cerceï assise là, seule. Elle lève la main pour ? le saluer tiens, la balle est dans son camps. Il affiche ce sourire fabuleux pour reposer son intention sur le jeu quelques instants, mais les collègues au courant de ce bon défi, qui étaient bien pressés de voir la suite, mirent fin au match juste le temps d’une mi-temps. De ce pas, Kirill ne perd pas un instant pour se diriger vers la donzelle large sourire aux lèvres, il salue les demoiselles par principe, elles en jubilent, des premières années sans doute. Il s’assoit si près d’elle, que leurs cuisses se touchent, comme à son habitude il lui retire son écouteur en lui frôlant la joue. « Salut toi. » dit-il le souffle court par sa précédente activité. « Alors comme ça on a suivi mon conseil ? » il affiche ce sourire à en rendre jalouse n’importe quelles filles qui l'apprécient. « On vient me voir jouer maintenant ? » ses yeux prédateurs cherchent celux de Cerceï pour les dévorer,  ce sourire irrésistible sur les lèvres, elle ne lui résistera pas longtemps.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
perdre la notion de réalité,
toi et lui c'est impossible.

w/ Kirill Lindstam.

Idiote, idiote, idiote. Je ne pouvais pas aller écrire tranquillement à la bibliothèque il fallait que je me la joue aventurière au point de venir ici. Ils penseront tous que je suis du genre à venir mater les joueurs en douce. Pourtant, au fond ce n'est pas faux. Non, je ne fais pas que ça, c'est un plus dirons-nous, l'occasion de les regarder transpirant de testostérone. C'est gratuit de toute manière mais à l'instant je faisais profil bas, si je pouvais disparaitre je le ferais. Mais attends je peux le faire. Mais oui, je suis encore libre de faire cela, alors que je rajustais mon écouteur, une des deux bimbos devant moi se mit à glousser. « Oh my god, il vient vers nous. » Quoi ? Je relevais la tête et je voyais Kirill quitter ses amis et se rapprocher doucement mais surement des gradins. P*tain de merde la poisse. Je mettais les écouteurs et la musique à fond, histoire de ne pas le voir se pavaner devant les princesses d'Harvard, espérant redevenir la jeune fille invisible que j'avais tant de fois l'habitude d'être. Je n'écrivais rien, je gribouillais juste des cercles et des triangles sur mon cahier, cherchant à me concentrer sur la musique et surtout. SURTOUT ne pas relever la tête et croiser son regard. BORDEL DE MERDE ! il est juste à côté transpirant de sensualité, je vais mourir, je suffoque, help help il faut les palettes, je vais faire un arrêt cardiaque. Je n'ose même pas relever la tête, persuadée qu'il ne s'agit que d'un mirage, d'une étrange sensation, d'un réve à peine avouable. A chaque fois qu'il me fait cela, je manque de perdre pied, le souffle court, les palpitations à mon maximum, je ressens le regard des gens sur moi. Celle des bimbos ! ET BAM les filles il parle à moi, naaaa.

 « Salut toi. » Il a ce don de me rendre si faible. D’ordinaire, je suis de nature faible, parce que trop préoccupée par des garçons qui ne me remarquent qu’à peine. Mais là, maintenant. Poaw je fond sur place. Il caresse à chaque fois ma joue et je meurs d'envie qu'il continue. C'est idiot parce que je n'aime pas ça non plus. Tout se mélange dans mon corps, l'envie qu'il continue de me regarder mais plus encore, celui de fuir le plus loin possible. Je suis toujours mal à l'aise en compagnie des hommes, surtout de Kirill. « Alors comme ça on a suivi mon conseil ? » Hein, quoi ? Pas du tout, non non... Han même en pensée je suis une piètre menteuse, mes arguments ne tiendront jamais la route, mais je ne veux pas qu'il sache que j'ai des vus sur lui, même si c'est terriblement compliqué de ne pas tomber en admiration face à ses lèvres et bien autre chose de son anatomie. « On vient me voir jouer maintenant ? » Sa phrase transpire de triomphalisme et je n'aime pas cela. Mon orgueil en prend un sacré coup je m'en rend compte et je ne veux pas le laisser faire. Je relève ma tête et accroche son regard, je me concentre dix secondes, peut-être quinze pour ne pas sombrer une nouvelle fois dans l'envie de fantasmer et de rougir face à cette proximité qui me dépasse. Qu'est-ce qu'il fou là. « Mmhh pas spécialement. Enfin si tu m'as démasqué.. » Je regardais vers le terrain un air songeur et légèrement rêveur. « En réalité je suis venu mater un joueur en particulière, tu vois celui là la-bas, il a un jeu parfait, pour défenseur. J'aime le football, en tant qu'anglaise c'est obligé, ne prend pas tout pour toi Lindstam »

