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(+ Caleb & Isaline) pretty little hell

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En théorie, Thaïs n’aurait pas dû appeler Isaline, partie pour le Spring Break à Punta Cana mais la demoiselle n’avait pas pu résister. D’une, parce qu’elle n’estimait pas avoir le droit de cacher une chose pareille concernant Caleb, très proche de la belle Eliot, mais aussi parce qu’elle avait eut besoin de vider son sac en étant écoutée par une oreille attentive et compréhensive. Voilà quelques jours que son mari était rentré de l’hôpital et la cohabitation n’était pas évidente : il ne se souvenait toujours de rien, considérait leur mariage avec la plus grande indifférence et tentait de trouver lui-même des réponses sur ce passé perdu dans les méandres de son cerveau… en vain. La pression pesant sur les épaules de Thaïs n’était pas des moindres, mais elle ne s’attendait pas une seconde à ce qu’Isaline rentre de Punta Cana tout spécifiquement pour voir Caleb : sans doute l’avait-elle bien trop alertée avec la crise d’angoisse qu’elle avait eu en cours de conversation téléphonique mais le résultat était là : lorsque la sonnerie de la porte d’entrée se mit à retentir et que Thaïs vint ouvrir, c’est la voix d’Isaline qu’elle entendit et celle de nul autre… « Isa ?! »
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J'étais morte d'inquiétude. Tout de suite après avoir raccroché, j'allais me réserver le premier avion pour rentrer à Cambridge. J'avais de la chance, un avion décollait le jour même. Je ne pris même pas la peine de faire mes affaires. Tout ce que je fis, c'est me changer, m'habillant légèrement plus chaudement, avant de sortir de ma chambre. Sur le chemin vers l'aéroport, j'envoyais un message à Camille, la prévenant de mon départ précipité, mais je l'assurais de ne pas s'inquiéter, que je serais de retour d'ici deux-trois jours. Pendant tout le trajet, je stressais comme une malade. Je n'arrivais pas à y croire. Un accident?! Comment? Pourquoi?! Oh mon dieu, et Thaïs dans tout ça? Elle devait être dans un de ces états! Déjà que moi, j'avais l'impression d'avoir du mal à respirer, mais et elle alors? Je savais que j'allais la retrouver avec les yeux gonflés et rouge. Il l'avait oubliée. Il n'avait pas le droit pourtant! Oh mon dieu. Après quelques heures, j'arrivais enfin à Boston. Une voiture vint me chercher. Je demandais alors au chauffeur de me conduire jusqu'à l'appartement qu'ils partageaient ensemble. Je ne pris même pas la peine de rentrer. Non, tant que je ne les avais pas vu, mon coeur ne se calmera pas. Et finalement, je me retrouvais devant sa porte. Je sonnais avant de m'annoncer. « Isa ?! » Tout de suite, je l'attirais vers moi dans une étreinte qui se voulait réconfortante. « Oh mon dieu Thaïs. Comment tu vas? Tu tiens le coup? J'suis vraiment désolée! Pourquoi tu ne m'as pas appelée plus tôt?! »
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Voilà quelques jours que j’étais sorti de l’hôpital avec simplement un bras cassé et un trauma crânien. D’après les médecins, je m’en étais bien sorti car si la voiture avait roulé plus vite, l’impact m’aurait tué sur le coup. Je ne sais pas trop si je m’en étais bien sorti car ma mémoire enregistrait un véritable trou béant de six mois. Six longs mois dont je ne conservais aucun souvenir. Je me sentais comme amputé d’une partie de ma vie sans pour autant le ressentir. Pour moi, nous étions toujours au mois de septembre et je recherchais toujours une danseuse pour mon année universitaire. Autant dire que je m’imaginais pas le moins du monde marié à une femme dont j’ignorais encore il y a peu, jusqu’à son existence même. Malheureusement, aucune chambre à la Lowell n’était disponible puisque Eventine était reparti à Monaco. Mon meilleur ami avait quitté Harvard depuis plusieurs mois et je ne m’en souvenais pas. Ce couillon touffue me manquait déjà. En gros, pas le choix, je devais partager l’appartement avec mon épouse. Ô joie, ô désespoir. J’étais dans le bureau en train de parler avec mes parents sur skype quand la sonnette retentit dans l’appartement. C’est tout naturellement que j’allais voir, mettant fin aux suppliques de ma mère, de rentrer en Allemagne avec Thaïs. Et puis quoi encore ?! Je n’avais pas envie de me taper ma soi-disant épouse jusque chez mes parents. « Petite sœur ? Qu’est-ce que tu fais ici ? » demandais-je en voyant Isaline. Aussitôt, je la soulevais dans mes bras avant de claquer une bise sur sa joue. « Hey ça fait plaisir de te voir ! »
