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(+ Emrys) who is this ?

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« Je crois que je t’admire encore plus qu’avant » fit-elle, bien loin de faire preuve de pitié envers Emrys face au discours qu’il venait de lui servir sur un plateau. Bambi était sincèrement admirative, maudissant le fait de ne pas forcément avoir la même force de caractère. Au moins, elle pouvait bénir sa franchise, qui l’aidait à mettre en avant son admiration pour son ami et ainsi lui prouver qu’elle n’irait pas creuser plus loin pour voir s’il cachait quelque blessure que ce soit à ses beaux yeux émeraudes… s’il voulait lui en parler, la jolie Mather serait toujours une oreille des plus attentives envers lui, mais il n’y avait aucune obligation. Quoi qu’il veuille faire, il avait largement mérité le fait d’être libre… « Je ne suis pas un pantin pour mon père mais une relique. Je ne sais pas ce qui est le pire ou le moins confortable ! Je crois que tu as bien fait de t’en détacher… » Bambi sentait que le père d’Emrys ne pouvait que lui apporter de mauvaises choses et que désormais, il était sûrement mille fois plus épanouit qu’il n’aurait jamais pu l’être dans d’autres conditions, avec son père toujours sur son dos. L’évidence se trouvait bien là… « Il n’est pas si terrible mais à ma décharge, il me rend responsable de la mort de ma mère. Il a donc toujours un à priori très négatif sur ma personne et ne m’écoute jamais. Il faut que je le force à m’entendre cette fois… est-ce que ça va mieux avec tes frères ? » s’inquiéta-t-elle aussitôt, son visage se transformant en une vive compassion tandis qu’elle le serrait à son tour contre elle.
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Elle me regardait avec une telle lueur d'admiration que je ne pouvais que me sentir rougir, effet rare chez moi durant des années qui avaient été sur développé depuis peu avec tous ces changements chez moi que j'appréciais plus ou moins. Elle n'était pas le type de Mather que je connais. Je n'étais pas amis avec beaucoup car j'étais tombée sur beaucoup de trop drogué(e)s, trop chelous, mais j'en connaissais pas énormément non plus mais elle, elle était la bonne découverte. Je me sentais donc ravie de lui avoir laisser une place dans mon cœur car meme si elle le savait pas, elle en avait une parce qu'elle m'avait attendrie et mon envie d'aide et de protection envers elle était grande. Elle m'expliqua avec émotion comment elle ressentait son père vis à vis de sa personne et je la regardais avec inquiétude, pas de pitié mais de la compassion parce que je connaissais un peu ce sentiment moi aussi. Et puis, elle me serra dans ses bras à son tour et je souriais alors qu'elle me disait que son père à elle la rendait responsable de la mort de sa mère. J'ouvrais la bouche en forme de O, un étonnement grand me prenait, je ne comprenais pas qu'on puisse mettre la mort de quelqu'un sur une autre personne qui n'est surement pas une meurtrière parce que clairement, si c'était le cas en plus, elle le dirait pas avec tant d'émotion. Je tenais ses mains très fort en montrant ma presence par rapport au choc que cela représentait dans ma tete puis je répondais tout de meme. Oui, oui, ne t'en fais pas maintenant tout va mieux avec Priape, les autres ça n'a jamais été catastrophique mais lui a appris ce que je voulais cacher pour pas qu'ils aient une mauvaise image de mon père et il a dit que j'aurai du lui dire parce que ça lui aurait évité de me detester alors qu'il devait hair mon père ... Je grimaçais avant de sourire en poussant un soupire de lassitude et je repris : Mais voilà, je voulais les protéger du vrai visage de son père, je revendique que j'ai beaucoup de mauvais coté mais je suis plutot fier de mon envie de ne pas entacher les autres quand ça risque de blesser mes amours ... mes proches quoi. Mais ... je veux dire... tu le vis comment par rapport à ce que ton père pense de toi par rapport à ta mère ? Comment fais tu pour l'accepter je veux dire ?