Na prend toi ça dans les dents, monsieur jesuistropsexypourêtrehumain. Je me tourne de nouveau vers lui alors que les filles devant outrée par mon audace à lui tenir tête, glousse pour se faire remarquer. Rien que pour cela elles m'énervent, j'ai envie d'enrouler leurs immenses et fines jambes entre elles par un noeud marin, ce sera divin chez elle. Je soupire avant de reprendre mon écouteur. « Et toi ? que viens tu faire jusqu'au gradins, une envie de pavaner ? » J'ajoutais un sourire forcée alors que ma conscience martelait un panneau avec écrit "idiote" dessus en lettre rouge. Ouai, je l'étais, mais je me sentais obligée de me mettre sur la défensive quand il était là, il n'était pas humain, il me troublait, bordel j'aurai rêvé qu'il m'embrasse. CECE STOP IT ! NOW.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Head in the clouds but my gravity centred
Touch my neck and I'll touch yours.

w/ cercï-rae lawrence.

Manipulation, mensonges, méchanceté définissent la relation qu'il crée avec Cerceï, par un pari qui semble si simple finira par se transformer en véritable bombe atomique une fois exposée. Mais il continue, oubliant les principes de vie en communauté, oubliant lui-même ses véritables principes. Il est question de sentiments d'autrui, les siens n'en seront pas affectés c'est une évidence, il joue à des jeux mal honnêtes. Tous ces regards posés sur elle lorsqu'il est en sa compagnie, ces messes-bases, ces sourires moqueurs, des propos si blessant à son sujet. Il est bien le seul fautif de tout ce cirque, elle commence à attiser la jalousie de certaines alors qu'avant elle n'était qu'une simple fille. Et lorsque la vérité éclatera, tous ces regards jaloux se transformeront en des rires moqueurs. Il préfère ignorer les conséquences, jouer avec toute l'innocence du monde, lui laissant le genre de regard qui fait baiser le sien. Elle fait bien de le rejeter, de se mettre hors d'atteinte de ses « attaques. » mais elle finira par lui céder. A chaque fois qu'il vient la voir, c'est un pas de plus qu'il fait dans son intimité, un pas de plus vers la réussite de son pari. La fin de cette histoire sera bien triste à voir ? à moins que des éléments la tourne autrement, qui sait ? De la part de Kirill on peut s'attendre à n'importe quoi, allant du meilleur au pire.

Il la fixe de ses prunelles dévoreuses d'âme et de raison, elle est là, fixant son cahier comme toujours. Il a capté son intention mais elle ne veut pas l'admettre, mais il a ce léger pressentiment qui ne le trompe jamais. Gagné, elle ne tarde pas à lever ses yeux vers les siens, son regard dans le sien, il ne cille pas et attend sa réponse. Ses lèvres étirées d'un léger sourire, lorsque sa réponse sort d'entre ses lèvres il fronce légèrement les sourcils et d'un léger haussement d'épaule il pose son regard sur le terrain. « Moi qui croyais que tu étais venue pour moi. » dit-il d'un ton faussement déçu mais qui paraissait tellement vrai. Elle ne peut le tromper il est l'un de meilleur joueur au jeu de la fourberie, le mensonge et la tromperie. Il essaye d'une mine légèrement attristé de la faire regretter de ses propos, mais un sourire vient fendre son masque à la minute ou Cerceï ce remet à parler. De nouveau il pose ses prunelles dans les siennes, remplie d'une lueur qui la laissera perplexe et sans voix. « Tu te fais une fausse idée sur moi. » dit-il d'une de cette façon redoutable pour un coeur fragile pour ne pas qu'il manque un bon. « Je suis venu pour toi, j'avais envie de te voir. » et voilà comme il tourne la situation à son avantage, un sourire fabuleux pour souligner l'ampleur de ces mots. Puis ses yeux quittent les siens avant qu'elle ne le fasse, il laisse paraitre une mine renfrognée et pensive « Qui est donc l'homme qui occupe tes pensées ? » il essaye de la piéger dans son propre jeu, mais peut-être se trompait-il ? il ne l'intéressait pas ; il pose ses prunelles dans les siennes pour y rechercher une réponse. Impossible, il ne la laisse pas indifférente il le lit dans ses iris. Un sourire étire ses lèvres et sans quitter Cerceï du regard il s'éclaircît la voix. « Ça ne serait pas pour t'arranger le coup mais, plutôt pour le mettre hors-jeu. » Fausse jalousie ou véritable ? Qui sait ? Seul lui est au courant de ce qu'il ressente. Il s'amuse avec elle, c'est un véritable jeu de la faire rougir et baisser les yeux. Elle peut avoir des vues sur un autre mais Kirill finira par envahir bien trop ses pensées, elle s'est fait prendre au piège, coincé avec Kirill qui n'est pas prêt à lâcher prise tant qu'il n'aura pas ce qu'il souhaite. Quelle tristesse que ce ne soit que pour gagner un pari qu'il vient à sa rencontre, habituellement il ne fréquente pas ce genre de filles. Dans d'autre circonstance, elle et lui ça n'existerait pas. Pourtant, il commence à apprécier sa compagnie ou est-ce juste une illusion ? Elle n'a pas peut-être un physique parfait, mais psychologiquement il le sent que c'est une fille d'exception. La beauté n'est qu'un bien futile et douteux. La superficialité s'accompagne souvent de la beauté, l'une des fille, ou même les trois, quelques sièges plus loin en sont la preuve. Elles jettent des coups d'oeil vers eux, il intercepte la moquerie et la jalousie dans leur iris. « Elles sont jalouses. » dit-il avec un ton mi-amusé, ses yeux rieur regardent Cerceï à cet instant il se rend compte qu'il préfère sa compagnie à celles d'autres filles qu'il côtoie ou plutôt qu'il a pu rencontré.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
perdre la notion de réalité,
toi et lui c'est impossible.