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Isaline était venue… elle avait pris l’avion depuis Punta Cana pour leur venir en aide et pour le coup, Thaïs ne put s’empêcher de la serrer plus fortement contre elle rien que pour la remercier. Elle n’imaginait pas quelle joie l’irlandaise pouvait ressentir à l’idée qu’elle soit là pour lui prêter main forte face à l’amnésie de Caleb, mais aussi face à son indifférence… car cette dernière tuait la blondinette à petits feux. Sans compter qu’en théorie, son gynécologue lui avait bien stipulé que le moindre stress pouvait être très dangereux, pour le bébé comme pour elle… chienne de vie. « J’essaye de tenir le coup, si tu savais comme je suis contente que tu sois là ! J’ai cru que j’allais devenir folle… j’ai longtemps hésité à t’appeler parce que je te savais au Spring Break et je ne voulais pas t’inquiéter mais au bout d’un moment je n’ai plus pu me taire, si tu savais comme je suis désolée… » Mais désolée de quoi, au juste ? De l’appeler à l’aide ? Isaline était une amie proche d’elle comme de Caleb, il était logique qu’elle la tienne au courant. Mais rapidement, la belle Eliot allait comprendre ce que vivait Thaïs, car l’allemand débarqua bientôt dans le salon et l’irlandaise s’écarta pour le laisser la saluer, tandis qu’elle fermait la porte. Son naturel et la joie dont il faisait preuve lui faisaient mal, si mal… il n’avait pas oublié sa sœur de cœur mais sa femme, c’était une autre paire de manche, surtout qu’il s’estimait « enfermé » dans leur mariage depuis sa sortie de l’hôpital. « Vous voulez que je vous laisse vous retrouver ? » proposa-t-elle, craignant de se sentir de trop.
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« J’essaye de tenir le coup, si tu savais comme je suis contente que tu sois là ! J’ai cru que j’allais devenir folle… j’ai longtemps hésité à t’appeler parce que je te savais au Spring Break et je ne voulais pas t’inquiéter mais au bout d’un moment je n’ai plus pu me taire, si tu savais comme je suis désolée… » Je pouvais ressentir toute sa peine, mais aussi son soulagement de me voir, dans son étreinte. Je souris doucement, m'écartant d'elle pour la regarder. J'avais l'impression qu'elle avait maigri par rapport à quand je l'avais laissée la dernière fois, mais j'étais certaine que ce n'était qu'une impression. Après tout, elle est quand même enceinte. Mais ses yeux. J'avais envie de pleurer rien qu'en y voyait toute sa tristesse. « Ne dis pas de bêtise! Tu as bien fait de m'appeler. Et puis, tu sais que tu ne me dérangeras jamais, même si je suis au Spring Break. » De lui souris doucement avant de remettre une mèche qui s'était échappée, derrière son oreille. C'est à ce moment-là que Caleb débarqua. « Petite sœur ? Qu’est-ce que tu fais ici ? » Je ne pris pas la peine de le répondre, rendant tout simplement son étreinte.  « Hey ça fait plaisir de te voir ! » Un sourire s'afficha néanmoins sur mes lèvres. Il avait l'air en forme, mais qui aurait cru qu'il lui manquait six mois de sa vie? « Moi aussi, ça me fait plaisir. » « Vous voulez que je vous laisse vous retrouver ? » La voix de Thaïs s'éleva dans les airs. Je m'écartais de Caleb et la regarda, en haussant les sourcils. « Je t'ai dit de ne pas dire des bêtises ma belle. » Je souris alors avant de me retourner vers Caleb. Là, je pris une mine furieuse et pointa mon doigt sur son torse. « Toi, par contre, je ne veux pas te voir pour le moment, j'ai des choses à discuter avec ta FEMME. » J'avais bien insisté sur le mot « femme ». Il avait oublié? Et bien, je me ferais un plaisir de le lui rappeler! C'étais sans doute la première fois que j'agissais ainsi, prenant parti d'une autre personne que lui mais... Enfin là, je ne prenais pas parti, je voulais juste m'assurer que tout allait bien pour Thaïs et son bébé. Et après, je discuterais avec lui. Mais s'il voulait assister à la discussion, qu'il le fasse, je m'en fichais.