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Bambi ne connaissait aucun autre frère Zacharias, mais elle n’était pas fâchée d’apprendre que les choses semblaient évoluer dans le bon sens pour Emrys. Il ne méritait en aucune manière d’être laissé pour compte, à l’écart, comme s’il n’était rien d’autre qu’un connard insensible… quand bien même voudrait-on faire croire à la jolie blonde que le Winthrop n’avait aucun cœur, l’importun se prendre illico son poing dans la tronche, quitte à ce qu’elle ne se brise quelques phalanges sous le choc. Elle ne supporterait pas que l’on puisse dire du mal d’Emrys alors qu’il méritait louanges… qu’il ait fait des conneries ou pas lui importait peu : tout le monde en fait à un moment donné, et dieu sait combien Bambi elle-même n’était pas exempt en la matière. « Je suis contente qu’avec Priape au moins ça se soit arrangé… foutue situation à la mords-moi le caca quand même ! Ceci dit tu es trop sympa Em… tu te fais passer pour le connard à tort ! C’est autant une qualité qu’un défaut parce qu’il arrive on te déteste à tort et je trouve ça triste. » Triste pour lui bien sûr, même si elle espérait de tout cœur qu’il ne s’efforcerait pas un jour de passer pour le connard de service pour la protéger. La jeune monténégrine savait s’occuper d’elle-même, à priori. « Je ne l’accepte pas mais il n’y a pas grand-chose que je puisse faire contre, il m’écoute jamais. Il parvient même à me faire me sentir coupable. Il est très fort à ce jeu là ! »
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J'étais dans une grande émotion, touchée d'autant d'interet et d'écoute de sa part ; c'était si étrange. Je ne la voyais pas aussi proche de moi pour pouvoir si facilement lui parler quoique. Je ne sais pas mais j'avais toujours été trop proche physiquement d'elle mais de là, à me confier, j'aurai pas pensé et pourtant, tout me semblait plus simple surtout que là, je me rendais compte qu'elle pouvait me comprendre encore plus en l'écoutant me parler ; « Je suis contente qu’avec Priape au moins ça se soit arrangé… foutue situation à la mords-moi le caca quand même ! Ceci dit tu es trop sympa Em… tu te fais passer pour le connard à tort ! C’est autant une qualité qu’un défaut parce qu’il arrive on te déteste à tort et je trouve ça triste. » Je souriais la trouvant si adorable, c'était trop touchant et c'était pourtant rare que je montre que je l'étais mais là, je pouvais clairement pas me retenir et j'aimais voir de sa part qu'elle ne prenait pas pour le connard que j'essayais de montrer aux autres pour me protéger; comment faisait elle pour si vite me comprendre ? La jeune femme ne me laissa pas parler et poursuivit rapidement en m'expliquant, pleine d'émotion dans la voix, a quel point ça pouvait l'embeter comme situation avec son père mais surtout qu'il arrivait à la faire se sentir coupable. Je la sentais au bord du gouffre en disant cela si bien qu'attendri, et passionné de son histoire, de sa personne, je pris son visage entre mes mains en lui disant : Ne crois jamais ça ... j'suis sur, je sais que tu es pour rien... ne l'écoute pas ! Je me sentais connecté à ses yeux et je déposais un baiser sur ses lèvres. Je gouttais à ses lèvres et je ressentais un sentiment étrange, bénéfique. Apeuré par ce que je faisais, par ce bien fait ressenti, je me reculais net, faisant de gros yeux et je lui disais en me détournant d'elle : Excuse-moi, je voulais pas faire ça ... Je regardais le ciel, dégouté d'avoir fait ça non parce que ça ne me plaisait pas mais parce que je devais pas et que c'était pas le moment de donner des faux espoirs à des jeunes femmes, je ne recommencerai pas le meme bordel.
