let's make tonight memorable.∇ ( marshall. ) //HOT//

Jour 3

Heure : 22H00
Lieu : la discothèque
Contexte : Rose fait la rencontre de Marshall à la discothèque
Participants :Marshall Elliot P. Reilly & Rose Lancaster

Complètement rassasiée, Lancaster avait passé presque toute sa journée à profiter du soleil et faire le plein de vitamine D. La sensation du soleil réchauffant sa peau lui était tellement agréable et exquis qu'elle n'a pu arriver à s'arracher de sa chaise longue pour grignoter un peu. Sa peau avait légèrement bronzée, laissant seulement des zones blanches à l'endroit où son costume de bain cachait une partie de sa peau. Elle trouvait très désagréable de ne pas bronzer entièrement du torse, mais puisque le monokini n'était pas autorisé, elle devait faire avec. Rose avait enfilé une robe moulante qui mettait en valeur ses formes divine et une paire de sandale voulant profiter à max sa soirée sans avoir douleur aux pieds. Elle rentra dans la discothèque de l'hôtel et pris place au bar tout en affichant un sourire aguichant au barman. « Un martini », voix sensuelle, elle ria intérieurement à l'effet qu'elle produit sur l'employé. En se retournant vers la foule, elle croisa le regard d'un inconnu et lui sourit de même manière qu'elle avait faite et le reluqua par la même occasion.

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Soir du troisième jour et je ne m’étais toujours pas arrêté pour penser. Moins je pensais et le mieux je me sentais d’ailleurs. J’avais à peine dormi, profitant au maximum de chaque seconde de chaque heure et ce soir, c’était direction la discothèque de l’hôtel! Ici, j’étais certain de prendre mon pied et, avec un minimum de chance, de trouver une charmante demoiselle à ramener à la chambre. J’étais là depuis environ une demi-heure lorsque je la repérai finalement. Celle qui allait devenir ma proie. Rouquine, une robe rose moulante et elle avait de la classe. Rien à voir avec la moitié des poufiasses de l’endroit trop saoule pour savoir ce qu’elles faisaient. Je la détaillai du regard lorsqu’elle me remarqua enfin, j’avais arrêté de danser au beau milieu de la piste, pas très subtil dans le genre, mais qu’importe. J’avais un jeans et une chemise foncé ouverte sur mon torse nu –c’est qu’il fait chaud à Punta Cana! Je passai une main dans mes cheveux en me léchant lentement la lèvre, marchant vers elle ou, pour faire plus subtil, vers le bar. Je m’arrêté à sa hauteur, m’appuyant des deux coudes sur le comptoir et commandant un rhum et coka, glissant un billet de plus au barman pour payer le verre que la beauté à côté de moi venait de commander. Il nous les apporta rapidement et je lui souris simplement, levant mon verre à sa santé avant d’en prendre une gorgée.

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Il n'avait pas attendu pour venir dans sa direction. Le sourire qui illumina le visage de Rose ne présageait rien de bon. Son attention fut détournée par le barman qui déposait son verre devant elle. Elle allait lui donner l'argent pour sa consommation ,mais le jeune brun qu'elle a repéré avait pris l'avance et tendit l'argent au barman pour commander à son tour un verre. L'employé ne prit pas de temps pour le servir et l'inconnu leva son verre dans sa direction. Elle fit de même et bu une gorgée en l'observant du coin de l'oeil. Elle déposa sa boisson et tendit sa main au jeune homme. « Rose. » prononça-t-elle. Il n'y avait rien de spécial dans son nom, il était ordinaire et commun, mais il lui collait bien à la peau. Elle était agréable à voir, bon à sentir, mais quand on la touche, on risque de tomber sur l'une de ses épines.

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La jeune femme m’imita, levant son verre à ma santé avant de prendre une gorgée, ne me quittant pas des yeux. Je lui souris sincèrement, la regardant sans gêne. « Rose. » Elle avait tendu la main vers moi, main que je pris dans la mienne, ne la serrant pas trop fort, juste assez. « Marshall. » Je bu une autre gorgée de mon verre et atteignit déjà presque le fond. Il m’en faudrait bientôt un autre, mais d’abord, je devais m’occuper de cette charmante fleur. Je posai mon verre sur le comptoir et lui tendis la main à mon tour, attendant qu’elle me redonne la sienne. « Tu danses Rose? » demandai-je avec tout le charme que j’avais, elle ne saurait dire non.