w/ Kirill Lindstam.

J'avais beau cherché au plus profond de ma conscience, je n'arrivais pas à comprendre ce qui se passait en cet instant. Enfin d'un point de vu rationnel, si c'était juste la discussion entre un garçon supra sexy et une fille pour le moins banale voir peu approchable. Non, je ne comprenais pas depuis quand il agissait comme cela et pourquoi. Qu'est-ce qui clochait chez lui ? Il n'y avait pas que cela. Pourtant, je me souvenais de cette fête pour le nouvel an où j'ai croisé toute une bande de garçon c'est à partir de là où nos regards ce sont accrochés. C'était chouette mais pas vraiment normal. Ce mec n'est pas normal. En faite si, il l'est carrément et je fond une nouvelle fois. Reprend-toi CECE, sinon tu vas encore te ridiculiser en fantasmant comme une adolescente pré-pubaire. « Moi qui croyais que tu étais venue pour moi. » Ah ah quel charmeur celui-là. Je suis sur qu'il peut mettre toutes les filles qu'il veut dans son lit. Enfin, pourquoi voudrait-il me mettre dans son lit, ce n'est pas logique, à moins que ce soit pour un tableau de chasse. Bordel, je veux être sa biche dans son tableau de chasse. Je m'accroche une nouvelle fois à son regard. « Tu te fais une fausse idée sur moi. » Non, je ne crois pas. Il se fait une fausse idée de moi, si je lui avouais toutes les pensées crues et cochonnes qui transpercent mon cerveau là il serait obligé de courir à toute vitesse. Je veux cet homme. Non. Je ne peux pas. « Je suis venu pour toi, j'avais envie de te voir. »

Ah ah la bonne blague. Je le regardais alors, ce n'était pas possible, ce n'était pas logique, c'était complètement hors de propos et incroyablement culotté de sa part, je n'allais pas rentrer dans son jeu, surtout avec les gens qui n'hésitaient pas à nous regarder. Non, à regarder Kirill et son sourire enjôleur. C'est un magicien, ce n'est pas possible. Je plisse légèrement les yeux, alors que je cherche à feindre le vrai du faux. Je me contente de rire avec beaucoup mais beaucoup de sarcasme. « ben voyons. » Mes paroles étaient plus une synthèse très courte de ce que je pensais réellement en l'instant, mais personne ne le saurait. « Qui est donc l'homme qui occupe tes pensées ? » Toi ? Surprise, je le regardais alors, entre énigme et incompréhension. Il n'y avait qu'une chose qui tournait en rond dans ma tête. Pourquoi il faisait cela. Ca n'avait toujours pas de sens. « Ça ne serait pas pour t'arranger le coup mais, plutôt pour le mettre hors-jeu. » Je gloussais. MERDE ! Voilà que je glousse comme ses filles juste devant nous, que je pouvais être pathétique. Je n'allais pas me rabaisser à cela, pas moi. « Tu n'as pas l'impression que tu en fais un peu trop ? Quel intérêt aurais-tu d'aller mettre quelqu'un hors jeu ? C'est pas comme si j'étais... Tu me fais marcher, très drôle Lindstam. » Il n'y avait pas d'autre raison, mais je me sentais quand même mal à l'aise de cette situation, soir l'attention des gens sur moi, ce n'était pas ce que j'appellerai ça normal, et appréciable.

Plus j'étais discrète mieux je me portais question de principe. Et ses filles devant nous, elles m'énervaient. QUOI ? vous voulez ma photo ? « Elles sont jalouses. » Je riais cette fois-ci de bon coeur avant de plonger une nouvelle fois, trop longtemps, mon regard dans le sien. Ce côté rieur avait un charme dévastateur sur sa personne, je pourrais fondre sur place que cela ne me gênerait pas du tout, je sombre en faite. Trop tard, je suis une boule de vanille, toute fondante. Je cligne des yeux et reviens à moi. Sérieusement je rajoute. « Elles ne sont pas jalouses, elles sont curieuses. Et elles se demandent ce que tu fais là à côté de moi, à me parler. Elles doivent penser, pourquoi elle. » Lui avouais-je avant de dire tout doucement. « Tu perds ton temps, je ne sais pas ce que tu attends de moi, mais c'est perdu d'avance. Tu auras plus de chance avec elle. » J'avais un spasme. Ma conscience me hurlait dessus, enfin m'insultait combien ce que je venais de faire était complètement idiot et insensé. Je signais l'arrêt de ses visites auprès de moi, mais je n'allais pas me laisser faire. Quelque chose clochait je voulais savoir quoi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Head in the clouds but my gravity centred
Touch my neck and I'll touch yours.

w/ cerceï-rae lawrence.

