Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityZita ♪ Voulez vous coucher avec moi, ce soir ? Hum.. Non. - Page 2
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Zita ♪ Voulez vous coucher avec moi, ce soir ? Hum.. Non.

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Je ne savais plus du tout quoi penser de Zita. Méprisante, peureuse de ma personne et arrogante semblait être ses principales qualités. Comme si rien de bon de ne trouvait en elle, ou rien qu'elle ne veuille me faire découvrir. Mina et Thalia m'avait maintes et maintes fois affirmé que la jeune Cabot renfermait de la joie de vivre et un sourire très présent. En y repensant, je ne l'ai même pas vu sourire une seule fois depuis mon arrivé à Harvard. Si elle voulait jouer au femme forte et au jeu de qui blesse l'autre, elle allait très certainement perdre. J'étais bien trop têtue pour me laisser faire par une telle femme. ." Rien ça ne te regardes pas. " J'arquais un sourcil en entendant son ton exécrable de revenir jusqu'aux oreilles. Je la regardais par la suite se relever et c'est à cet instant que je lui attrapais le poignet afin de la retenir. Mon regard était devenue plus dur et sûr, prêt à recevoir une autre de ses remarques.  « Répond à ma question. C'est quoi ses médicaments ? Tu pense pas que je le saurai au bout d'un moment ? Alors commence maintenant. » Dis-je d'un ton qui se voulait convainquant. Je n'aimais pas spécialement qu'elle me cache des choses surtout que notre mariage se rapprochait de plus en plus. J'avais eu mes parents au téléphone la veille en me demandant quelles amis je voulais invité pour cette "merveilleuse" fête. Ce n'était que le commençant et pourtant je ressentais d'ores et déjà une lassitude dès qu'on en parlait. Je n'étais plus autant motivée depuis que j'avais découvert sa vrai nature, et sachant que nous avons aucun point commun, ça ne pouvait que tomber à l'eau. Le divorce serait sans doute à la clé, mais au moins, cette idée me paraissait comme une liberté qui me serait possible seulement après la naissance d'au moins un gamin. « Alors, tu compte cracher le morceau ? » Dis-je en la regardant d'une manière franche.

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Il est parfois préférable de cacher ses secrets pour pouvoir vivre paisiblement, et comme on l'entend. Je n'osais imaginer que les cheerleaders ne soit au courant de ma maladie sinon je pourrais dire adieu à mon activité préféré nullement recommandé mais je voulais juste vivre, c'était déjà assez difficile comme ça. Mais bien évidemment Enzio en rajoutait une couche, enfin il n'avais pas l'intelligence de comprendre surtout, criant haut et fort que j'étais une droguée. Je n'avais pas envie d'en parler, je voulais garder ça pour moi, pour ne pas subir une de ces énièmes réplique comme quoi je suis moins forte qu'il n'y paraît. J'avais eu ma dose de ces commentaires pour la journée alors je ne me faisais pas prier pour l'envoyer balader. A peine avais je fini de ramasser le désordre au sol, qu'il m'empoigna le bras " Répond à ma question. C'est quoi ses médicaments ? Tu pense pas que je le saurai au bout d'un moment ? Alors commence maintenant. " Jamais je ne l'avais vu autant enragé, j'en avais presque peur. Je soutenais son regard, posant même ma main sur la sienne pour me défaire de lui. Lui qui quelques minutes plus tôt se voulaient attendrissants dans ses gestes, c'était à présent tout le contraire. De toute manière aucune de ces situations ne me plaisaient." Alors, tu compte cracher le morceau ? " Quand je disais que j'avais perdu toute intimité en étant fiancée c'est le cas. Je ne pourrais plus avoir de secrets envers lui et me confier à un homme était loin de me plaire au contraire, mes amies me suffisaient amplement." Je suis malade, voilà tout. Mais réjouis toi je t'en prie, et ne fait pas semblant de penser comme quoi ça te préoccupe juste parce qu'on est censé se marier. Ta pitié est la dernière chose dont j'ai envie. " Je me débrouillais très bien avant qu'il ne soit entré dans ma vie sans que je ne l'y invite. C'est pas lui qui va tout changer non.

