(+ Declan) beach & bikini = perfection

Avait-elle la berlue ou s’était-elle endormie contre l’épaule de Declan durant la majeure partie du voyage en avion jusqu’à Punta Cana ? Bien sûr que non ! Mais il faut dire qu’il sentait si bon et était un coussin tellement confortablement qu’elle n’avait pas résisté à l’envie de se blottir tout contre lui. Mallory marquait peut-être un tantinet son territoire, aussi, très accessoirement… « Pas ma faute, tu sens trop bon et t’es trop confortable ! » râla-t-elle alors que les deux amoureux sortaient du speech d’arrivée et venaient de prendre leur carte magnétique à la réception de l’hôtel. Ils se trouvaient maintenant dans l’ascenseur et fatalement, des idées peu catholiques défilaient dans l’esprit de la piquante blonde, la poussant à éclater subitement de rire, brisant le précieux silence s’étant installé entre eux. « Tu me boudes ou je peux dire que j’ai envie de te faire des avances en plein ascenseur ? » papillonna-t-elle des yeux, légèrement provocante.

« Mais je n’ai rien dit bébé… Tu me prendre pour un oreiller si ça te chante, j’aime bien te regarder dormir, tu parles dans ces moments-là et c’est vraiment instructif » la taquinais-je doucement tandis que je me sentais de mon côté très détendu. Nous étions à des milliers de kilomètres d’Harvard et encore plus de New York et rien ni personne ne viendrait nous emmerder ici. Je me sentais libre et d’autant plus ravi de partager ces vacances avec ma petite-amie. Main dans la main, nous pénétrions dans l’ascenseur et aussitôt, je sentis l’ambiance devenir bien plus coquine, bien plus chargée en tension sexuelle. « Ma parole, j’ai créé un monstre assoiffé de sexe » éclatais-je de rire en la ramenant tout contre mon torse tandis que je m’adossais à la paroi du fond. « Fais-moi toutes les avances que tu veux bébé, je compte bien baptiser cet hôtel de toutes les manières que possible » murmurais-je en capturant ses lèvres dans un baiser chargé de sensualité tandis que mes mains glissaient du creux de ses reins à son magnifique fessier, la plaquant que davantage contre mon bassin.

« C’est marrant t’aime bien me regarder dormir mais moi j’ai même pas le droit ! Et qu’est-ce que j’ai marmonné si je ne suis pas trop indiscrète ? » rétorqua-t-elle aussitôt, curieuse de voir si c’était juste du flan ou si effectivement elle s’était mise à jacter dans son sommeil. Bah, ce ne serait pas si étonnant que cela, Mallory avait tendance à s’exprimer en toute occasion, y compris pendant son sommeil… « Ose dire que ça te déplaît ! » éclata-t-elle de rire à son tour, le trouvant diablement gonflé car après tout… c’est lui qui avait parlé de plage naturiste ou de fanfaronner au bras d’une sirène sexy ! Paroles qu’elle avait trouvé flatteuses, cependant… mais autant dire qu’elle ronronna littéralement dès lors qu’elle se retrouva tout contre lui, profitant à nouveau de sa chaleur pour mieux picorer des baisers légers tout contre ses lèvres. « Tu sais qu’on a une très, très grande chambre selon le flyer qu’ils nous ont donné, ça va prendre du temps… » murmura-t-elle contre ses lèvres non sans laisser ses mains caresser son torse pour mieux s’aventurer vers un terrain plus… intime, qu’elle provoquait déjà au travers du jean.

« Mais je suis l’homme, j’ai tous les droits bébé, c’est bien connu et puis, je ne pouvais pas aller faire mumuse dans la douche, je te signale que j’étais cloué sur le siège à tes côtés. J’aime pas prendre l’avion »marmonnais-je. C’est bien pour ça que j’allais en Irlande par bateau, j’avais la phobie de l’avion. Aussi, l’écouter marmonner dans son sommeil m’était apparu comme une très bonne occupation. « Et pour te répondre, tu as juste chantonné une chanson de Supertramp si j’ai bien reconnu… D’ailleurs, au passage, tu chantes très bien »avouais-je avant qu’elle ne se montre particulièrement suggestive dans la cabine d’ascenseur. Mallory était peut-être vierge avant de me rencontrer mais autant dire qu’elle avait su rattraper les années perdues pour mon plus grand plaisir. « Je n’ai jamais osé proféré une telle aberration, je suis on ne peut plus ravi d’avoir éveillé en toi un appétit des plus voraces » murmurais-je tandis que je ne pus m’empêcher de relever sa jupe pour mieux venir caresser sa peau douce en glisser mes doigts sous sa culotte. « Nous sommes en vacances bébé, nous avons tout le temps qu’il ne faut pour baptiser la chambre et puis, tu es insomniaque… pratique hein ? » murmurais-je avant de prendre ses lèvres pour un long baiser passionné, étouffant ainsi mes gémissements.

« Ouais, tous les droits c’est vite dit ça ! Et puis pourquoi tu m’as pas dit que t’aimais pas l’avion ? On aurait pu aller dans un endroit discret, je t’aurais détendu » fit-elle non sans esquisser un petit clin d’œil coquin tout en sachant que Mallory aurait été tout à fait capable de le détendre de cette façon justement. Mais maintenant qu’ils étaient sur la terre ferme, ils pouvaient d’autant plus profiter d’un moment en toute intimité même si elle s’étonna d’avoir chantonné une chanson qu’elle avait dans la tête depuis plusieurs semaines. « Sérieux, j’ai chanté ? Ça doit être « don’t leave me now »… je l’ai dans la tête depuis un moment ! C’est gentil ça mamour… si tu veux un jour je te chanterai une berceuse pour t’endormir ! » Declan ne perdit pas de temps en soulevant ainsi sa jupe, la faisant frissonner de délice au passage non sans la titiller déjà en glissant ses doigts sous sa petite culotte… une chance qu’il vienne de capturer ses lèvres sans quoi elle aurait sûrement gémit puissamment. « Tout d’un coup j’adore être une insomniaque ! Je sens que je vais adorer ces vacances avec toi babe… mais je vais tâcher de te les faire aimer aussi ! » murmura-t-elle non sans déboutonner sa chemise pour mieux appliquer un tout petit suçon discret sur son pectoral pour mieux faire joujou avec sa ceinture, qu’elle détacha bientôt d’un geste vif. En moins de temps qu’il n’en fallut pour le dire, c’était autre chose qu’elle titillait et avec une dextérité incroyable même.