Lorsqu'il retire ses yeux de ceux de Cerceï, il remarque tous ces regards sur eux, sur elle. Moqueries, jalousies, envies ou quelque conque sentiments qui attirent haines et moquerie. Il ne comprend pas pourquoi les personnes attachent tant d'importance au physique, c'est parce qu'elle a quelques kilos en plus que la moyenne que tout le monde se demande pourquoi il la côtoie. Non pour ses coups de gueules ou quelques ues de ses manies étrange, tout le monde est fou ils ne l'admettent pas, là est la différence. Ca l'énerve de voir tant de jugements sur elle pour son physique, fréquenté Cerceï lui a ouvert les yeux sur ce point. Car il était bien le premier à en rire, mais il regrette de l'avoir jugé par rapport à ce qu'elle dégageait. Parfois il n'a qu'une envie c'est de leur rentrer dedans et qu'est-ce que ça peut leur foutre il a le droit de parler à qui il veut sans le jugement de personnes. Il serait trouvé une dizaine de filles qui ne valent pas Cerceï. Kirill est un bon mec, il a juste des attitudes de crétin par moment.

Il lui fait du rentre dedans sans prendre des pincettes, c'est son franc jeux qui fait tomber les filles entre ses bras. Bien même que souvent il n'a pas besoin de parler, son regard expressif suffit. Cerceï changeait des autres filles, non pas uniquement due à sa corpulence, Kirill en prenait très peu compte au final. Car pour lui il y a deux catégories de demoiselles, celles qui couchent avec juste pour le plaisir et la seconde comporte la demoiselle avec qui il s'entend et aime trainer avec. Rare sont les sottes et filles superficiel, cela ne lui plait guère. Bien même s'il y a des exceptions, cela se fait rare qu'il se pavane avec l'une de ses bimbos qui rient pour un rien, et se plaint lorsqu'elle se casse un ongle ou toutes autres futilités. Il se demande comment Cerceï le perçoit, pourtant il en a peut faire de ce qu'on pense de lui cela a toujours été ainsi. Mais il était curieux de savoir dans quelle catégorie elle le mettait.

Avec ses grands sourires et belles paroles, il avait fini à ce qu'elle le fixe sans un mot. Un point marqué de son côté, il l'avait piège. Ses pupilles dévoraient les siennes, ses mots absorbaient son esprit, il la sondait complètement. « Tu n'as pas l'impression que tu en fais un peu trop ? Quel intérêt aurais-tu d'aller mettre quelqu'un hors jeu ? C'est pas comme si j'étais... Tu me fais marcher, très drôle Lindstam. » Regard perplexe, un léger froncement de sourcil, son sourire s'éteint un instant. « Comme si tu étais quoi ? » répondit-il du tac au tac, il lui sourit de façon à ce qu'elle fasse la même chose. « Je veux être le seul à qui tu penses. » son regard dans le sien, il ne la lâchera pas. Il déteste le fait qu'elle se dévalorise, c'est pourquoi ses paroles ont l'air tellement vrai. « C'est la vérité. » et son regard finit par capter celles des demoiselles certes jolies mais leur façon de glousser et de regarder Cerceï l'irrite. A sa phrase, il l'a fait rire, il la regarde amusé pour essayer de décrypter ce qu'elle pense et veut. « Elles ne sont pas jalouses, elles sont curieuses. Et elles se demandent ce que tu fais là à côté de moi, à me parler. Elles doivent penser, pourquoi elle. Tu perds ton temps, je ne sais pas ce que tu attends de moi, mais c'est perdu d'avance. Tu auras plus de chance avec elle. » À cet instant ses yeux sont illuminés par une lueur troublante et perçante, il capte le moindre de ses mots. Et il se rend compte à quel point il a été idiot d'accepter ce défi « Peut-être. » une courte seconde ses yeux divague sur le terrain vers son groupe d'amis qui se sont remis à jouer. « Mais je veux être avec toi et non avec elle. » dit-il avec une profonde sincérité, il repose son regard dévastateur sur elle, et il met sa main sur sa cuisse. Peut-être pour la déstabiliser ou pour qu'elle croit encore plus à ses mots. « Tu vaux mieux cent fois mieux qu'elle. Et tu mérites ma compagnie. » Il affiche une légère mimique, sa main glisse le long de sa cuisse pour chercher sa main qu'il frôle légèrement. « Tu veux que je partes? » son regard rieur, ses lèvres qui affichent ce léger sourire, ellene peut le rejeter.
 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
perdre la notion de réalité,
toi et lui c'est impossible.

w/ Kirill Lindstam.