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Ma réaction semblait excessif, j'en étais conscient, mais je m'en foutais. Je me foutais de tout, sauf de ce qu'elle avait à me dire. Surement la dose d'alcool qui continuait à faire effet étant donné que sa présence m'importais tout au fond de moi. J'étais pourtant fatigué de tout, de cette relation, de se foutue mariage arrangé ou bien encore de ce voile devant tout le monde, que nous étions obligé de créer. Elle arrivait déjà à affecter mon humeur, qui en habitude était si joviale et plaisant. Et rien que de m'en rendre compte, ça me mettait hors de moi. Elle avait une emprise sur ma vie que je détestais énormément. Bien qu'elle ne l'ai pas souhaité. Zita repoussait ma main, mais rien ne ce passait étant donné que j'étais bien plus fort qu'elle, et que mes convictions, tant qu'elles n'étaient pas comblés, je ne comptais pas m'arrêter là. Je voyais dans son regard que cela l'a gênait mais je devais savoir, c'était plus fort que moi. " Je suis malade, voilà tout. Mais réjouis toi je t'en prie, et ne fait pas semblant de penser comme quoi ça te préoccupe juste parce qu'on est censé se marier. Ta pitié est la dernière chose dont j'ai envie. " Mon souffle s'arrêta quelques secondes, tout comme la force sur son poignet qui se faisait à présent inexistante étant donné que mon bras l'avait lâché. Je ne pouvais pas me prendre plus grosse claque. Malade ? Je fronçais les sourcils sous l'effet de l'incompréhension. J'espérais juste que sa maladie ne soit pas trop grave. Voyant très bien, que j'avais touché un point sensible, l'envie de la voir se fâcher ou à l'inverse pleurer ne m'intéressais pas. Les mots n'arrivait pas à sortir de ma bouche, bien trop surpris par la nouvelle. Moi qui l'a croyais éternelle, et qui serait toujours là pour me botter le cul au moindre instant, je voyais mes plans se casser lamentablement la gueule. Finalement sous ce gros tard de brutalité, ce cachait une faille. Déglutissant difficilement, j'essayais de réfléchir correctement, bien que ma tête se refusait à cela. « Putain.. Tu pouvais pas m'en parler plus tôt ? » Sortir une injure était bien rare venant de moi, étant donné mon éducation de bourgeois, cela montrait aisément que les pensées se bousculaient dans ma tête. Cette nouvelle, je ne m'y attendais pas, j'étais même à mille lieux de m'en rendre compte vu le caractère de la jolie Cabot.

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Je ne savais pas comment j'avais réussi à lui dire le pourquoi du comment ma consommation de médicaments était importante. Enfin si, j'avais juste pas l'envie de me battre une fois de plus contre lui. Un instant de faiblesse, au mauvais moment. Je m'en voulais à moi même d'avoir été si maladroite, cela m'aurait évité d'avoir à lui donner des explications, à m'ouvrir. Alors que mon poignet était délivré de son emprise, je fixais son regard empreint de peine. J'avais l'habitude de voir ça chez les gens à qui j'annonçais la douloureuse vérité. Néanmoins, c'était encore plus bizarre de voir cela chez Enzio, je ne savais pas vraiment comment l'interpréter. Etait-il sincère ou bien jubilait-il intérieurement en se disant qu'il avait une certaine possibilité de se débarrasser de moi. Après tout je ne le connaissais pas si bien que ça et je n'arrivais toujours pas au bout de quatre mois à deviner ce qu'il pouvait ressentir ou même à anticiper ses actions, chose qui me contrarie le plus dans notre relation et fortement handicapant. Comment pourrais-je apprécier un homme sans savoir rien de lui." Putain.. Tu pouvais pas m'en parler plus tôt ? " J'haussais les yeux au ciel. La réponse semblait évidente mais pas pour lui visiblement. Ca me semblait tellement logique que je ne me livre pas à ce sujet et surtout envers lui." Parce que tu crois vraiment que c'est le genre de choses que vais crier sur tout les toits ? Enfin de toute façon c'est pas important. Je me soigne y'a rien à savoir de plus. " Je ne comptais pas m'étaler sur le sujet, je voulais pas qu'il me vois comme un être fragile, c'est pas ce que je veux montrer au monde loin de là." C'est bon ton interrogatoire est fini ? Je peux y aller pendant que tu désaoules ? "  

