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→ Jackie & June
Son comportement m’agaçait. Savoir que cette nuit avec Aidan était arrivée aux oreilles d’autres personnes me dérangeait. « Vite adapté, c’est drôle je ne suis pas exactement du même avis, tu aimes regarder les choses de la manière qui t’arrangent… » j’affichais un sourire, elle se foutait de moi ? Et je lui répondis rapidement : « mais bien sûr June ! Ne m’implique pas dans ton bordel, tu es mariée et pour beaucoup ça paraît très clair. Je regarde que ce que tu laisses paraître… ce n'ait pas moi qui invente. » dis-je méchamment. La vie de June ne m’intéressait plus vraiment. Ses sarcasmes m’énervaient, je levais les yeux au ciel et me mis à soupirer un long moment. « Mon mariage, franchement qu’est-ce que tu en sais de mon mariage… » elle me regardait fixement avant d’ajouter une dernière fois : « T’es vraiment qu’une garce ». Sans vraiment comprendre comment, une de mes mains frappa violemment la joue de la Lowell. J’étais une garce, il n’y avait aucun doute là-dessus mais je ne m’héritais certainement pas qu’on me le dise aujourd'hui en pleine figure. La culpabilité était encore présente. J’avais faits souffrir Sam et pour ça je me sentais mal. Je pointais du doigt June avant de lui dire : « Tu commences sérieusement à m’emmerder. Je ne m’hérite aucune leçon de toi et encore moins tes jugements. Tu es jalouse, d’accord ! Mais ce n'est pas moi qui suis la raison de toutes tes emmerdes. Tu veux trouver un coupable pas de problème mais laisse-moi en dehors de ça. » dis-je méchamment tout en prenant soin de la regarder dans les yeux.(Invité)
Je soupirais quand elle me dit que je m’étais marié par choix et tout le bazar, mais putain elle connaissait rien à ma vie, elle connaissait rien à mes douleurs et elle se permettait de dire que tout était facile pour moi, que j’avais trouvé quelqu’un d’autre donc que ce n’était pas très grave si je n’avais plus Aidan. Et bien si, je souffrais, car mon mari ne l’était que sur des papiers, on n’oublie pas aussi facilement les gens qu’on aime mais ça bien sûr elle ne devait pas savoir puisqu’elle n’aimait personne. « Tu ne regardes que ce qui t’arranges ! ». Et alors que je ne m’y attendais pas du tout, sa main me gifle. D’accord, alors j’avais peut être un peu vive jusque là mais je crois qu’elle vient de déclencher un tourbillon de trucs en moi, je soupire un coup, essayant de me calmer mais c’est trop tard, la machine est lancée. Je n’ai pas peur d’user de violence avec elle, vu ce qu’elle vient de me faire. Le souci pour elle c’est que j’ai fait des années entières de karaté depuis ma plus tendre enfance. Je la regarde un instant et je prends mon élan pour lui donner un coup de poing assez vigoureux. « Me cherche pas Stevensen ». Je me bas pour Aidan, rien à foutre, je ne veux pas que cette fille qui se croit mieux que tout le monde me frappe sans rien dire, or de question