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Tu ne pouvais rien cacher à Eugénie et à vrai dire, tu n’avais pas envie de lui cacher comment tu te sentais vis-à-vis du divorce. C’était quelque chose d’important dans ta vie, qui prenait une groupe tournure et elle devait te comprendre, elle qui divorçait également de son mari. Pourquoi l’avait-elle marier si elle ne l’avait jamais aimé ? C’était une question qui te trottait dans la tête depuis qu’elle te l’avait annoncé. Tu avais tes doutes mais cela ne pouvait pas être que cela. Mais bon, tu étais content qu’elle divorçait comme cela tu pouvais l’avoir rien que pour toi. Tu écoutais ta copine, elle avait raison. Tu ne devais pas gacher ce super moment pour quelque chose si inutile. « Je sais. C’est juste difficile. J’ai la sensation de pas lui avoir laissé sa chance et que j’suis entrain de lui imposer quelque chose, parce que j’ai envie d’être avec toi. » Eugénie n’était pas LA raison du divorce, non il y avait plein de facteurs, mais tu te sentirais mieux si tu étais plus avec Candice, plus de liens pour etre pleinement avec Eugénie. Tu te levais un peu pour venir déposer tes lèvres sur celle de la jeune française. « j’réglerai ça le plus rapidement possible alors. » Dis-tu avec un peu de malice dans ta voix. Tu comptais bien en profiter.
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eugénie and xaver

Plus il parlait, et plus j'avais envie de couper court au sujet. Et intérieurement, j'commençais légèrement à bouillir. Il avait l'impression de ne pas lui avoir laissé sa chance, rien que ça. Ben merde. Heureusement qu'il se rattrapait sur la fin de ses propos. Je vois. Ma réponse s'arrêta là. Si j'partais encore dans de longs discours, j'allais finir par m'énerver. Nous venions d'arriver à Punta Cana et franchement, j'avais pas envie de m'énerver maintenant. Vraiment pas. Je sentis Xaver se redresser doucement et son petit bisou, ainsi que la conclusion de cette conversation me firent sourire. J'espérais qu'il fasse vite. Psychologiquement, c'était difficile de les savoir encore mariés. T'es au top, dis-je en passant doucement mes bras sur ses épaules, maintenant si monsieur est d'accord, j'voudrais qu'on arrête de parler de tout ça, histoire que madame puisse profiter pleinement de son bel allemand. Sourire malicieusement sur les lèvres, je me laissais doucement aller contre lui, nez contre nez puis lèvres contre lèvres, l'embrassant avec une légère ferveur. Assez parlé de Candice, place à Eugénie maintenant.
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Tu n’avais pas envie de déranger Eugénie avec ton histoire de divorce. Vous ne parliez pas de vos anciennes relations. Tu n’avais pas envie d’entendre ce que cet homme avait pu lui offrir, lui faire, cela ne te donnait que des mauvais souvenirs de comment elle t’avait laissé. Et disons que parler de Candice pour toi, ne te faisais que rappeler les bons moments passé avec elle, puis sa mort et ça ne faisait qu’agrandir le trou dans ta poitrine. Tu ne voulais pas y penser. Le Spring Break était le moment à toi de profiter d’Eugénie et de bien sûre penser à autres choses avant la reprise des cours où tu verras tout le monde dans l’environnement harvardien. Parfois, t’avais juste envie d’arrêter, de changer d’université et de recommencer à zero. Mais c’était impossible, surtout que tu arrivais enfin à la fin de ton bachelier et après, tu pourrais peut-être aller autre part. Il y avait Eugénie cependant. C’était dure parfois et tu ne savais pas trop quoi faire. Tu lui en parlerais une autre fois. Tu voulais profiter de ta copine. Tu souris, content de l’avoir pour toi à présent. La tirant vers toi, elle vient se mettre au-dessus de toi venant doucement coller son visage contre le tien. Tu passais tes mains le long de ses cuisses jusqu’à remonter à ses hanches, jouant un peu avec l’ourlet de son t-shirt. Tu répondis à chacun de ses baisers, venant y ajouter de la passion. Tu t’arrêtais pour reprendre ton souffle. « T’es sure que tu ne veux pas le commander maintenant ce champagne ? » Lui demandais-tu avec un petit sourire malicieux.
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