C'est à la fois glorifiant et déroutant de se retrouver juste à côté de lui. C'est différent de fantasmer sur une personne et avoir par la suite une discussion constructive avec cette dernière. Je l'admets je suis à la fois heureuse et complètement hors d'atteinte. J'ai peur aussi, mais bordel je pourrais rêvasser des heures entières devant lui, à peindre, décrire chaque parcelle de son anatomie. Son regard qui semble me transpercer ou ce sourire qu'il me donne comme si je pouvais avoir une quelconque importance. Cette impression gonfle mon coeur plein d'espoir et je me laisserai bien tenter par cette sensation. Mais je sais que ce n'est pas le cas, que ça ne dure pas pour toujours, que ça cache quelque chose. Je ne fais pas confiance aux gens où rarement et pourtant j'en meurs d'envie de croire ce qui semble me dire, ou faire passer comme message. Ce n'est qu'un dragueur semble me répéter ma conscience, j'ai envie d'être une fille qu'on aborde parce qu'on lui plait. Je ne suis pas cela, oh god suis-je si pathétique que cela ? « Comme si tu étais quoi ? » Il le fait exprès ? Comme si j'étais désirable. Les garçons ne veulent pas me voir nu, ne veulent pas s'envoyer en l'air avec moi, ils veulent juste se foutre de ma gueule. Point. J'évite son regard parce que je ne veux pas répondre à cette question, il ne m'en empêchera pas, je le sais. C'est juste que je me sens idiote et déboussolée mon coeur bat trop rapidement. Par mimétisme je lui souris aussi. « Je veux être le seul à qui tu penses. » Un étrange sensation me prit les tripes...

Une sensation que cela devenait plus important ou réel que lorsqu'il venait me faire chier. Il n'avait pas à dire cela, je ne lui demandais pas de toute manière, mais il venait de dire ses paroles et mon coeur, bien malgré moi, se gonfla d'un espoir que je ne me connaissais pas encore. Je ne voulais pas le croire, je sondais son regard, dans l'espoir d'y déceler un mensonge. Les menteurs sont doués dans ce domaine, je n'y vois rien. Fuck ! « C'est la vérité. » Et il compte le contact, je tente de me remettre, enfin surtout mon esprit, regardant sur le côté me mordillant ostensiblement la lèvre inférieure. Je chuchote à peine... « Je n'aime pas les promesses faites en l'air. » Qui aime cela d'ailleurs. Je regarde ses filles et je me dis que le monde peut être dégueulasse. Elles ne semblent pas agréable à vivre, j'ai des amies super bien foutue qui sont des pépites, mais elles... Elles me semblent trop intéressées par leurs petites personnes que la profondeur des choses. Je suis persuadée qu'elles ne connaissent en rien la musique ou l'art. Quelle tristesse ! Parce que les mecs, c'est sur elles qu'ils se retournent, j'en ai un haut le coeur. « Peut-être. » Surement, ça se passe toujours comme cela, ils se posent toujours cette question, comme si je ne pouvais pas avoir des gens normaux comme amis. « Mais je veux être avec toi et non avec elle. » OH MON DIEU ! Je fixe alors cette main sur ma cuisse alors qu'un courant passe le long de mon échine. Il est bien en train de faire ce à quoi je pense qu'il fait. OH MON DIEU ! J'ai soudainement chaud et je me demande s'il n'est pas possible d'appeler l'ambulance tout de suite. Je ne suis pas novice dans le domaine des attouchements noooon, mais cette main, maintenant, ici.

BORDEL il fait drôlement chaud. « Tu vaux mieux cent fois mieux qu'elle. Et tu mérites ma compagnie. » AIDEZ-MOI ! UN CHARIOT DE REA, maintenant. Je me sens vraiment faible, parce que je peux croire à ses paroles, j'ai envie d'y croire et cette main qui bouge sur ma cuisse, je n'avais jamais ressentie telle chose. Dans mes fantasmes les plus fou, j'aurai mis ma langue dans sa bouche illico, mais j'étais tétanisée par la peur, que ce soit pas vrai. Ce n'est jamais le cas je trouve d'ordinaire. On n'est pas gentil avec moi, les autres ne le sont pas. « Tu veux que je partes ? » Tout se bousculait dans ma tête à vrai dire, je paniquais même grave. Franchement ce n'était pas moi, vraiment pas. Je fermais les yeux un instant histoire de reprendre mes esprits alors que ma main vint frôler la sienne, désirant qu'une chose entrelacer mes doigts au sien délicatement, puis la réalité vint alors à me frapper. Violemment même. Non, ce n'était pas possible. Je repoussais sa main de ma cuisse. « Non. » Ma réponse était directe et véridique. Assez froide aussi et je remettais ma carapace qu'il avait failli, je dis bien failli percer au grand jour. « C'était très instructif cette petite discussion et j'y ai presque cru. Mais... » Ma voix forte venait d'intéresser les pestes devant. Je ne voulais pas non plus qu'elle gagne. Bordel cece que tu es chiante. « A quoi tu joues ? » Je venais de souffler pour que lui seul puisse entendre. « Je suis certes flatté de mériter ta compagnie, je sais combien tu dois avoir un agenda bien chargé, mais je suis une grande fille. Tu peux rester si tu t'en trouves plus heureux, mais moi... Je vais marcher. » Je me relevais d'un bon rangeant mes affaires dans mon sac. Je prenais une énorme inspiration. « Te fous pas de ma gueule. » Je détestais cela... Pourtant une petite voix me disait de lui faire confiance, pourquoiiiii ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Head in the clouds but my gravity centred
Touch my neck and I'll touch yours.