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« Marshall. » , elle fit comme lui et bu la totalité de son verre. Elle croqua dans l'olive et l'avala après l'avoir mâchouiller. Beaucoup plus détendu par cette rasade aphrodisiaque, l'humeur de Rose fut booster à son plein. Tendant sa main vers elle, le jeune cabot ne se fit pas prier pour la prendre. « Tu danses Rose? », « À coup sûre oui. » elle descendit de son siège et suivît Marshall sur la piste de danse. Amatrice dans la matière, la Lancaster assurait quand c'était l'heure de danser, surtout quand c'est pour allumer sa victime. Elle croisait les doigts pour ne pas qu'il la ridiculise. Après l'épisode Bleeker, elle prenait soin de prendre des partenaires de danse qui ne s'emmêlait pas dans ses propres pieds.

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Il n’en fallut pas plus pour qu’elle prenne ma main. Je souris largement et l’entrainai vers la piste de danse, avançant à moitié, reculant de temps à autre pour la contempler. J’étais tombé sur le jackpot ce soir, dites donc! Arrivé en plein centre de la piste, je lui fis faire un tour rapide sur elle-même avant de plaquer son corps contre le mien, passant une main dans le bas de son dos. Eh ouais, charmant, sexy et il sait danser le Winthrop! Merci maman pour ces cours obligatoire de danse sociale, maintenant, j’ai d’la classe! Quelques mouvements de bassin et j’avance et recule en rythme avec cette musique digne de la République Dominicaine.

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La musique à fond, les hauts parleurs vibrant au rythme de la musique, la température à couper le souffle, cette soirée s’annonçait déjà bien. Dommage qu’elle n’ait pas relevé ses cheveux, la chaleur devenait étouffante malgré le climatiseur. Leurs corps en sueurs, toujours en mouvement, l’ambiance de la foule rendait l’air électrique, encore plus exotique. Elle adorait ça. C’est exactement à quoi elle s’attendait en venant à Puanta Cana. Involontairement, elle ne pouvait pas s’empêcher de bouger des hanches en suivant les accords de la musique. C’était inévitable. La musique était entrainante, accrocheuse. Il la fit tourner puis se colla de tout son long sur elle. Rose posa sa main sur son épaule, la glissa jusqu’à son coude puis refit le chemin inverse jusqu’à son cou. Il était musclé à souhait, comme elle les aimait. De plus, Marshall dansait d’une manière succulente, elle ne pouvait pas demander mieux.

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Apparemment, Rose aimait ce que je faisais puisqu’elle ne s’en plaignait pas. Sa main parcouru mon bras en aller-retour et je compris en souriant qu’elle testait la marchandise, palpait ma musculature. Qu’elle fasse donc! Après tout, j’étais là pour ça, non? De ma main sur sa hanche, je pressai un peu les doigts sur ses reins, l’obligeant à coller son corps d’avantage au mien. Un sourire charmeur sur les lèvres, je la guidais toujours de l’autre main avec la sienne dans la mienne, la faisant tantôt avancer, tantôt reculer. Puis, je glissai ma main libre dans son cou, dégageant légèrement sa longue chevelure brune pour venir caresser sa joue, mon regard plongé dans le siens. Allez ma belle, montre-moi de quoi tu es capable!

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Elle s'amusait. Rien au monde aurait pu gâcher ce moment. Leurs hanches synchronisées, ils étaient en harmonie. Leurs regards reflétaient leurs réelles intentions. Pour cette fois, la Lancaster n'allait pas agir comme la garce qu'elle était. Elle ne sait pas si c'est à cause du Spring Break, mais elle voulait surmonter cette foutu peur du sexe. Voilà plus de 4 ans de quatre ans que l'accident c'était déroulé. Ces hormones commençaient à surchauffées. Rose n'avait aucune envie d'attendre encore plus longtemps, elle devait aller de l'avant. Obnubilée par sa présence, elle le dévorait des yeux. Leur danse n'avait rien d'approprier, elle était salement érotique. Rose rapprocha son visage de celui de Marshall, laissant seulement leurs nez se toucher légèrement.

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Malgré les mouvements de son corps qui trahissaient ses intentions, Rose semblait se contenir. Quelque chose l’empêchait d’aller plus avant, allez savoir quoi, mais je comptais bien briser ces barrières quelles qu’elles soient. Son nez toucha finalement le mien et un léger sourire flotta sur mes lèvres. Je plaquai son corps contre le miens, agitant le bassin contre elle de façon très suggestive et m’emparai de ses lèvres sans plus attendre. Y allant d’abord doucement, puis avec de plus en plus de force et de passion, réveillant d’avantage le désir en moi –très sensible ces derniers jours- et caressant maintenant sans gêne sa cuisse que je remontai légèrement contre mon flanc. Si ce genre de chose ne se faisait normalement pas en public, ici, j’avais l’impression que c’était tout à fait approprié. Tout le monde était saoul et chaud, très chaud même. Alors autant en profiter, non?

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