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Bambi n’était pas plus du genre à se confier facilement, bien trop consciente que l’être humain est fondamentalement égoïste et profondément tourné vers lui-même… sauf qu’Emrys vint lui prouver évidemment le contraire, en un seul geste : à peine eut-il prit son visage entre ses mains et énoncé ses paroles qu’elle se sentit touchée, même émue par ses actes. On ne lui avait jamais parlé de cette façon et tout d’un coup, sa culpabilité lui paraissait moins insupportable. Comme si le Winthrop se montrait capable de lui faire voir les choses autrement, et lui faire constater qu’elle ne pouvait pas être responsable de la mort de sa mère, survenue lorsqu’elle était âgée de huit ans à peine. « Je suis tentée de te croire toi… » avoua-t-elle en esquissant un faible sourire, qui s’amoindrit subitement face au baiser d’Emrys, particulièrement inattendu mais loin d’être désagréable. La jeune blonde ne savait pas au juste pourquoi son cœur s’était mis à battre la chamade, alors qu’il ne s’agissait pas de son premier baiser et qu’elle n’était pourtant pas novice à ce point… à croire qu’il la fasse redevenir comme au temps de sa virginité ! « Tu vas finir par me faire croire que j’embrasse comme un pied… » Bambi éclata de rire, ce qui lui permit de relâcher la pression colossale s’étant glissée sur ses épaules alors qu’elle contournait Emrys pour venir se planter devant lui. Il n’y avait aucune raison qu’il s’en veuille, du moins de son point de vue… « Si tu penses que tu es un connard je t’arrête de suite : ce n’est pas mon point de vue. Tu as eu une pulsion voilà ça arrive à tout le monde… tu veux que je te le rende histoire qu’on soit quittes et que tu te tortures pas avec ça ? »
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Je la sens si timide, si ... angélique soudainement. Je la regarde et lui fait part de mes pensées si sincèrement qu'elle semble déstabilisée. Déjà, elle me dit me croire et nos cœurs semblent s'emballer à l'unisson tant nos cils battent en folie. Monde à part, monde inconnu, nous sommes perdus, je le suis surement seul et mes lèvres se sont collées contre les siennes. J'ai apprécié, j'ai gouté, je me recule sans un mot, tellement gêné et seulement à ce moment, je lui fais part de mes plates excuses. Elle semble si simple, si tellement de chose. Elle ne me regarde pas particulièrement mal et se contente de me dire ; « Tu vas finir par me faire croire que j’embrasse comme un pied… » Et voilà que la jolie blonde éclate de rire face à mes yeux choqués. Je ne comprends pas ce qu'il y a de drole à ma connerie. Je ne dois pas embrassé de demoiselle sans avoir une pensée purement sexuelle derrière, je ne dois plus embrasser sans .. je ne sais expliquer ma pensée. Je veux en emballer une mais pas comme ça, là, c'était ... c'était ... sublimement bon aussi dans mes sentiments ressenties, pas de sentiments où tu penses à la baiser, des trucs chelous, ouais. Je secoue la tete pour zapper toutes ces idées et me contente de la regarder se déplacer. Elle se lève et je ne peux m’empêcher d'admirer ses jambes. Chaleur dans mon corps, chaleur dans mon ... coeur ! « Si tu penses que tu es un connard je t’arrête de suite : ce n’est pas mon point de vue. Tu as eu une pulsion voilà ça arrive à tout le monde… tu veux que je te le rende histoire qu’on soit quittes et que tu te tortures pas avec ça ? » Vous ais-je dit que je ne serais aucunement contre sentir de nouveau ses lèvres contre les miennes et plus encore ? Bah sachez-le, je n'ai rien contre bien que j'ai la peur de ressentir ces trucs intenses que je ne veux surtout pas sentir maintenant je ne veux que du bestiale disons. Je la regarde en haussant un sourcil d'étonnement face à sa question et ne voulant aucunement avouer mon amour pour son baiser et ses lèvres si fines, pulpeuses un brin, je lui dis mystérieusement ; A toi de voir ... Je rigole doucement, je pouffe presque. Je la regarde un air fier et lui dit en rigolant ; avoue tu as kiffé mes lèvres et tu ne peux plus t'en passer ... Et voilà que je me la joue connard.