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J’étais très heureux de retrouver ma petite sœur même si j’avais l’impression de l’avoir quitté la veille. J’avais l’impression que pour la première fois de ma sortie d’hôpital, je retrouvais mes repères. Après tout, Isaline faisait partie intégrante de ma vie mais également de ma mémoire. Pas de nouveauté là-dedans, pas d’annonce catastrophique ou du genre : tu es marié mon coco. Tout redevenait normal comme après un cauchemar et que la lumière dans la chambre s’allumait. Bien sûr, Thais était toujours là et je devais faire avec mais pour l’heure, je n’avais même pas envie de m’appesantir sur son cas. D’ailleurs, j’allais clairement lui signifier qu’elle pouvait nous laisser quand Isaline reprit la parole. « Euh depuis quand tu me parles comme ça et surtout depuis quand, tu prends parti pour quelqu’un d’autre ? » marmonnais-je assez froidement, piqué au vif par cette mise à l’écart. Jamais au grand jamais, Isaline n’avait eu un tel comportement avec moi. « Ok, j’ai compris ! Je présume que tu vas me sortir, que vous deux, vous êtes devenues de grandes copines et que je n’ai qu’à fermer ma gueule parce que je suis le grand méchant de l’histoire. C’est bon, ça fait plus d’une semaine que je joue ce rôle » grognais-je en allant poser mon cul devant la TV, montant le son exprès pour les emmerder. Oui, j’agissais comme un gamin qu’on venait d’envoyer au coin mais qu’importe, c’était tout l’effet que ça me faisait. Et dire que je pensais qu’à la base, Isaline était venue pour moi et bien non, qu’elles aillent au diable toutes les deux.

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Autant dire que Thaïs esquissa un sourire ému à l’attention d’Isaline lorsqu’elle lui assura qu’elle ne la dérangerait jamais, même en cas de Spring Break. Elle fut cependant très agréablement surprise que la belle Eliot prenne son parti même face à Caleb, et ladite surprise la combla d’une joyeuse béatitude avant que le comportement de l’allemand ne lui arrache une large expression de tristesse. Cherchait-il à tout prix à ce qu’elle se sente de trop ? En tout cas, c’était pleinement réussi ! « Tu es toujours aussi sûre que je dis des bêtises Isa ? » fit-elle en soupirant, non sans passer machinalement une main contre sa nuque et la deuxième contre son ventre bien plus arrondi que la dernière fois qu’elles s’étaient vues. Thaïs ne savait plus du tout comment réagir avec Caleb ni même comment le prendre, un peu comme si elle avait perdu définitivement le mode d’emploi… « Je serai ravie de discuter Isa, ça me ferait un bien fou, mais je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure des idées vu comment il réagit… » fit-elle tristement avant de se saisir de la télécommande pour mieux mettre le son sur mute. « Si tu veux que je quitte la pièce pour que tu parles avec Isa, il suffit de le dire, inutile de jouer les grandes victimes devant l’éternel et si tu as entendu quelqu’un te faire passer pour le bad guy, ce n’est pas moi je te signale » fit-elle avec lassitude tant cette situation lui pesait sur le système.
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Peut-être n'aurais-je pas dû prendre le parti de Thaïs? Mais d'un côté, ce n'était pas ce que je voulais. Mais je savais aussi que je ne pourrait pas rester totalement neutre. Caleb avait mal pris le ton sur lequel je m'étais adressée à lui. Je pouvais comprendre, pour lui je serais toujours la première à prendre sa défense, mais là, je m'étais surtout inquiétée pour Thaïs, alors que lui aussi, il était une victime dans l'histoire. « Euh depuis quand tu me parles comme ça et surtout depuis quand, tu prends parti pour quelqu’un d’autre ? » Je soupirais en entendant le ton froid avec lequel il m'avait parlé. Il ne comprenait pas et je ne pouvais pas lui en vouloir. Ce n'était pas de sa faute... « Tu es toujours aussi sûre que je dis des bêtises Isa ? » Je me tournais vers la cabot et lui fit un sourire rassurant. « Ok, j’ai compris ! Je présume que tu vas me sortir, que vous deux, vous êtes devenues de grandes copines et que je n’ai qu’à fermer ma gueule parce que je suis le grand méchant de l’histoire. C’est bon, ça fait plus d’une semaine que je joue ce rôle » À nouveau je lâchais un soupire. Ça allait être plus compliqué que je ne l'aurais cru. « Je serai ravie de discuter Isa, ça me ferait un bien fou, mais je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure des idées vu comment il réagit… » C'est vrai, Caleb était en train d'agir comme un enfant qui boude, en