w/ cerceï-rae lawrence.

S'il écoutait un peu sa raison et sa subtilité, il arrêterait tout ça. Il ne fait que tisser de larges mensonges auquel Cerceï commence à croire, il fait tout pour qu'elle puisse croire qu'elle lui plait. Pas un mot, pas un geste n'est pas pour dévoiler la supercherie. Au contraire, il est tellement convaincant semble si sincère avec ses belles paroles, ses gestes doux et affectueux, n'importe qui tomberait dans le piège. Il est là sourire charmeur aux lèvres, les yeux remplie de cette lueur indéchiffrable. Cerceï finira par se dire que lui et elle s'est possible, que ce n'est pas juste une illusion. Au fond peut-être Kirill cherche à prouver quelques choses, que ce soit pour elle ou les autres. Même si cela semble un pari stupide, il peut avoir un certain côté bénéfique, prouvant au monde que le physique n'est que futilité. Mais, un jour ou l'autre elle sera au courant de tout, la jalousie de certaines personnes lui dévoilera avant qu'il ne puisse le faire. Il espère que cela se sache avant qu'il ne l'est souillé, au moins il aura certes perdu son pari mais sauvé le coeur de Cerceï. Il ne peut pas abandonner, son avidité de la victoire prend le dessus sur sa raison alors ; il continue tête baissée à s'enfoncer dans cette relation les plus complexe. Lui parfois n'explique par son comportement avec elle, il la protège sans qu'elle ne le sache, prononce des mots qu'il ne prend pas peine de réfléchir. Il veut lui donner un peu plus confiance en elle, pour ensuite quoi ? Détruire toutes ses espérances. Tout rendre dans un paradoxe les plus totaux. Il essaye de se tourner vers la simplicité, mais ce qu'il voit ne lui plait pas : abandon ou vérité ? sont les seuls chemins qui lui reste.

Sa main sur sa cuisse, il l'envoûte des belles paroles, des mots qu'elle a sans doute espérée qu'un homme lui dise un jour. Sous une dernière interrogation il attend sa réaction, ses prunelles perçantes fixant le visage de Cerceï pour pouvoir devancer ce qu'elle va prononcer. Il sent sa main frôlée la sienne, ce léger contact lui fait baiser ses iris instantanément .Venait-il de détruire une nouvelle barrière ? Il en était pas sûr, pour une fois. Il fronce légèrement les sourcils à la réponse brusque de la brune, sont remplis d'incompréhension, à chaque fois qu'il croit qu'elle lui faiblit, qu'il s'approche d'un pas d'elle, Cerceï recule brusquement de trois gigantesque pas. Le menant au point de départ. « A quoi tu joues? » il hausse les épaules, pour prouver qu'il ne comprend pas de quoi elle parle. Il joue la fausse carte de l'innocence et la sincérité, il est un bien trop menteur et pourtant elle se méfie plus de lui qu'avec d'autres car, il s'approche de trop près d'elle. Il sent qu'il est proche de son but, par sa persévérance il arrive toujours à ses fins. Elle a dû entendre cela sur lui qu'il obtient trop souvent ce qu'il veut. Elle repousse sa main, son regard s'assombrit par un drôle de sentiment, elle semble avoir détruit cette joie qui s'y lit souvent dans ses iris.Fausse apparence, il veut la faire culpabilisé de le rejeter sans cesse. « Il t’es si difficile de?croire que tu me plais? » souffle-t-il en la regardant, les traits de sa mâchoire se contracte l’air contrarié, il l’attrape par le poignet. Kirill, arrête-toi là, il le faut se dit-il à lui-même lorsqu’il se relève. Pourquoi ne joue-t-il pas la carte de la sincérité? ça serait tellement plus simple maintenant, moins douloureux. Allé sois franc, ce n’est pas toi d’être ainsi. Il prend une inspiration. « J’ai toujours été sincère avec toi. » dit-il détournant, pour une fois, ses prunelles de siennes il a assez sondés son esprit pour l’instant. L'attention des pestes convergent vers eux, Kirill les regards sans aucune gentillesse, sans un mot il leur avait fait tourner les yeux ailleurs leur faisant regrette de les avoir trop observé. « Je viens avec toi. » dit-il, à une seconde près son regard change tout au tout, il s'éclaircit de cette lueur habituelle qui fait fondre les coeurs de ces gentes dames. Avant qu'elle ne proteste, ou qu'elle réagisse il entremêle ses doigts aux siens, il l'a une nouvelle fois capturé. Il s'approche d'elle, son corps touchant presque le sien. « Accepte la vérité. » lui susurre-t-il à l'oreille, il se décolle, un sourire pour lui faire exploser son coeur. Il a choisi sa route à cet instant, celui de la sincérité est désormais barré. Son ancien entourage ne comprendrait pas un tel comportement venant de Kirill, bien grand joueur mais pas autant, pas avec les sentiments d'une personne aussi merveilleuse et sensible que Cerceï en jeu.
Avant qu'elle n'ait l'idée de retiré sa main de la sienne, il fait une légère pression pour qu'elle commence à s’avancer.
 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
perdre la notion de réalité,
toi et lui c'est impossible.