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Je me sentais démunie face à cette annonce. J'étais sensé réagir comment alors que ma futur femme était malade ? Je ne savais pas quelle maladie précisément mais tout ce qui incluait des médicaments avait le don de m’inquiéter sérieusement. Je ne voyais en rien de jouissif de voir quelqu'un de malade, surtout si cela pouvait lui en coûter la vie. J'avais été d'ailleurs sensibilisé très jeune, quand mon père m'emmenait dans les hôpitaux lors de ses visites qui restait toujours dans le cadre de sa politique. Mon père me m'étais déjà devant les caméras en me présentant fièrement comme son fils qui reprendrait sa relève. Au fond de moi, ça ne m'avait jamais dérangé, bien que ma première passion soit la danse. Oui, me déhancher sur une musique était mon premier amour de jeunesse, chose que je n'avais jamais dite à mon père. " Parce que tu crois vraiment que c'est le genre de choses que vais crier sur tout les toits ? Enfin de toute façon c'est pas important. Je me soigne y'a rien à savoir de plus. " Je détestais définitivement cette partie de Zita. A faire celle qui se protège. Chose que je commençais de plus en plus à comprendre chez elle. Ne pouvait-elle pas juste être gentille ? Normal ? Qu'on arrête de se gueuler dessus ? « J'en ai rien à faire. On est sensé ce dire le minimum, non ? Je vais vivre avec toi, je trouve ça plutôt important, oui. » Dis-je exaspéré par son comportement. Peut être que la jeune femme s'y était fait mais pour moi, c'était encore tout frais et je devais m'y faire. " C'est bon ton interrogatoire est fini ? Je peux y aller pendant que tu désaoules ? " J'arquais un sourcil en soupirant une nouvelle fois.  « Comme si tu avais besoin de mon accord. » Je l'a regardais avant de me rasseoir sur mon lit en ayant encore plus les idées embrouillés qu'en habitude.  

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Je détestais cette partie faible en moi et ce qui m'énervait par dessus tout c'est qu'il n'y avait rien pour arranger la chose. Toute ma vie, aussi courte qu'elle puisse l'être, je resterais ce petit oiseau fragile qui ne fera que subir la pitié des gens. Comme si les gens étaient désolés de me savoir malade, alors qu'en fait ils étaient plutôt soulagés de penser que fort heureusement pour eux ils n'étaient pas à ma place. J'enviais ces gens qui avaient plus de chance que moi. La seule solution que j'avais trouvé pour éviter d'être jugé sur ma santé physique était de ne pas en parler et surtout de me montrer forte de l'extérieur. Intérieurement c'était plus compliqué. Même après avoir annoncé cela à Enzio, je faisais la fière, comme si le sujet n'était pas important, qu'il n'avait pas à s'inquiéter et qu'au contraire il devrait plutôt se réjouir du fait qu'il n'aurait pas la lourde tache de devoir me supporter jusqu'à la fin de nos vies." J'en ai rien à faire. On est sensé ce dire le minimum, non ? Je vais vivre avec toi, je trouve ça plutôt important, oui. " Pourquoi fallait-il qu'il continue d'en parler, qu'il me mette encore plus sur les nerfs. S'il croit que je vais pleurer dans ses bras parce que je suis malade, et bien non, je n'ai jamais pleurer face à quelqu'un et ce n'est pas aujourd'hui que ça va changer. Je m'avançais vers la porte n'attendant même pas sa réponse qui ne tarda pas à venir mais peu importe. " De toute manière je ne vois pas pourquoi t'as envie de me connaître alors que tu me détestes ? " Je ne savais pas trop pourquoi j'avais posé cette question. Je ne voulais même pas en connaître la réponse. C'est pour ça que je me hâtais de claquer la porter derrière moi espérant oublier cette conversation mais ce ne serait pas facile, surtout maintenant qu'il avait connaissance de la partie la plus secrète de moi.

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Je commençais à comprendre que ma vie si banale, il y a de cela quelques mois était tellement plus simple et sans encombre. A présent, j'allais me marier dans trois mois à une femme sarcastique à souhaits, canon, mais malade. Pourquoi devais-je à chaque fois ingérer autant d'information d'un coup. Sa haine qu'elle déversait sur moi n'était pas mérité à mon goût mais je comprenais que le seul responsable qu'elle trouvait en face était ma personne, d'où les mots durs. Pourtant, je n'avais rien demandé, et encore moins un mariage organisé. Je n'avais à présent plus de droit sur ma propre vie, si belle et heureuse au sein de ma famille. J'allais devoir fonder la mienne. Fondé mon sang. Je me promettais à moi même que mes enfants n'auraient pas le même destin que le mien, je leur laisserai bien évidemment le choix, de leurs études, tout comme de leurs compagnes. " De toute manière je ne vois pas pourquoi t'as envie de me connaître alors que tu me détestes ? " Un sourcil se haussa en entendant ce qu'elle venait de me dire. Pourquoi j'avais envie de la connaître ? Mais bordel, c'est ma femme ! Je devais le lui dire combien de fois avant que l'information rentre enfin. Je n'avais pas l'intention de passer ma vie avec une compagne totalement fermé à moi. Si ? Elle partit alors de la chambre en claquant la porte ce qui m'agaçait légèrement.
Dans trois mois, la jolie Cabot allait passé à Zita Serafina ferrari à Zita Serafina Di Marzo. J'étais persuadé qu'elle allait si faire, tout comme j'étais le seul d'entre nous à croire un minimum en l'avenir de ce faux couple. Décidément, je n'étais pas aidé.
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