allumant la télé et en mettant le volume un peu trop fort. Heureusement pour mes pauvre oreilles, Thaïs prit la télécommande et éteignis le volume. « Si tu veux que je quitte la pièce pour que tu parles avec Isa, il suffit de le dire, inutile de jouer les grandes victimes devant l’éternel et si tu as entendu quelqu’un te faire passer pour le bad guy, ce n’est pas moi je te signale » Je secouais alors la tête, décidant d'intervenir. En passant derrière Caleb pour aller me poser à côté de lui, ma main caressa ses cheveux. « Je suis désolée mon beau, ce n'était pas ce que je voulais dire. J'avais juste envie de discuter avec Thaïs. Ça ne me dérange pas que tu sois là, mais je ne suis pas certaine que tu aimeras ce que tu vas entendre. Je sais que ce n'est pas de ta faute, que tu es confus aussi. Mais Thaïs reste quand même ta femme. Ou considère-la au moins comme la mère de ton enfant! » Je me tournais ensuite vers la cabot. « Allez, viens t'asseoir ma belle, ce n'est pas bon pour toi de rester debout trop longtemps, surtout dans des circonstances pareilles? Comment va le bébé? »
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La situation m’échappait totalement. Je n’y comprenais rien. Isaline, ma petite sœur de cœur, prenant partie pour une totale inconnue qui se disait ma femme.. Mais bordel, j’étais entré dans la sixième dimension car tout était cul par-dessus tête. En fait, j’avais trouvé, c’était une caméra cachée ! Cela ne pouvait en être autrement, j’allais me réveiller de ce cauchemar. « Parce que maintenant, ce que je veux, ça a de l’importance ?! Non parce qu’autant être honnête hein, on demande pas mon avis pour beaucoup de chose » râlais-je en me retenant de les envoyer paitre toutes les deux. J’étais chez moi après tout alors si ça leur plaisait pas que je monte le son, c’était leur problème pas le mien. Oui j’étais désagréable comme à chaque fois que je ne maitrisais rien. Une défense comme une autre mais c’était la mienne. Je grognais lorsqu’Isaline commença à me passer la main dans les cheveux, l’écoutant l’air de rien bien que je continuais toujours de faire mine de regarder le match de football américain à la télévision. « Je la connais pas. Est-ce qu’on est au moins sûr que je suis le père ?! Quoi… J’ai le droit de me poser des questions »marmonnais-je. J’étais injuste envers Thais et je soupirais. « Désolé, je voulais pas dire ça, c’est juste que ça me gonfle d’avoir un trou de six mois, de ne rien me rappeler et qu’on me demande des choses comme si c’était naturel alors faites comme si je n’existais pas, discuter de tout ce que vous voulez, rien à secouer » grommelais-je tandis que je m’enfonçais un peu plus dans le canapé. Lorsque j’étais comme ça, il était inutile de me faire la leçon, je ne ferais que m’enfoncer davantage.

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Thaïs écouta Isaline calmer Caleb en espérant qu’elle y parvienne car la jeune irlandaise commençait à être à bout d’options et d’arguments. A vouloir le préserver, elle finissait par s’en stresser elle-même et se rendre de coupable de tout et n’importe quoi, à commencer par son accident. Si l’allemand n’était pas sorti ce jour là pour lui acheter des douceurs, rien de tout ceci ne serait arrivé, Isaline profiterait actuellement de son Spring Break comme il se devait et le couple Weyss ne se déchirerait pas de cette façon. « Le bébé va bien mais ça ne m’empêche pas d’être follement inquiète pour lui » murmura-t-elle avant de se prendre l’équivalent de dix poignards dans le cœur face à la question de Caleb. La tristesse marqua aussitôt ses traits ainsi que la colère, vive et destructrice. Comment était-elle censée réagir, au juste ? Le laisser dire et s’excuser mollement comme s’il pensait chacun de ses mots mais ne voulait pas totalement passer pour le connard de service ? Hors de question ! « Tu sais quoi ? Tu es un sale connard d’égoïste doublé d’un gamin ! Pour ta gouverne je ne suis pas une prostitué qui s’envoie en l’air dès qu’elle en a l’occasion, si tu veux de la tromperie tu demandes Mary ! Mais ne t’inquiètes pas, tu vas regarder ton sale match à la con ! » s’emporta-t-elle avant de s’engouffrer comme une furie dans la chambre, ravalant ses larmes tandis qu’elle venait de balancer sa valise sur le lit dans un vacarme assourdissant. Ses gestes étaient approximatifs, ses mains tremblantes mais elle ne resterait pas une minute de plus dans cet appartement où Caleb semblait lui reprocher d’être toutes les dix secondes.
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