w/ Kirill Lindstam.

J'ai pas toujours été comme cela, quand j'étais plus jeune, je n'avais pas peur de parler et de tisser des liens avec les gens. C'était rassurant et réconfortant de savoir que quelque part, près de moi je pouvais compter sur des choses. Mais tout à changer le jour où j'ai pris conscience combien les gens n'étaient pas ceux que je croyais, qu'on était peut-être gentil avec moi, il y aura toujours les autres. Ceux qui se moquent gratuitement de la différence, se moquant de mon poids de mon apparence, sachant que j'étais trop timide pour dire quoique ce soit, me rebeller. C'était tellement facile de se faire critiquer et c'est carrément violent quand tu te rends compte que même les gens que tu considérais comme tes amis font partis de ces gens à se foutre de ta gueule. J'ai tellement pleuré que j'ai mis chez moi une carapace dure, terriblement étanche pour éviter de partager de nouveau ce sentiment. J'ai des amis ici, je le sais mais j'ai aussi les autres, qui n'hésitent pas à se foutre de ma gueule, je me suis promise de ne plus être faible pour quiconque. De ne plus pleurer la méchanceté des gens, alors je suis perdue, paumée dans une étrange sensation quand je me trouve près de lui, il bouscule toutes mes habitudes. Les bonnes comme les moins bonnes, je me sens fondre et c'est un sentiment que je n'avais pas ressenti. J'ai beau lutté de toutes mes forces, la tentation est délicieuse, Kirill ne m'aide pas dans l'envie de le croquer telle une friandise. J'ai besoin de réfléchir au calme. « Il t’es si difficile de croire que tu me plais ? » FUCK ! Comment fait-il pour dire des choses comme cela. Je le regarde des yeux gros comme des billes, sous le choc qu'il puisse dire cela devant ses glousseuses et fixant alors son propre regard.

J'essaye de comprendre ce qui ne tourne pas rond chez lui. Nous sommes dans un lieu oubli bordel de merde, d'ordinaire on ne se montre pas à côté de moi, question de principe. « J’ai toujours été sincère avec toi. » Il détourne son regard et je veux y croire. Je veux y croire s'il te plait. Je pourrais pleurer pour ce genre de phrase mais je tiens bon telle un matelot sur son bateau, je suis cette fille-là tiens. « Je viens avec toi. » Nos doigts s'entremêlent et une sensation dans ma poitrine apparait. Je me sens rougir, bordel LAWRENCE tu rougis maintenant. Avant de regarder cette main et cette nouvelle proximité, cette main je pourrais y prendre gout je sais et c'est ce qui m'effraye. Je relève la tête, troublée et ça doit se voir sur mon visage si expressive. « Je.. » Commençais-je à marmonner, il ne me laisse pas le temps. « Accepte la vérité. » Sa voix glisse contre mon oreille alors que je fond déjà, bercé par cette sensation niaise. Son parfum chatouille mes narines, un mélange surement naturel, de sa peau j'en sais rien mais je veux acheter du parfum Kirill pour toujours. Je ne suis pas du genre bisounours et compagnie, je déteste les arc en ciels, mais bon sang cette sensation elle est troublante. Je me mordille la lèvre, incapable de le réprimander, je suis faible. BORDEL trop mais je ne veux pas, je crois je suis trop contente de ressentir cela. Je longe les gradins cherchant un moyen de m'éloigner de toute ces regards, je marche vite aussi, le trainant légèrement derrière moi avant de nous isoler un peu et de m'arrêter. « Admettons que je te plaise... » Les mots roulaient dans ma bouche d'une étrange façon. « Ca ne te gêne pas, ça... Les regards des gens ce disant mais qu'est ce qu'il fait à trainer avec ça. » Je reprenais mes esprits regardant sa main dans la mienne elle était douce, il devait être doué pour tellement chose avec. CERCEÏ STOPPE TES FANTASMES. « Puis je ne connais rien de toi, hormis quelques capacités en foot dans un pays où le football américain prédomine et une tendance à être du genre têtu. Qui es-tu Lindstam ? » J'haussais les sourcils alors que je voulais le déstabiliser un peu, je n'avais que cette arme là, pour le moment.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Head in the clouds but my gravity centred
Touch my neck and I'll touch yours.

w/ cerceï-rae lawrence.