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La jeune blonde s’était tellement convaincue du fait que vivre sans être aimée restait plus confortable qu’elle se trouve troublée face à ce genre de marque d’affection. Ce n’était pas pour rien que la violence avait pris le contrôle de son quotidien, la poussant à s’user les poings lors de nombreuses heures de boxe. Sauf que là, elle vient d’emprunter malgré elle un chemin inconnu et sinueux lui donnant diablement des sueurs froides… c’est l’une des rares raisons pour lesquelles elle avait pensé qu’en rendant son baiser à Emrys, ils seraient quittes et qu’elle cesserait de s’en trouver hantée… magnifique naïveté que la sienne ! A croire que Bambi restait une novice parmi les novices en la matière, contrairement au Winthrop qui avait la séduction délicieusement chevillée au corps. « Tu cherches à jouer les connards pour m’empêcher ? » lâcha-t-elle avec malice, voyant une nouvelle fois clair dans son jeu, sans penser se tromper. Peut-être qu’elle était complètement à côté de la plaque, la monténégrine l’ignorait mais elle se contenta de hausser vivement les épaules pour lui prouver qu’il n’y avait pas d’accro qui tienne… elle agissait naturellement, tout en ayant confiance en ses instincts. « T’es pas obligé d’agir comme ça avec moi, je te juge pas et mieux, je te demande rien » lui précisa-t-elle non sans lui accorder un sourire des plus radieux, avant de reprendre ses lèvres avec un rien de tendresse contrastant très agréablement avec la violence la secouant lors de ses crises. Une chance qu’Emrys ne l’ait jamais vue dans un tel état. Bien sûr, ce baiser fut bref mais intense, comme si elle ne désirait pas s’imposer, et elle s’écarta donc rapidement du jeune homme. « Tu vois, ce n’était pas si terrible… »
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Ouais, je cherchais la façon facile. Je jouais un jeu étrange face à une amie qui ne se laissait pas duper. Je me sentais con de jouer comme ça, de pas savoir laisser ma meilleure partie de moi rester là au devant mais j'y pouvais quoi ? je pouvais juste faire comme j'étais. Elle voyait tellement clair dans mon jeu, c'était époustouflant. Dans mes exs, a part Eliah, rare étaient ceux qui n'avait pas pensé et dit que j'étais un connard alors forcément, en la voyant si ... compréhensive, ne jugeant pas, je souriais, rougissant quand elle me demandait si je faisais ça pour l’empêcher de m'embrasser. Au contraire, je lui laissais le choix pour ne pas dire que je voulais son baiser. Elle se montrait face à mon comportement parce qu'elle n'en voulait apparemment pas. Je le compris encore plus vite quand elle m'annonça que je n'avais pas à agir ainsi avec elle et je la regardais, littéralement surpris de tant de facilité à me dire tout ça sans s'énerver en restant avec un calme presque olympien. Soudain, elle se baissa vers moi et déposa ses lèvres pulpeuses sur les miennes et je n'étais pas mécontent du tout. Mon cœur bat directement la chamade intensément, mais pourquoi ? Surement parce que ça faisait un temps que j'avais pas embrassé une femme disons ... quelques mois, deux tout au plus, enfin c'est ce que je veux penser. Je profite de ces lèvres, tentant de ne pas me laisser emporter alors je garde mes bras contre moi et là, voilà qui se détache rapidement, appréciant pourtant ça se voit ; « Tu vois, ce n’était pas si terrible… » Je rigole à ses paroles. Ah non, c'est clair que c'était meme très plaisant ! dis-je tout bas honteux. Légèrement coincé d'ailleurs en l'avouant mais elle voulait de la spontéanéité et du naturel, bah voilà. Je lui fis un clin d'oeil avant de prendre sa main pour me lever comme si elle m'aidait à me lever et je lui dis sérieusement : bon tu sais ce qu'il te reste à faire non ? pour ton père ? Je tapotais sa main pour me moquer gentiment et j'avançais avec elle vers la sortie du parc, il était temps de se séparer avant une grande gêne totale.
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Bambi esquissa un frêle sourire, frêle mais bien présent au commentaire d’Emrys qui suivit son baiser avant de se laisser doucement conduire à l’entrée du parc. Sûrement était-il effectivement temps qu’ils ne se séparent, sachant que la jeune blonde allait cogiter un bon nombre d’heures sur ce qui s’était passé lors de leur entrevue mais aussi sur la façon avec laquelle elle aborderait son père à un moment donné. Sa décision était prise : ce soir, elle ne restait pas sur le campus et rentrerait dans la maison où il habitait toujours, en solitaire, afin de le confronter quitte à ce que ce ne soit catastrophique. Il lui fallait à tout prix mener à bien sa « mission » avant son départ pour Punta Cana, prévu la semaine suivante. « Je sais ce qu’il me reste à faire. Ce weekend, je le confronterai, je vais rentrer chez moi en banlieue. On verra bien… qui ne risque rien n’a rien ! » fit-elle d’un ton aussi assuré que possible avant de lui esquisser un petit clin d’œil. « Prends soin de toi » murmura-t-elle pour mieux tourner les talons, tout en sachant qu’ils se reverraient à Punta Cana et qu’elle pourrait dès lors lui parler du résultat de sa parlotte avec son paternel.

TOPIC FINI.
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