Il est beau, il le sait et le prouve, avoir un physique avantageux a toujours été important dans une vie en communauté. Il a souvent été contre cette idée, mais à force il a fini par oublier qu'avant il défendait les plus faibles, les moins avantagés physiquement. Oui c'était le gamin dans la cour de recréer qui tapait les gamins perfides et moqueurs, il avait toujours des bleus sur le visage et les mains abîmés. Mais en grandissant, il a perdu cette conviction, il a trop peu été rejeté dans sa vie. Bien qu'il a connu l'un des plus douloureux maux, celui de n'avoir pas reçu l'amour de sa mère. Qui pense en le regardant droit dans les yeux qu'il a eu une vie de chien, que son père pour le faire céder lui tapait un peu sur la gueule ? Il s'en cache bien avec ses belles paroles et ses larges sourires, tout le pense que c'est un arrogant gosse de riche. Il est si facile de bâtir quelque chose quand personne n'est au courant de son passé.

Kirill a énormément changé, si Cerceï l'avait rencontré des années plutôt elle lui aurait immédiatement sauté dessus. Car il serait venu lui parler de lui-même sans avoir été sollicité par un pari, il ne lui aurait peut-être pas toutes ces belles paroles qui lui fait partager à cet instant mais au moins leur relation aurait été vrai. Ceci n'est que foutaises, la plupart de ses paroles ne sont pas véritablement pensées, bien sûr qu'au fond il veut qu'elle s'aime un peu plus et qu'elle doit arrêter de croire que quelqu'un comme lui ne peut pas s'afficher avec quelqu'un comme elle. Qu'est cela veut dire ? Véritablement ? Il y a toujours ces catégories faites par l'homme, qui blesse les plus faibles et honores les plus fort. Kirill a toujours eu cet esprit de contradiction, de rebelle alors il n'aimait simplement pas qu'on lui dicte qui aimer et avec qui rester. Mais ce n'est pas sur ses principes qu'il est venu-à-elle, il aurait pu mais sans doute ne l'aurait-il jamais fait, car Kirill ne se serait jamais retourné vers quelqu'un comme Cerceï si elle passait à côté de lui. Peut-être qu'un jour il aurait remarqué cette force dans son regard mais bien trop tard. Une bien triste vérité que Cerceï doit se répéter sans cesse. Rien ne semble vouloir lui faire dire la vérité, même il commence à l'apprécier, plus il la côtoie et plus il prend sa défense, plus il lui parle et plus il aime lui parler. Si seulement ce n'était pas un pari tout ça, tout ce qu'il est en train de faire.

Elle le traine là, caché des regards suspicieux et moqueur, il pose ses prunelles dévastatrices dans les siennes et il est prêt à l'écouter car il sait qu'elle a besoin de parler après ce qu'il lui est dit. Mais elle semble trop troublée par les regards des autres pour pouvoir s'expliquer clairement. Dans son regard il y lit tellement de choses, ce mal être, cette crainte des regards que posent les gens sur elle. « Avec quoi ? » encore il répond de cette façon assez particulière, il sonde son esprit. « Cerceï. » il capte son regard, ce sourire sur ses lèvres ne s'affiche rien que pour elle, pour la rassurer. « J'ai le droit d'apprécier qui je veux quand je veux, personne n'a le droit de me dicter avec qui je dois être ou ne pas être. » il se stoppe, serre un peu plus sa main dans la sienne. Il l'observe il a bien l'impression que c'est elle qui serait gêné de traîner avec quelqu'un comme lui. « Les relations sont faites pour ça. » conclu-t-il amusé, de son pouce il caresse le dos de sa main. « A toi de le découvrir. » une légère mimique, son regard dans le sien, il ne répond trop peu à ce genre de questions. Il s'en amuse toujours trop. Menteur, incontrôlable, imprévisible, séducteur, Cerceï sait bien quelques traits de sa personnalité. Pris d'envie de pimenter un peu cette journée et de faire avancer les choses il s'avance vers elle, dans son regard il est facile de voir ce à quoi il va entreprendre de faire. Cependant à la dernière seconde ses lèvres n'atterrissent que sur la commissure de ses lèvres, peut-être l'a telle repoussée un peu ou est-ce son subconscient qui l'a ramené sur une autre route ? Merde qu'est-ce qu'il fait, il vient de laisser échapper l'une de celle façon à ce qu'elle lui cède, un cet instant il paraissait si intime. Personne à l'horizon, il remet ses prunelles remplies de cette lueur qui fera un long débat dans le cerveau de Cerceï. « Que fait-on maintenant ? »
 
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)